vendredi 19 février 2016

Les peintures au musée des Beaux-Arts de Reims - Rabelais - Lhermitte

Musée des Beaux-Arts de Reims

Reims
Musée des Beaux-Arts
Ses origines
C'est pendant la Révolution française. En 1792, la municipalité constitue sa première collection avec les oeuvres saisies.





Emile Wery
1868 – 1935
Retour d’école à Plougastel
Huile sur toile
Legs Vanier, 1907
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Giambattista Moroni
1520 – 1578
Portrait présumé de Rabelais
Huile sur toile
Legs Diancourt, 1910

L’art profane se développe en France et en Italie. Le portrait s’épanouit définitivement en tant que genre, témoignant de la place de l’humain dans la société.


François Rabelais (1483 – 1553) : médecin et homme de lettres, il aurait assisté à la rencontre d’Aigues-Mortes entre François 1er et Charles Quint en 1538.
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Anonyme

Portrait de Rabelais lisant.

17e s 

Ecole française. Fusain.

Maison natale "La Devinière".

Bésicles sur le nez, souriant.

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Anonyme

Portrait de Rabelais.

17e s 

Huile sur toile

Maison natale "La Devinière".

Figure d'un moine rieur. Oeil moqueur. Lèvre lippue. Cette création eut un succès extraordinaire et traversa victorieusement les XVIIIe et XIXe siècles.

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Delpech François Séraphin

1778 - 1825

Portrait de Rabelais

Gravure.

Maison natale "La Devinière".

Rieur cynique, air sérieux dans sa malice, Dans le style Sarrabat.

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Hubert Louis-Noël

1839 - 1925

Maquette pour un monument à Rabelais

1878

Plâtre.

Maison natale "La Devinière".

Costume de docteur en médecine avec le bonnet carré doctoral du début du XVIe siècle. Air sérieux. 

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« La Devinière », maison natale de François Rabelais.

Les caves troglodytiques et sa chambre à l’étage.

François Rabelais serait né en 1483 ou 1494 à La Devinière, “maison des champs” située à Seuilly, à 7 kilomètres de Chinon. Lorsqu’il écrit Gargantua, l’écrivain fait de sa maison natale et du paysage alentour l’épicentre des guerres picrocholines.

La Devinière est une maison des champs située à Seuilly en Touraine. Elle abrite le musée Rabelais, membre de la Fédération des maisons d'écrivain, labellisée « Maisons des Illustres » et « Musée de France ». François Rabelais y est probablement né et y a passé son enfance.

La Devinière se compose de plusieurs maisons regroupées autour d’une cour carrée : un logis du 15ème siècle accueillant notamment la chambre de Rabelais.

 Le logis de Rabelais, construit au 15ème siècle, est une bâtisse composée de deux étages en pierre de tuffeau. Cette maison de maître est flanquée d’un pigeonnier-grange du 17ème siècle, édifice emblématique du lieu.

La Devinière est le seul musée consacré à François Rabelais.

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Pierre Mignard
1612 – 1695
Louis XIV à cheval
Vers 1675
Huile sur toile

Pierre Mignard (1612-1695) est un artiste de la cour. Il a réalisé ce tableau dans son atelier. Le siècle de Louis XIV est appelé Le Grand siècle.
Le Grand roi, Louis XIV porte notamment une cuirasse dorée et un manteau (cape) de pourpre comme les généraux romains.
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Philippe de Champaigne
1602 – 1674
Les enfants Habert de Montmort
1649
Dépôt de l’Etat, musée du Louvre, 1952
Œuvre récupérée par les Alliés en 1945

C’est le thème souvent repris par la tendance classique de l’art français.


Philippe de Champaigne
1602 – 1674
Jean-Baptiste Colbert
Huile sur toile
Achat 1888
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A Blois:
  Hôtel de Saumery
Au 17e siècle, Jacques Charron, marquis de Ménars, achète l'hôtel de Saumery. Malgré sa fortune, il ne réalise que des travaux de réaménagement. Cet hôtel n'est plus qu'un pied-à-terre et sa résidence principale se situe au château de Ménars. Sa fille Marie épouse Colbert, premier ministre du roi, et son autre fille Catherine épouse le seigneur de Saumery, gouverneur de Chambord.
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Jacob Jordaens
1593 – 1678
Satyre
Huile sur toile
Don Bailleharche, 1922
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Anonyme Français
XVIIe siècle
Louis XIII
Huile sur toile
Achat 1846

Eglise Saint-Paul à Paris
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Le Nain (Frères)
Vénus dans la forge de Vulcain
1641
Huile sur toile
Achat 1922

C’est le réalisme français. Ce tableau est un de leurs chefs-d’œuvre.

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Jacques-Louis David (Atelier de)
1748 – 1825
La mort de Marat
Après 1793
Huile sur toile
Don David, 1879

Le tableau numéro 1 se trouve à Bruxelles. Ce tableau est une réplique. Il en existe trois : une à Reims, une autre à Paris, puis à Vizille, dans le musée de la Révolution, près de Grenoble. La dimension de ce tableau est un peu plus petite que la version de Bruxelles.

Ce tableau est considéré comme une icône majeure de la révolution française. Voici Marat retrouvé dans sa baignoire, assassiné par Charlotte Corday. Il résume la rigueur formelle du néoclassicisme qui s’impose dans les dernières décennies du XVIIIe siècle contre la sinuosité rocaille. Cette réplique aurait été retrouvée dans l’atelier de David après sa mort.



Louis Léopold Boilly 
La Bassée, 1761 - Paris, 1845
Le Triomphe de Marat 
Vers 1794
Papiers marouflés sur toile 
Lille 
Musée des beaux Arts 

Exécuté sous la Terreur, ce tableau représente l'acquittement de Marat le 24 avril 1793 après avoir été accusé d'hostilité envers les Girondins. "L'Ami du Peuple" est porté en triomphe dans la salle des Pas Perdus du palais de Justice de Paris. Quelques mois plus tard, il est assassiné par Juliette Corday.



"Il semble que ce soit le sort inévitable de l'homme de ne pouvoir être libre nulle part."
Jean-Paul Marat

"Quelquefois les plus petits ressorts font mouvoir les plus grandes machines."
Jean-Paul Marat
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D'après Jacques-Louis David.

Marat préfère la douche au bain


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Léon Matthieu Cochereau
1793 – 1817
Intérieur de l’atelier de David
Vers 1815
C’est un remarquable témoignage sur l’organisation d’une école de peinture.
La version présentée au Salon de 1814 est aujourd’hui au musée du Louvre.
Fécamp
Musée les Pêcheries


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Evreux

Portrait de Charlotte Corday

Vers 1793
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Alexis Grimou
1678 – 1733
Le buveur de Champagne
Huile sur toile
Dépôt de l’Etat, Musée du Louvre, 2010
Œuvre récupérée par les alliés en 1945
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Léon Lhermitte
1844 – 1925
Le Vin
1885
Huile sur toile
Legs Vasnier, 1907

C’est une scène de genre naturaliste, de grand format, qui présente une troublante véracité.

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Léon Lhermitte arrière grand-père de l’acteur Thierry Lhermitte :


Léon Lhermitte, (1844-1925), arrière-grand-père de l'acteur, était un artiste reconnu de son temps. Peintre et graveur, son style académique dans l'esprit de Millet lui valut de nombreux prix dans différents salons. Élève de Lecocq de Boisboudan, lors du salon des artistes en 1864, Léon Lhermitte fut remarqué pour ses fusains.


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Deauville

Les Dominicaines

Denis Rouvre, né le 4 juin 1967 à Épinay-sur-Seine, est un photographe français spécialisé dans le portrait de presse magazine. Il vit et travaille à Bagnolet.

Il est diplômé de l'école Louis Lumière en 1987. 

Denis Rouvre est l'un des portraitistes français les plus reconnus aujourd'hui. Ses photographies sont régulièrement publiées dans la presse nationale et internationale.

Depuis 1992, Denis Rouvre tire le portrait de ceux qui s'affichent : personnalités des mondes culturel, politique et sportif. 

Il a reçu en 2012 le troisième prix World Press pour sa série de portraits.

 

Thierry Lhermitte

Thierry Lhermitte, né le 24 novembre 1952 à Boulogne-Billancourt, est un acteur, scénariste, auteur de théâtre et producteur de cinéma français.

Thierry Lhermitte est marié avec Hélène depuis plus de 30 ans, et a trois enfants.

Où habite Thierry Lhermitte ?

Né à Boulogne-Billancourt, Thierry Lhermitte partage sa vie avec sa femme Hélène depuis plus de 40 ans. Le play-boy des Bronzés font du Ski (1979, un film de Patrice Leconte) habite avec sa femme à Paris. Toutefois, ce besoin d'escapade le pousse à s'isoler en compagnie de sa « bande de copains » dans le Cantal.

Thierry Lhermitte est l'un de mes comédiens préférés de la troupe du Splendid.

Il a joué au total dans plus d'une centaine de films.

Thierry Lhermitte est le parrain de la Fondation pour la Recherche Médicale qui lutte notamment contre la maladie d'Alzheimer. 

2022 : "J'étais incapable de jouer" : Thierry Lhermitte, durement touché par la Covid-19. 

Il n'en avait jamais parlé, mais Thierry Lhermitte a été victime d'un burn-out il y a quelques années. 

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Léon Lhermitte 
Les Halles 
1895 
Petit Palais 
Paris

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François Boucher
1703 – 1770
L’Odalisque
1743
Dépôt de l’Etat, Musée du Louvre, 1951
Œuvre récupérée par les Alliés en 1945


Camille Corot
1796 – 1875
La vasque de la Villa Médicis
Entre 1825 et 1828
Huile sur toile
Legs Marcel 1928
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Camille Corot
1796 – 1875
Mantes, le matin
Vers 1865 – 1868
Huile sur bois parqueté
Legs Warnier-David, 1899


Le musée expose son ensemble exceptionnel d’œuvres de Camille Corot –vingt-six paysages et un portrait- le plus riche ensemble en Europe conservé dans un musée après celui du Louvre. Ce fonds, connu à un niveau international, offre un panorama complet de sa démarche artistique. Plusieurs rémois, Jamot, Lundy, Vasnier, ont acheté ses œuvres et les ont léguées au musée. Son univers est poétique. Il appelle ses tableaux des souvenirs. Ses techniques de peintures (on dit picturales) sont variées et parfois très modernes. Corot met dans ses paysages des petits personnages avec un point de couleur vive et des arbres qui encadrent le centre du paysage.
Etudiés en plein air, Corot recompose ses paysages. Ses œuvres comme Mantes, le matin et Mantes, le soir annoncent l’impressionnisme et rappellent que Corot s’intéresse aux effets atmosphériques et au temps qui passe, en peignant ce même sujet à différents moments de la journée, comme le fera plus tard Claude Monet.



Camille Corot
1796 – 1875
Honfleur
Entre 1850 et 1870
Huile sur toile
Legs Mansuy-Willeminot, 1987
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Claude Monet
1840 – 1926
Les rochers de Belle-Isle
1886
Huile sur toile
Legs Vasnier 1907



Il est considéré comme le chef de file du mouvement impressionniste. Vers 1870, certains peintres représentent la nature ou la ville selon les jeux de lumière et les impressions variables (on dit fugitives) qu’ils perçoivent à différents moments de la journée. 



Claude Monet
1840 – 1926
Les ravins de la Creuse
1889
Huile sur toile
Legs Vasnier, 1907

Claude Monet a peint ces deux paysages avec des petites touches épaisses de couleurs (couleurs juxtaposées qui donnent leur lumière au tableau).
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Auguste Renoir
1841 – 1919
Paysage
Vers 1890
Huile sur toile contrecollée sur bois
Legs Jamot, 1939

C’est la liberté de la touche impressionniste.


Auguste Renoir
1841 – 1919
Marine
Fin XIXe siècle
Huile sur toile
Legs Neveux, 1978


Auguste Renoir
1841 – 1919
La lecture du rôle
Entre 1876 et 1877
Huile sur toile
Legs Vasnier, 1907

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Pierre Assouline

Le dernier des Camondo.

Edition Gallimard – 1997 et 1999.

« Mademoiselle Irène Cahen d’Anvers ».

Renoir participe à une réception chez Charles Ephrussi. Il y rencontre Louis Cahen d’Anvers. Il sera chargé du portrait des trois filles du couple. « Rose et bleue » représente Elizabeth et Alice. « Mademoiselle Irène Cahen d’Anvers » représente la future madame Moïse de Camondo (p 178).

Les Cahen d’Anvers n’aiment pas les deux tableaux et paient mal Renoir (1 500 F).

Henri Michaux voit dans le tableau « le visage de la jeune fille à qui on n’a pas encore volé son ciel » (p 310).

Dans les caisses des Allemands en direction de Berlin, en juillet 1941, se retrouvait « le portrait d’une petite fille par Renoir, Mademoiselle Irène Cahen d’Anvers (p 311). »

Le tableau fut acheté par le marchand Walter Feuz, de Clarens, pour le compte du collectionneur Georg Emil Bührle (p 313).

En 1946, l’Orangerie des Tuileries organise l’exposition « Chefs-d’œuvre des collections françaises retrouvées en Allemagne ». Irène, ex-comtesse de Camondo et devenue comtesse Sampieri, « découvrit le n°41 dans le catalogue. » « Elle chercha à le voir de plus près. C’était un Renoir. C’était elle. » (p 318)

Elle le récupéra et le vendit à Emil Bührle.


« Mademoiselle Irène Cahen d’Anvers » est exposé à la fondation Bührle à Zurich. (p 318)

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Elle est aujourd'hui très connue des cinéphiles depuis que Jean Seberg l'accrocha dans sa chambre dans A bout de souffle.


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Un des fils, Jean Renoir, cinéaste:

Edmonde Charles-Roux

L’irrégulière

L’itinéraire de Coco Chanel

Le Livre de Poche

Grasset, 1974



Jean Renoir, page 515 :

Jean Renoir souhaite que Coco Chanel exécute les costumes d’un film qu’il n’a pas encore réalisé, La Règle du Jeu. « Et lui aussi la voulait. « Un beau film, tu sais, avec des vedettes… Paulette Dubost, Mila Parely. » Il insista pour qu’elle acceptât. »

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Camille Pissarro
1830 – 1903
L’avenue de l’Opéra. Place du Théâtre-Français
1898
Huile sur toile
Legs Vasnier, 1907




Camille Pissarro
1830 – 1903
Le Louvre
1902
Legs Vasnier, 1907
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Article paru dans l'Humanité en 1990 :

Durant la guerre de 1870, un certain nombre d'artistes qui n'avaient pas la nationalité française n'ont pas été dans l'obligation de rejoindre les drapeaux. Camille Pissarro (1830 – 1903) était de nationalité danoise et il effectua un bref séjour en Mayenne durant la guerre. Il se réfugia à Londres auprès de Monet et d'Alfred Sisley (1839 – 1899) qui, sujet britannique, réussit à quitter Paris assiégé. Il vécut à Louveciennes, non loin de la maison de Renoir. Son atelier aurait été dévasté par les Prussiens. Ses toiles d'avant 1871 ont disparu.

« PEINDRE AU PLEIN AIR »
Né en 1830 à Saint-Thomas, aux Antilles danoises, où son père possède un commerce, Camille renonce très jeune à la sécurité familiale pour suivre une vocation artistique impérieuse et aller étudier la peinture à Paris. Il ose se mettre en ménage avec une jeune bonne qui partage sa vie précaire, deviendra Madame Pissarro et lui donnera sept enfants.
Au début de sa carrière, Pissarro commence à peindre en plein air. Nourri de l'enseignement de Corot, Millet et Courbet, il ne les imite pas, mais cherche à exprimer sa vision personnelle de la nature. Se remettant sans cesse en cause, il peint de plus en plus, avec les couleurs primaires et leurs dérivés directs. Il fréquente Manet, Monet, Cézanne, Degas, Renoir...Comme eux, il s'attache à restituer une image non idéalisée de la nature, mais débarrassée de tout symbole, mythe ou légende. Pissarro est l'aîné de cette avant-garde. Il est apprécié de tous, et participe activement aux expositions du groupe impressionniste qui, à partir de 1874, et en marge des salons officiels, fait scandale par sa façon entièrement neuve de voir le monde et de l'interpréter.
L'offensive prussienne en 1870, contrait Pissarro, citoyen danois, à quitter Louvenciennes où il habite. Il rejoint Monet à Londres. Rentrant chez lui l'année suivante, il retrouve sa maison saccagée par l'ennemi. Une grande partie de son oeuvre est détruite. Certaines de ses toiles ont servi de tapis-brosses à l'ennemi.
L'artiste affronte avec courage ce désastre et les moqueries des critiques jugeant sa palette peu aimable. Chaque exposition du groupe impressionniste est une rude bataille et un échec commercial. Pissarro persiste et signe malgré la misère, plante son chevalet en pleine nature, et, demeure résolument en marge des manifestations officielles. Obstiné, il l'est non par orgueil mal placé mais par fidélité envers lui-même: «Je sui fort troublé de mon exécution rude et rugueuse, avoue-t-il. Je voudrais bien faire plus aplani, réunissant cependant les mêmes qualités sauvages». Et de noter ses affinités avec Cézanne qui est venu travailler auprès de lui à Pontoise.
En 1885, Pissarro rencontre Seurat et Signac, fondateurs du néo-impressionnisme dont la méthode, inspirée de la science des couleurs et assurée par la division de la touche, visait à donner au tableau un maximum de lumière. Elle le séduit pendant quatre ans, puis il reprend sa liberté. Le souvenir de cette période novatrice de la peinture pas dans «La petite Bonne» (p. 146), d'une émouvante simplicité et de quelle fraîcheur! Une toile qui montre l'amour de l'artiste pour les humbles et confirme l'appréciation de Gustave Geffroy: «il n'a pas besoin d'aller très loin pour trouver le décor du bonheur. il sait que partout la lumière vient visiter toutes choses, les revêtir d'éclat et de douceur».
Installé définitivement à Eragny-sur-Epte près de Gisors, la renommée le consacre peu à peu. La tranquillité d'esprit que lui procurent des revenus réguliers rend sa peinture plus joyeuse. Pissarro termine sa vie en novembre 1903, salué comme un maître par les peintres de la nouvelle génération.
Jean Rollin
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Exposition philatélique à Bagnols-sur-Cèze

Rouen
Camille Pissarro
Saint-Thomas, 1810 – Paris, 1903
Le pont Boïeldieu à Rouen soleil couchant, temps brumeux 1896


Camille Pissarro 
Port de Rouen, Saint-Sever
1896
Les entrepôts sot austères.
Les quais sont en désordre.
Les cheminées sont fumantes.
Camille Pissarro fera du peuple le héros de ses tableaux.

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Jean-François Millet
Le semeur
1851
Arles

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Paul Gauguin
1848 – 1903
Nature morte aux pommes
1894
Huile sur toile
Legs Jamot, 1939

C’est la recherche sur les aplats colorés subjectifs.

Vitrail dans la cathédrale d'Evreux
Le cueilleur de pommes
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Paul Gauguin
1848 – 1903
Roses et statuette
1889
Huile sur toile
Legs Brouillon, 1943


Henri Matisse
1869 – 1954
Liseuse en robe violette
1898
Huile sur toile

Legs Jamot, 1939

C’est le début du fauvisme.



Lié-Louis Périn-Salbreux
1753 – 1817
La Duthée couchée
1778
Huile sur toile


Etienne Dinet
1861 – 1929
Au bord de l’Oued Wadiside
Huile sur toile

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