vendredi 30 novembre 2018

Pierre Dharréville - Le pouvoir d’achat - Fos-sur-Mer










La question des élus, du président de la République, de leur rôle, de leur utilité et de leurs dépenses a été soulevée.

Les Présidents de la République.
Ils ont un secrétariat car ils continuent à recevoir du courrier. (NDLR : je ne mets pas au féminin car il n’y a pas encore eu de femme Présidente de la République…mais ça viendra !)
Qu’est-ce qu’ils touchent personnellement ? Je ne saurais pas vous répondre mais je peux me renseigner.
Quelles sont les raisons qui ont conduit le législateur à prendre ces décisions ? Imaginons que les Président-e-s de la République n’aient pas de revenus et touchent  les minimas sociaux. « Il pourrait aller travailler » lui rétorque une femme de l’assistance. « Vous avez raison. Sarkozy l’a fait » lui répond Pierre Dharréville.
Le Président de la République représente la dignité de l’Etat. C’est une conception ancienne qui remonte au XXe et peut-être du XIXe siècle. Dans la France actuelle, il se dit que les privilégié-e-s sont les responsables politiques. Si l’on prend l’argent des responsables, on va régler les problèmes actuels. Ca, c’est faux. L’argent est ailleurs.




La rémunération d’un certain nombre d’élu-e-s est beaucoup discutée sur les réseaux sociaux. Il faut regarder le réel. Les élu-e-s qui passent de temps au service du bien commun doivent être rémunéré-e-s correctement. Ils n’ont pas besoin d’être des privilégié-e-s.
« La voiture de fonction ? »
Je ne connais pas d’élu-e-s qui l’utilisent. Elle n’est pas faite pour se déplacer en dehors des temps de travail. Il faut faire respecter les règles. C’est un sujet traité par la loi.
Quels sont les avantages d’être élu-e demande Pierre Dharréville à l’assistance. « Des repas au Sénat bien copieux… » rétorque la même femme.
Les élu-e-s consacrent tout leur temps à s’occuper des affaires publiques. Pour la question des trajets par exemple, je n’utilise le train que pour me rendre à l’Assemblée Nationale. Et encore heureux qu’il y a une indemnité prévue pour cela, sinon je n’y vais pas. « Donc ceux qui n’y vont pas la touchent quand même ? » demande un homme. « Non ! » répond Pierre Dharréville. « Les journalistes disent que les sénateurs-trices touchent 1 000€ de frais de communication par mois » affirme un autre participant. « Non, méfiez-vous de ce qui se dit sur les réseaux sociaux. »




Les choses sont très cadrées. Il y a une enveloppe qui est dédiée aux frais parlementaires qui sont remboursés sur facture. Ce sont les frais de communication pour un tract tiré, pour les locations de salle (ce soir, la salle a été prêtée par la mairie), les frais de déplacements, de téléphone. Puis il y a les frais de paiement des collaborateurs. C’est l’Assemblée Nationale qui les paie directement. Le travail est très codifié. Les attaché-e-s parlementaires préparent les lois, réfléchissent à rédiger les amendements et à accompagner le-la député-e dans son travail. Ils-elles reçoivent à la permanence un certain nombre de gens, d’associations,  réceptionnent le courrier, préparent des réponses aux courriers.  J’espère que l’on parlera d’autres questions car à mon avis, on se trompe de sujet. On n’est pas dans des calculs de 23 000€. Ce sont des calculs faussés. (* NDLR : lire l’article sur les avantages supprimés et conservés des députés en bas de cet article)




Moi, je ne touche pas plus aujourd’hui que ce que je touchais quand j’étais salarié. C’est un choix de ma part. Je reverse une part de mon indemnité à mon organisation politique. Chacun fait ses choix en cohérence. C’est pareil pour le budget. Au sujet des retraites, je pense que tout le monde y a droit. Je me bats pour ça. Il n’y a pas lieu d’avoir des privilèges. Je défends l’égalité des droits.
                         



Dans cette législature, il a été décidé de mettre fin à l’avantage du droit à la retraite pour les député-e-s. Il y avait un certain nombre de mesures à prendre. Il y en a peut-être d’autres à prendre. Ce n’est pas ma vision des choses  de dire qu’il  y a une lutte des classes entre la classe politique et les citoyen-ne-s. La lutte des classes est ailleurs. Il y a des élu-e-s qui se comportent mal. Je prends l’exemple de François Fillon. Il n’avait en tête que de chercher à trouver encore plus d’argent.
La presse a montré qu’il avait une volonté d’enrichissement personnel. La politique n’est pas faite pour ça. Des profiteurs existent partout. J’entends souvent à l’Assemblée Nationale dire que les chômeurs et les chômeuses sont des profiteurs-euses. On va les obliger à occuper un emploi qu’ils ou elles n’ont pas choisi. L’argument de la fraude et des profiteurs-euses a toujours été utilisé pour attaquer un certain nombre de droits dans ce pays. Il faut faire attention avec ces arguments-là car ça peut amener à prendre des mauvaises décisions.
Les budgets de l’Etat, de l’Assemblée Nationale, du Sénat et de l’Elysée, selon « Le Figaro », représentent 0,24% du budget de l’Etat. Les supprimer ne règlera pas les problèmes.



La confiance envers les élu-e-s.
On a une crise politique profonde qui se développe depuis deux ou trois décennies, avec de la défiance, de la désaffection. C’est très contradictoire car ce qui est en train de se passer (les Gilets Jaunes, NDLR), c’est très politique. Il y a une revendication et une contestation de choix politiques. Mais on ne voit pas d’issue pour faire changer les choses. Les gouvernements qui se sont succédés ont tous glissé dans la pente libérale et  se sont conformés aux directives européennes. Ca sape la confiance. Quand on vous dit « Nous on est différents », mais qu’à l’arrivée, c’est la même politique que celle du  prédécesseur, comment faire confiance ?
Les politiques libérales ont détricoté la puissance publique, les droits et augmenté le dumping social et fiscal. On diminue notre capacité à vivre bien et à vivre ensemble.
Faire vivre la démocratie.
Il faut s’y attaquer. Il faut faire de la politique ensemble. Ce n’est pas réservé à un petit nombre de privilégié-e-s, d’élu-e-s. C’est l’affaire du peuple. Il va falloir du temps pour reconquérir cette confiance. Mais il faut aussi des choix et des actes politiques. On ne peut pas en rester aux discours.
Si je mène ce débat c’est parce qu’on  besoin de démocratie. Les experts ne représentent pas la démocratie. Des gens viennent vous dire « Moi, j’ai la bonne recette, je sais comment il faut faire ». La majorité a fait comme ça pour se faire élire. Ils ont dit « Tous ceux d’avant étaient des incompétents, mais nous, on a la bonne idée, la bonne mesure technique. » Ce n’est pas une question de mesure technique mais de choix politiques. On a besoin de démocratie. Ca coûte un peu d’argent d’organiser des élections, avec des bulletins de vote, des bureaux de vote, des débats. Mais il faut consacrer une partie des richesses communes à l’exercice de la démocratie.
Etre en phase avec la population.
Actuellement, on vise à réduire la capacité d’intervention des élu-e-s et à renforcer les pouvoirs du Président de la République. On vous dit dans les médias « Les député-e-s gagnent trop. Ils-elles ne servent à rien. On va réduire leur nombre. » Si c’est très populaire, c’est pourtant grave pour la démocratie. Moi, je vais partout où se trouve la population car je souhaite porter ce qui est phase avec elle. C’est ce qui aide à essayer de prendre les bonnes décisions. Même si jusqu’ici, j’ai été trop peu écouté. Si vous laissez le pouvoir au seul Emmanuel Macron, ça ne va pas s’améliorer.
Au sujet des indemnités des députés, plus ils sont nombreux, moins il y a d’arrangements entre eux. « On fait ça entre nous ! » Diminuer le nombre de député-e-s signifie que l’on agrandit la taille des circonscriptions en les multipliant pas deux. Dans le département, il y a seize circonscriptions, il n’y en aura plus que neuf après la réforme prévue.
Les députés seront moins présents sur le terrain, moins enracinés, moin prêts à organiser des réunions, à recevoir des associations, des syndicats ou des habitants qui demandent à être reçus.
On a besoin d’élus qui soient à l’image de la diversité de la société.


*Privilèges des députés : ceux qui ont été abolis et ceux qui existent encore.

L’Assemblée a décidé de baisser l’indemnité obsèques accordée à ses députés et anciens députés.

(…) L’Assemblée nationale a acté la fin de la gratuité des trains pour ses députés honoraires. 
(…) (Voiture de fonction des présidents de l’Assemblée) : l’Hémicycle a annoncé la suppression de ce privilège en 2022.
(…) Le régime spécial de retraite. Une économie de 10 millions d’euros par an à terme.
(…) En cas de défaite électorale, les actuels habitués du Palais Bourbon ont désormais droit à 57 % du salaire journalier pendant 24 à 36 mois
(…) Les privilèges qui existent encore
Plus de 5 000 euros mensuels de frais de mandat. 
(…) Une enveloppe de 18 950 euros par an pour les taxis, le téléphone et le courrier.
(…) L’Assemblée nationale prend en charge les déplacements en train de ses députés, qui voyagent en première classe.

(…) Le logement. Il existe plusieurs catégories de députés.

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Pierre Dharréville

Fos-sur-Mer

Le pouvoir de vivre à 100%


 « J’ai fait le calcul du nombre d’heures de travail d’un député et cela fait environ quatre vingt dix heures de travail par semaine. Si je les passe sur le siège de velours de l’Assemblée nationale, je ne fais pas correctement mon travail. »

  « Les lois prises par la majorité ont visé à s’en remettre au marché. Ca a été le cas pour le logement, la formation professionnelle. Le centre AFPA d’Istres est menacé de fermeture par le conseil d’administration. C’est la décision de casser le service public de la formation professionnelle. C’est une décision politique. Je me suis battu contre ça. J’ai demandé à la ministre quelle était son ambition. Je n’ai pas eu de réponse. Quelques mois après, c’est la décision de fermeture. Et on va s’attaquer à la fonction publique. Attention aux fonctionnaires ! Ils vont dire : « Un fonctionnaire, ça coûte trop cher. On va faire faire le travail par d’autres ». Le droit de tout le monde est tiré vers le bas.

Pour l’AFPA, on va demander à une officine privée d’assurer un service de formation qui ne sera pas le même que celui fourni par l’AFPA. On ouvre des espaces au marché. L’Etat est donneur d’ordre en la matière. Il a de l’argent à distribuer. Au ministère, je rencontre une collaboratrice de la ministre. Ils lancent un dispositif appelé « Le Plan Investissement Compétences » et ils demandent à des entreprises ou à des associations de postuler. Le centre AFPA d’Istres pourrait le faire, mais on le ferme. Le choix politique est ici véritable et affirmé. »






Mes photos de Fos-sur-Mer by night (de nuit):


La Capitainerie







Macron essuie une défaite dans ses ordonnances : La disposition qui limite les réparations, auxquelles ont droit les salariés victimes de licenciement abusif, à 20 mois de salaire au maximum, a été déclarée contraire aux règles internationales.

(…) Grâce au barème Macron, « l’employeur qui viole la loi peut ainsi budgéter à l’avance le prix de sa faute et n’en assumer qu’une faible part des conséquences », décrypte le Syndicat des avocats de France (SAF), adversaire résolu de cette disposition. 



code-du-travail-le-plafonnement-des-indemnites-casse-aux-prudhommes



Pierre Dharréville :
« Nous nous privons de 3,2 MDS qui peuvent être utiles pour répondre aux besoins et construire de l'égalité dans notre pays. C'est à l'État de mettre en oeuvre la redistribution des richesses par un impôt juste."



PLF2019 : l'ISF est un outil de justice fiscale from Pierre Dharreville on Vimeo.



Pierre Dharréville (PCF) veut "rendre obligatoire la prime exceptionnelle pour les entreprises d'au moins 250 salariés".

L'examen en commission du texte commence par une "protestation" de Pierre Dharréville (PCF) : "Je crains qu'en guise de débat nous ayons un débarras", assure le député, qui estime que "nombre d'amendements ont été débarrassés de la discussion".

« Avec les heures supplémentaires défiscalisées, le message est clair : pour gagner leur vie dignement, les gens n'ont qu'à travailler plus. »


Pierre Dharréville :
« La part des richesses accaparées par le capital a augmenté de 8% ces dernières années. Mais vous préférez laisser se déprécier le travail en le finançant par des prestations sociales. »

« Ce plan d'urgence n'est pas à la hauteur et renonce aux mesures pérennes de justice sociale. Il est financé par celles et ceux auxquels il est censé bénéficier. C'est le symbole des artifices avec lesquels on finit par se brûler les doigts. »

« Vous refusez d'augmenter le SMIC et les salaires : c'est pourtant la meilleure manière d'augmenter le pouvoir d'achat et de rémunérer le travail. »

« L'accélération libérale a provoqué des mesures d'une grande brutalité et a conduit à ce que s'exprime la colère sociale qui s'est exprimée dans tout le pays. »

« Le gouvernement refuse d'aller chercher l'argent là où il est, dans les bénéfices et les dividendes, et de produire un budget de Justice sociale pour financer les mesures pour le pouvoir d’achat et pouvoir de vivre. »

Hausse de la prime d'activité :  

Pierre Dharréville (PCF) dénonce un "exercice de contournement du salaire".


 

Les rupins se plaignent mais se ressemblent.



Pierre Dharréville : « Ordonnances travail : le dumping social à l’œuvre ».

(…) Avec ces ordonnances, le gouvernement a organisé le renoncement au droit. Il ne s’en était d’ailleurs pas caché, disant vouloir aller le plus possible vers des logiques de transactions, d’évitement du tribunal, de judiciarisation de certains cas.



pierre-dharreville-ordonnances-travail-le-dumping-social-a-l-oeuvre



Mon aquarelle
Fos-sur-Mer village





Les Pinçon-Charlot et les déficits qui n'existeraient pas:
Si les riches payaient leurs impôts!



Augmentation des salaire ou gavage des actionnaires ?








SMIC
Plus 20 pour cent au 1er janvier 2020.
PCF
12 19

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jeudi 29 novembre 2018

#NousToutes - Quelques personnalités qui soutiennent le mouvement féministe


#NousToutes

Quelques personnalités issues des mondes du cinéma, de l'art, ou encore de la chanson :

Muriel Robin, Inna Modja, Sophie Binet (UGICT-CGT), Chris Blache (Genre et ville), Clémence Cousteau (Actrice), Eva Darlan (Actrice et réalisatrice), Gabrielle Deydier (Grossophobie), Elvire Duvelle Charles (journaliste et réalisatrice), Mie Kohiyama (Femme violée dans son enfance), Michele Le Doeuff (Philosophe), Danielle Mérian (Avocate honoraire au barreau de Paris), Florence Montreynaud (Ecrivaine), Karine Plassard (Féministe), Martine Storti (Philosophe), Sylvie Horau (Chanteuse et compositrice) et Aurélie Saada ( Brigitte), Patricia Téglia (Attachée de presse indépendante dans le secteur musical), Céline Verzeletti (CGT), Juliette Arnaud (Actrice, scénariste, chroniqueuse de radio) , Vanessa Demouy (Actrice et mannequine), Anna Mouglalis (Actrice), Laura Calu (Humoriste), Orlan (Artiste),  Maureen Dor (animatrice d'émissions jeunesse).


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« Muriel Robin et Anne Le Nen »

-          On n'est pas couché 24 février 2018

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Sophie Binet (CGT) : «Supprimer le statut des cheminots coûterait plus cher que ça ne rapporterait.»




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De la dualité à la complexité | Chris Blache 




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Clémence Cousteau

« Les hommes enceintes » :



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HF IDF avec Eva Darlan pour le 8 Mars toute l'année :






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« Mon pré carré reste les spectacles féministes et drôles » : Eva Darlan sera sur scène à Lisieux.

La comédienne, actrice et réalisatrice Eva Darlan sera au théâtre de Lisieux Normandie, ce samedi 2 décembre 2023, pour présenter son dernier spectacle au public : « Irrésistible. » Ce voyage narre l’avancée des femmes à travers le temps, et tente avec humour, sur fond de vérité anthropologique, de dépeindre l’origine et le développement de la société patriarcale.

 

Eva Darlan est-elle féministe ? Sans l’ombre d’un doute. « C’est comme respirer, je n’y suis pour rien, ce n’est pas un choix », confie-t-elle, sourire au coin. Le regard de la comédienne s’agite, lorsqu’elle s’insurge à l’évocation du passé, en souvenir de la lutte menée par les femmes pour acquérir des droits. « Les jeunes ne le savent peut-être pas, mais c’est seulement depuis 1965 que les femmes peuvent ouvrir un compte en banque et travailler sans l’autorisation de leur mari. Et en 1968, on n’avait pas le droit de porter des pantalons, c’était insupportable ! »

Évidemment, il reste tant à faire,...

Ouest France

11 23

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Gabrielle Deydier, auteure de "On ne naît pas grosse", explique la grossophobie.



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Interview de Mié Kohiyama dans Public Sénat




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Alors comme ça, ça rapporte plus d'écrire quand on est un mec ?

Cette vidéo est le résultat d'un mix entre deux idées : celle d'Elvire Duvelle-Charles et celle de Paola Guzzo.



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Jacqueline Sauvage: réaction de la militante féministe Karine Plassard.


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Martine Storti pour le 8 Mars toute l'année.






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Brigitte - Palladium / Victoires de la Musique 2018.




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Patricia Teglia, Attachée de presse indépendante, Métiers de la création.






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Céline Verzeletti

Le gouvernement refuse d'ordonner l'interception des casseurs avant qu'ils n'agissent (CNEWS, 24/11/18, 21h08)




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Le diable trouve à faire de James Baldwin - La chronique de Juliette Arnaud :





« Je n’ai pas oublié, j’ai les noms ».

Juliette Arnaud : victime d’agression sexuelle, elle s’exprime pour la première fois.

(…) La chroniqueuse de France Inter a révélé qu’elle avait elle-même dû faire face à un homme ayant voulu abuser d’elle.

(…) Juliette Arnaud a croisé la route d’hommes pour qui la notion de consentement n’existait pas. 


(…) « Le type me propose de me raccompagner en taxi, parce qu’on était sur la même route. Et il a plongé sur moi, sans prévenir. Il m’a plongé dessus pour essayer de m’embrasser. »


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Vanessa Demouy comment elle a vécu les infidélités de Philippe Lellouche.




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Anna Mougla­lis, sa petite pique discrète à son ex Samuel Benché­trit.




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Laura Calu, jeune humoriste



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Orlan, son corps est son oeuvre





Maureen Dor :

L'ex-chroniqueuse de Ruquier Maureen Dor harcelée sexuellement.





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La comédienne, Eva Darlan, a été sauvagement agressée par Lino Messina, qui sera condamné à de la prison avec sursis pour ces actes inadmissibles.

(…) Bien sûr, au début, l'amoureux est beau, gentil, attentif et, cerise sur le gâteau, plus jeune qu'elle et désireux de la sortir de ses déboires financiers. 

(…) « Il m'accusait d'être responsable de tout. Il ne payait pas le loyer de la maison que nous avions louée à Bourg-la-Reine Je me suis rendu compte aussi qu'il avait tout un réseau de maîtresses et les coups ont commencé à pleuvoir… »

(…) C'est avec une immense émotion qu'elle révèle avoir été victime de violences conjugales. Et après des années de mariage, n'y pouvant plus, elle provoque la rupture.

(…) Quelques mois plus tard, Éva obtient gain de cause et les juges du tribunal de grande instance condamnent son mari à trois mois de prison avec sursis et 1 500 euros d'amendes pour les coups assénés. « Bien sûr, c'est peu, commente-t-elle aujourd'hui, mais ce qui compte, c'est d'être reconnue en tant que victime.

(…) Elle dévoilait un autre pan de son enfance au cours de laquelle elle avait été victime d'inceste de la part de son père et de ses frères.

(…) Aujourd'hui, Éva ne veut plus d'hommes dans sa vie. Amère et déçue, elle déclare avec poésie que son cœur « fait dodo ».

06 21

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VOTONS CGT DU 29 NOVEMBRE AU 6 DECEMBRE !


VOTONS CGT DU 29 NOVEMBRE AU 6 DECEMBRE !

Les élections pro commencent demain. L’enjeu est véritablement important : Donner un maximum de visibilité aux organisation qui prônent une alternative, qui luttent, qui ne se résignent pas. Non seulement garantir notre représentativité mais aussi progresser pour donner plus de visibilité aux idées que nous portons pour les élèves et les personnels.

Si vous rencontrez un problème pour voter, envoyez un mail à sdencgt13@wanadoo.fr ou téléphone 04 91 62 74 30


Cher.es camarades,

Certain.es d’entre vous, frétillant.es, se sont jeté.es sur leurs souris d’ordinateur dès l’ouverture du portail de vote des élections professionnelles ce matin à 10 h. Ils ont alors pu connaître d’énormes difficultés à voter ! En effet, dès le premier quart d’heure de graves dysfonctionnements de la plate-forme de vote ont pu être observés (pas d’affichage des logos ou des listes, déconnexions pendant le processus de vote…). La situation est rapidement devenue chaotique.
Le serveur a été interrompu à plusieurs reprises. Après plusieurs tentatives infructueuses, le ministère a décidé de suspendre le vote jusqu’à demain matin pour faire un bilan complet. Il est possible que le vote ne soit pas ouvert avant demain fin de matinée voire après-midi.
Nous sommes intervenus nationalement pour dénoncer le scandale. Ceci étant, le reste de la Fonction Publique vote le 6 décembre. La date de fin ne pourra donc pas être décalée.
En l’état actuel, nous espérons que vous n’avez pas de palpitations. Nous espérons que cela va rentrer dans l’ordre au plus vite.
Nous vous conseillons :
1 – De reprendre les opérations de vote demain en début d’après-midi
2 – Pour celles et ceux ayant pu (ou cru) voter aujourd’hui, merci de vérifier que ce vote est bien effectif, et que vous avez voté à TOUS les scrutins (4 pour les titulaires, 3 pour les non-titulaires, 2 pour les stagiaires)
3 – De nous faire remonter tous les dysfonctionnements constatés et de conserver toutes les preuves possibles. 
Si nécessaire nous devons nous donner tous les moyens d’engager les recours que nous pourrions être amenés à faire à l’issue du processus électoral.
Bon courage à tous,
Fraternellement,
L’équipe d’animation de la CGT Educ’action 13


NDLR: Apparemment, c'est revenu à la normale...




Cher.es camarades,

A cette heure, seule une petite partie d’entre vous a voté. Or, nous avons besoin du vote de tout le monde pour conserver notre représentativité et progresser.
Les problèmes de serveurs sont désormais réglés. Vous pouvez voter sans difficulté. La procédure est simple et ne prend que quelques minutes. Pour vous accompagner, il vous suffit de suivre le tutoriel ICI

Merci, camarades, de votre participation maximale.
Bon week-end à vous
Fraternellement

Rémy Reynaud – Co-secrétaire



Les élections professionnelles ce sont achevées le jeudi 6 décembre au soir.

Au niveau académique, la CGT Educ’action reste stable. Dans ces conditions, nous conservons notre siège au Comité Technique Académique dans un contexte marqué par un progrès de forces syndicales corporatistes aux tendances réactionnaires comme le SIAES, ou le tassement du syndicalisme majoritaire incarné par la FSU.

Pour information,  les résultats des votes au CTA :
CGT
FSU
FO
SUD
CFDT
FAEN(SIAES-SNCL-…)
UNSA
CSEN (SNALC, SNE)
1468
6655
3584
1173
1097
1698
3725
641
6,9%
31,5%
17,0%
5,6%
5,2%
8,0%
17,6%
3,0%
1
4
2
0
0
1
2
0

Nous restons évidemment représentatifs au niveau du Comité Technique Spécial Départemental (CTSD) des Bouches-du-Rhône où sont discutées notamment les ouvertures/fermetures de classes du primaire et la répartition des moyens des collèges.

Dans la défense individuelle, nous restons présents et stables dans des corps variés :

-          PLP : Nous conservons 3 sièges, faisant jeu égal avec le SNETAA FO.
-          PE : Nous restons loin d’obtenir un siège en CAPD du 13 mais nous progressons en voix de plus de 30%

-          ASSAE : Nous devenons l’unique organisation représentative des Assistant.es Sociales et Sociaux en emportant les 2 sièges
-          Administratifs : Nous conservons notre siège Adjaenes (catégorie C)
-          ATRF : Nous conservons 2 sièges (léger recul car nous en avions 3)

-          Pour les Non titulaires, nous restons dans les seules organisations représentatives avec 2 sièges pour les non-tit ATSS, 1 siège chez les enseignant.es non-tit et un siège pour les Aed/aesh.

Enfin, nous obtenons après des années de travail de suivi un siège en CAPA des professeurs certifiés !

Au niveau National, nous progressons assez fortement avec une représentativité à l’image de notre académie :

-          Nous conservons notre siège au CTM (mais avec +4000 voix par rapport à 2014)

-          Nous conservons nos sièges chez les AS, les Adjaenes, les ATRF

-          Nous conservons nos 3 élu.es PLP Nationaux

-          Nous gagnons un élu à la CAPN des certifiés !

Ce bilan, dans le contexte actuel, est très positif. Il est le fruit du travail de tou.tes les camarades qui militent au quotidien pour faire avancer nos idées tout en défendant les personnels sur les revendications immédiates.

Nous souhaitons à ce titre remercier tou.tes les camarades ainsi que tou.tes les sympathisant.es ayant fait l’effort de voter pour la CGT malgré la complexité du dispositif ministériel.

Nous remercions tout particulièrement les camarades qui ont candidaté sur nos listes, qui ont participé à cette campagne, toutes les petites mains et les chevilles ouvrières. Celles et ceux qui ont passé du temps pour convaincre ou pour aider à voter.

Désormais, nous avons 4 années pour continuer d’enrichir notre syndicalisme, porter notre vision d’une autre Ecole, défendre une amélioration de nos conditions de travail, lutter contre la précarité et créer les conditions pour orienter l’Education Nationale vers un destin émancipateur, loin de la vision utilitariste, froide et terne d’une Ecole qui viserait la simple employabilité de jeunes dociles et prêts à l’emploi.

Continuons de porter nos valeurs et soyons-en fiers à  l’heure où certain.es prônent le repli sur soi. A l’heure où certains nous invitent à un chimérique retour à une Ecole mythique dans un passé mythique, au mépris de l’Histoire et du Sens de l’Histoire. Continuons de porter l’émancipation des jeunes et des personnels. Le tout avec la convivialité qui nous caractérise !

« Ceux qui vivent sont ceux qui luttent »

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Le 8 septembre 2019, 156 personnes ont lu cet article.
Le 21 février 2020, 162 personnes ont lu cet article.