Antifa
Pablo
Iglesias jette le micro d'un journaliste d'extrême-droite
« Ordure
provocatrice ! »
Pablo Iglesias a jeté le micro d'un journaliste qu'il considérait comme
provocateur, lors d'une altercation où il l'a également insulté, illustrant une
attitude conflictuelle et une réaction impulsive face à une question qu'il
jugeait hostile. (Blog Mediapart).
Dans un entretien à Mediapart,
l’ancien leader de Podemos dénonce les compromissions de journalistes et politiques espagnols désireux, dès le début,
d’entraver cette force de gauche. (Gauche mip).
Pablo Iglesias était devenu la bête noire des libéraux et
des conservateurs, de par son style tranchant, ses invectives contre l’élite et
ses talents d’orateur. (Le Temps).
Nationalisme
« Etre fier de ce que tu n'as pas fait
Haïr des gens que tu n'as jamais rencontrés ».
Par Krishna Prasanth Guttikonda.
« Il faut être fier d’être Français ». Dans un autre contexte, et prononcé par quelqu’un d’autre, cette déclaration aurait certainement déclenché une polémique. (Atlantico).
Le nationalisme peut encourager la haine envers des personnes que l'on ne connaît pas, en se concentrant sur l'exclusion et la supériorité perçue de la nation, souvent au détriment des autres groupes ou individus. (Fruugo).
Le patriotisme diffère du nationalisme en ce qu'il ne suppose pas un culte exclusif de la nation. (Guichet du savoir).
Krishna Prasanth Guttikonda est un auteur de plusieurs genres, connu pour ses séries "The R & A.W. Chronicles" et "The SHIVA – The Cosmic Flame Trilogy", mêlant espionnage, mythologie et émotions humaines, avec plus de 140 titres disponibles sur Kindle. (Auteur Krishna Prasanth Guttikonda).
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Antifa
E Macron
Puy du Fou
Valeurs en 2019 - Interview
Laisser le pouvoir au Rn ?
En 2019, l'interview évoquant la nécessité de "laisser le pouvoir au Rassemblement National" s'inscrit dans un contexte où le Puy du Fou est perçu comme un symbole de la droite conservatrice et réactionnaire, renforçant la tension entre les valeurs traditionnelles et les mouvements anti-fascistes ou antifas qui dénoncent ses liens avec une idéologie identitaire et nationaliste. (RTL).
De Marine Le Pen à Emmanuel Macron, ils se pressent tous dans l’antre de Philippe de Villiers pour chanter les valeurs d’« enracinement ». (L’Humanité).
Portée par le succès du Puy du Fou et les financements de Pierre-Edouard Stérin, la « cathosphère » multiplie les projets mettant en scène la France prérévolutionnaire. (Le Monde).
En 2019, Emmanuel Macron adoptait une posture centriste, insistant sur le respect des lois de la République et la laïcité, tout en évitant de laisser le pouvoir au Rassemblement National (RN), qu'il considérait comme un adversaire à contenir plutôt qu'à laisser s'installer durablement. (Slate).
Serait-il venu à l’esprit d’un de Gaulle de s’exprimer dans Minute ? Valeurs (in)actuelles est à mon sens (le mien seul ?) l’un des pivots les plus fervents et visibles de l’écosystème raciste français. (Gauche de combat wordpress).
Emmanuel Macron le savait bien, lorsqu'il a décidé de se confier à Valeurs actuelles, dans l'avion qui le ramenait de La Réunion vendredi. (Le Parisien).
Selon le contexte, Emmanuel Macron aurait potentiellement favorisé la montée du Rassemblement national (RN) pour diviser la gauche et faire barrage à une opposition unifiée, laissant ainsi le pouvoir au RN tout en utilisant des stratégies telles que la dissolution ou la banalisation pour affaiblir ses adversaires. (The conversation).
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Antifa
Stérin
Enquête sur financement illégal du RN à Marseille
Ravier
Blanchiment
Banquier illégal.
Pierre-Édouard Stérin est entendu dans une enquête préliminaire à Marseille concernant des prêts de 1,8 million d'euros visant à financer les campagnes électorales du RN entre 2020 et 2021, avec des suspicions de blanchiment et d'exercice illégal de la profession de banquier.
Au fil de l’enquête, des soupçons de blanchiment ou d’exercice illégal de la profession de banquier se sont ajoutés à ceux de financement illicite.
(20 Minutes).
Les enquêteurs s’interrogent sur le rôle du milliardaire, fervent soutien d’un projet de société ultralibéral, réactionnaire et xénophobe. (Le Monde).
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