Ndlr :
Après la video surveillance, le nouveau délire des banquiers.
Monnaie
surveillance
Les
banques orientent vers les monnaies numériques
Coûts
et fraudes ?
Les autorités bancaires orientent les usagers français, avec ou
sans leur consentement, vers des moyens de paiement de plus en plus numériques, pour limiter leurs coûts et la fraude.
L'Humanité
Les banques centrales orientent le développement
des CBDC pour améliorer la surveillance des
transactions, réduire les coûts liés aux paiements
traditionnels, et renforcer la lutte contre la fraude et
les activités illicites, tout en modernisant le système monétaire pour répondre
aux défis du numérique. (Criptolog).
Les monnaies numériques des banques centrales (MNBC) s’apprêtent à bouleverser notre rapport à l’argent.
(Delille avocat).
Les monnaies digitales suscitent un intérêt
croissant dans le monde financier. Les banques centrales, gardiennes traditionnelles de la stabilité monétaire, s'engagent désormais.
(Banque mondiale).
"Les fonds qui perdent font des dommages
Des subventions et non des prêts."
Bonn
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Banque
L'Etat
doit emprunter aux banques privées avec des intérêts depuis 1973
Dette.
Depuis la loi
de 1973, l'État
français ne peut plus emprunter directement auprès de sa banque centrale (Banque de France), ce qui
l'oblige à se financer sur les marchés financiers
auprès de banques privées avec paiement d'intérêts, contribuant ainsi à la
croissance de la dette publique.
La Banque de France a pu concourir
directement au financement de l'Etat jusqu'en 1993.
(Libération).
Dès lors, en vertu de cette loi,
l’État est obligé de passer par le système des banques privées pour financer son endettement. (Inforeaction).
Banque
Souveraineté sur l'emprunt de l'Etat sans les marchés financiers.
Les solutions proposées par la gauche consistent à retrouver une souveraineté sur l’emprunt en évitant le recours aux marchés financiers, ce qui permettrait à l’État de financer l’urgence sociale et écologique de manière plus autonome, contrairement au système actuel où la loi de 1973 a limité cette souveraineté.
Le chantage à la dette orchestré par François Bayrou ne prend pas du tout à gauche. Élus et économistes savent comment sortir du déficit et proposent de financer l’urgence sociale.
(L’Humanité).
Les banques détiennent également une part importante de dette souveraine, qui appartient généralement aux États dans lesquels elles opèrent. (Imf org).
Pour emprunter sur les marchés financiers, les banques et les États ne peuvent pas faire abstraction les uns des autres. (Revue banque).
La gestion de la dette et de la trésorerie est devenue un enjeu de crédibilité et de souveraineté : il s’agit de garantir la confiance des marchés financiers, d’obtenir des conditions de financement. (Cours de droite).
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