vendredi 5 septembre 2025

Viols - Brigade des mineur-es - CEDH - France condamnée -

 

Viols de mineur-es

Christophe A

« Avertissement pour manque de discernement »

Brigade des mineur-es

Si Christophe A. a été témoin ou a démasqué un pédophile au sein du service, un avertissement pour manque de discernement reflète des enjeux de vigilance et de formation afin d’assurer la sécurité et le recours approprié aux autorités compétentes. (Colosse).

------------------

Viols

La CDEH condamne la France pour manquement à ses obligations.

La Cour européenne des droits de l’homme a condamné la France pour ses lacunes du cadre juridique et des défaillances de mise en œuvre relatives aux actes sexuels non consentis et à la protection des mineures dénonçant des viols, notamment sur les vies privées et l’interdiction de la torture, ainsi que pour la problématique du contrôle coercitif et de la victimisation secondaire. (Le club des juristes).

La France a été condamnée jeudi 4 septembre par la CEDH pour les «lacunes» de son cadre juridique relatif au consentement et les «défaillances» de l’enquête sur un pharmacien accusé. (Libération).

La victime avait entamé une relation sadomasochiste avec un chef de service. Elle a porté plainte en 2013 pour "viol avec torture et actes de barbarie par une personne abusant de son autorité". (France info).

La Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) a condamné jeudi la France pour la réponse judiciaire apportée à trois mineures qui avaient dénoncé en vain des viols et l'a épinglée pour la première fois pour "victimisation secondaire". (France 24).

--------------


 

Pédocriminalité

Palisca

La brigade des mineur-es a tout fait pour que l'affaire ne sorte jamais.

Julien Palisca a été condamné à 15 ans de prison pour le viol de deux enfants et pour la détention et diffusion de pédopornographie, avec une période de sûreté de 10 ans et des obligations de soins.

Julien Palisca, ex-policier de la brigade des mineurs de Marseille, a été condamné jeudi 4 septembre 2025 à 15 ans de prison pour le viol de deux enfants des rues de Manille.

(La Nouvelle république).

Palisca a tenté de minimiser les signaux et des actes ont été décrits comme cherchant à retarder ou éviter l’exposition de l’affaire, suscitant des accusations d’inaction et de couverture au sein de la brigade et de l’institution. (Brut media).

Pendant près d’une décennie, Julien Palisca a trompé tout le monde. (Actu forces de l’ordre).

Mais dans un premier temps, il s’est heurté à sa hiérarchie et ses collègues, qui ont cru aux protestations d’innocence du policier au-dessus de tout soupçon. (La Provence).

------------------


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire