Paul Poiret
1879 - 1944
Capote de troupe en drap bleu horizon
1915
Petit Palais
Paris
Il suggère à l'armée des modifications du costume militaire, après son incorporation en 1914.
Son modèle nécessite moins de tissu et de main-d'oeuvre.
Il sera adopté en 1914.
Les poches ne permettent pas de garder les munitions.
Les jambes sont insuffisamment couvertes.
Le haut du corps n'est pas assez protégé contre le froid et l'humidité.
En 1915, changement de modèle.
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Paul Poiret
1879 - 1944
Robe Delphinium avec fond de robe.
Dite "Robe Bonheur"
1912
Petit Palais
Paris
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Paul Poiret
1879 - 1944
Robe Directoire
1910
Petit Palais
Paris
Il libère la femme du corset.
Il fait remonter la taille sous la poitrine.
Un soutien-gorge souple se glisse sous l'étoffe.
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Paul Poiret
1879 - 1944
Tenue Minaret
1913
Turban à aigrette, tunique, culotte bouffante façon sarouel, face-à-main miroir, une paire de souliers.
Petit Palais
Paris
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Robe de Paul Poiret.
Mon montage.
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VRP timide et sans envergure, Joseph Kamoun voit sa
vie basculer du jour au lendemain : primo il est cocu ; secundo il pond de l'or.
Rien ne va plus dans la vie de Joseph. Son mariage
avec Marie s’essouffle : il est évident qu’il n’est plus attiré par sa femme
qui se désespère. Au travail, ce n’est pas mieux. Oppressé par un patron
tyrannique, Joseph passe ses journées devant son ordinateur, seul et blasé, à
vendre des étiquettes. L’unique personne qui semble vouloir créer du lien avec
lui est Jacques, l’informaticien de l’entreprise, un nerd maladroit et harcelé
par ses collègues. Mais un soir, après avoir reçu un couple d'amis chez eux,
Joseph est alors pris subitement d’intenses maux d’estomac.
Au Mali, des terres rendues incultivables par le “fléau chinois”.
Des populations rurales maliennes dénoncent l’exploitation de sites aurifères par des sociétés chinoises qui dégradent leurs terres agricoles. Face au silence des autorités, ces populations s’organisent, rapporte le site “Sahélien”. Ce cas malien illustre un phénomène plus large en Afrique, celui de l’accaparement de terres arables par des entreprises internationales.
(…) Terres rendues incultivables.
Remontés contre les autorités communales, des jeunes venus des quatre villages touchés par ce qu’ils appellent le “fléau chinois” manifestent pour demander l’arrêt des activités minières sur leurs terres.
(…) Tout a commencé le 24 juillet 2021 lorsque la société [chinoise] Yi Yuan Mines a signé un projet de convention avec le chef du village de Naréna demandant l’autorisation d’exploiter certains sites en contrepartie de projets de développement dans la commune.
(…) Pour ce qui concerne les dégâts causés sur la biodiversité, Boubacar Abdoulaye Diarra répond : “Le plus souvent, les orpailleurs traditionnels utilisent des ‘cracheurs’ sur le terrain. Ça, c’est pour broyer la matière. En le faisant, ils sont obligés d’apporter sur le terrain les produits qu’il faut, pour essayer de concentrer un peu l’or, et c’est là où il y a dégâts. Lorsqu’ils utilisent ces produits avec de l’eau, il y a toujours ruissellement, et puisque c’est un produit toxique, ça joue sur la nature. […] Mais les produits que nous utilisons ne vont pas dans la nature.”
enquete-au-mali-des-terres-rendues-incultivables-par-le-fleau-chinois
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