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Giuseppe de Nittis
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Paris
Maison Nissim de Camondo
Mon aquarelle
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Qui a eu le premier permis de conduire en France ?
Léon Serpollet
Le 16 août 1889 , Léon Serpollet passe
le premier examen de conduite sur un tricycle de sa
conception, puis obtient en 1891 la première autorisation de circuler à 16 km/h.
La duchesse d'Uzès, en 1898, a été la première femme
française à passer, et obtenir, son brevet de conductrice d'automobile. Moins de deux mois plus tard, la duchesse se
montre pionnière dans un autre domaine en étant la première femme verbalisée
pour un excès de vitesse à 12 km/h.
C'est en 1898 qu'une femme obtient son permis de conduire, Anne De Rochechouart, la duchesse d'Uzès, est la première femme à obtenir le précieux
certificat.
En 1898, elle devint la première femme à obtenir le certificat de capacité
(l'ancêtre du permis de conduire) Il y a plus de 120 ans, Camille du Gast fut la
première femme en France a obtenir le droit de conduire une voiture. C'était en 1898
La première femme à obtenir son permis de conduire en France en 1919 à l'âge de 19 ans s'appelle Simone
Louise des Forest
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Les figures de galants
ou de libertins que nos intellos adulent sont des violeurs.
Casanova chez la marquise d’Urfé:
Jeanne Camus de Pontcarré, par son mariage Jeanne
de la Rochefoucauld, marquise d’Urfé, (1705 - 13
novembre 1775) était une veuve excentrique, férue
d’occultisme et d’alchimie. Elle est une
descendante
d’Anne de Graville.
Cazotle, qui fréquenta chez elle, et qui l'appelle
« la doyenne des Médées françaises », raconte
que sa
maison « regorgeoit d'empiriques et de gens qui
galopoient après les sciences occultes». Certain
jour de
Tannée 1757, l'un de ses neveux, le comte de La
Tour d'Auvergne, lui amena, pour son malheur,
quai
des Théatins, où elle demeurait alors, un Vénitien
à qui sa récente évasion des Plombs venait de
donner
une certaine notoriété, un aventurier séduisant
et infiniment dangereux, Jacques Casanova.
Casanova avait été devancé dans la maison par
un autre mystificateur insigne, le fameux comte
de
Saint-Germain, qui se donnait trois cents ans et
se vantait de posséder la panacée universelle. Mais,
à la
faconde éblouissante de Saint-Germain, le nouveau venu
sut opposer une habile réserve et une
incontestable puissance de fascination. Il s'empara sans
difficulté « de l'âme de la marquise, de son cœur,
de son esprit et de tout ce qui lui restait de bon sens », et,
dans ses Mémoires, reconnaît cyniquement
qu'il en fit sa dupe. « Si j'avais cru, dit- il, pouvoir la
désabuser... je crois que je l'aurais entrepris Mais
j'étais persuadé que son infatuation était incurable, et je
crus n'avoir rien de mieux à faire que de
seconder sa folie et d'en profiter l . » Il en profita
beaucoup.
Un jour, la marquise (elle lui attribuait un pouvoir
presque illimité) entreprit de lui persuader que,
s'il le
voulait bien, rien ne lui serait plus facile, en vertu de
ses relations avec les esprits, que de « la faire
passer en âme dans le corps d'un enfant mâle né
de l'accouplement philosophique d'un immortel
avec
une mortelle ou d'un homme ordinaire avec une
femme d'une nature divine». Casanova, loin de
protester,
s'ingénia sans aucun retard à régler la mise en
scène d'une opération qu'il comptait rendre
fructueuse
pour lui. Voici le mode de pro- céder qu'il adopta,
d'accord avec sa dupe : « Je devais, dit-il,
féconder
d'un garçon, par un moyen connu des seuls
frères rose-croix, une vierge, fille d'adepte...
Ce fils devait
naître vivant, mais seulement avec une âme
sensitive. Madame d'Urfé devait le recevoir dans
ses bras à
l'instant où il viendrait au inonde, et le garder
sept jours auprès d'elle dans son propre lit. Au
bout de ces
sept jours, elle devait mourir en tenant sa bouche
collée à celle de l'enfant, qui, par ce moyen,
recevrait
son âme intelligente. Après cette permutation, ce
devait être à moi à soigner l'enfant... Avant tout,
madame d'Urfé devait faire un testament en
bonne forme pour instituer héritier universel
l'enfant, dont je
devais être le tuteur jusqu'à l'âge de treize ans.»
Il faut lire dans les Mémoires de Casanova (on
sait qu'ils sont en général assez véridiques) la
suite et les
détails désopilants de cette comédie. Pour jouer
le rôle de la « vierge divine » dont le concours
était
nécessaire, il fit venir de Prague, où elle dansait
alors, une ballerine italienne, la Corticelli, qu'il
avait
autrefois connue à Bologne. Afin de la mieux
styler, il alla à sa rencontre jusqu'à Metz, tandis
que, fébrile
d'impatience, la marquise les attendait tous
deux au château de Pontcarré, à quatre lieues de
Paris. Elle y
reçut la « sublime vierge » avec les marques du
plus profond respect. Quelques jours plus tard —
le
quatorzième de la lune d'avril — le mariage
surnaturel fut bien et dûment consommé. Mais
le dernier jour
de cette même lune, 1' « oracle » de Casanova,
interrogé fort à propos, déclara que tout était à
refaire, un
indiscret ayant, dissimulé derrière un paravent,
profané par sa présence la célébration du rite: il
la faudrait
renouveler le mois suivant, et, cette fois, hors de
France. Ce second essai, tenté à Aix-la-Chapelle,
ne
devait pas être plus heureux que l'autre ; ce fut la
Corticelli qui le fit manquer. Elle simula, l'instant
solennel venu, des convulsions qui rendirent
inefficace la bonne volonté de l'opérateur. Pour
annuler
d'avance l'effet des révélations compromettantes
dont il se sentait menacé et celui des tentatives
de
chantage que préméditait évidemment sa
complice, Casanova la fit dénoncer par son
oracle comme étant
devenue folle, et comme ayant été « gâtée par
un génie noir », ennemi de l'ordre des rose-croix.
Il
'agissait de trouver une nouvelle et plus intacte
« vierge divine ». Casanova jugea très apte à en
remplir
le personnage une certaine mademoiselle
d'Aché, alors sa maîtresse, et conseilla à madame
d'Urfé d'écrire
à Sélénis, le génie de la lune, et de lui demander
conseil au sujet de la date à fixer pour le
renouvellement
des noces cabalistiques.
Pour attendre la réponse de Sélénis, la marquise
et
lui se plongèrent un beau soir, sous les rayons
nocturnes
, dans la même baignoire d'eau parfumée, et, par
l'effet d'un truc admirablement réussi, cette réponse,
tracée en caractères d'argent sur un papier vert
glacé, vint, se reflétant à la surface de l'eau,
enjoindre à la
pauvre femme d'attendre jusqu'au printemps
suivant pour recommencer, cette fois à Marseille,
la
mirifique opération.
Qu'arriva-t-il ensuite ? C'est ici que l'histoire
s'embrouille. Casanova raconte que, se trouvant
à Londres
en 1763, il y reçut d'une de ses amies, la comtesse
du Rumain, une lettre lui annonçant la mort de
madame
d'Urfé. « Madame du Rumain m'écrivait, dit-il,
que, sur le témoignage de la femme de chambre,
les
médecins avaient déclaré que la marquise s'était
donné la mort en prenant une trop forte dose
d'une liqueur
qu'elle appelait la panacée. Elle m'annonçait qu'on
avait trouvé un testament qui sentait les
Petites-Maisons, car elle laissait tout son bien au
premier fils ou fille qui naîtrait d'elle et dont elle se
déclarait enceinte.
Elle m'avait institué tuteur du nouveau-né, ce qui me
navrait de douleur, car cette histoire était de
nature à
faire rire tout Paris pendant une semaine. La
comtesse du Châtelet, sa fille, s'était emparée de tous les
Immeubles et du portefeuille où, à mon grand
étonnement \ on avait trouvé 400.000 francs.
MLes bras m'en
tombèrent ».
Cette page n'est qu'un tissu d'erreurs —
certainement volontaires. La marquise
d'Urfé ne mourut
que le 13 novembre 1775 ; et si Casanova a
antidaté sa mort, c'est qu'il avait ses raisons.
Un de ses
atriotes, un aventurier comme lui, Lorenzo
da Ponte, le librettiste de Don Juan, raconte
dans ses
Mémoires une histoire de bijoux volés, où il
est question de certaine « vieille dame » à
laquelle,
sous prétexte de la rajeunir, notre Vénitien
aurait fait boire un narcotique, et dont il
aurait subtilisé
la cassette. La « vieille dame » en question a
tout l'air d'être madame d'Urfé et son roman
avec
Casanova pourrait bien avoir eu pour
épilogue une scène d'escroquerie pure et
simple. Quoi qu'il
en soit, il paraît certain que la marquise,
longtemps avant sa mort, se sépara de lui
« en forts
mauvais termes.». Ce qui est encore plus sûr,
c'est qu'il avait vécu à ses crochets pendant
plusieurs
années, et lui avait soutiré des sommes
considérables.
Maxime de Montmorand
Une femme poète du XVIe siècle
Anne de Graville
1917
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Chasse à courre:
"pro" et "anti" à couteaux tirés dans les forêts.
Rennes
- Défendue par Emmanuel Macron, la chasse à courre, pratique héritée de
François 1er dont la saison s'achève dimanche, est la cible sur le terrain
d'une opposition nouvelle aux méthodes inspirées d'outre Manche avec, à la clé,
de multiples dérapages.
(…) Les deux
camps s'accusent mutuellement de manipulation et se livrent une guerre de
l'information, comme outre Manche.
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Que s'est-il passé lors d'une chasse à courre en novembre 2019?
La jeune femme enceinte est décédée après avoir été mordue par des chiens.
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L'analyse ADN est suspendue.
Les chasseurs auraient intérêt à dissiper les doutes.
Février 2020
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Lu sur AllAfrica
Les enseignants tirent du plaisir à user de leur position pour solliciter une faveur sexuelle aux filles en situation de vulnérabilité.
Avances repoussées, mauvaise note au premier devoir.
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Tag d'Uzès à Uzès
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François Pompon
Mon dessin
Tostoï
"Thanatos dessine dans la chair qui va périr"
Zweig
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"Un couple" : Sophie et Léon Tolstoï,
jamais avec toi ni sans toi.
(…) Un couple infernal…
C’est le couple le plus violent de l’histoire
moderne, celui qui unit
le géant de la littérature Léon Tolstoï avec sa femme Sophie. Avec 18 ans
d’écart, 36 ans de mariage et 13 enfants, leur vie commune a commencé comme une
idylle romantique avant de devenir un enfer domestique. Elle s’occupe de la
maison, des enfants, des domestiques, des invités, tout en recopiant
(…)
Chacun écrit un journal, terrible de rancœur et de haine. À 82 ans, Tolstoï
finira par fuir en secret. En l’apprenant, Sophie se jette dans un étang et
ordonne à sa fille : « Télégraphie à ton père
que je me suis noyée ! » Il répond : « Je ne désire qu’une chose : me libérer d’elle et de cette
hypocrisie, de cette méchanceté dont est pétri tout son être. » Quelques jours plus tard, alors qu’elle a affrété un
train pour le rejoindre, il meurt dans une gare, loin de chez lui, après lui
avoir refusé toute visite.
(…)
Elle prononce cependant les mots que s’échangent de nombreux
couples : « Tu es l’être le plus merveilleux du monde », mais « tes sentiments pour moi
varient sans cesse ». Ce mari qu’elle adore se montre sans raison
cruel et indifférent. Il est jaloux. Elle aussi, d’ailleurs. En matière de
sexe, il est « gentil avant, méchant après ». Les querelles sont souvent violentes. Elle lui reproche de
lui avoir fait perdre des enfants avant l’accouchement. Il prétend que c’est
elle qui a voulu avorter. Quand leurs disputes vont trop loin, elle pense au
suicide. Mais finit par se demander : « Pourquoi suis-je
insatisfaite ? »
(…) Cette femme de talent et de
caractère rédige également des romans et des recueils de poèmes, compose au
piano. Mais le génie, pour le monde, c’est lui. Et elle comprend parfaitement
la manière dont ce mécanisme d’asservissement domestique se déploie.
(…) Elle vit donc leur union
comme une lutte des consciences : « Ta force m’a
brisée, écrit-elle. Ta puissance a anéanti aussi bien ma vie que ma personnalité. »
(…) Toute leur vie, comme
leur relation passionnelle, est traversée par cette tension : devenir
l’autre, s’absorber par amour en lui, tout en voulant coûte que coûte rester
soi-même.
un-couple-sophie-et-leon-tolstoi-jamais-avec-toi-ni-sans-toi
10 22
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Léon Tolstoï
"Science de vivre:
faire le moins de mal et le plus de bien."
"De toutes les sciences que l'homme (NDLR: l'humain) peut et doit savoir, la principale, c'est la science de vivre de manière à faire le moins de mal et le plus de bien possible."
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Des travailleurs humanitaires accusés d’abus sexuels
en République démocratique du Congo : Oxfam à nouveau dans la tourmente.
(…) Parmi les
organisations humanitaires citées figure Oxfam, mais aussi MSF, et des agences
des Nations Unies comme l’OMS, l’Unicef et l’OIM. Le secrétaire général des
Nations unies avait demandé une enquête complète. Selon ces témoignages,
certains abuseurs seraient belges ou français.
(…) A propos des accusations contre des employés d’Oxfam en RDC, Sarah Champion écrit sur Twitter : "Malheureusement, ce ne sera pas la dernière affaire, tant que le secteur ne change pas. Les lanceurs d’alerte doivent être protégés et un médiateur indépendant doit être mis en place pour enquêter."
Le
journaliste Hugo Clément a déposé plainte contre Amaury De Faletans (sic),
secrétaire général de la FDSEA Haute-Garonne, qui a appelé à « monter un
commando » pour le « faire couiner » sur Twitter. Dans sa bio, le chasseur se
dit « amoureux de la nature » et... « tolérant »...
Nils
Wilcke.
08 21
« L'admission des femmes à l'égalité parfaite serait la marque la plus sûre de la civilisation, et elle doublerait les forces intellectuelles du genre humain. »
Stendhal
De
l’Amour.
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CONNAÎTRE
LES DIFFÉRENTS TYPES D’AMOUR SELON STENDHAL.
(…) L’amour-passion.
(…) L’amour-goût.
(…) L’amour-physique.
(…) L’amour-vanité.
connaitre-les-differents-types-damour-selon-stendhal
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