Les restes de la chevalerie française: les joutes?
Article passionnant à lire ci-dessous( source: La Marseillaise):
Et bien, non. Ce sont les chevaliers qui se sont inspirés des joutes.
Un combat, avec un gagnant et un perdant qui tombe à l'eau... Que le meilleur gagne!
Saint-Floret (Puy-de-Dôme)
Château
Grande salle, mur nord, ébrasement gauche de la fenêtre est
Scène
du Roman de Tristan en prose : Galaad chargeant à la lance
Fin
du XIIIe, début du XIVe
Les
décors des salles de châteaux au XIV e siècle représentent souvent des scènes
de fêtes galantes, de chasse ou de combats, inspirés des romans de chevalerie
qui connaissent un grand succès à l’époque médiévale. Cette peinture est tirée
du Roman de Tristan en prose (vers 1240). Ce roman rapproche les récits
de combats du cycle arthurien de ceux de la littérature courtoise et
particulièrement de l’histoire de Tristan et Iseult.
Cité de l’architecture et du patrimoine
Paris
Saint-Floret (Puy-de-Dôme)
Château
Fin
du XIIIe, début du XIVe
Grande
salle, mur sud, ébrasement droit de la fenêtre centrale
Scène
du Roman de Tristan en prose : la reine Iseult (seconde moitié du XIVe s)
Les
peintures médiévales profanes puisent souvent leur inspiration dans la
littérature et le roman courtois. Cette œuvre représente une scène tirée du Roman
de Tristan en prose : la reine Iseult assise, vêtue d’une robe de
velours vert, lève deux doigts vers le ciel pour indiquer à son amant, Tristan,
le danger qui le menace. Son visage, d’une grande finesse, est légèrement
incliné. Sa coiffure élégamment nattée et ses longs doigts effilés lui donnent
toute la grâce de la posture élégante.
Cité de l’architecture et du patrimoine
Paris
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