Je m'aperçois que j'ai ouvert des articles sur les inégalités Hommes/Femmes :
- Dans les médias.
- Au travail.
- Pour les salaires.
- Face à la justice.
- Dans les tâches domestiques.
- Dans la publicité.
Il manquait en politique. Voilà. C'est fait! Les articles ne seront plus répartis dans les autres sujets.
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"Les hommes restent à la manoeuvre" : après les municipales, les femmes restent largement minoritaires dans l'exécutif des intercommunalités.
(…) Sans aller dans la caricature, nous sommes convaincues que les femmes en politique ont d'autres approches, moins sur des logiques de pouvoir et davantage sur des logiques de faire aboutir des projets.Pia Imbs, présidente de l'Eurométropole de Strasbourg à franceinfo.
les-hommes-restent-a-la-manoeuvre-apres-les-municipales-les-femmes-restent-largement-minoritaires-dans-l-executif-des-intercommunalitesLe
plafond de verre est encore une réalité bien trop présente en politique comme
dans de nombreuses sphères de pouvoir. Penser le disempowerment des hommes est
une nécessité
Pourvoir
féministe en réponse à :
Ellen
Salvi
Pour
être responsable de la majorité, il faut faire partie des 50% de l’humanité. Je
vous laisse deviner lesquels.
« L’engagement
des hommes dans un processus individuel et collectif de disempowerment consiste
à réduire le pouvoir que nous exerçons individuellement et collectivement sur
les femmes, y compris les féministes. »
Pourvoir féministe
"Un truc revient souvent: quand une femme est tête de liste, elle est toujours entourée d’hommes, les cerveaux qui disent à la femme comment faire et penser".
Ben quoi, vous n'avez quand même pas cru qu'ils allaient _vraiment_ lâcher le pouvoir ? D'eux-mêmes ?
Pourvoir Féminin, en commentaire de l'article de :.
A gauche, la parité est encore plus un idéal qu'une réalité. Mais la jeune génération, sensibilisée au féminisme, n'entend pas se laisser faire
ENQUÊTE RADIO FRANCE - La lutte contre le harcèlement sexuel en politique peine à se mettre en place.
Où en sont les partis politiques dans la lutte contre le harcèlement sexuel ? La plupart ont mis en place des cellules d’écoute. Certaines sont efficaces, d’autres pas. Une enquête de Laetitia Cherel et Léa Guedj, cellule investigation de Radio France.
(…)"Harcèlement sexuel, le mot qui fait peur".
(…)Une mise en retrait qui fait grincer des dents.
D’autres parlementaires de la majorité s’agacent de la façon dont le parti a géré deux cas de députés accusés d’agression et de harcèlement sexuel. Pierre Cabaré, député de Haute-Garonne, est visé par une plainte pour harcèlement sexuel, harcèlement moral et agression sexuelle.
(…) Pierre Cabaré n’a donc pas été exclu du parti, mais on lui a demandé de démissionner de la vice-présidence des droits des femmes.
(..) Autre affaire : celle du député de l’Ain, Stéphane Trompille. Il a été condamné en mai 2020 par le conseil de prud’hommes de Bourg-en-Bresse pour harcèlement sexuel et licenciement abusif d’une de ses anciennes collaboratrices.
(…) Pas de dispositif particulier chez Les Républicains.
(…) Aurane Reihanian.
Le président des Jeunes Républicains est accusé d’agression sexuelle par deux jeunes femmes, dont l’une a porté plainte. Très vite, Aurélien Pradié, le numéro deux de LR, lui a demandé de se mettre en retrait, en attendant que la justice passe. Il n’a donc pas été présent au rassemblement des Jeunes à Port-Marly (Yvelines) en septembre.
(…) Le Parti socialiste mène ses propres enquêtes.
(…) En juin 2019, la sénatrice a fait partie d’une "commission d’enquête", dépêchée à la mairie de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), où une conseillère municipale accuse un adjoint de viol. À la suite de cette mission, le parti a retiré son investiture au maire de Saint-Nazaire pour les municipales de 2020.
(…) La commission s’est déplacée à nouveau en début d’année à Strasbourg (Bas-Rhin), où le PS a également retiré son investiture à sa tête de liste, après avoir "pris connaissance de mails évoquant des relations tarifées avec des étudiantes".
(…) À La France insoumise, les formations patinent.
(…) Le bilan du comité sur le site de LFI, fait état d’une quarantaine de cas signalés, dont "17 cas sont actuellement en cours de traitement". Ils concernent des violences conjugales, des viols, du harcèlement sexuel (messages répétés, envoi de vidéos pornographiques, etc.), et du "sexisme ordinaire".
(…) Impossible donc de connaître le bilan réel des sanctions prises à la suite des signalements.
(…) Au Parti communiste, une situation encore tendue.
(…) Mais tous les cas n’ont pas été réglés pour autant, notamment celui de Mathilde Beuscher, une militante qui dit avoir été violée par un autre militant en 2017. Pour elle, le processus de signalement a été une véritable épreuve.
(…) Mathilde a constaté que celui-ci s’est déplacé d’une section locale à une autre. Alors qu’on lui assure qu’il a été suspendu, elle l’aperçoit à la Fête de l’Humanité, en train de tenir le bar du stand d’une section du PCF, en septembre 2019.
(…) L’homme qu’il accuse de l’avoir violé a bien été démis de ses fonctions, au sien du MJCF, mais lors des élections municipales en 2020, il découvre qu’il figure sur une liste du PCF dans le Maine-et-Loire.
(…) Chez EELV, un conflit de génération.
(…) "Notre parti, il a beau être paritaire, il a beau être pour l’égalité femmes-hommes, il y a encore plein de vieux mecs qui bloquent sur ces questions !"
(…) Durant l’été 2020, EELV a écarté deux personnes : le directeur adjoint de cabinet d’une élue à la mairie de Paris, qui était accusé de viol, et Stéphane Pocrain, qui n’est pas membre d’EELV mais qui travaillait de longue date avec le parti. Il est accusé par plusieurs femmes de comportements "inadaptés" et avait été condamné pour violences conjugales en 2008.
enquete-radio-france-la-lutte-contre-le-harcelement-sexuel-en-politique-peine-a-se-mettre-en-place
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CHIFFRE DU JOUR -
35,8 %
C'est la part de femmes dans les conseils communautaires après les
élections de 2020.
Elles étaient 31,4% jusqu'alors.
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La présidente de l'Islande.
De 1980 à 1996.
Vigdis Finnbogadottir.
Elle a enchaîné trois mandats de suite.
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ONU Femmes
Mettez fin au harcèlement.
Les femmes harcelées perdent leur confiance en elles.
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Le plafond de verre empêche les femmes d'accéder aux pistes à responsabilité dans les entreprises.
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Part des femmes conseillères municipales depuis 1947.Pages 25, 26 et 27, il commente l’arrivée des femmes
au gouvernement ; choisies par Nicolas Sarkozy.
Rama Yade
« avait des droits sur l’homme » ! « Peau de pêche,
humour, pudeur et élégance » contrebalancent son côté
« viril » quand elle ose dénoncer la venue en France qui n’est pas
« un paillasson ». de Kadhafi « au baiser tueur ».
Valérie Pécresse est toute en « ironie, étonnement, séduction, élégance, souriante,
bouche mutine ». Un mélange de Catherine Deneuve et de Sophie Marceau. Il
la présente comme étant ferme, résistante face à des étudiant-e-s
mécontent-e-s.
Rachida Dati
est celle qu’il aimait le moins. Son « côté mec, mode et mépris la
rendaient inquiétante ». Il lui reconnaît des « yeux forts
beaux ». Bref, à la Justice, elle n’avait pas sa place ! Il rappelle
que nombre de tribunaux ont été fermés, que les avocat-e-s étaient
mécontent-e-s, que des substitut-e-s ont été déplacé-e-s.
Page 55, Carla Bruni est appréciée uniquement
car elle éprouve de » l’amour pour les hommes ». Elle n’est pas une
féministe guerrière !
Pages 118, 119 et 120, la liste se poursuit :
Madame (Christine) Boutin a « le
comportement d’une armoire Suisse. Placide et tout, gentille, elle n’a peur de
rien ! »
Fadela Amara
ne connaît pas le monde feutré et raciste de Neuilly. Mais elle dit des gros
mots ! « Quand on était petit, on faisait ça aussi. » Elle
rejoint François Léotard et Cécilia Sarkozy quand elle dit qu’elle ne votera
pas pour lui la prochaine fois. Bonjour l’ambiance !
Madame (Michèle) Alliot-Marie a « une voix un peu acide » qui « fait
lever les yeux au ciel ».
Page 80, il rend hommage à Benazir Bhutto,
« une femme de grande beauté, la première à gouverner un pays musulman ».
Benazir Bhutto, née le 21 juin 1953 à Karachi et morte assassinée le 27
décembre 2007 à Rawalpindi, est une femme d'État pakistanaise. Elle est
Première ministre de 1988 à 1990 et de 1993 à 1996. Elle est issue d’une riche
famille aristocratique, influente en politique.
Page 86 et 87, il revient sur la création d’un
ministère de l’Immigration, de l’Intégration et de l’Identité nationale. Pour
illustrer son inquiétude face à ce qu’il craint, « voudrait-on dire aux
Français-e-s non pas ce qu’iels sont mais ce qu’iels devraient
être ? » il utilise la formule d’Arletty : « Est-ce
que j’ai une tête d’Identité ? »
NDLR Arletty, en la matière, est un exemple controversé, elle qui a été
accusée de « collaboration horizontale » avec l’Allemand pendant la
seconde guerre mondiale…mais qui a répondu à ses juges : « Si vous ne vouliez pas que l'on couche avec les
Allemands, fallait pas les laisser entrer », renvoyant ainsi la
République à ses responsabilités.
Page 59, il défend les femmes en politique.
L’homme « déclare la guerre, met le feu au monde, envahit ses voisins,
pourrit le climat et écrase les pauvres ».
Les femmes « ont de l’existence des informations qui nous
échappent ». Ah bon, lesquelles ? Celles de connaître l’oppression
masculine…Elles « sont moins dangereuses, moins tournées vers le meurtre
et la destruction ». NDLR : Il faut quand même des garde-fous car le
pouvoir rend fou ou folle…
François Léotard
Ca va mal finir
Editions Grasset & Fasquelle
2008
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Benoît Simian est protégé par l'Assemblée, mais il persiste dans son comportement violent.
La Cour d'appel de Bordeaux décide de renforcer la protection de son épouse.
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Élections : l'appel de 150
signataires à un #MeToo des territoires pour écarter les candidats auteurs de
violences faites aux femmes.
Dans cette tribune publiée lundi sur franceinfo, les signataires
du monde politique, associatif, artistique, militant et citoyen exhortent
les appareils politiques à écouter les victimes et à faire œuvre de prévention
en vue des prochaines élections.
(…) 150 élu.e.s locales, militant.e.s,
collaborateur.ices, candidat.e.s aux régionales, parlementaires,
responsables d’associations ou encore artistes dénoncent "l'omerta" qui persiste au sein
des partis politiques.
(…) "Les partis ne peuvent
se murer éternellement dans l’omerta".
Australie.
Des milliers de femmes manifestent contre les violences sexuelles.
Des milliers de femmes ont
manifesté lundi dans des dizaines de localités australiennes dans le cadre
d’une vaste campagne contre les violences sexuelles et pour l’égalité entre les
sexes.
(…) Il y a d’abord eu les accusations d’une ancienne employée du
gouvernement. Brittany Higgins a affirmé le mois dernier avoir été violée en
2019 par un collègue dans le bureau au Parlement de Linda Reynolds, qui était à
l’époque ministre de l’Industrie de défense.
(…) Début mars, l'«
Attorney general » Christian Porter, qui est le principal conseiller juridique du
gouvernement, a révélé qu’il était le ministre accusé d’avoir violé en 1988 une
adolescente de 16 ans avec qui il étudiait. Cette dernière est décédée l’année
dernière.
(…) Mais de nombreuses voix demandent un changement profond, non
seulement au sein de la classe politique, mais plus largement dans l’ensemble
du pays.
(…) On estimait à 10 000 le nombre de
manifestants à Melbourne alors que des milliers d’autres participaient aux
rassemblements de Canberra et Sydney.
australie-des-milliers-de-femmes-manifestent-contre-les-violences-sexuelles
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Australie :
Gouvernement et actes sexuels
Diffusion de vidéos d'actes sexuels au Parlement.
Ca ne s'arrange pas...
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Vjosa Osmani,
une présidente du Kosovo qui "n'a peur de rien".
Vjosa Osmani, élue présidente du Kosovo dimanche, est une juriste partie
en guerre contre la corruption, particulièrement populaire chez les jeunes et
les femmes qui voient en elle une source d'inspiration contre le patriarcat.
(…) Elle
confirme aussi la montée en puissance des femmes sur la scène politique de
l'ancienne province de Belgrade qui a déclaré son indépendance en 2008.
Le gouvernement compte six femmes ministres sur 15, soit un
niveau jamais atteint dans un territoire où les idées patriarcales sont
profondément enracinées.
Sur 120 députés, un tiers sont des femmes.
(…) Elle a fait son entrée au Parlement en 2011 sous
l'étiquette de la Ligue démocratique du Kosovo (LDK, centre-droit), le parti
d'Ibrahim Rugova.
(…) Professeur à l'Université de Pristina, cette mère
de deux jumelles née dans la ville divisée de Mitrovica (nord) a effectué son
doctorat aux Etats-Unis et parle cinq langues: l'albanais, le serbe, l'anglais,
le turc et l'espagnol.
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Les propos de machos en politique.
Médiapart.
NDLR: Macho de droite ou macho de gauche?
Des deux, mon général!
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Politique.
"Les hommes ne veulent pas de concurrentes.
Pour cela, les hommes n'hésitent pas à vulnérabiliser les femmes. Ils assurent ainsi leur place."
Sandrine Rousseau.
NDLR: il y a des hommes élus qui sont limités intellectuellement et humainement....
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Gilberte Brossolette, née Bruel (27 décembre 1905 à
Paris - 18 février 2004 à Fontainebleau) est une journaliste et femme politique
française. Épouse de Pierre Brossolette (1903-1944), elle participe avec lui à
la Résistance française pendant l'Occupation allemande. Conseillère de la
République (sénatrice) socialiste du département de la Seine de décembre 1946
au 8 juin 1958, elle est la première femme à être vice-présidente du Sénat de
1946 à 1954.
21 avril 1944 : le droit de
vote accordé aux femmes.
C'était le 21
avril 1944. Les femmes devenaient électrices et éligibles, comme les hommes. Un
an plus tard, le 29 avril 1945, elles votaient pour la première fois. Souvenir
en archives radiophoniques de cette lutte durement menée pour obtenir le droit
d'être citoyenne.
(…) Quand on dit que c’est le général de Gaulle qui a donné le droit de vote aux femmes, c’est inexact. C’est la Résistance. Vous savez que les femmes se sont magnifiquement conduites pendant toute la Résistance. J’en ai connu des quantités. Il y en a eu 8 000 ou 10 000 qui ont été déportées pour faits de résistance, sans compter toutes les déportées raciales. Elles se sont acharnées, elles ont travaillé à l’ombre des hommes. Toutes les besognes difficiles, toutes les choses dangereuses, les liaisons, aller chercher ce qu’il y avait dans les boîtes aux lettres de la Résistance, aller repérer des lieux pour des parachutages ou pour que des avions puissent se poser clandestinement, prendre des trains dans des conditions impossibles.
Gilberte Brossolette
21-avril-1944-le-droit-de-vote-accorde-aux-femmes
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Sexisme : le coup de gueule de la maire de Paimpol en
plein Conseil municipal.
Jérôme Peyrat a été condamné pour des violences envers son
ex-compagne. Il sera néanmoins tête de liste LREM en Dordogne
pour les régionales. Il est loin le temps où Macron faisait des violences
sexuelles et sexistes « la grande cause du quinquennat ».
L’Humanité
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Violences.
Benoît Simian est candidat dans le canton sud Médoc.
Il a été l'auteur de violences contre sa femme!
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Les Grenades.
Motion sur l'éthique.
"Politique, impunité, omerta"
05 21
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NON A UN PÉDOCRIMINEL A LA TÊTE DE LA 3EME COMMUNE DE GUADELOUPE, ÊTES VOUS FAVORABLE A SA REVOCATION ?
Il
s'avère que le Maire du Gosier élu en Juin 2020 a été condamné
en Février 2019 à 2 ans de prison avec sursis pour atteinte
sexuelle sur mineure de moins de 15 ans et surtout ....il a
l'obligation d'une inscription au Fichier National des Délinquants
Sexuels
Comment
un Maire peut-il assurer la protection des mineurs de sa ville avec
de tels antécédents?
(…)
La
Ville du Gosier comptant 27 000 habitants mérite un Maire avec une
meilleure probité morale.
Dans
le prolongement de ce sondage, notre Collectif va adresser une lettre
au Président de la République et au Préfet de la Région
Guadeloupe afin que les procédures nécessaires soit réalisées
pour que ce Maire soit révoqué par décret en Conseil des
Ministres.
SIGNEZ
LA PETITION POUR QU'ENSEMBLE NOUS PUISSIONS DIRE NON A UN
PÉDOCRIMINEL A LA TÊTE DE LA 3EME COMMUNE DE GUADELOUPE.
pedocriminel-tete-3eme-commune-guadeloupe-etes
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"La Marseillaise"
POINT
DE VUE. Égalité femmes-hommes au CESE : quid de la grande cause du
quinquennat ?
Les associations féministes qui œuvrent en faveur des droits des femmes et
de l’égalité, ont été écartées des nominations au CESE par le Président de
la République. Les autrices de cette tribune, Danielle Bousquet, Geneviève
Couraud et Françoise Vouillot, expriment leur « profonde déception
face à ce non-respect de l’engagement du Président de la République le
25 novembre 2017 de faire de l’égalité entre les femmes et les hommes la
grande cause nationale de son quinquennat ».
Troisième assemblée
constitutionnelle de la République après l’Assemblée nationale et le Sénat, le
Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) est désormais, selon les
vœux du Président de la République, la chambre de la participation citoyenne.
La réforme de 2021, comme l’indique le CESE lui-même sur son site, accroît en effet la place de la société
civile dans l’élaboration des politiques publiques, et fait du CESE le
carrefour des consultations publiques et l’institution de référence en matière
de participation citoyenne.
(…) Parmi les 8 personnes représentant la vie
associative, il n’y a aucune membre du mouvement féministe associatif alors que
l’on dénombre deux représentant et représentante pour la fédération nationale
des chasseurs (FNC), deux pour celle de la pêche et de la protection du milieu
aquatique (FNPF), tout comme pour la ligue française pour la protection des
oiseaux (LPO). Au titre de la cohésion sociale et territoriale (29 membres) une
seule organisation féministe a été retenue : la Fédération Nationale Solidarités
Femmes (FNSF).
point-de-vue-egalite-femmes-hommes-au-cese-quid-de-la-grande-cause-du-quinquennat
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Qui sont les propriétaires des instituts de sondage?
Groupe Bolloré: CSA - BVA.
Laurence Parisot: IFOP.
François Pinault: IPSOS.
Fidelity: SOFRES.
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NDLR : Sud-Ouest a changé son titre depuis hier.
La femme a retrouvé un nom : Sylvie Marcilly !
Charente-Maritime :
Sylvie Marcilly, une première femme à la tête du département.
96% d'hommes premiers ministres depuis la création de la fonction.
Une seule femme, Edith Cresson, a été Première ministre pendant la 5ème république.
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100 % d’hommes présidents de la République depuis la création de la fonction
Islande : pour
la première fois en Europe, une majorité de femmes élues au Parlement.
(…) Sur les 63 sièges de l’Althing, 33 seront
occupés par des députées, soit 52,3 %, selon les projections basées sur les
résultats finaux du scrutin organisé samedi. Selon des données compilées par la
Banque mondiale, aucun pays d’Europe n’avait jamais franchi la barre symbolique
des 50 %, la Suède occupant jusqu’ici la première place avec 47 % de députées.
(…) L’Althing a été fondé en 930, ce qui en fait
l’un des parlements les plus anciens d’Europe, voire du monde.
NDLR : si le Maroc se met à valoriser les
femmes en politique! On est encore loin de la parité, quand même. Et elles sont
originaires de la bourgeoisie.
Voici les 7 femmes du gouvernement Akhannouch.
Dans le nouveau
gouvernement nommé jeudi par le roi Mohammed VI, la proportion de femmes
ministres a presque doublé en comparaison avec la formation précédente,
renforçant ainsi l’orientation du Royaume visant à assurer l’équité et la
parité dans les postes de décision.
(…) Dotées de
parcours riches et variés, certaines se sont vues attribuer des secteurs
stratégiques, comme le ministère de l’Économie et des Finances et celui de la
Santé et de la Protection sociale.
Laïcité
Mémoires
La Ligue de l'enseignement.
L'inégalité persistante et croissante favorise la
division de la société.
2017
Laïcité – La Ligue de l’enseignement – 2017 :
Y a pas mort d’homme | Épisode 1
En 2021, les violences sexistes et sexuelles restent la norme en politique, malgré le combat pour la parité, l’accession au pouvoir, l’égalité des rapports... La “grande cause du quinquennat” n’en est pas vraiment une.
Mais pourquoi tant d’hommes politiques continuent de se permettre remarques, gestes, et comportements pourtant punis par la loi ?
Tout au long de la campagne présidentielle, la journaliste Hélène Goutany et la collaboratrice d’élu·e·s Fiona Texeire mènent l’enquête.
Dans ce premier épisode, Edith Cresson, première et seule femme à accéder à la fonction de Premier Ministre, témoigne de son expérience très concrète du sexisme rampant et enraciné en politique. Geneviève Fraisse, philosophe du féminisme, apporte son analyse de la situation.
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MeToo politique.
La Parole est difficile à libérer.
metoopolitique-pourquoi-la-parole-peine-a-se-liberer
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MeToo politique.
Témoignage.
Léa Chamboncel.
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MeToo politique.
Témoignage.
Fiona.
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MeToo politique.
Témoignage.
Raphaëlle Rémy-Leleu.
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MeToo politique.
Témoignage.
Mina.
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MeToo politique
"Mythe de l'homme politique séduisant"
C'est Politique
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MeToo politique
"Tous les partis et tous les échelons du pouvoir sont concernés."
C'est Politique
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« Le monde politique est très lent à réagir au mouvement Me too », estime la sénatrice écologiste, Mélanie Vogel.
A l’approche de la présidentielle et des législatives, des femmes politiques et universitaires enjoignent les partis à prendre acte du mouvement #metoo dans Le Monde. Une prise de conscience qu’elles veulent voir traduite par des engagements clairs. Au premier rang : ne pas investir de personne mise en cause pour violences sexistes ou sexuelles.
(…) Avant même le mouvement Metoo, plusieurs affaires étaient venues poser la question des violences sexistes et sexuelles en politique, comme l’affaire DSK ou l’affaire Baupin. Crée en 2016 par un collectif de collaboratrices parlementaires, le site Chair collab mettait également à jour un sexisme décomplexé.
(…) Laurence Rossignol (PS) rappelle, elle, que la question s’est déjà posée lors des précédentes municipales. A Saint-Nazaire, le PS avait par exemple refusé de soutenir le maire sortant qui avait soutenu un de ses adjoints mis en cause pour viol. A Lorient, la tête de liste PS, Bruno Blanchard visé par une accusation de violences conjugales, avait dû renoncer à l’investiture de son parti.
Des décisions qui n’ont pas été prises sans mal.
(…) Chez EELV, une cellule d’écoute a été mise en place et des formations ont été dispensées aux responsables du parti nous indique Mélanie Vogel. « Ce n’est pas parfait, il faut encore améliorer les procédures internes et créer un climat où les personnes se sentent en confiance pour témoigner », estime la sénatrice écologiste.
le-monde-politique-est-tres-lent-a-reagir-au-mouvement-me-too-estime-melanie-vogelDes témoignages de femmes émergent, encore et encore, après la tribune sur le Me too politique.
(…) C’est le cas par exemple d’Emma Salley, animatrice des Jeunes Insoumis et cheffe de File FI Normandie pour les régionales 2021, qui relate un viol alors qu’elle était mineure, “durant un évènement syndical”.
(…) “Un grand escogriffe qui s’est jeté sur moi”.
Une autre femme, Mie Kohiyama, 49 ans et aujourd’hui présidente de l’association MoiAussiAmnesie, accuse nommément le député Jean Lassalle. “Je réitère l’anecdote pathétique d’un grand escogriffe qui s’est jeté sur moi dans un ascenseur au Japon pour m’embrasser de force quand j’étais journaliste. Il est député et s’appelle Jean Lassalle”, écrit-elle.
metoopolitique-apres-la-tribune-des-temoignages-de-femmes-emanentLe Télégramme : Me too en politique : des élues bretonnes témoignent dans Bonjour Bretagne.
285 femmes issues du monde politique ont signé une tribune dans Le Monde pour dénoncer les violences sexistes et sexuelles commises par les hommes politiques. Elles demandent à ce qu’ils soient écartés des mandats et des partis. Deux élues bretonnes signataires témoignent dans Bonjour Bretagne sur Tébéo-Tébésud.
me-too-en-politique-des-elues-bretonnes-temoignent-dans-bonjour-bretagne-«Falbala», «cocotte», «pécheresse»... les femmes maires veulent en finir avec le sexisme.
Insultes, gestes déplacés, propos humiliants… Nous sommes allés à la rencontre des élues municipales, lors du 103e congrès des maires, et le constat est affligeant. Toutes ou presque déclarent subir du sexisme dans l’exercice de leurs fonctions politiques.
Le Parisien.
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Journée internationale contre les violences faites aux femmes :
"Pourquoi demander d'écarter les agresseurs du monde politique ? La clé de voûte qui pourrit notre société, c'est l'impunité. Le silence gouvernemental blesse."
Mélanie Vogel
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NDRL : je ne peux pas donner les noms des hommes qui me harcèlent en politique. Vous les connaîtrez en « négatif »car ils sont interdits sur mon blog. Je ne vais pas leur faire de la pub. Non, mais !
Tribune Inter-orgas « Ensemble contre les violences sexistes et sexuelles dans nos organisations ! »
Dans la perspective de la Journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes, un ensemble d’organisations – partis et syndicats – s’allient pour faire cesser l’impunité au sein de leurs structures. « Nous avons décidé de nous rencontrer, de nous parler, et pour la première fois de travailler ensemble afin de nous rendre plus fort.e.s […] Nous, organisations syndicales et politiques, affirmons que les violences sexistes et sexuelles ne doivent pas trouver de place dans nos structures ».
(…) Nous avons donc décidé de nous rencontrer, de nous parler, et pour la première fois de travailler ensemble afin de nous rendre plus fort·e·s notamment face à trois enjeux majeurs dans notre lutte à l’intérieur de nos organisations :
- La prise en charge des victimes et sa temporalité (syndrome post-traumatique) est un sujet incontournable. L’impact de ces violences sur les femmes est délétère, que ce soit sur leur santé physique ou psychologique ou sur leur place dans nos organisations. L’accès aux soins et à la justice devrait être garanti car trop souvent la difficulté de prise en charge se révèle être un frein réel pour les femmes.
- La mise en place d’actions de prévention et de formation contre les violences sexistes et sexuelles pour établir une culture commune non sexiste dans nos organisations. Dans ce processus, nous avons développé des partenariats avec des associations reconnues de lutte contre les violences faites aux femmes. L’Etat doit soutenir et subventionner les associations féministes engagées dans les luttes contre ces violences.
- L’itinérance des agresseurs : qu’elle soit en interne ou bien d’une organisation à une autre, cette stratégie des agresseurs leur assure à la fois un nouveau « terrain de prédation », d’échapper à la sanction et une continuité de leur impunité ; cette question est donc fondamentale. Nous nous engageons à la résoudre pour parvenir à établir de fait un environnement global sans impunité, de la sécurité et de la confiance pour nos militant·e·s. Être volontariste sur cette problématique nous permettra aussi de visibiliser le problème des « à côté », comme la présence des agresseurs en manifestations, meetings, universités d’été…
tribune-inter-orgas-ensemble-contre-les-violences-sexistes-et-sexuelles-dans-nos-organisations
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NDLR : ça ne m’étonne pas. Les hommes fonctionnent par copinage et se soutiennent entre eux dans les partis politiques. Entre la parole d’un homme et celle d’une femme, les chefs ont vite choisi. Ils protègent leurs lieutenants.
#MeTooPolitique : l'ancienne ministre Aurélie Filipetti affirme avoir été "sanctionnée" pour avoir "refusé des avances" de Jérome Cahuzac.
Aurélie Filipetti était alors députée et Jérome Cahuzac, président de la commission des Finances à l'Assemblée nationale. Elle assure par ailleurs que "François Hollande ne [la] croyait pas".
Stop aux violences sexuelles en politique ! Aucun candidat mis en cause investi !
Nous sommes Mathilde, Hélène, Madeline, Alice et Fiona, nous sommes 5 femmes qui évoluons dans le monde politique à des postes différents.
Nous, élues, collaboratrices, journaliste, militantes, toutes nous avons vu les violences sexistes et sexuelles détruire des femmes dans le milieu politique. Toutes, nous avons assisté à cette omerta des partis face à ces violences.
(..) Toutes les 5 et l'ensemble des signataires demandons trois choses :
- L'engagement des partis à n'investir aucune personne
mise en cause pour violences sexistes ou sexuelles
- L'engagement des personnes habilitées à parrainer à ne donner aucun
parrainage à une personne mise en cause pour violences sexistes ou sexuelles
- L'engagement des partis à ne pas embaucher (équipe de campagne, équipe de
collaborateur.ice.s…) une personne mise en cause pour violences sexistes ou
sexuelles.
stop-aux-violences-sexuelles-en-politique-aucun-candidat-mis-en-cause-investi-metoopolitique
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Une ex-collaboratrice de Jean-Vincent Placé a déposé plainte la semaine dernière contre l'ex-secrétaire d’Etat, l'accusant de harcèlement sexuel entre 2012 et 2016 et une enquête a été ouverte, ont appris l'AFP et Mediapart de source proche du dossier et du parquet de Paris.
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L’ancien sénateur et conseiller régional d’Ile de France avait déjà été condamné pour harcèlement sexuel en mars 2021.
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MeToo politique.
Sexisme en politique : 74% des femmes élues locales le subissent.
Le Parisien.
NDLR : et pendant ce temps, les 26% d’élues restantes laissent les hommes harceler les femmes en ne disant rien, ou en supportant hypocritement les hommes….
"J’ai eu sur ma cuisse la main de mon maire, ça a été normal pour lui, mais pas pour moi. Quand les femmes osent dire qu’elles ne sont pas à l’aise avec ça, les hommes leur répondent : mais tu sais bien je suis tactile"
Peggy Plou
"Quand je me suis entrée en politique, j'ai reçu de nombreuses remarques, dont une qui est revenue systématiquement : Mais votre mari est d’accord ?"
Fabienne Helbig
"Dans l'étude, 88% des remarques et comportements sexistes sont plus souvent le fait d'autres collègues élus. Les élus se permettent énormément de choses."
Quand j’ai commencé mon mandat, j’ai subi ce sexisme, banalisé. “Solène ce n’est pas ton rôle", humiliation en conseil municipal... Régulièrement j’ai dénoncé, mais j’ai obtenu que du silence.
"On est énormément à crier à la violence, et on doit être entendu. On ne doit pas y laisser nos vies, notre santé. Il faut que des personnes interviennent. On a besoin d’être soutenu ! "
Solène Le Monnier
"Précédemment élue, j’ai une longue liste des agressions que j’ai subi. Menaces de mort par téléphone, une tentative d’étranglement, je me suis fais uriner dessus, harceler physiquement..."
"J’ai porté plainte à Lille, Paris 13, et à Montreuil. Je n’ai jamais eu aucune suite à ces plaintes."
Enora Hamon
DH Les Sports
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#MeTooPolitique : pourquoi le chemin vers la fin d'un système hégémonique est encore long.
(…) Se montrer résistantes et transgressives.
Dès lors, les quelques femmes – "hors-normes" – pouvant se montrer résistantes et transgressives en parvenant à se professionnaliser et/ou à perdurer en politique, le savent bien au point que leurs témoignages attestent au-delà des conflits, des affrontements ainsi que des tentatives de marginalisation et d'exclusion dont elles ont été sujettes, de véritables agressions symboliques voire physiques, y compris dans leur propre camp.
(…) Cette situation complexe et éprouvante que des femmes en politique ont souvent vécue, se réfère fréquemment aux agressions et aux insultes à caractère sexiste qui prennent une dimension collective et non individuelle.
(…) L'autre sexe (est, NDLR) jugé "contre-nature" dans la sphère politique et, qui, par conséquent, en est différencié, dévalorisé et infériorisé.
(…) Dès lors, la confrontation indirecte à une femme politique par le biais et avec la complicité d'autres femmes, est de plus en plus encouragée dans la compétition politique, à l'initiative d'opposants masculins qui tentent de ne pas apparaître publiquement sexistes et agressifs envers l'autre sexe.
(…) Violence symbolique, violence verbale voire, moins fréquemment, violences physiques et sexuelles : voilà de quoi est constitué la violence politique que subit grand nombre de femmes réduites à un corps biologique fantasmé, érotisé et stigmatisé.
(…) Dans cette configuration et afin de ne pas être davantage affaiblies, les femmes demeurent dans l'obligation de s'emparer, individuellement et/ou collectivement, de leurs destins (politiques) pour s'imposer malgré un climat de violence qui pourrait, dans la mesure du possible, être contournée à raison de résistances, de mobilisations et d'alliances.
metoopolitique-pourquoi-le-chemin-vers-la-fin-dun-systeme-hegemonique-est-encore-long
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En plein MeToo Politique, des élues locales dénoncent un « paternalisme ambiant ». L’étude des élues locales laisse entrevoir des comportements « systémiques » souvent couverts par un sentiment « d’impunité » des hommes qui les pratiquent.
Courrier des Maires.
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AVFT
Campagne contre les violences sexuelles commises par les élus.
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NDLR : je vous mets la liste des réactionnaires anti féministes. Alain Badiou (déception, NDLR), Philippe Caubère (accusé de viol, NDLR), Brigitte Lahaye (rien de nouveau), etc. Il y a des psychanalistes aussi. Vous saurez chez qui vous irez si vous prenez rendez-vous avec elles et eux.
Tribune
collective : "L'extension de l'idéologi, enace l'édifice
démocratique.
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Parce que la tournure que prend le mouvement #MeToo les inquiète, parce qu’elles estiment que celui-ci « menace notre édifice démocratique », une soixantaine de personnalités ont répondu à l’appel de l’avocate Sophie Obadia et de la philosophe et psychanalyste Sabine Prokhoris.
(…) NOUVELLE JUSTICE « FÉMINISTE »
Une lutte conséquente contre les délits et crimes sexuels, dont s’ensuivent tant de tragédies personnelles, de même que le combat jamais achevé contre le sexisme requièrent un soin extrême apporté à la distinction des atteintes alléguées et/ou subies. Or évoquer pêle-mêle les « violences sexistes et sexuelles » selon une logique de mutualisation d’atteintes de natures différentes, rend cela impossible. Les femmes n’ont rien à gagner à la destruction des distinctions que le droit établit en ces matières, supplantées par le postulat du « continuum des violences sexistes et sexuelles ».
(…) LEXIQUE MILITANT.
En lieu et place des concepts juridiques, de l’effort de précision et de réflexion rationnelle sur un sujet essentiel – les atteintes faites aux femmes, et, à travers elles, à la société tout entière –, un lexique militant envahit l’espace public, infiltrant la quasi-totalité des discours tenus sur ces sujets. Cela jusqu’au sein des institutions – et dans les sphères intellectuelles et culturelles. Il est fait de quelques termes récurrents, un code militant servant à diffuser les idées-force de l’entreprise #MeToo : « prédateur », « féminicide », « victime », « violence systémique », « patriarcat », « traumatisme », « emprise », « sidération », pour en citer quelques-uns.
(…) Signataires :
Martine Bacherich (psychanalyste), Alain Badiou (philosophe), Richard Benatouil (universitaire), Isabelle Bernhard-Lemarchand (professeur agrégé), Peter Bernhard (universitaire), Solange Bied-Charreton (journaliste et écrivain), Daniel Borillo (juriste et universitaire, professeur de droit privé), Éric Brion (expert media), Pascal Bruckner (écrivain), Michèle Bucci (médecin), Anne-Laure Buffet (thérapeute), Marie Burguburu (avocate), Bertrand Burman (avocat), Belinda Cannone (écrivain), Régis de Castelnau (avocat), Philippe Caubère (comédien), Franck Charles (universitaire), Fanny Colin (avocate), Guy Dana (psychiatre et psychanalyste), Jean-Michel Delacomptée (écrivain), Laure Devallois (productrice), Albert Doja (universitaire), Marie Estripeaut-Bourjac (universitaire), Isabel Floch (psychanalyste), Philippe Foussier (journaliste et ancien grand maître du Grand Orient de France), Renée Fregosi (philosophe), Marcel Gauchet (philosophe et historien), Jacques A. Gilbert (universitaire), Christine Goémé (femme de radio), Myriam Harleaux (psychologue clinicienne), Hubert Heckmann (universitaire), Nathalie Heinich (sociologue), Marieme Hélie Lucas (sociologue), Jacques Henric (écrivain), Patrick Kessel (journaliste et essayiste), Catherine Kintzler (philosophe), Rhadija Lamrani-Tissot (psychanalyste et linguiste), Brigitte Lahaie (animatrice radio), Eva Landa (psychanalyste), Fabio Landa (psychanalyste), Rachel Laurent (artiste), Anne-Marie Le Pourhiet (universitaire et professeur de droit public), Élisabeth Lévy (journaliste), Antoine Manologlou (chargé de production), Céline Masson (universitaire et psychanalyste), Odile Mignot (avocate), Catherine Millet (écrivain), David di Nota (écrivain), Sophie Obadia (avocate), Laurent Olivier (conservateur et essayiste), Éric Poindron (éditeur et écrivain), Sabine Prokhoris (philosophe et psychanalyste), Florence Rault (avocate), François Rastier (linguiste), François Regnault (universitaire), Jean-François Révah (psychosociologue), Clélia Richard (avocate), Thierry Roisin (metteur en scène), Peggy Sastre (journaliste et essayiste), Thierry Savatier (historien d’art), Dominique Schnapper (membre honoraire du Conseil constitutionnel), Jean-Éric Schoettl (conseiller d’État et ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel), Antoine Spire (président du PEN club français), Jean Slazmowicz (linguiste et universitaire), Isabelle Vodoz (universitaire), Caroline Wasserman (avocate).
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5% des femmes élues en France disent avoir déjà été confrontées à des remarques ou comportements sexistes. Une femme sur trois a déjà pensé à abandonner la politique pour cette raison. Illustration en Indre-et-Loire.
Sexisme en politique : des femmes élues d'Indre-et-Loire disent stop
Le sexisme s'immisce décidément dans chaque pan de la société. La politique n'y échappe pas. En Indre-et-Loire, des femmes élues veulent changer les mentalités. Elles s'organisent en réseau pour être mieux armées face à des comportements déplacés.
(…) Elles parlent notamment d'interruptions lors de prises de paroles, de blagues dévalorisantes, de comportements paternalistes, de leur parole qui n'est pas prise au sérieux. Il est par exemple question d'un conseil municipal où le maire déclare trouver agréables les conseils du mois de juillet car les femmes élues sont toutes en jupe ou en robe.
(…) Elle appelle donc ces femmes élues à rejoindre son réseau transpartisan pour être plus armées face à ce type de comportements. Celles-ci peuvent prendre contact sur la page Facebook du réseau Elues locales 37. Pour l'instant, une soixantaine de femmes y sont inscrites.
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MeToo politique.
PROPOS SEXISTES ET MÉPRISANTS du Maire à l'encontre d'une conseillère municipale Malgré une demande réitérée Frédéric Lafforgue, Maire de Castelnau le Lez, Vice-Président de Montpellier Méditerranée Métropole et conseiller Régional, a refusé de s'excuser.
Ensemble pour Castelnau.
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NDLR : il y a surtout un décalage entre la vision des politiques qui sont restés bloqués dans leur discours, et le niveau de questions posées par la société civile, questions auxquelles ils ne répondent pas, ou à côté.
MeToo.
Alors que les Droits des femmes devaient être la « grande cause du quinquennat », ils n’ont pas été au cœur des préoccupations politiques. Une illustration du décalage constant du gouvernement français entre les annonces et les actions mises en œuvre.
Libération.
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MeToo politique : l'ex-cheffe de cabinet de Grégory Doucet témoigne.
Ninon Guinel, directrice de campagne de Grégory Doucet puis cheffe de cabinet à la mairie de Lyon pendant un an et demi, a choisi de prendre la parole avec le mouvement #MeTooPolitique en dénonçant des faits d'agression sexuelle qu'elle a subis lorsqu'elle était assistante parlementaire au Sénat.
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"C'est un phénomène de société avec un consensus sur des relations perverties entre hommes et femmes, et qui permet que les hommes se maintiennent au pouvoir"
Reine Prat
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Sandrine Rousseau harcelée.
Elle ne peut plus prendre publiquement la parole sans que suive une vague de harcèlement, notamment venue de l’extrême droite qui en a fait l’une de ses cibles privilégiées. Sandrine Rousseau, députée EELV et figure du mouvement écoféministe, en a encore fait l’amère expérience, après avoir, le week-end dernier, affirmé que le barbecue était un « symbole de virilité ». Depuis, c’est un déchaînement de remarques et d’injures sexistes sur les réseaux sociaux et sur les plateaux de télévision, visant à la décrédibiliser.
(…) Mais aussi à son physique, et particulièrement ses dents. Que l’on soit d’accord avec ce que défend Sandrine Rousseau ou non, personne ne peut cautionner ce qu’elle subit.
Peut-on en
finir avec le virilisme en politique ?
(…)
Une certaine masculinité synonyme de pouvoir.
La politique reste un monde masculin. Si la place des
femmes y a évolué positivement, celles-ci sont généralement encore minoritaires,
d’autant plus aux positions les plus importantes (présidentes, Premières
ministres, présidentes de parti, etc.), en France et ailleurs dans le monde.
(…) Cette forme de
leadership est incarnée de façon très stéréotypée par certains leaders
nationaux-populistes comme le président brésilien Jair Bolsonaro ou l’ancien
président des États-Unis Donald Trump, mais aussi par Vladimir Poutine qui
n’hésite pas à se mettre en scène lors de séances sportives intensives ou
d’exercices militaires.
(…) Ce constat est
poussé à son paroxysme chez une figure comme celle d’Eric Zemmour, connu pour ses propos misogynes et mis en cause dans des dossiers de
violences sexuelles. Le candidat à la
présidentielle estime notamment que la violence serait inhérente aux rapports
sexuels et dénonce une « dévirilisation » de la société qu’il associe
à une perte de stature de la nation française.
(…) Par exemple,
Bolsonaro et Trump ont cultivé l’image de l’homme fort, invulnérable et viril,
en se rendant à des manifestations sans respecter les gestes barrières.
(…) Lorsqu’elles se
présentent sous des traits socialement perçus comme « féminins »
(douceur, qualité d’écoute), elles sont considérées comme incompétentes car
trop en décalage avec la sphère politique. Néanmoins, lorsqu’elles adoptent des
postures plus « masculines », on leur reproche de trahir leur
féminité.
(…) Or, durant la crise du Covid-19, ce sont les qualités liées au care qui ont été
particulièrement appréciées chez les leaders politiques qui les ont mobilisées.
(…) Le
présidentialisme tel qu’il est pratiqué sous la Ve République
promeut la figure du leader tout puissant, ce qui laisse peu de place au
développement d’un leadership plus coopératif.
(…) D’abord, les femmes
politiques ne constituent pas un groupe homogène. Leurs profils sont diversifiés, marqués par des
caractéristiques, des parcours politiques et des préférences idéologiques
variés.
(…) L’objectif est
plutôt d’interroger les conditions de possibilité, tant chez les hommes que chez
les femmes politiques, d’un leadership moins dominateur, qui ne valorise pas
uniquement un mode « viriliste » de gouvernance.
(…) Une réflexion sur
la responsabilité collective des acteurs et actrices du champ et sur le rôle
des institutions est indispensable pour penser les dynamiques à l’œuvre.
peut-on-en-finir-avec-le-virilisme-en-politique
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Graph
Paris
"Oui, je prends mon temps".
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Violences
sexuelles: "En politique, c'est l'exemplarité qui doit s'appliquer",
pour Violaine de Filippis-Abate (avocate et porte-parole d'Osez le féminisme!)
BFMTv
07 23
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En politique
Metoo en France. Violences digitales, sexistes et sexuelles, à tous les échelons, dans tous les partis.
En Belgique, le mouvement n'a pas pris.
11 23
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« Au
revoir Simone » de Léa Chamboncel.
Il était une fois, dans la France des années 2020, une
mère, Simone, et sa fille, Monica, qui partageaient un seul et même rêve :
vivre dans un monde plus juste, qui ne serait plus fondé sur l'exploitation et
l'oppression. (Google Books).
Manifeste pour un féminisme politique et
révolutionnaire. (Fnac).
Editorialiste dans plusieurs médias, elle est aussi la
première podcasteuse politique. (Lisez !).
Elle récidive avec son second ouvrage intitulé Au revoir, Simone !. Léa Chamboncel réside à Paris où elle poursuit ses activités. (ActuaLitté).
C’est l'histoire de Simone, grièvement blessée au cours d'une manifestation pour le droit à l'avortement, et de sa fille Monica. (Librairie Mollat Bordeaux).
03 24
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Femmes
Droit de vote
Repères dans le monde.
1893 - Nouvelle-Zélande.
La Marseillaise
04 24
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Droit de vote des femmes.
Ne pas confondre avec l'émancipation.
Mariette Sineau, politologue.
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