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La partie de cartes à Nîmes
Les coordonnées
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Marcel Pagnol
« La partie de cartes » en santons.
La Marseillaise.
Quel jeu de carte dans Pagnol ?
MANILLE, jeu.
Immortalisée par la célèbre partie
de cartes du Marius de Pagnol (1929), la manille est un jeu d'origine ibérique resté populaire
dans de nombreuses régions de France, particulièrement dans le Nord et dans le
grand Sud-Ouest. (Universalis).
Tu as dit : « Il nous fend le
cœur » pour lui faire comprendre que je coupe à cœur. Et alors il joue cœur,
parbleu ! Tiens, les voilà tes cartes. »
(Parbleu).
Il est 9 heures du soir. Dans
le petit café, Escartefigue, Panisse, César et M.Brun sont assis autour d'une
table. (E monsite).
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Georges de la Tour
Le tricheur à l’as de trèfle.
1634
Louvre
In a bordello, a standing maidservant hands a full glass to the Madam
who is plying the unsuspecting young aristocrat with wine, as the cardsharp at
L prepares to fleece him by playing.
Dans un bordel, une servante debout tend un verre plein à la Madame qui fait boire du vin au jeune
aristocrate sans méfiance à droite, tandis que l’homme de gauche se prépare à l'escroquer en jouant.
Le jeune homme est ici soumis aux trois
tentations majeures selon la morale du XVIIe siècle : le jeu, le vin, la luxure.
La situation paraît assez claire. Le jeune
homme attiré dans le jeu par la courtisane qui ne manque pas d’atouts, est
enivré et va être dépouillé par l’homme de gauche.
(Ciné club de Caen).
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Page
197. Raimu, fétichiste des pieds :
« C’est grâce à Marie Bell que Raimu entra à la Comédie Française en 1943. (…) Elle m’avoua (= Marie Bell à Jean-Claude Brialy, NDLR) que Raimu était un véritable fétichiste des pieds de femme, et quand elle voulait lui faire plaisir elle envoyait valser sa chaussure et lui présentait son pied. Ca le rendait littéralement fou de joie ! »
Jean-Claude Brialy
Le Ruisseau des Singes
Autobiographie
Robert Laffont – 2000
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Page 71 : Raimu :
Il a joué avec Raimu au théâtre, dans le Malade Imaginaire. « Il portait en lui une naïveté enfantine et un puissant orgueil qui l’ont souvent rendu sublime, mais qui, à mon sens, l’ont souvent empêché d’atteindre le génie de Harry Baur ». Il a adoré Harry Baur car il a « tout inventé tout en gardant sa personnalité ».
Michel Serrault
…vous avez dit Serrault ?
Edition Florent Massot – 2001
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Lire aussi:la-gloire-de-mon-pere
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