Yves Salgues
James Dean ou le mal de vivre
Le vrai James Dean, épris d’absolu, avide de tendresse et amoureux de la vie.
Société nouvelle des Editions. 1957
Mort et représentation :
page 15
dessins d’avions brisés, cercueils de verre, tête de mort, tibias croisés.
Page 46 :
Les américains voient grands pour leurs morts et leurs âmes, en créant des tombes de 150 à 200 m2.
Page 25 :
Il acquiert sa nouvelle Porsche en 1955. Elle deviendra le jouet de sa mort.
Difficultueuse ? C’est un nouveau mot…Page 62, James Dean se casse les dents en adoptant une position difficultueuse sur un trapèze. NDLR: Il savait que son père pourrait les remplacer….
Tendresser, Lanzmann en invente un autre aussi dans le Lama bleu.
Page 29 :
Le père était mécanicien dentiste. Il devait créer des dents, pivots, appareils dentaires.
Elisabeth Taylor critique Christian Dior qui aime les femmes sans seins.
Page 51 :
La mère de James Dean a eu le cancer du poumon que l’on ne sait pas soigner dans les années 1940- 1950. Des charlatans lui feront appliquer des plaques de radium sur les poumons. Ca fait froid dans le dos.
Page 140 :
Il est entouré de beaucoup de personnes, mais James Dean se sent de plus en plus seul, après sa déception amoureuse de 1954. C’est la pire des solitudes.
Page 80 :
Il démarre sa carrière brillamment. James Whitmore, acteur, l’introduisit à l’Actor Studio de Kazan.
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