Grégoire de Tours - L’Histoire des rois Francs - N – Ingonde.

 

Grégoire de Tours

538 - 594

L’Histoire des rois Francs.

Editions Gallimard – 1968 (traduction française) 

 

Bruges 

Mascaron de visage féminin.

N – Ingonde.

 

Ingonde est la fille de Sigebert et de Brunehault.

Elle est mariée à Herménégild, fils du roi Visigoth arien, Leuvigild. Elle est catholique et convertit son mari.

En Espagne, Ingonde est emprisonnée par les Grecs de Constantinople.

P 168

Chilpéric a un fils, le futur Clotaire II.

 

Ingonde est la fille de Sigebert I^er, roi franc du royaume de Metz, et de Brunehaut, qui est une princesse d'origine wisigothe, étant la fille du roi Athanagilde et de Goswinthe, mariée en secondes noces au roi Léovigild. Le mariage de Sigebert et de Brunehaut a lieu en 566, et Ingonde naît un peu plus tard. (Wikipédia).

Du mariage de Brunehaut et Sigebert naîtront trois enfants : les princesses Ingonde et Clodoswinthe, et le prince Childebert. (L’Histoire par les femmes).

Née après 565, fille de Sigebert Ier et de Brunehaut, roi et reine d'Austrasie, Ingonde est envoyée en Espagne. d'où était originaire sa mère, pour être mariée en 579 à Herménégild, fils aîné du roi wisigoth d'Espagne, Léovigild. (Siefar).

La belle Ingonde, de la lignée mérovingienne, et attachée à la foi orthodoxe, passa, à l'âge de treize ans, à la cour arienne de Tolède où elle fut reçue; aimée (Roma latina).

 

Bien qu'arien, comme tous les Wisigoths, Herménégilde épouse en 579 une fille de Sigebert et de Brunehaut, roi et reine des Francs, la princesse Ingonthe.

Vers 579, elle est mariée à Herménégild, fils de Léovigild et beau-fils de Goswinthe. Élevée dans la religion catholique que pratiquent les Francs.

(Wikipédia).

 

Ingonde a été présentée par certains historiens comme une reine convertisseuse, associée à l'évêque Léandre de Séville. (Siefar).

Ingonde parvint à convertir son mari à la foi catholique. Léovigilde, irrité, poursuivit son fils. (WordPress).

L'arien Herménégild s'était certes converti à la foi catholique, mais c'était bien après le début de sa révolte. (Cairn).

Elle fit plus ; elle convertit son mari à la foi catholique, et elle prépara la conversion de son peuple.  (Méditerranée antique).

 

Néanmoins, Léovigild l'emporte assez facilement : Herménégild fait prisonnier, il est envoyé à Tarragone tandis qu'Ingonde est déportée à Carthage. (Wikipédia).

Abandonné par Byzance, Herménégild n'en continua pas moins la lutte. Il se réfugia à Cordoue, mais sur ses pas, son père avançait.

Ils avaient soin pourtant de garder en otage et de transporter à Constantinople sa femme Ingonde et son fils Atha-nagild. 

(Persée).

 

 

Ingonde tombe aux mains de l’empereur de Constantinople. Elle meurt en « Afrique ».

Son mari, Herménégild meurt sur ordre de son père Leuvigild.

P 221

On parle encore des Gaules !

Ingonde meurt peu après à Carthage. Quatre ans après la mort d'Ingonde, le nouveau roi wisigoth Récarède fera du catholicisme la seule religion officielle du pays. (Wikipédia).

Ingonde, restée veuve à 18 ans, mourra quelques mois plus tard à Palerme, hôte forcée d’un pouvoir byzantin toujours désireux de s’assurer des pions dans son jeu de stratégie compliqué de reconquête de l’Europe. (Aleteia).

 

Herménégilde ou Hermangild (San Hermenegildo en Espagne), né vers 560, mort le 13 avril 585 , est un prince wisigoth du VI siècle. (Wikipédia).

Léovigild, considéré par les Espagnols comme le premier « Unificador Nacional », meurt dans le palais royal de Tolède entre le 13 avril et le 8 mai 586. (Wikipédia).

Un peu avant Pâques 586, le 13 avril, exaspéré, le roi Léovigild, sous la coupe de la terrible Goïswinthe, fait finalement décapiter son aîné. (Aleteia).

Plus tard, en 586, Herménegild fut mis à mort dans Tarragone par l'ordre de son père. (Wikipédia).

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Les femmes de l’Eglise catholique appelées à se mettre en grève pendant le carême.

Une association américaine a lancé le mouvement intitulé "Catholic Women Strike" qui est suivi à l’international des associations féministes catholiques.

Durant le carême, qui s’étend du 5 mars au 12 avril, les femmes de l’Église catholique sont appelées à faire grève afin de mettre en lumière leur travail et leur implication dans les paroisses, sans toutefois avoir accès aux fonctions principales. L’objectif est de témoigner de leur importance au sein de l’église grâce à leur absence durant ce carême.

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