LGBT
Orlando,
en Floride, qui rendait hommage aux victimes de la fusillade de la boîte de
nuit Pulse.
L'attentat du 12 juin 2016 à
Orlando est une tuerie de masse par fusillade perpétrée à Orlando, en Floride
(États-Unis), dans la boîte de nuit LGBT le Pulse (en). (Wikipedia).
Ron DeSantis, le gouverneur de
la Floride, a décidé d’effacer le passage piéton en hommage aux victimes de la tuerie de Pulse en 2016. (Paris Match).
Près de 50 000 personnes ont
assisté à la veillée dans cette ville de Floride pour rendre hommage aux 49 victimes du Pulse, la boîte de nuit LGBT.
(Le Monde).
Volunteers used
colorful chalk to restore a rainbow crosswalk in
Des bénévoles ont utilisé des craies colorées
pour restaurer un passage piéton arc-en-ciel à Orlando, en Floride, qui rendait
hommage aux victimes de la fusillade de la boîte de nuit Pulse.
LGBTQIA
Choisy-le-Roi
Quatre
corps dans la Seine
Migrants
et homosexuels réfugiés dans les squats.
Quatre corps ont été retrouvés dans la
Seine à Choisy-le-Roi; un suspect SDF/environ vingt ans a
été mis en examen pour les meurtres et la
piste homophobe est privilégiée, avec une mobilisation
de Stop Homophobie et une enquête en cours, sans confirmation
officielle sur des liens avec des migrants/refugiés ou des squats.
(Euronews).
Après la mise en examen et le
placement en détention provisoire du principal suspect dans l'enquête sur la
découverte de quatre corps dans la Seine, l'association STOP homophobie
réagit. (France 3 régions).
Un jeune homme sans-abri a été
mis en examen puis incarcéré pour quatre meurtres dans l'enquête concernant les quatre corps retrouvés le 13 août dans la Seine. (La
Montagne).
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SDF – Belgique :
"Petit rempart" d'Ève Duchemin : "Je pensais faire un film sur la précarité des femmes. En fait c’est un film sur la violence masculine".
Avec "Petit Rempart", la réalisatrice Ève Duchemin signe une immersion rare dans un centre d’hébergement d’urgence pour femmes. Derrière la précarité, elle découvre une autre réalité : celle des violences masculines qui précipitent tant de vies dans la rue.
(…) Cette organisation stricte pèse d’autant plus que beaucoup arrivent sans papiers, sans ressources, parfois seulement avec un téléphone, et doivent tout reconstruire — identité, logement, liens avec le monde extérieur. Une réalité qui met en lumière la fragilité d’un système d’aide déjà saturé : "Il n’y a pas assez de lits pour toutes ces femmes malmenées dehors", souligne Ève Duchemin.
Dans ce contexte, une question demeure : comment assurer une protection suffisante tout en respectant la dignité et l’autonomie de celles qui sont accueillies ?
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