Journée
mondiale du droit à l’avortement: « Chaque femme doit pouvoir le faire
gratuitement »
À l’occasion de la
Journée mondiale pour le droit à l’avortement, l’antenne ligérienne d’Osez le
féminisme avait organisé, dimanche en fin de matinée, une rencontre, place
Jean-Jaurès à Saint-Étienne.
(…) Mais la militante estime « qu’il était
important d’être là aujourd’hui pour continuer d’affirmer que chaque femme doit
pouvoir avorter dans des conditions sécuritaires et gratuitement quand on sait
que dans le monde, 75 000 femmes meurent chaque année en se faisant
avorter, ce qui représente plus que la population de Roanne, Firminy et
Montbrison réunis ».
Le Progrès.
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Avortement aux États-Unis : des femmes brisent le silence et attaquent le Texas en justice.
Le 24 juin 2022, la Cour suprême des États-Unis a renversé l’arrêt emblématique Roe v. Wade de 1973, qui consacrait le droit constitutionnel à l’avortement. Depuis cette décision, chaque État est libre de légiférer sur la question. Le Texas a rapidement adopté l’une des lois les plus strictes, interdisant l’avortement dès la détection des battements cardiaques du fœtus. Le documentaire Zurawski v. Texas, réalisé par Maisie Crow et Abbie Perrault, retrace une affaire judiciaire marquante dans laquelle des femmes, directement touchées par cette législation, poursuivent l’État du Texas en justice. Ce film poignant met en lumière les conséquences humaines de cette loi et le combat de ces femmes pour faire entendre leur voix.
(…) En juin 2025, son administration a révoqué une directive fédérale mise en place par Joe Biden, qui obligeait les hôpitaux à pratiquer des avortements en cas d’urgence médicale, même dans les États où l’avortement est interdit. Cette directive s’appuyait sur la loi EMTALA, qui garantit des soins stabilisants à tout patient en situation critique. Désormais, cette protection n’est plus assurée, et les médecins se retrouvent dans une zone floue juridique, souvent contraints de laisser les patientes sans soins, au risque de leur vie. Le documentaire illustre les conséquences humaines de ces décisions politiques, à travers les témoignages de femmes qui ont vécu l’indicible.
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Avortement
Emile Duport
Condamnation
Progressif media lié à V Bolloré
Contre Reporters sans frontières et Louis Boyard.
Progressif Media est sous l'influence de Vivendi, le groupe de Vincent Bolloré. Bien que Vivendi ait nié toute connaissance des pratiques illégales attribuées à Progressif Media, des liens étroits existent entre la société et le groupe Bolloré. Émile Duport, le dirigeant de Progressif Media, est décrit comme aligné sur la vision réactionnaire de Vincent Bolloré.
Les actions de Progressif Media contre RSF ont été largement condamnées. RSF a rapporté avoir reçu une augmentation significative de messages d'insultes et de haine, attribués à la campagne de discrédit menée par Progressif Media. Ces actions ont été qualifiées de « vastes campagnes de discrédit » par l'ONG.
Cyril Hanouna, animateur de télévision et proche de Vincent Bolloré, a été condamné à 4 000 euros d'amende pour avoir injurié le député LFI Louis Boyard. Lors d'une altercation télévisée, Hanouna avait tenu des propos insultants envers Boyard, qualifiés par le tribunal de "attaques ad hominem". Cette affaire a suscité des réactions dans le monde politique et médiatique, avec des accusations de censure et de manipulation de l'information.
Louis Boyard a critiqué les méthodes de Vincent Bolloré, qu'il accuse de censure et de manipulation médiatique. Boyard a demandé une enquête parlementaire sur les pratiques de Bolloré, estimant qu'elles visent à museler les critiques envers le milliardaire.
(Qwant).
Émile Duport, figure du mouvement pro-vie Les Survivants, a été condamné par le tribunal judiciaire de Paris pour avoir collé des stickers anti-IVG sur des Vélib. (Famille chrétienne).
----------------2025:
Avortement : la Pologne condamnée pour avoir violé les droits d’une femme venue avorter aux Pays-Bas.
Une chambre de la Cour européenne des droits de l’homme a estimé jeudi que la Pologne a bien violé les droits d’une de ses citoyennes, partie aux Pays-Bas pour avorter d’un fœtus porteur d’une maladie génétique.
(…) Pour la requérante, enceinte de 15 semaines au moment de l’annonce de la Cour constitutionnelle, la situation était particulièrement problématique. Ce que la Cour européenne des droits de l’homme reconnaît dans son arrêt de jeudi.
La Pologne est condamnée à verser à la requérante 15.000 euros pour dommage moral, en plus de 1495 euros de dédommagement matériel.
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