https://retraitbaseeleves.
NON au fichage généralisé des élèves !
NON au déterminisme et au contrôle social !
NON au formatage pédagogique !
NON à un outil chronophage et à la logique du management dans l’éducation !
Depuis quelques jours, plusieurs syndicats enseignants et le collectif isérois pour le retrait de Base élèves (CIRBE) appellent :
– au boycott du Livret scolaire unique numérique (LSUN) pour toutes les classes
– à ne remplir que le minimum pour les classes de 3ème dans l’intérêt des élèves (pour le brevet et l’orientation),
– à s’informer et informer les parents d’élèves sur les dangers du LSUN,
– à agir le plus collectivement possible afin de construire un rapport de force faisant échec à ce dispositif dangereux,
– à profiter de la mise en place chaotique de cette année pour agir afin d’obtenir le retrait de ce fichier.
Notre collectif se joint aujourd’hui à cet appel.
Nous invitons également toutes les organisations locales, départementales, régionales ou nationales (syndicat enseignant, fédération de parents d’élèves, association…) qui le souhaitent, à nous contacter pour signer et relayer cet appel au plus vite dans toute la France, ainsi qu’à utiliser et diffuser les nombreux outils (tracts, courriers, pétitions…) déjà proposés sur notre site pour s’opposer au LSUN.
En effet, des informations récentes détaillées dans le communiqué ci-dessous, suscitent toute notre inquiétude.
Le CNRBE
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Liens et documents à télécharger :
- Appel au boycott du LSUN lancé en mai 2017 par les syndicats enseignants et le CIRBE en Isère (tract 2 pages) : Proposition tract inter LSUN-V5(1) <https://retraitbaseeleves.
files.wordpress.com/2008/06/ proposition-tract-inter-lsun- v51.pdf>
Organisations signataires (mise à jour du 27 mai 2017) : CIRBE, CGT Educ’action 38, CNT 38, Ecole Emancipée, PAS-UDAS 38, SUD Education Grenoble, IDEM, CNRBE.
- Communiqué du CNRBE du 27 mai 2017 sous format pdf (5 pages) : communiqué_cnrbe_lsun_27 mai 2017 <https://retraitbaseeleves.
files.wordpress.com/2017/05/ communiquc3a9_cnrbe_lsun_27- mai-2017.pdf> - Tracts et modèles de lettres pour dire Non au livret scolaire numérique : https://retraitbaseeleves.
wordpress.com/2017/01/20/docs- tracts-et-lettres-non-lsun - Pétition contre le LSUN (à
signer en ligne et faire tourner dans vos réseaux) : Faux livret, vrai
fichier : retrait total du Livret scolaire numérique <https://www.change.org/p/
cnrbe-paris-faux-livret-vrai- fichier-retrait-total-du- livret-scolaire-num%C3%A9rique >
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Communiqué du CNRBE du 27 mai 2017
Le 3 mai 2017, une réunion intersyndicale sur le livret scolaire unique numérique (LSUN) a été organisée en Isère, à la Bourse du travail de Grenoble. A l’issue de cette réunion, plusieurs syndicats enseignants et le collectif isérois pour le retrait de Base élèves (CIRBE) ont décidé de réagir au plus vite, en appelant au boycott du livret scolaire unique numérique (LSUN).
Un fichage illégal…
En effet, de nombreux enseignants du 1er et du 2d degré sont actuellement sommés par leur hiérarchie de remplir ce fichier liberticide dans toutes les écoles et collèges de ce département, et ce sans aucune information aux parents.
Dans toute la France, les chefs d’établissements de la maternelle au collège ont pourtant reçu de la part du ministère de l’éducation nationale, une brochure d’information relative à ce nouveau dispositif, prévue pour être diffusée aux parents d’élèves. Or fin avril, alors même que de nombreux enseignants ont commencé de remplir le LSUN et doivent continuer de le faire, il a été recommandé à tous les directeurs d’écoles et principaux de collèges de sursoir à la diffusion de cette brochure.
Pourquoi ? Tout simplement parce que ce fichier n’est pas conforme à la loi informatique et liberté. En effet, ainsi que les chefs d’établissements du 1er et du 2d degré en ont été avertis par leur hiérarchie, les modalités de mise en oeuvre et de consultation du LSUN n’ont pas encore été validées par la CNIL ! L’avis de la CNIL n’aura aucune incidence d’ailleurs, puisque la modification de la loi informatique et liberté en 2004, lui a enlevé tout pouvoir en la matière.
En raison du « retard » de la CNIL, le ministère se trouve cependant dans une situation ubuesque, puisque les écoles n’ont toujours pas reçu les codes d’accès qu’elles doivent donner aux parents, pour leur permettre de consulter en ligne les bulletins périodiques de leurs enfants : les directeurs et les enseignants sont donc incapables de répondre à leurs demandes à ce sujet, comme dénoncé il y a quelques jours par le syndicat enseignant UNSA (dans un article mis en ligne le 9 mai 2017).
Mais cette situation n’est pas seulement ubuesque : en n’informant pas les parents d’élèves, le ministère de l’éducation nationale s’enfonce un peu plus dans l’illégalité. Il n’en est d’ailleurs pas à son premier coup d’essai ! Des milliers de plaintes de parents d’élèves, jugées fondées, ont déjà été déposées dans toute la France entre 2009 et 2010 contre le fichier Base élèves, suite auxquelles un « rappel à la loi » a été adressé le 7 juillet 2010 à la Directrice des affaires juridiques du ministère de l’Éducation nationale : l’infraction était donc avérée.
Le 19 juillet 2010, le Conseil d’Etat a lui aussi reconnu l’illégalité de Base élèves, accordant toutefois un délai de trois mois au ministère pour rendre ce fichier conforme à la loi informatique et libertés du 6 janvier 1978, permettant ainsi au ministère de régulariser la situation après-coup.
Le droit d’opposition, une simple illusion…
Le Conseil d’Etat a également rétabli le droit de s’opposer, pour des motifs légitimes, à l’enregistrement de données personnelles dans le fichier Base élèves. Mais les familles sont rarement informées de ce droit et toutes les demandes en ce sens sont systématiquement rejetées, aucun motif n’ayant été considéré comme « légitime » par l’administration, à ce jour. Il est donc illusoire de penser que les parents pourront s’opposer à l’enregistrement de données personnelles concernant leurs enfants dans le LSUN.
De nouvelles inquiétudes concernant la sécurité et l’intégrité des données…
Dans son jugement du 7 juillet 2010, le Parquet de Paris – auprès duquel plusieurs milliers de plaintes de parents concernant Base élèves avaient été centralisées en quelques mois seulement – avait décidé de ne pas retenir l’infraction concernant l’obligation de préserver la sécurité et l’intégrité des données enregistrées dans ce fichier, au motif suivant : « En ce qui concerne l’obligation de préserver la sécurité et l’intégrité des données, les plaignants font principalement référence au défaut de mise en place, par le ministère de l’éducation nationale, d’un dispositif technique « d’authentification forte » pourtant déclaré à la CNIL et supposé s écuriser les accès au fichier Base élèves. Les procédures d’authentification initialement mises en oeuvre en 2004 avaient en effet échoué en raison de leur complexité, aboutissant à une faille de sécurité importante apparue en 2007. Le nouveau dispositif technologique, fondé sur une identification par mot de passe unique pour chaque connexion à l’application, devait être généralisé en 2008. Dès lors que le ministère de l’éducation nationale, particulièrement sollicité par la CNIL sur ce point, a toujours manifesté sa préoccupation de sécuriser les données collectées, les insuffisances et difficultés rencontrées ne sauraient caractériser le délit considéré, à défaut d’intention pénale du responsable du traitement. » Or, aucun dispositif d’authentification forte n’est prévu par le ministère concernant l’accès au LSUN : il s’agit donc là, à l’évidence, d’une nouvelle infraction à la loi informatique et liberté !
De plus, malgré la généralisation des clefs OTP (One Time Password) utilisées pour sécuriser son accès, plusieurs nouvelles failles de sécurité ont été dévoilées depuis concernant le fichier Base élèves, démontrant l’incompétence du ministère de l’éducation nationale à préserver la sécurité et l’intégrité des informations rassemblées dans ses bases de données sur les élèves.
Encore plus grave, le ministère s’apprête à mettre les bases de données scolaires à disposition des GAFAM (Google, Appel, Facebook, Amazon, Microsoft et autres géants du web), comme l’autorise explicitement un courrier explosif de M. Jeandreau, délégué au numérique éducatif, envoyé le 12 mai 2017 aux délégués académiques au numérique (DAN) et aux directeurs des services informatiques (mis en ligne par le Café Pédagogique le 16 mai 2017) et ce, dans un vide juridique total ouvrant la porte à la commercialisation des données scolaires et au profilage des élèves par des sociétés privées (assureurs, recruteurs…), comme s’en inquiétait récemment la présidente de la CNIL elle-même (dans une interview mise en ligne par l’Etudiant le 26 avril 2 017) !
Les droits des enfants ne sont toujours pas respectés…
Ni Base élèves depuis sa création en 2004, ni le LSUN obligatoire du CP à la 3ème depuis la rentrée 2016, ne respectent non plus la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE).
Alerté par le collectif national de résistance à Base élèves (CNRBE), le Comité des droits de l’enfant des Nations Unies a pourtant adressé en juin 2009 des recommandations précises à la France concernant le fichage des enfants dans le cadre de la vie scolaire, en vain. Lors de son audition à Genève en janvier 2016, le Comité des droits de l’enfant a une nouvelle fois reproché ce fichage à la France et lui a adressé de nouvelles recommandations à ce sujet (observations finales 36 et 37 du Comité relatives au respect de la vie privée, publiées le 23 février 2016) :
« 36. Le Comité reste préoccupé par la multiplicité des bases de données destinées à recueillir, stocker et utiliser les données personnelles d’enfants sur de longues périodes ainsi que par le fait que les enfants et leurs parents ne sont pas suffisamment informés, par les autorités éducatives, de leur droit de s’opposer à l’enregistrement de données personnelles, ou d’accéder à ces données, de les modifier ou de les supprimer.
37. Le Comité recommande une fois de plus à l’Étatpartie de ne saisir dans les bases de données que des renseignements personnels anonymes (voir CRC/C/ FRA/CO/4 et Corr.1, par. 21). Il lui recommande également d’adopter les mesures nécessaires pour que les enfants et leurs parents soient dûment informés de leur droit de s’opposer à l’enregistrement de données personnelles ainsi que d’accéder à ces données, de les rectifier ou de les supprimer. »
Aucune des recommandations du Comité n’a été prise en compte par la France à ce jour. Mais comment s’en étonner puisque le ministère ne considère pas les données saisies dans le LSUN comme des données personnelles, comme en témoigne cette réponse stupéfiante de Mme Pétreault (représentant le ministère de l’éducation nationale) au Comité, lors de l’audition de la France à Genève en janvier 2016, à propos du livret scolaire numérique : « […] Le livret numérique permet de voir, de suivre la scolarité de l’élève sur la maîtrise des compétences par rapport au socle commun. Mais ce n’est pas du tout un livret avec des données personnelles, c’est simplement sur la maîtrise des compétences. » […]
Les données « liberticides » retirées de Base élèves en 2008 réapparaissent dans le LSUN, mais pas seulement…
La plupart des données liberticides retirées du fichier Base élèves en 2008 (compétences, résultats scolaires, comportement, assiduité — ainsi que des éléments d’ordre médical, relatifs à l’origine des élèves ou sur le handicap) réapparaissent dans le LSUN.
De nouvelles évolutions de Base élèves complètent le tableau :
- L’arrêté de création du fichier Base élèves du 20 octobre 2008 a une nouvelle fois été modifié, le 13 janvier 2017 :
– Base élèves est remplacé par « ONDE » (Outil Numérique pour la Direction d’Ecole)
– La profession et la catégorie-socio-professionnelle des parents, qui avaient été retirées de Base élèves en 2008, réapparaissent dans ONDE.
– Les langues étrangères étudiées seront également renseignées dans ONDE, y compris le français langue étrangère (FLE) réservé aux élèves allophones nouvellement arrivants, ainsi que les enseignements de culture et de langue d’origine (ELCO) réservés aux enfants de travailleurs migrants. Cette information peut donc se révéler particulièrement sensible. La langue et la culture d’origine avaient d’ailleurs été retirées de Base élèves en 2008, pour cette raison.
– Le caractère facultatif du recueil de certaines données disparaît. Toutes les données recueillies par le biais de la fiche de renseignement remplie par les parents à chaque rentrée scolaire seront donc dorénavant obligatoires.
– Pour la première fois, le droit d’opposition est clairement spécifié. Mais ce droit n’est accordé qu’en cas de « motifs légitimes », ce qui le rend totalement illusoire, comme vu plus haut.
- D’autres évolutions importantes
ont également été évoquées par le syndicat enseignant UNSA-01 en
décembre 2016, suite à une réunion de travail avec le ministère :
– Les échanges entre l’Éducation nationale et les mairies seront totalement dématérialisés.
– Les mairies pourront récupérer certaines données sans nécessité de solliciter le directeur/la directrice d’école.
– Il sera possible d’obtenir des synthèses de dossier élève et d’extraire des listes selon des critères choisis, permettant à l’administration d’avoir accès à des informations sans réaliser d’enquête.
– Une carte scolaire numérique sera couplée à « Affelnet 6ème », permettant de déterminer automatiquement le collège de secteur à partir de l’adresse personnelle de l’élève, elle-même géolocalisée. Ce dispositif sera expérimenté dans 3 départements (Paris, Vienne, Gironde) avant d’être généralisé pour la campagne d’affectation 2018.
- la « Base Nationale des identifiants élèves » (BNIE) utilisée pour immatriculer chaque enfant avec un numéro unique, l’« Identifiant National Elève » (INE). Ce matricule est attribué à la première inscription à l’école, y compris à l’entrée en maternelle (dès 3 ans !) alors que l’école n’est pas encore obligatoire. L’INE rend possibles et évidentes les mises en relation de fichiers ;
- « Affelnet 6ème »,
utilisé pour affecter les élèves au collège lors du passage en 6ème.
Couplé à Base élèves lors du passage au collège, ce traitement
algorithmique recueille des données sensibles en cas de dérogation, trie
et classe automatiquement les élèves en vue de leur affectation, puis
transfère les dossiers d’entrée en 6ème aux collèges d’accueil des
élèves, servant ainsi de vase communiquant entre les systèmes
d’information du 1er et du 2d degré ;
- les fichiers utilisés par les maires pour gérer l’absentéisme scolaire et les suivis sociaux qui en découlent, créés dans le cadre de la loi sur la prévention de la délinquance du 5 mars 2007.
Contraint par le Conseil d’Etat de réduire la durée de conservation des données dans la BNIE (initialement prévue 35 ans !), le ministère a aussi contourné cette décision en créant le « Répertoire national des Identifiants Elèves, Etudiants et Apprentis » (RNIE) en 2012. Opérationnel dans le 2d degré depuis la rentrée 2015, ce répertoire permettra de tracer les élèves, étudiants et apprentis jusqu’à la fin de leur formation initiale, puis tout au long de la vie. Depuis le 1er septembre 2016, le RNIE enregistre également le pays de naissance pour les personnes nées à l’étranger. Une importante restriction aux conditions d’accès à ce répertoire a également été supprimée.
Depuis quelques mois, les fichiers scolaires sont aussi accessibles aux préfets, y compris sous format dématérialisé, en application du « droit de communication » instauré par la loi du 7 mars 2016 relative aux droits des étrangers en France (article 48) et son décret d’application du 28 octobre 2016 (article 34), « sans que s’y oppose le secret professionnel autre que le secret médical ». Ils peuvent notamment être utilisés dans ce cadre pour alimenter le fichier biométrique de gestion des dossiers des ressortissants étrangers AGDREF2 créé en juin 2011 (inscrit au Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, partie réglementaire, Livre VI). Relevant du ministre de l’immigration, ce fichier a en effet pour finalité de pouvoir « être consulté et m is en relation avec d’autres traitements concernant les procédures intéressant les ressortissants étrangers ». De multiples catégories de données sont renseignées, parmi lesquelles : l’état civil, la nationalité et le numéro AGDREF2, mais aussi les autres numéros de dossiers administratifs, autorisant ainsi toutes les interconnexions possibles et imaginables d’AGDREF2 avec les systèmes d’information d’autres administrations, y compris l’éducation nationale ! Or, on se souviendra qu’une simple « absence de motivation » notée au bas d’un bulletin scolaire a suffi pour refuser un titre de séjour à un jeune réfugié rwandais qui suivait une scolarité sans histoire et que sa famille d’accueil s’apprêtait à adopter, comme révélé le 26 mai 2016 par les Cahiers Pédagogiques !
Le fichage des compétences commencé à l’école avec le LSUN (obligatoire dès 6 ans !) se poursuivra par ailleurs tout au long de la vie dans le cadre de la formation professionnelle, par le biais du CPF (Compte Personnel de Formation, créé en 2014) et du CPA (Compte Personnel d’Activité, créé en 2016), comme dénoncé dans notre appel du 22 avril 2016 contre la loi « travail ».
Il faut réagir…. au plus vite !
Depuis quelques mois, la mobilisation contre le LSUN s’amplifie dans toute la France (réunions publiques, pétitions, refus collectifs de parents, courriers individuels d’opposition…). Une nouvelle étape a été franchie avec l’appel au boycott du LSUN lancé par le CIRBE et plusieurs syndicats enseignants en Isère. Toute organisation locale, départementale, régionale ou nationale (syndicat enseignant, fédération de parents d’élèves, association…) souhaitant se joindre à cet appel, est invitée à nous contacter. Nous la rajouterons à la liste des signataires.
Nous invitons également les parents d’élèves et les enseignants à faire valoir les informations figurant dans ce communiqué, comme autant de motifs légitimes pour s’opposer individuellement ou collectivement au LSUN, à l’école comme au collège. Suite à ce communiqué, il n’est d’ailleurs pas impossible que certains parents ayant déposé plainte entre 2009 et 2010 concernant Base élèves décident de contester à nouveau le classement sans suite de leurs plaintes, décidé le 7 juillet 2010 par le Parquet de Paris. En effet, après plusieurs années d’instruction, une ordonnance de non lieu a été rendue le 20 novembre 2015 concernant 14 parents qui avaient décidé de contester ce jugement, mais le juge a aussi décidé que leur dossier resterait déposé au greffe « pour y être repris s’il survenait des charges nouvelles ».
Enfin, nous invitons dès à présent tous ceux qui le souhaitent à signer notre pétition contre le livret scolaire numérique, mise en ligne par le CNRBE-Paris en mars 2017.
Le CNRBE
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Sources citées dans le communiqué :
- SE-UNSA – LSU : il manque quelque chose…, http://enseignants.se-unsa.
org/LSU-il-manque-quelque- chose - Le Café pédagogique – Numérique : Le ministère ouvre la porte à Google, http://www.cafepedagogique.
net/lexpresso/Pages/2017/05/ 16052017Article636305160274839 331.aspx - Céline Authemayou – Pour la CNIL, « la France doit garder la souveraineté de ses données scolaires », http://www.letudiant.fr/
educpros/entretiens/isabelle- falque-pierrotin-l-education- est-un-objectif-strategique- de-la-cnil.html - Le courrier de M Jeandron, http://www.cafepedagogique.
net/lexpresso/Documents/ docsjoints/jeandronmail.pdf - Observations finales du Comité des droits de l’enfant à la France (traduction officielle publiée le 23 février 2016), https://documents-dds-ny.un.
org/doc/UNDOC/GEN/G16/033/67/ PDF/G1603367.pdf - SE-UNSA 01 – Outils numériques pour les directeurs : du changement à venir, http://sections.se-unsa.org/
01/spip.php?article525 - Arrêté
du 13 janvier 2017 portant modification de l’arrêté du 20 octobre 2008
portant création d’un traitement automatisé de données à caractère
personnel relatif au pilotage et à la gestion des élèves de
l’enseignement du premier degré <https://www.legifrance.gouv.
fr/affichTexte.do;jsessionid= 125BFFCD7838518CD6723B88BD34D1 A8.tpdila10v_2?cidTexte= JORFTEXT000034264994& dateTexte=20170324> - Arrêté
du 1er septembre 2016 modifiant l’arrêté du 16 février 2012 portant
création d’un traitement dénommé « répertoire national des identifiants
élèves, étudiants et apprentis » <https://www.legifrance.gouv.
fr/affichTexte.do;jsessionid= BFC294334F82D3D46EC5EA58483ADB 46.tpdila19v_3?cidTexte= JORFTEXT000033187486& dateTexte=20161004> - Article 48 de la loi du 7 mars 2016 relative aux droits des étrangers en France <https://www.legifrance.gouv.
fr/affichTexte.do?cidTexte= JORFTEXT000032164264& categorieLien=id> - Article
34 du décret n° 2016-1457 du 28 octobre 2016 pris pour l’application de
la loi n° 2016-274 du 7 mars 2016 relative au droit des étrangers en
France et portant diverses dispositions relatives à la <https://www.legifrance.gouv.
fr/eli/decret/2016/10/28/ INTV1618871D/jo/texte> lutte contre l’immigration irrégulière <https://www.legifrance.gouv. fr/eli/decret/2016/10/28/ INTV1618871D/jo/texte> - Application
de gestion des dossiers des ressortissants étrangers en France (Code de
l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, Partie
réglementaire, Livre VI) <https://www.legifrance.gouv.
fr/affichCode.do;jsessionid= 2B40E9232BDDFB4A079CB6CB219516 0E.tpdila23v_1?idSectionTA= LEGISCTA000024151374& cidTexte=LEGITEXT000006070158& amp;dateTexte=20170526> - Les Cahiers pédagogiques – lycéens sans papiers : le couperet de la majorité, http://www.cahiers-
pedagogiques.com/Lyceen-sans- papiers-le-couperet-de-la- majorite
Pour aller plus loin :
- sur les dangers du LSUN <https://retraitbaseeleves.
wordpress.com/2016/10/09/face- cachee-livret-scolaire-unique- numerique/> - sur le lien entre Base élèves, la BNIE et le RNIE <https://retraitbaseeleves.
wordpress.com/2015/09/06/ rentree-2015-rnie- operationnel/> - sur le lien entre le fichage des compétences à l’école, le CPF et le CPA <https://retraitbaseeleves.
wordpress.com/2016/04/22/ appel-du-cnrbe-contre-la-loi- travail/> - sur les recommandations du Comité des droits de l’enfant à la France <https://retraitbaseeleves.
wordpress.com/2016/02/10/lonu- corrige-a-nouveau-la-france- sur-le-fichage-des-enfants/> - une vidéo de la mobilisation contre Base élèves à Grenoble en 2008… toujours d’actualité ! <https://www.youtube.com/
watch?v=GWpmgcaC8_c>
Apple : source du parlement européen, députés communistes.
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desobeissance-civile-attac-monte-un-hopital-dans-un-apple-store
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Réponse-communication :
Hig Tech. Le secteur du numérique veut recruter plus de femmes.
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Campagne 2018 contre le livret scolaire
numérique.
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Harcèlement
sexuel. Après Google, Facebook promet la transparence
La carte mondiale des #metoo :
(…) La fraude et l’évasion fiscale coûte 1000 milliards d’euros à
l’Union Européenne et entre 60 à 80 milliards d’euros à la France. Ce sont
autant d’hôpitaux, d’écoles, de transports collectifs abandonnés faute de
moyen.
Optimisation fiscale : Google évite des milliards
d’impôts en déplaçant toujours plus de profits aux Bermudes.
(…) Concentrée sur les revenus
publicitaires et donc ciblée sur Google et Facebook, elle est censée rapporter
500 millions d’euros en 2019.
Moteur de
recherche. Pourquoi Qwant est-il différent des autres ?
Le fondateur et P-DG de Qwant, Eric Léandri, était présent
cet été au West Web Festival, en marge des Vieilles Charrues à Carhaix
(Finistère). Le moteur de recherche revendiquait à ce moment-là 70 millions de
visiteurs uniques sur un mois. Mais pourquoi Qwant séduit-il de plus en plus
d'internautes ?
(…) Il lui faudra
aussi combattre son rival sur le terrain juridique afin d'obtenir, par exemple,
que les téléchargements sur certains téléphones ne soient plus perturbés par
des astuces techniques qui ne doivent rien au hasard.
Gilets jaunes: "Facebook est un ascenseur de la colère
sociale".
(…) Il est très facile pour des
partis politiques ou des lobbys d'instrumentaliser cette colère, et de la
retourner contre les gens qui l'ont exprimée. Il y a très clairement un risque.
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Harcèlement sexuel : plaintes contre Google pour ses
indemnités à des agresseurs présumés.
(…) L’action en
justice demande aussi que les ex-cadres en cause qui avaient reçu des
indemnités les restituent à l’entreprise, et réclame une indemnisation, non
chiffrée.
(…) Google avait
versé 90 millions de dollars (78,4 millions d'euros) d’indemnités de départ à
Andy Rubin, à l’origine du système d’exploitation Android.
(…) Amit Singhal,
ex-dirigeant de la branche moteur de recherche, aurait aussi reçu des millions
à son départ. L’un et l’autre ont été accusés d’actes déplacés envers d’autres
employées, ce que tous deux ont démenti.
Cinq formes de cyber-violences conjugales sont identifiées :
le «cybercontrôle»,
le «cyberharcèlement»,
la «cybersurveillance»,
la «cyberviolence économique»,
la «cyberviolence sexuelle».
Apple règle 500 millions d’euros d’arriérés d’impôts au fisc français
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L'histoire des
femmes qui ont fait l'Internet.
La création d'Internet, des ordinateurs et de la
technologie informatique, est souvent perçue comme une succession de
découvertes émanant d'hommes frappés par le génie au fond de leur garage. Mais
l'histoire que nous expose Claire L. Evans, essayiste américaine, est celle
d'un milieu qui a d'abord été totalement chapeauté par des femmes, avant que
celles-ci ne s'en fassent déposséder.
Claire L. Evans était l’invitée de l’exposition
Computer Grrrls à la Gaîté Lyrique jusqu’au 14 juillet 2019, et est l’auteur
de Broad Band: The Untold Story of the Women Who Made the Internet (2018,
Penguin, non traduit)
HARCÈLEMENT SEXUEL CHEZ
MICROSOFT. DES DIZAINES DE FEMMES TÉMOIGNENT.
(…) Trois femmes
ont intenté une action en justice contre l’entreprise, affirmant que Microsoft
n’avait pas enquêté sur 238 cas de harcèlement au travail. En outre, les
plaignants affirment que les femmes touchent un salaire inférieur à celui des
hommes occupant des postes similaires. Ce procès est toujours en cours.
Des salariés d'Amazon
écoutent vos conversations avec l'assistant vocal Alexa.
Une
enquête de l'agence Bloomberg relève que certaines conversations de l'assistant
vocal Alexa produit par Amazon sont écoutées par des humains.
Les 1 % les plus
riches craignant le chaos du dérèglement climatique et la révolte sociale qui
suivra, achètent des terres à Hawaï… pour le PDG de Facebook, afin d’y construire des bunkers ultra-sécurisés et des fermes qui
garantiront leur survie.
NOUVELLE-ZÉLANDE.
LÀ OÙ FLEURISSENT LES BUNKERS DE MILLIARDAIRES.
Emmanuel Macron et les GAFA
Un commentaire sur la rencontre entre Macron et Zuckerberg
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Prostitution et racolage sur Facebook
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7 employées d'Amazon assurent avoir été licenciées car elles étaient
enceintes.
(…) "Quand je devais aller aux
toilettes, elle [la manager] restait au même endroit et attendait que je
revienne pour m'en parler... Après ça, je devais me retenir jusqu'à la fin de
la journée car je ne voulais pas me faire virer".
(…) "Les
gens font donc pipi dans des bouteilles".
UNE LOI CONTRE LA HAINE ANTI-MACRON ?
Les Gafa démonétisent le travail vidéo des femmes.
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FaceBook crée sa monnaie, le Libra!
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FaceBook et son argent
Le mendiant demande "5 f"...avec son téléphone
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Google
rejette (aussi) un plan contre le harcèlement sexuel et pour la diversité.
(…) Un Bad buzz supplémentaire pour Google
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Est-ce que Facebook a transmis ces appels aux meurtres à la justice française?
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Proposition de loi – Contenus haineux en ligne : l’Assemblée vise trop large, estiment les plateformes internet.
périmètre beaucoup plus large d’infractions, au risque de compromettre son application« , ont estimé dans un communiqué les associations Tech in France, Syntec Numérique et l’Asic (Association des services internet communautaires).
(...) Elle obligera les plateformes à décider très rapidement par elles-mêmes si tel ou tel contenu contrevient à la loi, au risque de générer une cascade de polémiques et de conflits juridiques. Facebook en particulier, grand allié du gouvernement français et d’Emmanuel Macron pour parvenir à une meilleure régulation de l’Internet, a fait part de son inquiétude sur cette obligation de retrait en 24 heures.
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Humour:
Réponse Kim Jong Un à Laetitia Avia à propos de sa loi contre la Haine sur Internet.
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Pas le temps de prendre une douche!
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Pas le temps d'aller aux toilettes!
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twitter.com/hashtag/amazonpeegate
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Béziers :
Emmanuelle Ménard privée de compte Twitter.
La députée héraultaise, Emmanuelle Ménard, a
déchainée les passions sur Twitter. Le 23 juillet, dans un post, elle écrivait
: "Greta Thunberg. Dommage que la fessée soit interdite, elle en
mériterait une bonne." Ce tweet a depuis été effacé mais des signalements
ont été adressés à Twitter qui a suspendu le compte de la parlementaire.
Se libérer de l'emprise du smartphone
"Learn to be free
Apprends à être libre"
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Amazon demande à la police de garder les caméras de surveillance dans le cadre d'un accord secret.
Le service de police de Lakeland, en Floride, doit «encourager l'adoption» des produits Ring dans le
cadre d'un accord secret avec la société.
La société de sécurité à domicile d’Amazon, Ring, a fait appel à des services de police locaux à travers
le pays pour faire la publicité de ses caméras de surveillance en échange de produits Ring gratuits et
d’un «portail» permettant à la police de demander
des séquences à ces caméras, accord secret obtenu de Motherboard. L'entente exige également de la
police qu'elle «garde les conditions de ce programme confidentielles».
Des dizaines de départements de police du pays se sont associés à Ring, mais jusqu'à présent, les termes
exacts de ces partenariats sont restés inconnus. Un mémorandum d'accord signé entre Ring et le service
de police de Lakeland, en Floride, et des courriels obtenus via une demande d'enregistrement public,
montrent que Ring utilise la police locale comme agence de publicité de facto. La police est
contractuellement tenue de "faire participer la communauté des Lakeland à des efforts de sensibilisation
sur la plate-forme afin d'encourager l'adoption de la plate-forme / application".
(…) Les partenariats Ring-police ont pour résultat un réseau de surveillance qui se perpétue de lui-même:
plus de personnes téléchargent des voisins, plus de personnes obtiennent un anneau, les images de
surveillance prolifèrent et la police peut demander ce qu'elle veut.
amazon-requires-police-to-shill-surveillance-cameras-in-secret-agreement
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Emmanuel Macron et la taxe GAFA
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GAFA
FaceBook réduit l'audience de la gauche radicale
Facebook censure la gauche.
C'est une mesure antisociale de Macron.
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Brigitte
Mon compte sur Youtube
77 abonnés - 65 000 vues
Septembre 2019
Je remonte, sans leurs annonceurs et leurs soutiens financiers.
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GAFA
Les nouveaux prolétaires du web
Source cash investigation
L'exploitation des travailleurs silencieux....
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Shoah :
Dieudonné banni de Facebook et d'Instagram de façon définitive.
(…) Le polémiste Dieudonné vient d'être banni
de Facebook et d'Instagram pour partager du "contenu se moquant des
victimes de la Shoah" et "termes déshumanisants à l'encontre des
Juifs".
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Pour un Noël sans Amazon
!
Réunis ensemble dans un collectif inédit, des
personnalités politiques, de la culture, associations environnementales et
organisations de solidarité ou de défense des consommateurs, fédérations de
commerçants, citoyennes et citoyens s’engagent à un Noël sans Amazon. Dans
la période de crise socio-économique que nous vivons, nous avons besoin d’actes
concrets pour soutenir l’emploi local, les commerces de proximité et les
acteurs d’un commerce raisonnable. Cette action NoëlSansAmazon, c’est plus qu’une simple pétition !
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Affaire
Mila
:
11
cyberharceleurs condamnés à des peines de 4 à 6 mois de prison avec sursis, un
relaxé.
Libération
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Affaire Mila : onze personnes
condamnées à des peines de 4 à 6 mois de prison avec sursis pour avoir harcelé
en ligne l'adolescente
Treize personnes étaient jugées pour avoir cyberharcelé Mila après la publication en novembre
2020 d'une vidéo virale dans laquelle elle s'en prenait vertement à ses détracteurs.
(…) Agées de 18 à 30 ans, ces onze personnes ont également été
condamnées à verser chacun à Mila 1 500 euros en réparation des
souffrances et 1 000 euros pour ses frais d'avocats. La jeune femme,
âgée de 18 ans, vit sous protection policière depuis la publication d'une
première vidéo critiquant l'islam en janvier 2020.
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L'Humanité met
en accès libre les articles, les enquêtes et les reportages de sa
journaliste Rosa Moussaoui sur les mouvements sociaux, les
violations des droits humains et la répression de la presse au Maroc.
N'hésitez
pas à partager. Aucun logiciel espion, aucune menace, aucune intimidation ne
réduira L’Humanité au silence.
projet-pegasus-rien-ne-pourra-reduire-lhumanite-au-silence
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PROJET PEGASUS : DES
RÉVÉLATIONS CHOC SUR UN LOGICIEL ESPION ISRAÉLIEN.
Nouvelles révélations
choc dans l'industrie de la surveillance numérique : nous avons enquêté sur
l'entreprise israélienne NSO Group qui vend son logiciel espion Pegasus à des
États qui s'en prennent à des journalistes, militants, avocats et défenseurs
des droits humains.
(…) Le Projet
Pegasus montre à quel point le logiciel espion de NSO Group est une
arme de choix pour les gouvernements répressifs qui cherchent à réduire au
silence les journalistes, à s’en prendre aux militants et à écraser
l’opposition, mettant ainsi d’innombrables vies en péril.
Agnès Callamard, secrétaire générale
d'Amnesty International.
(…) Une
fois installé sur votre téléphone portable, Pegasus peut
tout capter, tout surveiller.
(…) Pegasus
potentiellement impliqué dans l'assassinat de Jamal Khashoggi
Une histoire
terrifiante. Elle semble tout droit sortie d'un film, mais elle est bien réelle
: celle du meurtre du journaliste saoudien Jamal
Khashoggi.
(…) 2. Des
journalistes et militants espionnés au Maroc
Dans un
rapport dédié, nous avons révélé que, depuis octobre 2017, des défenseurs des
droits humains au Maroc ont
été ciblés par Pegasus. Parmi eux, Maati
Monjib, un universitaire et militant travaillant sur la liberté
d’expression. En décembre 2020, Maati Monjib a été arrêté de façon arbitraire
puis il a fait l’objet d’une libération conditionnelle, le 23 mars 2021.
(…) 24
personnes ciblées au Mexique
Au Mexique, enquêter sur
une affaire impliquant le pouvoir, peut faire de vous une cible de choix. Le
pays compte le plus grand nombre de cas documentés d’utilisation du logiciel
israélien : au moins 24 personnes ont été illégalement ciblées selon le groupe
de recherche Citizen
Lab.
(…) 4. Un
membre d'Amnesty International visé.
Nous avons,
nous aussi, été la cible du logiciel espion Pegasus. En août 2018,
l’un de nos membres a reçu un message avec un lien faisant référence à une
prétendue manifestation devant l’ambassade d’Arabie saoudite à Washington.
(…) 5.
WhatsApp piraté.
Le logiciel
espion a été utilisé lors d'une faille de sécurité dans l’application
WhatsApp. Pegasus a ciblé 1 400 personnes dans
20 pays entre avril et mai 2019. 100 des personnes ciblées sont
des journalistes et des défenseurs des droits humains.
(…) Nous demandons un moratoire immédiat sur
l'exportation, la vente, le transfert et l'utilisation des logiciels de NSO
Group et sur l’utilisation des technologies de surveillance.
surveillance-revelations-sur-le-logiciel-espion-israelien-pegasus-nso-group
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Cyberharcèlement
Pégasus
Médiapart
Lénaïg Bredoux et Edwy Plenel ont été espionné.e.s.
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Cyberharcèlement
Pégasus
Le Monde
Des petits pays peuvent espionner pour pas cher!
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Cyberharcèlement
Pégasus
L'Humanité
Rosa Moussaoui est espionnée.
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Edouard Snowden pronostique 50 millions de comptes surveillés au lieu des 50 000 actuels.
Il faut exiger l'arrêt de la vente de Pégasus.
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Accès aux coordonnées.
Accès aux conversations.
Activation du micro.
Activation de la caméra.
Espionner sans être repéré.
Emmanuel Macron a-t-il été infecté par Pégasus?
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NDLR : c'est un ami qui espionne l'autre, quand même ! Peut mieux faire ….. "Garde près de toi tes ennemis » ! Là, c'est vraiment tout près.
Hormis quelques brouilles diplomatiques, la France entretient des relations de complaisance avec le Maroc. Compromis et proximité institutionnelle au mépris des droits de l’homme, Légion d’honneur… passage en revue de ces petits arrangements entre amis.
L'Humanité...
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L'Inde est touché par Pegasus.
Le gouvernement l'utiliserait pour museler la presse et les opposants.
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Un rapport va être publié dans Le Monde
Et le Washington post.
Forbidden stories a travaillé avec Amnesty International.
Pratiques illégales d'espionnage par écoutes téléphoniques.
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"Il n’est pas anodin que ce soient essentiellement des journalistes spécialisés dans des enquêtes sensibles sur la corruption, les questions de libertés publiques, de défense ou de surveillance qui aient été la cible du logiciel Pegasus." via @Mediapart.
Et qui enquêtent également sur les violences sexuelles. (Insulana Bianchi).
La nouvelle arme répressive inventée par le royaume (du Maroc, NDLR) contre les activistes et les journalistes qui le dérangent : utiliser le contexte international de prise de conscience des violences sexistes et sexuelles MeToo comme un cheval de Troie pour les réprimer et les discréditer.
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