Le camp des Milles fait en sorte que
l'histoire soit connue avec une approche pluridisciplinaire.
L'identitaire fait basculer dans le champ des passions et des cœurs.
Un bus parcourt la France pour présenter l'histoire de la deuxième
guerre mondiale. Un indice chiffré pour démontrer un possible
basculement va être mis en place. La société française est à la
veille d'un possible basculement qui amène vers une autre étape.
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Une table ronde de femmes, pour une
fois que l'on a la parole...
Les femmes souffrent plus que les
hommes. Les extrémismes sont d'une extrême
violence.
Remise en cause du droit des femmes à
l'éducation, à vivre, par Boko Haram par exemple.
Discussion sur les mécanismes et sur
les témoignages.
Comment les femmes sont un rempart face
aux extrémismes?
En Iran, les femmes ont fait plier les
Mollah, en Tunisie, des droits nouveaux sont inscrits dans la
Constitution.
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Jeanne Uwimbabazi – Rescapée du
génocide des Tutsis au Rwanda
Elle a échappé au massacre. 800 000
Tutsis tués en 3 mois. Elle continue le combat.
Elle raconte :
« La première personne qui m'a
sauvé la vie est une femme. Elle était tellement humble, comme les
Résistants qui ont fait de grandes choses.
Cette histoire appartient à
l'humanité. C'est celle de l'extermination des Tutsis.
Je témoigne dès que c'est possible.
Ces dernières années, j'ai fait des petits pas de côté. J'avais
l'impression que cela ne s'inscrivait pas dans la réalité des gens.
Le côté préventif m'échappait un peu. Je me suis rappelé qu'il
fallait le faire. Je ne voulais pas être que spectatrice.
Au Rwanda, tout un processus s'est mis
en place. En 1959, j'ai grandi dans un climat où je savais. A 7 ans
à l'école, on nous a demandés de séparer les Hutus et les Tutsis.
Je ne savais pas et ma mère m'a dit : « Tu dis que tu ne
sais pas. » J'ai compris que mon identité était taboue. Je ne
comprenais pas les raisons. Ma mère savait mais il ne fallait pas
que je le dise.
Plus tard, j'ai compris pourquoi il ne
fallait pas le dire. A 14 ans, j'ai passé l'examen d'état. Je
n'étais pas sur la liste des admis. J'étais déçue alors que ceux
qui étaient derrière moi y étaient. Mes parents nous protégeaient.
Il ne fallait pas se faire remarquer. La politique de l'état était
raciste. Il y avait 3 ethnies. On a divisé les Rwandais en deux
groupes dont l'un voulait la mort de l'autre.
L’État s'est basé sur la majorité,
avec seulement15% de Tutsis. Les places étaient limitées dans
l'école publique. On était dans les injustices sans rien dire. On
parlait de l'équilibre. Il y avait un sous-entendu d'élimination
des Tutsis.
Dans le code du travail, c'était su
mais non marqué, non inscrit.
Les 5 enfants de la famille ont été
dans l'école privée. Pour aller dans l'école publique, il fallait
payer des pots de vin.
Vers 1990, cela s'est accéléré
pendant la deuxième république.
L'économie s’essoufflait, certaines
régions connaissaient des problèmes alimentaires.
En octobre 90, c'est la guerre civile.
Les Tutsis des pays limitrophes qui ne pouvaient pas rentrer au Rwanda se sont
constitués en armée.
Les Tutsis de l'intérieur sont devenus
des boucs émissaires. Un journal très virulent s’adressait à la
majorité de la population. « Vous êtes attaqués par les
Tutsis. Réveillez-vous ! Ce ne sont pas des Rwandais ».
Les messages racistes sont passés de
l'espace privé à l'espace publique.
Je ne devais plus sortir le soir.
Parano ? Folie ? Absurdités ? On disait que les
Tutsis prenaient les places les plus importantes malgré les quotas.
Ce qui me semblait incroyable, c'est
que la masse commençait à y croire.
Un an avant le génocide, la haine
s'est libérée.
Et en même temps, on accepte.
« Les serpents vont retourner
dans leur trou » entendait-on à notre propos.
La radio de propagande RTLM avait pour
cible l'argent et les femmes Tutsis.
« Elles manipulent les hommes,
elles usent de leurs charmes ».
Les choses augmentent.
Mes parents étaient commerçants. Ils
avaient leur salaire. Ceratine hommes demandaient de l'argent à ma
mère. Les employés avaient l'autorisation de dominer, de se venger.
C'était le temps de leur revanche. Ma mère avait peur d'eux et
achetait la paix pour la famille.
Tout était en place pour le
génocide.
Dans le stade de Kigali, certains y
sont restés 8 mois. Moi, j'avais 13 ans. Mon père dormait. Il
faisait la sieste. « Vous êtes des complices. L'argent et les
armes se trouvent où ? Si tu coopères, tu auras des bonbons. »
m'ont-ils demandé quand ils sont venus chez nous. Je lis de la peur
sur le visage de mon père. Ils n'ont pas trouvé d'armes. Ils sont
partis. Mon père n'a jamais raconté ce qu'il s'était passé pour
lui pendant une semaine, mais ce n'était pas agréable. Je l'ai su
après par quelqu'un d'autre.
Ils faisaient des tests pour voir
jusqu'où ils pouvaient aller et à chaque fois, ils augmentaient
d'un cran. Cela servait à accepter ce qui allait arriver. L'église
protégeait les femmes et les enfants. On pensait que ça allait
continuer
L'avion du président a été abattu.
Ca a été l'étincelle. Ils avaient leur stock de machettes et les
listes de Tutsis. Ça a démarré.
Au 7 avril au matin, ils sont venus chez
nous.
Mon père a essayé de gagner du temps.
Ils l'ont tué d'une balle dans la tête. Chacun s'est éparpillé de
son côté.
Les voisins, dans la première maison,
ont dit « NON , on ne cache pas les ennemis ». La
femme de la maison suivante a laissé entrer. Elle se souvenait que ma mère lui avait fait grâce d'un kilo de sucre. Ce petit geste m'a
sauvé la vie. Plus tard, elle a dit : « Je ne peux pas
cacher une enfant de l’ennemi ». C'est la complexité de
l'être humain qui peut devenir un monstre puis quelqu'un de bon dans
un autre contexte.
Je me suis cachée derrière une porte
volée, pillée dans une maison de Tutsis. Il y avait aussi des sacs de
haricots volés.
J'ai eu la peau sauvée ce jour-là.
Je devais trouver une autre cachette.
L'école technique où étaient basés
les casques bleus se trouvait à 500 m. Je suis restée trois jours
avec des Belges. Ils ont permis aux ressortissants de partir. Puis
eux aussi sont partis.
L'école a été encerclée. 2000
personnes y ont été enfermées. Ils ont jeté des grenades , usé
des machettes, j'ai été sauvée car j'étais en-dessous des
cadavres. J'ai été rapatriée en France par Médecins du monde et
je suis restée dans ma famille d'accueil. »
''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''
Alain Chouraki:
L'engrenage s'est effectué pour un
contexte mortifère, insidieusement.
La passivité permet de créer du
brouillage et du doute dans les repères. On empêche de remuer, de
résister, d'être actif. Il n'y a pas d'action positive. Il faut se
méfier de l'effet de groupe et refuser la soumission à l’autorité.
Un petit noyau agit, un autre résiste. La majorité ne fait rien.
L'obsession identitaire religieuse ou
nationaliste prend le dessus de tout et devient le moteur passionnel
en 3 étapes. La peur de l'autre. La tension devient trop forte. La
démocratie faiblit. Le monde est sans repères. Quelle place a la
religion ? Qu’est-ce que la famille ? L'avenir du
travail ? Quel métier ? Combien de métiers ? Telles
sont quelques questions que chacun d'entre nous se pose.
On a durablement des pertes de repères.
Un tiers de la population cherche des repères forts dans l'identité
de soi et de l'autre. C'est Eux et nous. L'engrenage fait que l'on
pense : C'est eux OU nous.
D'où le rejet et l'exclusion. Si le
pouvoir bascule, quand la borne est franchie, il n’y a plus de
limite. A part la résistance qui est toujours possible. Elle est
moins efficace et dangereuse au début. Mais toujours efficace
après.
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Article écrit sur mon autre blog:
http://bmasson-blogpolitique.over-blog.com/2014/08/les-survivantes-du-genocide-au-rwanda.html
http://faislepourtoi-resiste.org/-------------------------------------------
Au Rwanda, les Gacaca :
La majorité de la population ne s'est pas opposée
aux tueurs lors du génocide et les rescapés craignent que ces
jugements se fassent dans un contexte populaire défavorable à la
vérité.
Les expériences pilotes
conduites à partir de 2001 ont montré que ces tribunaux risquent de
révéler que 750 000 personnes auraient participé aux
tueries. Cela représente environ six fois le nombre de personnes
actuellement emprisonnées et presque 10 % de la population
actuelle du Rwanda. On évalue depuis longtemps que le nombre de
tueurs se situe au moins autour du million de personnes. Certains
parlent de 2 millions. Beaucoup sont en fuite, particulièrement
en République démocratique du Congo ou sont morts, notamment du
sida à la suite des viols nombreux. De nouvelles vagues de réfugiés
dans les pays voisins ont vu le jour en 2005 à cause du démarrage
des « Gacaca » et l'une des revendications actuelles des
FDLR est l'arrêt de ces juridictions, accusées de faire peur aux
Rwandais. Ainsi, les 6 000 Rwandais qui ont pris la fuite
au Burundi en avril-mai 2005 pour échapper aux « Gacaca »
ont tous été renvoyés au Rwanda. (source Wikipédia).
Le Mouvement de la
Paix :
Le Tribunal Pénal
International est doublé des Gacaca, juridiction communautaire. Ces
juridictions montrent une précipitation de la part du gouvernement à
vouloir résoudre au plus vite les tensions entre communautés, sans
en avoir forcément les moyens. (…) L'enseignement de l'histoire du
génocide est encore en suspend faute d'une écriture commune faisant
l'unanimité.
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Un autre exemple du génocide au Rwanda
Pièce de théâtre à La Chartreuse de Villeneuve lez Avignon
Dorothée Munyaneza
"Unwanted"
2017
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Janvier 2018:
Les
femmes sont de "dangereuses créatures du mal, allant contre les plans de
Dieu" : une radio chrétienne fermée pour des propos "ignobles"
au Rwanda.
rwanda-une-radio-chretienne-fermee-pour-des-propos-misogynes
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La
ville nigériane attend la libération de la fille chrétienne tenue par Boko
Haram.
Les
habitants de la ville nigériane de Dapchi ont espéré dimanche la libération de la dernière écolière, qui est
aussi chrétienne, parmi un groupe de plus de 100 kidnappées et libérées par les
islamistes, suite à des indications encourageantes des autorités.
Ses
camarades de cours libérés ont dit que la fille, Leah Sharibu, est restée en
captivité car elle avait refusé de se convertir à l'Islam.
"il ya tellement d'attente dans la ville après
les nouvelles que la dernière fille restante sera libéréE, " kamelle
BUKAR, père de l'une des écolières récemment libéréEs, a déclaré à l'AFP fin de
samedi par téléphone de la ville dans l'état du nord-est de Yobe.
"on nous a dit qu'elle était sur LE
chemin, mais elle n'a pas encore été amenéE," dit kamelle, qui est le
porte-parole de l'Union des parents des écolières enlevées.
(…)
En
tout, 105 des 111 écolières enlevées le 19 février de leur internat à Dapchi
ont été libérées mercredi, soulevant des questions au sujet des paiements de
rançon possibles.
(…)
Le
kidnapping Dapchi a ravivé des souvenirs douloureux au Nigeria de l'enlèvement
EN avril 2014 de plus de 200 écolières de Chibok, une ville aussi dans le nord-est,
qui a causé l'indignation mondiale.
Alors
que certaines des filles Chibok ont été libérées en échange d'une rançon et de
la libération des meilleurs commandants du Haram Boko, un total de 112 FILLES restent
en captivité.
Boko
Haram a à maintes reprises ciblé les écoles donnant une soi-disant éducation
occidentale dans la région majoritairement musulmane dans le cadre d'une
insurrection qui a tué au moins 20.000 personnes et déplacé plus de 2,6
millions PERSONNES depuis 2009.
Alors
qu'une offensive de 2015 lancée par Buhari a réussi à récupérer des pans de
territoire de retour des djihadistes au Nigeria, le groupe continue d'attaquer
des attaques meurtrières contre des cibles militaires et des civils.
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Rwanda.
Les armes livrées aux génocidaires renvoyées à l'expéditeur.
Il y
a 24 ans, le 7 avril, débutait le génocide des Tutsi au Rwanda, qui a fait
entre 800 000 et un million de victimes. Le but de l’initiative, ce jeudi,
était de rappeler la responsabilité de la France et d’interpeller les pouvoirs
publics.
Les militants de Survie ont réédité
l’opération devant le siège du PS
« On peut parler de complicité de génocide, explique-t-il.
Car il y a eu soutien actif, en connaissance de cause, et qui a eu effet sur le
crime ».
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En
RD Congo, la difficile réinsertion des anciens enfants-miliciens.
(…)
Les Kamuina Nsapu ont enrôlé des mineurs parmi leurs combattants face aux
forces de sécurité.
(…)"La
première fois que nous sommes allés combattre contre les militaires, beaucoup
des nôtres ont été tués", poursuit l'adolescente, envoyée "en
première ligne", comme les autres filles.
(… )
"Je veux juste redevenir cette fille normale que j'étais, qu'on me regarde
comme un enfant, qu'on m'aime comme autrefois", ajoute Angèle, d'une voix
tremblante. »
en-rd-congo-la-difficile-reinsertion-des-anciens-enfants-miliciens
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En RD du Congo . 1152 femmes seraient violées par jour,
soit environ 48 viols par heure. Ce sont autant de femmes qui sont rejetées
socialement. Discriminées et stigmatisées par leur communauté, elles doivent
vivre seules avec cette image de femme violée.
(…)Selon
la tradition congolaise, la femme doit rester à la maison pour s’occuper des
enfants et entretenir la maison. Une famille sans grand moyen privilégiera la
scolarisation de leurs garçons plutôt que de leurs filles. La femme a donc moins
de perspectives d’avenir qu’un homme. Pourtant, elle a paradoxalement une
“place sacrée”.
detail_viol-en-rdc-la-marginalisation-des-femmes----------------------------------------
VIDEO. Rwanda :
vingt-cinq ans après le génocide, les femmes prennent le pouvoir
Quel est le seul pays au monde à avoir une
majorité de femmes à l'Assemblée nationale ? En ruines après le génocide
de 1994, le Rwanda, reconstruit par des centaines de milliers de veuves, a vécu
un miracle économique et une révolution politique.
(…) Avant le génocide, aucun élu n'était une femme.
(..)
Témoin de cette ascension fulgurante des femmes au Rwanda, les bancs de
l'Assemblée nationale. Sur les 80 sièges du Parlement, elles en occupent
51.
video-vingt-cinq-ans-apres-le-genocide-les-femmes-prennent-le-pouvoir-au-rwanda
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La Marseillaise. 06 21
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Nigeria : l’enlèvement de 136 élèves confirmé par les
autorités.
Le gouvernement affirme faire « de son mieux pour assurer
le retour en sécurité des enfants », après le rapt dimanche dernier d’une
centaine d’élèves d’une école musulmane du centre du pays.
(…) Dimanche
après-midi, de nombreux hommes armés sont arrivés à moto dans la localité de
Tegina où ils ont commencé à tirer, tuant un habitant et en blessant un autre,
avant d’enlever les enfants. Environ 200 jeunes se trouvaient dans l’école au
moment de l’attaque. Certains avaient réussi à s’enfuir, tandis que les
ravisseurs en avaient relâché plusieurs, âgés de 4 à 12 ans, car « trop
petits pour marcher », avait indiqué l’un des responsables de l’école.
(…) 730 enfants enlevés
depuis décembre 2020.
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Nigeria : 140 lycéens
kidnappés dans leur pensionnat par des hommes armés.
CONFLIT Les élèves nigérians ont
vraisemblablement été enlevés pour être ensuite échangés contre une rançon
(…) Si 25 élèves sont parvenus à s’échapper, 140
autres ont été kidnappés, vraisemblablement pour être ensuite échangé contre
une rançon. Pour le professeur, « tout indique que les assaillants sont
arrivés à pied ».
(…) Des groupes criminels, communément appelés
« bandits » par les autorités, terrorisent les populations du
nord-ouest et du centre du Nigeria. Ils attaquent des villages, volent du
bétail et enlèvent sur les routes des personnalités locales ou des voyageurs contre
rançon.
(…) Ne pouvant assurer la sécurité dans les écoles et
les lycées, de nombreux Etats du nord-ouest du Nigeria, une région considérée
comme l’une des plus pauvres du monde, ont déjà fermé la plupart des
pensionnats des écoles publiques, renvoyant des milliers d’enfants à la maison.
(…) Depuis début décembre, plus de 1.000 enfants,
adolescents et étudiants ont été enlevés dans une douzaine d’attaques de grande
envergure et certains d’entre eux sont toujours aux mains de leurs ravisseurs.
Aucun responsable de ces actes n’a été ni arrêté ni jugé devant un tribunal.
nigeria-140-lyceens-kidnappes-pensionnat-hommes-armes
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NIGERIA: Le Traumatisme des Enfants kidnappés.
(…) Elle accuse les hauts responsables d’abandonner
les familles à leur sort, pendant que leurs “enfants sont eux scolarisés à
l’étranger”.
nigeria-le-traumatisme-des-enfants-kidnappes
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Kidnapping d'enfants scolarisés au Nigeria.
Un traumatisme pour 12 millions d'enfants scolarisés.
"La Marseillaise"
10 21
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Max Ernst fut prisonnier au camp des Milles
Mon dessin
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A
Seillans de 1964 à 1976
"J'ai vu, de mes yeux, reculer les apparences des choses, et j'en ai
éprouvé une joie calme et féroce."
1936, Max Ernst
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Max
Ernst
La
Dolce Vita
Propriété
de Max Ernst (Brühl 2 avril 1891 – Paris 2 avril 1979)
En
1964, Max Ernst et son épouse Dorothéa Tanning vécurent ici avant de construire
la Mas Saint-Roch.
Il y
perfectionna sa technique du frottage et de la lithographie. Il y prépara ses
dernières grandes expositions.
Il
reçut dans ses deux propriétés de Seillans monsieur Georges Pompidou, président
de la République, sa femme ainsi que des amis et des visiteurs de marque tels
Michel Debré, Jacques Prévert…
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Les
surréalistes
Tristan
Tzara, Paul Eluard, André Breton, Hans Arp, Salvador Dali, Yves Tanguy, Max
Ernst, René Crevel, Man Ray.
A
Paris, vers 1930
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Max Ernst à Seillans
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Mes dessins
Seillans
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Max
Ernst
1891
– 1976
Max
Ernst étudie la philosophie et l’histoire à l’université de Bonn, puis
participe au mouvement Dada. Ses premiers collages en 1919 jouent sur la
multiplicité des sens, l’ambiguïté et la contradiction. Sa méthode de collage
est clairement influencée par la méthode rimbaldienne. Ses oeuvres sont
présentées à Paris en 1921 lors d’une exposition organisée par André Breton. Il
pose les bases esthétiques du futur groupe surréaliste. Il expose au MOMA de
New-York en 1936. Après la Seconde Guerre mondiale, il s’exile aux Etats-Unis.
Son Hommage
à Rimbaud est une image énigmatique. S’agit-il d’un cyclone, d’un escalier,
d’un oeil, d’une simple vision ?
Max Ernst
Hommage à Rimbaud
Lithographie, vers 1960
Arthur
Rimbaud à Charleville-Mézières
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Natacha Polony au
tribunal.
La patronne de Marianne
avait déclaré sur France Inter en mars 2018 qu’il n’y avait pas eu lors du
génocide au Rwanda « d’un côté les gentils et de l’autre les
méchants ». Elle est jugée pour « contestation de l’existence de crime
contre l’humanité »
Nils Wilcke.
03 22
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