Première pendaison aujourd'hui.
Iels n'ont plus la brigade de surveillance des mœurs, mais iels ont toujours la peine de mort.
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La Chine et l'Iran sont dirigées par des tyrans.
Nantes révoltée
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Iran : appel au soutien international.
Génération extinction
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Iran : deuxième exécution.
La colère ne faiblit pas.
La Marseillaise
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En Chine, certains jeunes de moins de 30 ans préfèrent « rester couchés ». La jeune génération chinoise est plus riche, plus éduquée.
Beaucoup de jeunes chinois sont donc devenus adeptes du "lying flat"
("rester couché" en anglais) et privilégient le temps du repos à celui
du travail.
La jeunesse chinoise aspire à «rester allongée», une nouvelle philosophie de
vie et de travail baptisée «tang ping».
En Chine, c'est une petite révolution. Une révolution discrète qui se
joue dans la chambre à coucher.
«La condamnation à mort de Mahan Sadrat, l'un des accusés dans les récentes émeutes, a été suspendue».
Un jeune manifestant, Mahan Sadrat, 22 ans, arrêté en lien avec le mouvement de contestation
qui secoue l'Iran depuis trois mois, ''a été sauvé de la peine de
mort.
Nouvelles manifestations
en Iran au début du 4e mois de contestation.
Des centaines de personnes
ont été tuées et des milliers arrêtées dans le contexte de la contestation,
entraînant des condamnations internationales.
Des dizaines de personnes sont descendues dans la
rue vendredi dans le sud-est de l'Iran, selon des images partagées par des
groupes de défense des droits humains, alors que la vague de manifestations
déclenchée par la mort de Mahsa Amini entre dans son quatrième mois. Des
manifestants à Zahedan, chef-lieu de la province du Sistan-Baloutchistan, ont
scandé "Mort au dictateur", en allusion au guide suprême de la
République islamique, l'ayatollah Ali Khamenei, selon une vidéo vérifiée par
l'AFP et diffusée par Iran Human Rights (IHR), organisation basée à Oslo.
nouvelles-manifestations-en-iran-au-debut-du-4e-mois-de-contestation
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Des femmes sont arrêtées et emprisonnées en Iran pour avoir refusé de porter le hijab
obligatoire, dont des actrices célèbres comme Taraneh Alidoosti.
L'actrice Taraneh Alidoosti a été arrêtée le 17 décembre 2022 pour son soutien à la contestation qui
gronde en Iran depuis plusieurs mois.
Elle est la personnalité la plus renommée détenue en
lien avec le mouvement de contestation agitant l'Iran depuis trois mois.
Elle a joué dans « Leïla et ses frères ».
Taraneh Alidousti est une actrice iranienne, née le 12
janvier 1984 à Téhéran. Elle est notamment connue pour ses multiples
collaborations avec le cinéaste Asghar Farhadi.
Dans le cadre de cette répression, des acteurs
politiques et culturels ont été emprisonnés.
Les noms de deux célèbres actrices, Hengameh Ghaziani et Katayoun Riahi, ont été ajouté à la
longue liste des emprisonnés.
Iran : 400 personnes emprisonnées à la suite de manifestations.
Les appels à libérer l'actrice et militante iranienne sont de plus en
plus nombreux.
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Audiences de
trois minutes, preuves douteuses, avocats aux ordres… A quoi ressemblent les
procès des manifestants en Iran ?
(…) Il s'appelait Mohsen Shekari, il avait 23 ans et
travaillait dans un café de Téhéran. Il était accusé d'avoir bloqué une rue et
blessé un paramilitaire.
(…) Majidreza Rahnavard, 23 ans également, a été pendu
sur une place, en pleine nuit, sans que sa famille ait été prévenue de sa mise
à mort.
(…) Les activistes sont arrêtés en masse et jugés par des tribunaux révolutionnaires : dans chaque province du pays, ces juridictions spéciales,
créées par l'ayatollah Khomeini après la révolution de 1979, sont chargées de
traiter les affaires considérées comme ayant porté atteinte à la République
islamique. Ces instances sont à l'origine de la grande majorité des
condamnations à mort en Iran.
(…) "Le régime ne cible pas les jeunes
des beaux quartiers de Téhéran, même si eux aussi participent au mouvement. Ce
sont les pauvres qu'on exécute massivement."
Soheila Rahimi, avocate iranienne à franceinfo.
(…) Torture et viols.
Lui, et des centaines d'autres, se sont vu extorquer des aveux, preuves les plus éclatantes, selon le régime, de leur culpabilité. "La torture en Iran est institutionnalisée depuis des décennies", souffle l'avocat franco-iranien Hirbod Dehghani Azar, membre du collectif Iran Justice.
(…) Les avocats, des figurants pro-régime.
Sous pression, les manifestants finissent par
avouer les crimes qu'on leur impute. Leurs confessions forcées sont filmées et
diffusées à la télévision nationale, avant même le jour de leur audience. "Pourtant,
selon notre Code pénal, tant que le procès est en cours, personne n'a le droit
de publier l'image ou l'identité des accusés", pointe Ehsan
Hosseinzadeh.
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Astérix cogne un Taliban.
Par Vincent dit Vinz
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Vincent Chevalley
Khomeyni est jeté aux crocodiles
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Au lendemain de l'annonce de sa grève de la faim, le
cinéaste iranien multiprimé Jafar Panahi, 62 ans, a été libéré de la prison d'Evin.
Le réalisateur iranien Jafar Panahi a été libéré sous caution après sept mois de détention.
Le cinéaste iranien Jafar Panahi, emprisonné à Téhéran depuis depuis le 11 juillet dernier, a
été libéré.
2016/06/debat-sur-la-laicite-miramas
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