NDLR : iels rajoutent de l’angoisse à l’angoisse. Quel
cynisme.
Santé
mentale Rupture de médicaments
Quétiapine
Teralithe
Sertraline
Venlafaxine
« Usine
grecque Pharmathen ».
L'Humanité
Contexte de tensions sur plusieurs médicaments utilisés en santé mentale (quétiapine, sertraline, sel de lithium, venlafaxine, etc.). (ANSM).
Observée depuis l'été 2024, la pénurie en quétiapine est liée à un arrêt partiel de l'activité de l'usine Pharmathen International (Grèce).
Pourquoi la pénurie de quétiapine en France ?Observée depuis l'été 2024, la pénurie en quétiapine est liée à un arrêt partiel de l'activité de l'usine Pharmathen International (Grèce) en raison d'un défaut qualité. Ce fabricant fournit en temps normal 60 % de la quétiapine distribuée en France par sept laboratoires exploitants.
(Vidal).
En cause : un arrêt partiel de l'activité de l'usine Pharmathen International, en Grèce, qui fournit, en temps normal, 60 % de la quétiapine. (Santé mentale).
Quétiapine – neuroleptique souvent prescrit pour
traiter la schizophrénie, la bipolarité et certaines dépressions. (BFMTv).
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Santé mentale
Hospitalisations psychiatriques
Enfants
Personnel insuffisamment formé surchargé et désemparé
D Simonnot.
L'Humanité
Un rapport officiel, publié le 4 décembre 2025, alerte sur les graves atteintes aux droits fondamentaux des enfants hospitalisés en psychiatrie. Dominique Simonnot, contrôleure générale des lieux de privation de liberté, dénonce des pratiques inadaptées et des conditions de prise en charge inacceptables.
En 2023, 52 000 enfants âgés de 4 à 17 ans étaient hospitalisés en psychiatrie, selon l'agence technique de l'information sur l'hospitalisation (ATIH). Ces hospitalisations, souvent demandées par les parents ou découlant d'une décision de justice, entraînent des atteintes aux droits garantis par la Convention internationale des droits de l'enfant et le Code de la santé publique.
Le rapport met en évidence un manque de formation adéquate et une surcharge de travail parmi les professionnels de santé, ce qui conduit à des approches inadaptées.
Les enfants subissent des privations de liberté illégales, des contentions prolongées (pouvant durer plus d’une journée) et un isolement excessif.
Certains établissements sont dans un état de délabrement avancé, aggravant les conditions de prise en charge.
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