Grégoire de Tours
538 - 594
L’Histoire des rois Francs.
Editions Gallimard – 1968 (traduction française)
Cathédrale
I – Frédégonde.
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Godin meurt. Rauchingue, violent et rusé, épouse sa veuve, Berthe. |
Frédégonde, à Soissons, s’oppose à Mérovée, à Tours. |
Grégoire de Tours protège Mérovée. Leudaste, comte de Tours, soutient Frédégonde. |
P 106 - 113 |
Problème pour Grégoire de Tours |
Frédégonde naquit d'humbles parents, à Montdidier, en
Picardie ; elle était douée d'une beauté remarquable, d'un génie puissant.
(France pittoresque).
Godin fut maire du Palais de la Bourgogne de 626 à sa
mort en 627. Il est le fils de Warnachaire II , un maire de palais lui-même
fils de Warnachaire Ier .
Cependant Clothaire II parvint tout de même à le faire assassiner en
627.
Rauchingue est un Dux Francorum (duc des Francs) du VI
siècle. Il est cité par Grégoire de Tours dans le livre IX de ses Decem libri
historiarum.
La reine Frédégonde ayant
donné un fils au roi de Soissons, Mérovée tente ainsi de se donner
une légitimité pour hériter du trône d'Austrasie.
(Wikipédia).
Frédégonde ordonne à Gontran. (meurtrier de Théodebert)
d'inviter. Mérovée à
le rejoindre à Tours pour
le livrer à la Neustrie en échange de sa liberté. (Université de Mons).
Mérovée désirait alors s'emparer d'une partie du royaume
de son père afin de ne pas être écarté de l'héritage par les fils de Frédégonde. (Cairn).
Aux origines de cette dynastie (mérovingienne, NDLR), on trouve un personnage à demi mythique : Mérovée, le deuxième roi des Francs saliens, sorte de demi-Dieu. (Géo).
Celui-ci étant mort et Chilpéric lui ayant
succédé, Leudaste rentra
dans les fonctions de comte. Mérovée étant venu à Tours, lui enleva tout ce qu'il
possédait. (Site de Philippe Remacle).
Retournement de situation : Pour se venger et rentrer en grâce auprès du
roi, il ne tarde pas à accuser d'adultère, avec la complicité de l'évêque de
Bordeaux, la reine Frédégonde.
(Wikipédia).
Le pouvoir de l'évêque de Tours se
heurtait à celui de son ennemi juré, le comte Leudaste. Les deux hommes n'auraient guère pu s'opposer
davantage. (Cairn).
Suspecté de complaisance avec Mérovée, Grégoire de Tours est accusé de félonie. (Wikipédia).
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Frédégonde inspire la crainte avec ses manigances. |
Désinformation : Frédégonde fait courir le bruit que Mérovée a demandé à mourir. Il a été tué par un proche avec une épée dans le cœur. |
Grégoire de Tours refuse d’obéir aux ordres de Chilpéric. |
P 123 |
Grégoire de Tours est convoqué et explique qu’il obéit aux ordres de Dieu. Il refuse de condamner Prétextat, évêque de Rouen, qui a marié Mérovée et Brunehault. |
Parmi les fidèles sur lesquels Frédégonde s'appuie et
qu'elle protège, Grégoire de Tours mentionne explicitement
Egidius, évêque de Reims et Gontran Boson. (Cour de France).
Fredegund évolue d'une reine apparemment impitoyable à
quelqu'un qui lutte contre un chagrin profond, la culpabilité et la peur de
perdre son pouvoir. (Bookey app).
Toutes les critiques dénonçant sa sexualité et son
incapacité à endosser ses fonctions
maternelles convergent pour la dépeindre comme une femme dénaturée. (Open
edition journal).
La reine Brunehaut est décrite généralement comme une souveraine intransigeante, entrainée dans des batailles féroces durant son règne. (Université de Mons).
Deux hypothèses s’opposent : Mérovée
est capturé en chemin et livré à son père. Par peur du châtiment, Mérovée demande à un ami de
le tuer. (Université de Mons).
S'il n'était pas mort ainsi, Mérovée aurait sans doute
succombé sous les coups de Frédégonde. (France pittoresque).
Frédégonde reprend la main en tuant Mérovée et en se débarrassant des autres enfants de son mari. (Florilèges journal).
Le mariage de Brunehaut avec Mérovée fut béni en 576, à Rouen, par saint Prétextat, qui était évêque de cette ville depuis
l'année 549. (Paroisse de Limoges).
L'année suivante, Mérovée et Brunehilde se marient devant l'évêque Prétextat. L'évêque de Rouen est condamné à la déposition et à
l'exil sur une île. (Wikipédia).
L'effroi est à l'évêché ; Prétextat tremble pour ses protégés et cherche le moyen de soustraire au sort qui les menace les deux infortunés que sa main a unis. (Méditerranée antique).
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Frédégonde veut acheter Grégoire de Tours avec 200 livres d’argent |
Prétextat avait baptisé Mérovée. Il le considère comme son fils. |
Frédégonde veut faire mourir son enfant Samson, à Tournai, de peur de mourir de dysenterie. |
P 128 |
Childéric s’y oppose. Guéri, Samson mourra à cinq ans. |
"Grégoire
de Tours est né en 538. Après avoir étudié la Bible à
Clermont-Ferrand, il a été élu évêque de Tours à l'âge de trente-quatre ans.
(Fnac).
Frédégonde propose 200 livres d'or pour corrompre l'évêque de Rouen.
(Persée). ( ?)
Sur le point d'être arrêté Grégoire refusa les deux
milles livres d'argent. (Open
edition book).
Il tient notamment tête au roi Chilpéric Ier, puis à la reine Frédégonde qu'il accuse d'être responsable du meurtre de l'évêque Prétextat. Il s'éteint à Tours. (Booknode).
Tout semblait perdu, Tournai désormais assiégée par
Sigebert, Frédégonde en
train d'accoucher d'un fils prénommé Samson. (Canalblog).
Après la mort de Mérovée, Frédégonde et son fils Samson contractèrent la dysenterie. (Cairn).
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A Paris, une femme est jugée pour avoir quitté son mari pour un autre homme. Elle sera pendue pendant la quatrième année du règne de Childebert II |
Frédégonde a deux enfants atteints de dysenterie, dont Clodebert. Elle a peur de perdre ses héritiers. Elle demande à Childéric d’annuler les impôts qui suscitent la haine du peuple, par repentir. |
Mais le plus jeune enfant du couple meurt. |
P 133 - 138 |
Clodebert meurt plus tard à Soissons. Le couple n’a plus d’héritiers. |
Sous le règne de Childebert II, une femme est accusée à Paris d'avoir abandonné son
mari pour suivre un autre homme. (Cairn).
La décrétion de Childebert (du latin decretio, « décision ») est un texte qui organise et
modernise la justice et la police en Austrasie, réforme la loi. (Wikipédia).
Le droit de répudiation est reconnu entre mari et femme pour certaines causes et si elles sont prouvées. (The roman law library).
A nouveau, les protestations fusent de toutes parts, spécialement des villes qui excipent de leurs privilèges pour échapper à la taxation. (Open edition books).
Ses propres enfants meurent en bas âge : le petit Samson, né pendant le siège de Tournai fin 575, mort avant 5 ans, ses frères Dagobert (580 – 580) et Chlodebert (565/570 – 580) en septembre – octobre 580 ; Thierry (582 – 584). (Wikipédia).
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Austrégilde, meurt de dysenterie. |
Avant de mourir, elle accuse les traitements des médecins et demande de les faire mourir par le glaive. Gontran devient un meurtrier. |
Frédégonde et Chilpéric, en deuil, se retient à Villers-Cotterets. Seul Clovis survit parmi les fils. Sa mère était Audovère. |
P 139 |
Clovis aime une jeune fille, accusée de sorcellerie et de sort jeté sur les deux enfants décédés. La jeune fille est fouettée, cheveux coupés. La mère avoue sous la torture. |
Austregilde est une reine franque du VIᵉ siècle. Elle
est peut-être une servante de la reine Marcatrude, deuxième femme de Gontran.
Après la répudiation de celle-ci, elle devient la troisième femme du roi
Gontran dont elle a au moins quatre enfants, dont deux fils morts jeunes.
Grégoire ajoute qu'Austréchilde, femme du roi Gontran
tombe malade et meurt également. (Wikipédia).
Austregilde a été l'épouse du roi
Gontran, qui gouverna la
Bourgogne. Celle-ci serait morte empoisonnée par ses médecins. (JSL). ( ?)
Le roi Gontran avait eu pour femme Austregilde : elle mourut dans une grande épidémie qui ravagea les Gaules. (Méditerranée antique).
Frédégonde. Frédégonde
pleure la mort de son fils et soupçonne la sorcellerie, ce
qui l'amène à accuser et exécuter des sorcières présumées. (Bookey app).
Ce dernier lui répondit que l’exécution promise des médecins ne devait pas peser sur sa conscience. C’est alors que Gontran fit tuer les deux médecins et les enterra dans un tombeau proche de celui d’Austregilde. (JSL).
Clovis (ou Chlodowig), fils de
Chilpéric et d'Audovère reste seul héritier. (E mon site).
Cette complice, c'était cette jeune fille qu'aimait Clovis : quelques lites, gagnés
sans doute, l'accusaient d'user de magie. (France pitoresque).
Les femmes accusées de sorcellerie étaient regardées comme véritablement sorcières lorsqu'elles voulaient pleurer et qu'elles ne le pouvaient. (Wikisource).
Frédégonde fait mourir son beau-fils Clovis et sa mère Audovère. (Méditerranée antique).
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Chilpéric est assassiné à Chelles. Frédégonde, veuve, se retire dans une église à Paris. |
Clotaire II a quatre mois. Frédégonde était une meurtrière. Le père et l’oncle de Childebert ont été poignardés. Sa tante a été étranglée. Ses cousins ont été égorgés. |
Gontran protège Frédégonde. Il n’a pas d’enfant et prend en charge ses neveux. |
P 176 |
Chilpéric a été assassiné un soir à
Chelles, en septembre 584. On ne
sait pas précisément comment cela s'est passé. (Actu).
En 584, Frédégonde fait assassiner son mari,
Chilpéric, à Chelles, par l'un de ses amants, Landry, alors qu'il revenait de
la chasse. (Les favorites royales). ( ?)
Qui a tué Chilpéric ?
Le roi Chilpéric revient de la chasse. Un
peu fatigué, il prend appui sur l'un de ses serviteurs pour descendre de
cheval. Mais le valet sort un
couteau et poignarde son souverain : une première fois à l'aisselle, la seconde
au ventre. Chilpéric s'effondre.
(Magazine Historia).
Étrangère ou non à la mort tragique de Chilpéric, Frédégonde, toute à la difficulté de
sa position, ne songea pas même à rendre les derniers sacrements. (France
pittoresque).
Chilpéric Ier, roi des Francs, est assassiné à Chelles en 584, au retour d'une chasse. Mais pourquoi ? (Chelles).
Brunehaut, comme Frédégonde sont présentées sous les traits de
maniaques de l'assassinat. (Persée).
On lui attribue pas moins de 11 meurtres présumés en
l'espace de presque 30 ans ! (Europe 1).
Il est à noter que ses contemporains n'hésitent pas également à user
du meurtre et de la torture. (Wikipédia).
Mort de Sigebert, assassiné par deux tueurs aux ordres
de Frédégonde, la
reine de Neustrie (un royaume situé dans la région de Soisson). (Radio France).
Mais, au VIIIe siècle, l'auteur du Liber Historiae
Francorum lui attribue un nouveau meurtre: celui de son mari, Chilpéric Ier.
(Siefar).
Ayant ainsi ensanglanté le royaume, Frédégonde fut soupçonnée du
meurtre de son mari en 584. Elle demanda alors la protection de son frère par
alliance. (Libre savoir).
Elle enferma Audovère dans un cloître, et fit
assassiner Prétextât,
l'évêque de Rouen, qui avait béni le mariage de
Galswinthe avec Chilpéric.(Savoirs
d’Histoire).
Frédégonde envoie des hommes dans le monastère où Basine
et sa mère
vivent. →Meurtre d'Audowère et viol de Basine qui perd sa valeur politique.
(Université de Mons).
Galswinthe - Frédégonde n'est pas à un crime près. Elle fait étrangler
la malheureuse dans son lit au cours d'une nuit. On image la fureur de la sœur,
Brunehaut. (Académie de Versailles).
Cependant Gontran voulait punir le meurtre de Prétextat : Frédégonde comprit qu'elle était en péril ; elle livra elle-même le meurtrier. (France pittoresque).
Gontran protégeait Frédégonde,
et l'invitait souvent à des repas, lui promettant qu'il serait pour elle un solide
appui. (Site de Philippe Remacle).
Gontran exerce en quelque sorte la
tutelle sur ses neveux, tutelle
qui persisterait même si Gontran avait ensuite des enfants. (Persée).
En 584, après la mort de Chilpéric Ier, elle fait
appel au roi Gontran,
qui accepte de devenir le parrain et le protecteur de son jeune fils. (Siefar).
Contre l'avis de Frédégonde et peut-être pour montrer son autorité, Gontran démet Melantius du siège épiscopal de Rouen, qui est rendu à Prétextat. (Généanet).
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Frédégonde conspire contre Gontran. Sa lettre secrète est interceptée. |
Elle veut faire empoisonner Childebert et Brunehault avec 2 poignards, par deux clercs. |
Ils doivent boire un breuvage qui leur donne force et courage (potion magique ?) |
P 223 |
A Soissons, les clercs sont arrêtés, jetés en prison, torturés puis tués. |
Elle tenta, mais sans succès, de
faire assassiner Gontran ;
ses satellites furent découverts à l'église
où ils devaient accomplir le crime. (France pittoresque).
En 592, Gontran meurt à l'âge de 67 ans. Childebert
hérita de son royaume. Gontran mort, Frédégonde resta sans défense. (Les favorites
royales).
En 593, Frédégonde vainc Childebert, le fils de sa rivale à Droissy, puis en 596, elle défait Brunehaut elle-même à Laffaut. (WordPress).
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Frédégonde, à Rouen, se dispute avec l’évêque Prétextat. |
Menaces de Prétextat : « Si lui part en exil, il restera évêque, mais elle ne restera pas reine ». |
De rage, elle le fait assassiner en pleine église. |
P 229 |
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Au dîner de Gontran était présent un autre invité, un
ennemi de longue date de Frédégonde,
l'évêque Prétextat. (Cairn).
En 580, il fut tenu un autre concile à Paris, au sujet
de ce saint évêque accusé
faussement de plusieurs crimes de lèse-majesté, par l'instigation de Frédégonde. (Free).
Elle reçut avec colère
l'évêque Prétextat que
les habitants de Rouen,
après la mort du roi, rappelèrent de l'exil et rétablirent dans sa ville. (Site
de Philippe Remacle).
Saint Pretextat, évêque de Rouen, martyr. Pretextat, qui devint évêque de Rouen vers 544, fut mêlée aux
luttes qui opposaient les reines Brunehaut et Frédégonde. (Diocèse de Rouen).
Le calme revient dans le royaume où les tensions
s'apaisent enfin et Frédégonde elle
est envoyée à Rouen sous surveillance de l'évêque Prétextat. (Wordess).
Comme évêque de Rouen, il défend vigoureusement les
droits de l'Église et dénonce les agissements de la cour royale, en particulier
ceux de la reine Frédégonde. (Nominis).
Pour dissimuler son crime Frédégonde vint lui rendre visite
sur son lit d'agonisant. Le prélat eut encore la force de dénoncer son forfait.
(Down under).
Le jour de Pâques 586, Prétextat est assassiné en
pleine messe devant l'autel par un serf qui aurait été payé par Frédégonde et des rivaux.
(L’Histoire par les femmes).
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Frédégonde fait empoisonner un chef Franc, mécontent de cet assassinat. |
Faïleube est l’épouse de Childebert II. Elle est dévouée à Brunehault. |
Ils ont un fils Théodebert. |
P 234 |
Leugivild se convertit à la religion catholique. Il renonce à l’arianisme, avant de mourir. |
Cependant Gontran voulait punir le meurtre de Prétextat : Frédégonde fait massacrer trois chefs, pour abattre leur parti par
leur mort.
(France pittoresque).
Faileube (en latin Faileuba) est une reine franque de la fin du VI e siècle.
Elle meurt après 596. Elle épouse le roi d'Austrasie Childebert II.
Époux de Faileube, une reine dont on ignore les
origines, Childebert II eut
pour enfants Thibert II et
Thierry II ,
ainsi que la princesse Thidilane.
(Wikipédia).
Brunehaut a montré du dévouement pour ceux qui servaient sa cause. (France Pittoresque).
Dates de règne différentes :
Thibert est le fils de Childebert II , roi d'Austrasie de 575 à 596, roi de Burgondie
(Chalon) de 592 à 596, petit-fils de Brunehilde et de Sigebert I. (Wikipédia).
Fils de Childebert
II. Théodebert II (ou
Thibert II) succéda
à son père sur le trône d'Austrasie en 595. (Encyclopaedia Universalis).
Adaloald, la fille aînée de ses secondes noces, se
mariera avec Théodebert II, fils de Childebert II roi d'Austrasie.
(Free).
Théodebert est le fils ainé
de Childebert 2, il est vaincu par son frère
Thierry qui l'enferme, sa grand-mère Brunehau le fait assassiner. (Histoire
France).
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Frédégonde va user de la hache pour clore une dispute entre les habitants de Tournai et les Francs au sujet d’un homme qui délaissait sa femme au profit des prostituées. |
Trois chefs ennemis sont étêtés pendant une fête. |
Soulèvement. Frédégonde est arrêtée puis délivrée par le peuple de Champagne. |
P 280 |
La fin de Frédégonde a été difficile. |
L'histoire de la ville de Tournai commence avec sa fondation, très probablement à l'époque romaine, dans la province de Belgique.(Wikipédia).
Après la mort de Gontran, en 592, elle se déchaîne de
nouveau contre Brunehaut. ... Elle meurt en 597, probablement de cause
naturelle. (Siefar).
Mort naturelle pour Frédégonde, supplice pour Brunehaut. Leur rivalité durera
jusqu'en 597. (Paris-Match).
Frédégonde meurt paisiblement dans
son lit en 597. Elle laisse à
son fils, Clotaire II, le soin de poursuivre la lutte contre sa rivale.
(Académie de Versailles).
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