Aux USA et en France : "T'as les moyens. T'auras tout. T'as pas les moyens? T'auras rien." "Tu veux mourir de mort violente? Tu te fais contrôler par la police." Le sexe n'est pas un "travail". Soutien aux Palestinien-nes , aux Libanais-es, aux Iranien-nes. En 1832, Jeanne DEROIN disait : "Plutôt le célibat, que l'esclavage (NDLR : du mariage)". En 2024, 1 adulte français-e sur 3 est célibataire. 617 530 vues. Google attaque mon blog en supprimant des articles. Je vais sur Qwant maintenant.
Les
artistes arrivent par l’arrière, de chaque côté des spectateurs. Les femmes
sont vêtues de robes noires striées de lignes de couleur et les hommes portent
des masques artisanaux en bois.
Un
chaman regroupe la troupe autour de lui en faisant vibrer les clochettes fixées
sur son bâton.
Un
montage de trois longues barres de bambou fixées entre elles va tournoyer sur
la scène. Les acrobates vont sauter dessus, s’installer dans le grand panier
arrimé au bout des trois barres.
Le spectacle
mélange les numéros d’acrobatie et des chants rythmés par les percussions, le
tout dans une poésie nimbée de couleurs. Les rythmes alternent entre la lenteur
et le rythme endiablé et énergique des danses collectives. C’est souvent
virevoltant et trépidant. Les danses tribales font penser à celles des Indiens
d’Amérique.
Parfois,
une imprécation provient du néant. Les dieux sont invoqués.
Les
acrobates témoignent d’un abandon d’eux-mêmes dans un extrême contrôle, tout en
faisant confiance à leurs partenaires.
Les
instruments qui accompagnent sont un luth*, les flûtes, le xylophone, la flûte traversière,
des tambours, etc.
Ils
utilisent des paniers portant des bougies, des balles, des longs morceaux de
bambou recourbés, des gros bambous fixés à une corde verticale qui vont occuper
l’espace dans une danse magique, des bâtons qui sont envoyés entre les
partenaires dans un ballet flamboyant, des bambous qui forment un collier
autour des cous, des javelots qui construisent des structures complexes.
Le
spectacle est millimétré pour que les figures géométriques dans l’espace
puissent être réalisées avec art.
La
lumière est une actrice à part entière du spectacle.
Les
hommes dégagent leur puissance. La beauté des corps est mise en valeur. Les
femmes dégagent leur grâce alliée à leur technique.
A la
fin, le public s’est levé en standing ovation.
Portrait de Charles
MOUTON gravé par Gérard EDELINCK (Anvers 1640 – Paris
1707) d'après un tableau de François de TROY (Toulouse 1645 – Paris 1730) édité à Paris chez Buldet rue de Gevres
Charles Mouton (vers 1626 - vers 1699) est un luthiste
français, également compositeur pour son instrument. On ne connaît presque rien
sur lui.
Sa réputation semble être bien établie vers 1656. Il
est à Paris vers 1664 et enseigne le luth à des élèves de marque. Il est de
nouveau à Turin en 1673.
Charles MOUTON naquit à Rouen vers 1626. Luthiste, il
a composé plus de 120 pièces pour son instrument. Après des débuts auprès des
ducs de Savoie à Turin, il enseigna à Paris à partir de 1660. Il mourut vers
1699.
Charles Mouton est l'un des plus illustres représentants de
luth en France.
Feu Pierrot, ballet-pantomime en deux actes de Charles Mouton, musique de Emile
Schvartz, mise en scène et chorégraphie de Mme A. Gedda.
Pièces De Luth Sur Différents Modes:
Cher Mouton à te voir si
bien représenté Par des charmes secrets je me laisse surprendre, Je suis de ton portrait doublement enchanté, Je te vois et je crois t’entendre.
Guerre
du Vietnam : à quoi servait l’agent orange ?
(…) La
dépollution, qui va durer quatre ans, est prise en charge par l’USAID en
collaboration avec le gouvernement vietnamien et d’autres donneurs. Le budget
total est de 43 millions de dollars (34,8 millions d’euros).
Concrètement, 73 000 mètres cubes de terre vont
être extraits de l’aéroport et chauffés à une température élevée afin de faire
disparaître la dioxine.
Très tardif pour de nombreuses associations de défense des
victimes, ce soudain engagement des Etats-Unis dans la
dépollution coïncide avec les mouvements militaires de la Chine en
mer méridionale. Vietnam et Etats-Unis chercheraient à resserrer leurs
liens pour faire obstacle aux ambitions chinoises.
Les Américains, pendant la guerre du Vietnam, ont voulu:
- faire disparaître les forêts
- empêcher les cachettes pour les soldats vietnamiens
- détruire les récoltes ennemies.
Vietnam's
Toxic Legacy: This episode investigates claims by doctors in Vietnam
who believe that agent orange is causing life threatening health problems for a
whole new generation of children. The toxic herbicide was dropped on Vietnam by
US forces during the war over 40 years ago. Reporter Ade Adepitan travelled to Vietnam to
investigate the ongoing legacy of Agent Orange.
Subscribe to our channel for more Unreported World episodes http://bit.ly/2eUxoWX
This Unreported World episode was first aired on Channel 4 on 28/10/2016.
L'héritage toxique du Vietnam:
Cet épisode examine les affirmations de médecins
vietnamiens qui croient que l'agent orange cause
des problèmes de santé potentiellement mortels
pour une toute nouvelle génération d'enfants.
L'herbicide toxique a été largué sur le Vietnam par
les forces américaines pendant la guerre il y a
plus de 40 ans.
Le journaliste Ade Adepitan s'est rendu au Vietnam
pour enquêter sur l'héritage actuel de l'agent Orange.
Il s'agit d'un déchet de fabrication qui a rendu l'Agent Orange vingt fois plus dangereux que le produit d'origine.
Kim Vo Dinh
07 20
--------------------
Les effets de la dioxine : cancers, malformations congénitales, cécité, surdité, autisme, retard mental...
---------------------
‘Bombs and bullets were like rain’: 50 years on from the fall of Saigon and the end of the Vietnam war.
The Guardian
« Les bombes et les balles étaient comme de la pluie » : 50 ans après la chute de Saigon et la fin de la guerre du Vietnam.
Les
Cham sont mieux connus grâce aux pierres sculptées et aux poteries. Ils ont
joué un rôle important dans leur culture et art traditionnel. La poterie Cham
semble avoir hérité de nombreuses caractéristiques de la poterie de Sa Huynh. Elle
utilise les mêmes pigments, les mêmes techniques de fabrication et les mêmes
températures de cuisson. La poterie ne sert pas qu’à des fins domestiques pour
recouvrir les toits et les sols, mais est aussi décorative. Elles décoraient
les angles des murs et des fondations des temples tours des Champa. Les Cham
cuisinaient dans des pots, gardaient l’eau dedans et l’utilisaient pour leur
vaisselle dans des formes et des tailles différentes.
Les
fouilles ont révélés dans la province de Dinh Binh les vestiges de nombreux
fours datant du 14e et du 15e siècle. Connus comme les
fours de Go Sanh, ils ont produit une grande variété de poteries utiles et
décoratives. La poterie de Go Sanh est considérée comme étant un pont entre la
poterie Cham et la poterie de Dai Viet*. Ces traditions sont préservées jusqu’à
nos jours par les artisans du centre du Viet Nam.
*Đại Vit (大越, IPA: [ɗâjˀ vìət], Grand
Viêt) est le nom du Vietnam pendant les périodes de 1054 to 1400 and 1428 to
1804.
Phu Hung
Le
site Phü Hung a été découvert au début du 20e siècle à environ un
kilomètre au sud-est de du groupe de tours de Khuong My, dans la commune de Tam
Xuan 1.
Au
début des années 1990, un grand nombre de sculptures en grès ont été
découvertes là. Datant du 11e au 13e siècle, les objets
trouvés sur le site de Phu Hung décrivent en majorité des dieux Hindous
Brahmaniques incluant Shiva, Vishnu et Brahma. Sont aussi représentés des
animaux sacrés et divins, tels que Garuda, le cygne Hamsa, des éléphants et
Makara le dragon des mers.
Le nombre
et l’importance des statues représentées indiquent que le site était un
complexe de tours d’un temple important des anciens Cham.
Chien
Dan
Le
site de Chien Dan est un groupe de tours du temple Hindou comprenant trois
tours en briques localisées dans la commune de Tam A, dans le district Phu Ninh
dans la province de Quang Nam.
Des
dates sont écrites sur le site et les caractéristiques de cet art et du style
architectural indiquent que le site date du 11 ou du 12e siècle.
Durant
cette période, l’architecture Cham se développe de manière indépendante. Mais
d’autres influences de royaumes de diverses régions du Sud-est de l’Asie se
font ressentir de la civilisation Khmer du Cambodge (les créateurs de Angkor)
et du royaume de Bagan de Birmanie.
En
1989, pendant une fouille archéologique, des experts polonais ont découvert un
grand nombre de statues en grès et des ornements architecturaux, incluant des
représentations de dieux Hindous et des animaux divins, ainsi que des thèmes de
décorations florales.
Khuong
My
Les
ruines de Khuong My se situent dans la commune de Tam Xuan 1, dans le district
de Nui Thanh, dans la province de de Quang Nam. Elles datent du 10e
siècle.
Les
objets trouvés dans ce site ont été apportés dans ce musée au début du 20e
siècle et comprennent un autel, deux Dvaraplas, et trois tympans avec des
sculptures des dieux Hindous Shiva et Krishna.
Après les années 2000, les fouilles ont permis de découvrir
les fondations du temple et de nombreuses décorations de dalles en pierre avec
des scènes du Râmâyana*.
*Le
Râmâyana, c'est-à-dire « le parcours de Râma », est la plus courte des deux
épopées mythologiques de langue sanskrite composées entre le IIIᵉ siècle av.
J.-C. et le IIIᵉ siècle de notre ère. Constitué de sept chapitres et de 24 000
couplets, le Râmâyana est, comme le Mahâbhârata, l'un des textes fondamentaux
de l'hindouisme et de la mythologie hindoue.
Quang
Nam
Cette
partie de la province de Quang Nam est un centre important du royaume des
Champa. De nombreuses ruines et reliques ont été trouvées là, y compris la
citadelle de Trà Kiëu, le sanctuaire de My Son et le monastère de Dong Duong.
La richesse et l’importance des artéfacts trouvés dans ces trois sites ont fait
gagner leur place dans une galerie du musée.
Il y
a de nombreux autres sites Cham dans la région de Quang Nam. Certains sont
connus depuis le 20e siècle, d’autres depuis 1975. Les sites les
plus significatifs sont Khuong My, An My, Phu Hung et Chien Dan.
Les
sculptures collectées dans ces régions révèlent une image complète de l’art
Cham dans ses différents styles et pendant les diverses périodes du royaume des
Champa.
La
fosse de cérémonie du Temple-tour de Cam Mit
Les
fouilles à Cam Mit ont eu lieu entre le 15 septembre et le 20 décembre 2012.
Elles ont révélé les fondations d’un complexe de tours-temples des Cham,
incluant trois tours adjacentes sur un axe Nord-Sud avec une entrée à l’est.
Trois
fosses de cérémonies ont été découvertes dans les fondations des trois tours,
semblables à celles découvertes à Phong Lé, et comprenant aussi des cellules,
des pierres, des briques, des pièces en or et des cristaux de quartz.
Les
fouilles ont révélé des artéfacts ajoutés, avec cinq petites balles en cristal
et six pièces en or, chacune estampillée avec la forme d’un éléphant.
Fosse
de cérémonie, temple-tour de Phong Lê.
Durant
les fouilles de Phong Lê en 2011/2012, les archéologistes ont découvert une
fosse de cérémonie dans la tour. Recouverte par du sable blanc et de gravier,
elle mesure 4,20 mètres de haut, 3,90 mètres à sa base et 1,80 mètres de
profondeur.
Au
fond, les archéologistes ont découvert 8 petites dépressions ou cellules le
long des murs de cette fosse, au nord, Sud, est et ouest, ainsi qu’au nord est,
sud est, nord ouest et sud ouest.
Dans
chaque cellule, on a trouvé une place en brique sur une pierre ronde, avec une
pièce en or de 1 sur 2 cm sous chaque pierre. Les cellules et leur contenu
étaient recouverts de sable blanc.
Juste
à côté de chacune de ces cellules était placée une grande pièce de quartz* blanc
avec du cristal au-dessus.
Chacune
des huit cellules a une structure identique et contient les mêmes objets,
retrouvés intacts. On ne peut malheureusement pas en dire autant pour les
artéfacts qui ont été fouillés dans le passé.
*
Corte
Musée de Corse
Quartz
Phong
Lê
Le
site de Phong Lê est situé à 10 km au Sud ouest de Dà Nang, dans la commune de
Hoà Tho Dong du district de Cam.
Au
début du 20e siècle, C. Paris, propriétaire de la plantation de
Phong Lê, obéit à un ordre du gouvernement français de collecter les statues
Cham trouvées là. Il les transporta à la Ville des Jardins de Dà Nang et plus
tard, elles furent dispersés dans le musée Henri Parmentier (maintenant devenu
la Musée de Dà Nang des sculptures Cham).
Après
les fouilles de C. Paris, le site a été négligé et devint recouvert de
végétations. En mars 2014, pendant la construction d’une nouvelle maison, les
résidents locaux ont découvert 3 objets en pierre et une partie d’un mur de
fondation. Des experts du Musée des sculptures Cham ont fouillé le site et ont
identifié des objets archéologiques de la dynastie Cham dans la ville de Dà
Nang.
Dà
Nang
La
collection de Dà Nang contient de nombreux objets qui ont été trouvés avant
1975 dans les sites de Phong Lê, Qua Giang et Xuan Duong.
Les
investigations archéologiques des 40 dernières années ont permis de découvrir
des sculptures, des inscriptions et des restes architecturaux du royaume Cham
qui a prospéré dans cette zone entre le 9e et le 13e
siècle.
Quang Binh, Quang Tri, Thua Thiên
Huê.
Huê
est situé au nord du passage de Hai Vân, et est considéré comme la partie la
plus au nord de l’ancien royaume des Champa. Il ne reste qu’un seul temple dans
cette zone, découvert en 2001 à My Khanh Ward, dans la commune de Phu Diên,
dans le district de Phu Vang.
Pendant
ces fouilles du temple, on découvrit de nombreux artéfacts et des restes
architecturaux, incluant des inscriptions qui dataient du 6e au 10e
siècle. Elles donnent des informations sur la construction des temples Cham
dédiés à Shiva et aux monuments de Bouddha.
Le
style artistique de cette partie nord du royaume des Champa établit la preuve
de l’unification de cette région avec le sud, à Dà Nang et Quang Nam, pendant
le 9e et le 10e siècle.
Homkar
Omkar
est un mot d’origine de l’ancien Sanskrit Indien*.
Ce
mot représente le son « OM ». Ce son et cette écriture sont
considérés comme sacrés et sont utilisés dans les mantras de l’hindouisme et du
bouddhisme. Ils apparaissent parfois ausommet des stèles Cham, et des variantes sont utilisées par la
communauté Cham jusqu’à nos jours, avec différentes interprétations.
Le
Omkar exposé a été peint par l’artiste Dang Nang Tho en 2014.
*Le
sanskrit ou sanscrit est une langue indo-européenne de la famille indo-aryenne,
autrefois parlée dans le sous-continent indien. De nos jours, certains érudits
le parlent encore et publient des œuvres académiques ou tiennent des colloques
en sanskrit.
Bouddha
Cette
statue de Bouddha est un exemple caractéristique de la sculpture Cham trouvée à
cette date. Elle a été découverte pendant les fouilles à Dong Duong en 1902.
Les
jambes ont été découvertes dans les décombres de l’Enceinte III, dans laquelle
il y avait un Vihara (hall pour les moines bouddhistes). Le torse a été trouvé
dans ce qui devait être l’Enceinte I.
Pendant
la même période, deux têtes aux tailles correspondantes ont été découvertes sur
le site de Dong Duong. On a vérifié leur ajustement. La coupure du premier cou
ne permit pas de l’ajuster tandis que la seconde tête sembla plus adaptable.
La seconde
tête a été transportée à Ha Noi avant 1936 et est toujours dans la collection
du Musée Historique du Vietnam Nombre LSb 21185). La tête présentée ici est un
moulage de la seconde tête dans l’intention de correspondre avec l’Inventaire
Descriptif des Monuments Cams de l’Annam – Tome I, 1909, p503, photo 3- de
Henri Parmentier.
Maquette de temples
Maquette d'un temple
Pied entouré de seins
Scène avec un cheval
Tissage
Les
premiers temples ont été fabriqués en bois au 4e siècle. Ils ont été
détruits par un incendie au 6e siècle. Les Cham les ont reconstruits
en briques au 7e siècle. Du 5e au 13e siècle,
il y a eu environ 70 temples. Mais, après les bombardements américains, la
plupart des temples ont été détruits. Il n’en reste que 11 ou 12 temples en
partie détruits.
Jusqu’à
maintenant personne ne connaît la technique de construction de ces temples en
briques. Les archéologues envisagent quelques hypothèses.
Les
briques ont été bien meulées et superposées les unes sur les autres. Tout l’ensemble
du temple a été cuit dans le feu. La terre argileuse permet de les coller.
Ou
bien, les Cham ont fabriqué un mortier particulier avec la résine de la mélasse
de canne à sucre mélangée à la chaux ou à la terre argileuse.
Les vers à soie au Vietnam.
Dans le musée Champa à Da Nang, au musée d'ethnographie de Hanoï, et dans une filature.
Les vers à soie mangent les feuilles de mûrier.
Le tourisme, les ponts, la décoration de la ville, le bambou, les fils électriques à Da Nang.
Comment s'occuper dans le palais impérial? Musique, eunuques, cité interdite…
---------------------------------------------
Birmanie: campagne pour
lutter contre le harcèlement sexuel dans les bars de Rangoon.
(…) L'objectif est
d'inciter les victimes à demander de l'aide au personnel du bar, mais aussi à
former les employés pour qu'ils apprennent à réagir. Un défi important dans un
pays où les sujets liés à la sexualité sont encore largement tabous.
INCROYABLE ! Plus de 5
millions de femmes indiennes forment une chaîne humaine de 650 km. Voici les
raisons !
(…) Pourquoi
l’interdiction est-elle si politique ?
La décision de la Cour suprême d’autoriser les femmes à se
rendre au sanctuaire de Sabarimala est survenue après qu’une requête eut été
formulée contre l’argument selon lequel la coutume leur interdisant violait
l’égalité des sexes.
Le fertilité, au féminin, dans le temple de Hoi An
Art vietnamien
Pichon
Bouddha
Uzès
Bouddha
Style
de Mandalay
Myanmar
Fin
du 19e siècle – Début du 20e siècle
Bois
laqué doré, incrustations de verrerie sur pâte de laque.
En
signe de compassion, le Bouddha tient le fruit du myrobolan, une sorte de
petite prune à vertus médicinales.
Le
bouddhisme ancien (theravada)
Les
laques et les dorures brillent pour honorer les « trois joyaux » que
sont le Bouddha, son enseignement et la communauté des moines. Le don de ces
précieux objets est aussi une source de mérites et de bonnes renaissances.
Musée du Quai Branly
Paris
Les
amulettes de Thaïlande
Les
moines bouddhistes créent une infinité d’amulettes à partir de l’image du Buddha,
d’êtres fantastiques et de diagrammes magiques. Les matériaux sont variés et
gardés secrets : métaux précieux, racines, os, mélanges d’huiles et de
terre.
Fruits
de l’arbre mythique, makaliphon
2013
Fruits
séchés.
Musée du Quai Branly
Paris
Paris
Musée Cernuschi
Bouddha
Chine
Pierre
Sui (581 - 618)
Bouddha Amitabha
Marbre
Qi du Nord (550 - 577)
Ces croyants renaissent en sa terre pure en émergeant d'une fleur de lotus.
Musée Cernuschi.
----------------
Lotus Blossom - Fleur de Lotus.
Martin Johnson Heade.
Pour quoi Martin Johnson Heade était-il
connu ?
Figure majeure de l'art américain de la
fin du XIXe siècle, Martin Johnson Heade a passé les 21 dernières années de sa
vie à Saint Augustine. Certaines de ses œuvres les plus importantes y ont été
réalisées, de magnifiques peintures
florales représentant les paysages côtiers, les fleurs et la faune sauvage ,
qui sont devenues sa signature artistique. (Florida department of state).
Quelle est la signification de la fleur de
lotus rouge ?
Martin Johnson Heade, né le 11
août 1819 à Lumberville (en), Pennsylvanie, et mort le 4 septembre 1904 à Saint
Augustine, Floride, est un peintre américain célèbre pour ses paysages, ses
oiseaux tropicaux et ses natures mortes. (Wikipedia).
Signification de la fleur de lotus
rouge Le lotus rouge révèle
l'innocence et la nature originelle du cœur. Cette fleur représente des
qualités telles que l'amour, la passion et la compassion. Elle est également
connue comme la fleur du Bouddha de la Compassion, Avalokiteshvara. (Sessile).