Altruiste ou égoïste ?
J’ai entendu une chercheuse sur le cerveau expliquer que l’altruisme apportait le bonheur. Attention à ce discours !
Les recherches montrent que l'altruisme active le système de récompense du cerveau, libérant des neurotransmetteurs tels que la dopamine, les endorphines et l'ocytocine, qui procurent une sensation de bien-être et de satisfaction, expliquant ainsi que faire le bien aux autres contribue au bonheur personnel. (Castocks).
L’équipe de recherche suisse dirigée par le professeur Ernsr Fehr conclut qu’il existe un lien étroit entre l’anatomie du cerveau et les attitudes altruistes. (Nos pensées).
Les limites :
L'altruisme peut être limité par l'escroquerie, qui exploite la confiance, et par la domination masculine, qui impose des normes restrictives, rendant difficile la reconnaissance et la lutte contre ces abus sans remise en question des normes sociales et des relations de pouvoir. (Livre critique).
L'altruisme sans limites peut être exploité pour justifier des stratégies d'escroquerie ou de domination, en déconnectant la morale de la réalité sociale et en favorisant un dévouement excessif qui néglige la protection des intérêts collectifs et individuels. (Cercle Aristote).
L’altruisme peut être exploité à des fins d’escroquerie lorsque des individus mal intentionnés profitent de la gentillesse ou de la vulnérabilité des altruistes, soulignant l'importance de précautions et discernement pour éviter les abus.
L’altruisme a ses limites car il peut entraîner un épuisement émotionnel et négliger nos propres besoins, et l’aide ne peut pas résoudre tous les problèmes, nécessitant ainsi de reconnaître nos limites pour préserver notre bien-être.
(Umvie).
Les femmes sont-elles plus altruistes que les hommes ?
Les études montrent que les femmes ont tendance à être plus altruistes et à partager davantage que les hommes, notamment dans des comportements de coopération et d'aide envers autrui.
Les femmes sont plus généreuses que les hommes, affirment des chercheurs de l’université de Zurich.
(Le Temps).
Les femmes, plus que les hommes entre eux, tendent à coopérer entre elles. C’est du moins l’un des résultats essentiels d’une étude menée par des chercheurs du Centre de sciences der Neufchâtel. (Arc info).
Les humains sont-ils plus altruistes ou égoïstes ? Après avoir modélisé différentes stratégies et résultats, les chercheurs ont découvert qu’être égoïste était plus avantageux que de coopérer. (Expliquant).
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