Aux USA et en France : "T'as les moyens. T'auras tout. T'as pas les moyens? T'auras rien." "Tu veux mourir de mort violente? Tu te fais contrôler par la police." Le sexe n'est pas un "travail". Soutien aux Palestinien-nes , aux Libanais-es, aux Iranien-nes. En 1832, Jeanne DEROIN disait : "Plutôt le célibat, que l'esclavage (NDLR : du mariage)". En 2024, 1 adulte français-e sur 3 est célibataire. 608 779 vues. Google attaque mon blog en supprimant des articles. Je vais sur Qwant maintenant.
Texte
étrange, nébuleux, hermétique et difficilement accessible. J’ai lu par
curiosité plus que par enthousiasme, mais je suis restée au bord du livre, loin
des mots, ne comprenant ni le sens, ni l’humour, s’il y en a. Je voulais
découvrir un écrit de cet écrivain, et je ne pense pas avoir choisi le meilleur
ouvrage qui permette d’entrer dans son univers. Je resterai sur le pas de la
porte, redoutant de ne pas plus comprendre le reste de son oeuvre…Je me
demande, après cette lecture, ce qui a plu aux Français de son époque. Je me
suis félicitée d’être allée jusqu’au bout. Je n’aime pas quand je dois relire
quatre fois la même phrase pour tenter d’en surprendre l’intention :
« Vous tirerez des conséquences de prémisses qu’on vous aura
fabriquées »…Quezaco ? Je vais regarder sur Internet ce qui se dit
sur cet ouvrage.
Sur
le site Gallimard, on peut lire : «J'ai
fini par croire que M. Teste était arrivé à découvrir des lois de l'esprit que
nous ignorons. » Oui, mais lesquelles ?
Sur le site Littérature, voici la
première phrase : « Paul Valéry redouté par certains pour la complexité de sa pensée, livre
dans Monsieur Teste un exemple concret de ses cheminements
mentaux. » Cela confirme mes propos ci-dessus.
Sur les éditions Allia, on apprend que le texte a été
écrit à l’âge de 25 ans. Aïe, aïe, qu’en est-il de la suite ?
Sur l’Encyclopédie Universalis, le livre est décrit
comme « composite, fragmentaire, énigmatique ». Ca, c’est sûr !
Et ce n’est pas parce qu’André Breton adorait ce livre que ça me rassure. On
apprend que Paul Valéry a été « troublé par la lecture de Mallarmé et de
Rimbaud » et qu’il a traversé « une crise intellectuelle
profonde ». A mon avis, la crise n’était pas qu’intellectuelle…
Sur le site de Stalker, ce texte est expliqué avec
d’autres formules tout autant alambiquées que dans l’original. On ne comprend
pas plus.
Dans l’Express, j’apprends que Borges a de nombreux
points communs avec Paul Valéry. A votre avis, vais-je lire Borges ?
Sur Arts et Lettres, on lit que
M.Teste est « un absolu rimbaldien, la passion de l’intelligence, le refus
d’être quoi que ce soit ». Comment est-ce possible de relier
l’intelligence au néant, au rien ?
Là,
j’ai compris et ça m’a parlé :
Pages
45 et 46 :
La
douceur et la dureté
« Il
lui arrive d’être très dur. (…) Il ne se rend pas compte de sa force : il
a des paroles inattendues (…) qui vous anéantissent.
(..)
Mais en d’autres heures, c’est d’une exquise douceur qu’il se pare. »
Pages
116 et 2117 :
L’obéissance
« Demandez
toujours des preuves, la preuve est la politesse élémentaire qu’on se doit. Si
l’on refuse, souvenez-vous que vous êtes attaqué et qu’on va vous faire obéir
par tous les moyens. Vous serez pris par la douceur ou par le charme (…), vous
serez passionné par la passion d’un autre. »
Si je termine par un jeu de mots, je dirai que le test n'a pas été positif....
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Paul Valéry et la guerre.
"La guerre, c'est le massacre de gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent et ne se massacrent pas."
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Paul Valéry
"Il était le plus grand et le plus bel arbre sous le ciel , quand, pressentant peut-être que sa vie d'arbre ne tenait qu'à sa croissance et qu'il ne devait que de grandir, il lui vint une sorte de folie de démesure et d'arborescence..."
« Bonjour Brigitte
Masson, je suis ravie de découvrir votre blog et une photo d'une partie de la
fresque #MeToo que j'ai peinte à Arles ! Merci pour ce partage ! Bien cordialement, Marlène Ehrhard »
J’ai répondu :
« Merci de votre message. C’est le
temps des congratulations et ça fait plaisir. Merci à vous d’avoir réalisé
cette fresque. C’est un bel hommage aux luttes des femmes et un encouragement
pour les nombreuses luttes à venir.
La
question des élus, du président de la République, de leur rôle, de leur utilité
et de leurs dépenses a été soulevée.
Les
Présidents de la République.
Ils
ont un secrétariat car ils continuent à recevoir du courrier. (NDLR : je
ne mets pas au féminin car il n’y a pas encore eu de femme Présidente de la
République…mais ça viendra !)
Qu’est-ce
qu’ils touchent personnellement ? Je ne saurais pas vous répondre mais je
peux me renseigner.
Quelles
sont les raisons qui ont conduit le législateur à prendre ces décisions ?
Imaginons que les Président-e-s de la République n’aient pas de revenus et
touchentles minimas sociaux. « Il
pourrait aller travailler » lui rétorque une femme de l’assistance.
« Vous avez raison. Sarkozy l’a fait » lui répond Pierre Dharréville.
Le
Président de la République représente la dignité de l’Etat. C’est une
conception ancienne qui remonte au XXe et peut-être du XIXe siècle. Dans la
France actuelle, il se dit que les privilégié-e-s sont les responsables
politiques. Si l’on prend l’argent des responsables, on va régler les problèmes
actuels. Ca, c’est faux. L’argent est ailleurs.
La
rémunération d’un certain nombre d’élu-e-s est beaucoup discutée sur les
réseaux sociaux. Il faut regarder le réel. Les élu-e-s qui passent de temps au
service du bien commun doivent être rémunéré-e-s correctement. Ils n’ont pas besoin
d’être des privilégié-e-s.
« La
voiture de fonction ? »
Je
ne connais pas d’élu-e-s qui l’utilisent. Elle n’est pas faite pour se déplacer
en dehors des temps de travail. Il faut faire respecter les règles. C’est un
sujet traité par la loi.
Quels
sont les avantages d’être élu-e demande Pierre Dharréville à l’assistance.
« Des repas au Sénat bien copieux… » rétorque la même femme.
Les
élu-e-s consacrent tout leur temps à s’occuper des affaires publiques. Pour la
question des trajets par exemple, je n’utilise le train que pour me rendre à
l’Assemblée Nationale. Et encore heureux qu’il y a une indemnité prévue pour
cela, sinon je n’y vais pas. « Donc ceux qui n’y vont pas la touchent
quand même ? » demande un homme. « Non ! » répond
Pierre Dharréville. « Les journalistes disent que les sénateurs-trices
touchent 1 000€ de frais de communication par mois » affirme un autre
participant. « Non, méfiez-vous de ce qui se dit sur les réseaux
sociaux. »
Les
choses sont très cadrées. Il y a une enveloppe qui est dédiée aux frais
parlementaires qui sont remboursés sur facture. Ce sont les frais de
communication pour un tract tiré, pour les locations de salle (ce soir, la
salle a été prêtée par la mairie), les frais de déplacements, de téléphone.
Puis il y a les frais de paiement des collaborateurs. C’est l’Assemblée
Nationale qui les paie directement. Le travail est très codifié. Les attaché-e-s
parlementaires préparent les lois, réfléchissent à rédiger les amendements et à
accompagner le-la député-e dans son travail. Ils-elles reçoivent à la
permanence un certain nombre de gens, d’associations,réceptionnent le courrier, préparent des
réponses aux courriers.J’espère que
l’on parlera d’autres questions car à mon avis, on se trompe de sujet. On n’est
pas dans des calculs de 23 000€. Ce sont des calculs faussés. (* NDLR :
lire l’article sur les avantages supprimés et conservés des députés en bas de
cet article)
Moi,
je ne touche pas plus aujourd’hui que ce que je touchais quand j’étais salarié.
C’est un choix de ma part. Je reverse une part de mon indemnité à mon
organisation politique. Chacun fait ses choix en cohérence. C’est pareil pour
le budget. Au sujet des retraites, je pense que tout le monde y a droit. Je me
bats pour ça. Il n’y a pas lieu d’avoir des privilèges. Je défends l’égalité
des droits.
Dans
cette législature, il a été décidé de mettre fin à l’avantage du droit à la
retraite pour les député-e-s. Il y avait un certain nombre de mesures à
prendre. Il y en a peut-être d’autres à prendre. Ce n’est pas ma vision des
chosesde dire qu’ily a une lutte des classes entre la classe
politique et les citoyen-ne-s. La lutte des classes est ailleurs. Il y a des
élu-e-s qui se comportent mal. Je prends l’exemple de François Fillon. Il
n’avait en tête que de chercher à trouver encore plus d’argent.
La
presse a montré qu’il avait une volonté d’enrichissement personnel. La
politique n’est pas faite pour ça. Des profiteurs existent partout. J’entends
souvent à l’Assemblée Nationale dire que les chômeurs et les chômeuses sont des
profiteurs-euses. On va les obliger à occuper un emploi qu’ils ou elles n’ont
pas choisi. L’argument de la fraude et des profiteurs-euses a toujours été
utilisé pour attaquer un certain nombre de droits dans ce pays. Il faut faire
attention avec ces arguments-là car ça peut amener à prendre des mauvaises
décisions.
Les
budgets de l’Etat, de l’Assemblée Nationale, du Sénat et de l’Elysée, selon
« Le Figaro », représentent 0,24% du budget de l’Etat. Les supprimer
ne règlera pas les problèmes.
La
confiance envers les élu-e-s.
On a
une crise politique profonde qui se développe depuis deux ou trois décennies,
avec de la défiance, de la désaffection. C’est très contradictoire car ce qui
est en train de se passer (les Gilets Jaunes, NDLR), c’est très politique. Il y
a une revendication et une contestation de choix politiques. Mais on ne voit
pas d’issue pour faire changer les choses. Les gouvernements qui se sont
succédés ont tous glissé dans la pente libérale et se sont conformés aux directives européennes.
Ca sape la confiance. Quand on vous dit « Nous on est différents »,
mais qu’à l’arrivée, c’est la même politique que celle du prédécesseur, comment faire confiance ?
Les
politiques libérales ont détricoté la puissance publique, les droits et
augmenté le dumping social et fiscal. On diminue notre capacité à vivre bien et
à vivre ensemble.
Faire
vivre la démocratie.
Il
faut s’y attaquer. Il faut faire de la politique ensemble. Ce n’est pas réservé
à un petit nombre de privilégié-e-s, d’élu-e-s. C’est l’affaire du peuple. Il
va falloir du temps pour reconquérir cette confiance. Mais il faut aussi des
choix et des actes politiques. On ne peut pas en rester aux discours.
Si
je mène ce débat c’est parce qu’onbesoin de démocratie. Les experts ne représentent pas la démocratie. Des
gens viennent vous dire « Moi, j’ai la bonne recette, je sais comment il
faut faire ». La majorité a fait comme ça pour se faire élire. Ils ont dit
« Tous ceux d’avant étaient des incompétents, mais nous, on a la bonne
idée, la bonne mesure technique. » Ce n’est pas une question de mesure
technique mais de choix politiques. On a besoin de démocratie. Ca coûte un peu
d’argent d’organiser des élections, avec des bulletins de vote, des bureaux de
vote, des débats. Mais il faut consacrer une partie des richesses communes à
l’exercice de la démocratie.
Etre
en phase avec la population.
Actuellement,
on vise à réduire la capacité d’intervention des élu-e-s et à renforcer les
pouvoirs du Président de la République. On vous dit dans les
médias « Les député-e-s gagnent trop. Ils-elles ne servent à rien. On
va réduire leur nombre. » Si c’est très populaire, c’est pourtant grave
pour la démocratie. Moi, je vais partout où se trouve la population car je
souhaite porter ce qui est phase avec elle. C’est ce qui aide à essayer de
prendre les bonnes décisions. Même si jusqu’ici, j’ai été trop peu écouté. Si
vous laissez le pouvoir au seul Emmanuel Macron, ça ne va pas s’améliorer.
Au
sujet des indemnités des députés, plus ils sont nombreux, moins il y a
d’arrangements entre eux. « On fait ça entre nous ! » Diminuer
le nombre de député-e-s signifie que l’on agrandit la taille des
circonscriptions en les multipliant pas deux. Dans le département, il y a seize
circonscriptions, il n’y en aura plus que neuf après la réforme prévue.
Les
députés seront moins présents sur le terrain, moins enracinés, moin prêts à
organiser des réunions, à recevoir des associations, des syndicats ou des
habitants qui demandent à être reçus.
On a
besoin d’élus qui soient à l’image de la diversité de la société.
*Privilèges des députés : ceux qui ont été abolis et
ceux qui existent encore.
L’Assemblée a décidé de
baisser l’indemnité obsèques accordée à ses députés et anciens députés.
(…) L’Assemblée nationale a acté la fin de la gratuité
des trains pour ses députés honoraires.
(…) (Voiture de fonction des présidents de
l’Assemblée) : l’Hémicycle a annoncé la suppression de ce privilège
en 2022.
(…) Le régime spécial de retraite. Une économie de 10 millions d’euros par an à
terme.
(…) En cas de défaite électorale, les actuels habitués
du Palais Bourbon ont désormais droit à 57 % du salaire journalier pendant 24 à
36 mois
(…)
Les privilèges qui existent encore
Plus de 5 000 euros mensuels de frais de mandat.
(…) Une enveloppe de 18 950 euros par an pour les
taxis, le téléphone et le courrier.
(…) L’Assemblée nationale prend en charge les
déplacements en train de ses députés, qui voyagent en première classe.
(…) Le logement. Il existe plusieurs catégories de députés.
« J’ai fait le calcul du nombre d’heures
de travail d’un député et cela fait environ quatre vingt dix heures de travail
par semaine. Si je les passe sur le siège de velours de l’Assemblée nationale,
je ne fais pas correctement mon travail. »
« Les lois prises par la majorité ont
visé à s’en remettre au marché. Ca a été le cas pour le logement, la formation
professionnelle. Le centre AFPA d’Istres est menacé de fermeture par le conseil
d’administration. C’est la décision de casser le service public de la formation
professionnelle. C’est une décision politique. Je me suis battu contre ça. J’ai
demandé à la ministre quelle était son ambition. Je n’ai pas eu de réponse. Quelques
mois après, c’est la décision de fermeture. Et on va s’attaquer à la fonction
publique. Attention aux fonctionnaires ! Ils vont dire : « Un
fonctionnaire, ça coûte trop cher. On va faire faire le travail par d’autres ».
Le droit de tout le monde est tiré vers le bas.
Pour
l’AFPA, on va demander à une officine privée d’assurer un service de formation
qui ne sera pas le même que celui fourni par l’AFPA. On ouvre des espaces au
marché. L’Etat est donneur d’ordre en la matière. Il a de l’argent à
distribuer. Au ministère, je rencontre une collaboratrice de la ministre. Ils
lancent un dispositif appelé « Le Plan Investissement Compétences » et
ils demandent à des entreprises ou à des associations de postuler. Le centre
AFPA d’Istres pourrait le faire, mais on le ferme. Le choix politique est ici
véritable et affirmé. »
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Mes photos de Fos-sur-Mer by night (de nuit):
La Capitainerie
Macron essuie une défaite dans ses
ordonnances : La disposition qui limite les réparations, auxquelles ont droit
les salariés victimes de licenciement abusif, à 20 mois de salaire au maximum,
a été déclarée contraire aux règles internationales.
(…) Grâce au barème Macron,
« l’employeur qui viole la loi peut ainsi budgéter à l’avance le prix de sa
faute et n’en assumer qu’une faible part des conséquences », décrypte le
Syndicat des avocats de France (SAF), adversaire résolu de cette
disposition.
« Nous nous privons de 3,2 MDS qui peuvent être
utiles pour répondre aux besoins et construire de l'égalité dans notre pays.
C'est à l'État de mettre en oeuvre la redistribution des richesses par un impôt
juste."
Pierre
Dharréville(PCF) veut "rendre
obligatoire la prime exceptionnelle pour les entreprises d'au moins 250
salariés".
L'examen en commission du texte commence par une
"protestation" de Pierre Dharréville (PCF) : "Je crains qu'en guise de débat nous ayons un
débarras", assure le député, qui estime que "nombre d'amendements ont
été débarrassés de la discussion".
« Avec les heures supplémentaires défiscalisées,
le message est clair : pour gagner leur vie dignement, les gens n'ont qu'à
travailler plus. »
Pierre Dharréville :
« La part des richesses accaparées par le
capital a augmenté de 8% ces dernières années. Mais vous préférez laisser se
déprécier le travail en le finançant par des prestations sociales. »
« Ce plan d'urgence n'est pas à la hauteur et renonce aux mesures
pérennes de justice sociale. Il est financé par celles et ceux auxquels il est
censé bénéficier. C'est le symbole des artifices avec lesquels on finit par se
brûler les doigts. »
« Vous refusez d'augmenter le SMIC et les salaires : c'est
pourtant la meilleure manière d'augmenter le pouvoir d'achat et de rémunérer le
travail. »
« L'accélération libérale a provoqué des mesures d'une grande
brutalité et a conduit à ce que s'exprime la colère sociale qui s'est exprimée
dans tout le pays. »
« Le gouvernement refuse d'aller chercher l'argent là où il est,
dans les bénéfices et les dividendes, et de produire un budget de Justice
sociale pour financer les mesures pour le pouvoir d’achat et pouvoir de vivre. »
Hausse de
la prime d'activité :
Pierre
Dharréville (PCF) dénonce un "exercice de
contournement du salaire".
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Les rupins se plaignent mais se ressemblent.
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Pierre Dharréville : « Ordonnances travail : le
dumping social à l’œuvre ».
(…) Avec ces
ordonnances, le gouvernement a organisé le renoncement au droit. Il ne s’en
était d’ailleurs pas caché, disant vouloir aller le plus possible vers des
logiques de transactions, d’évitement du tribunal, de judiciarisation de
certains cas.
Quelques personnalités issues des
mondes du cinéma, de l'art, ou encore de la chanson :
Muriel Robin, Inna
Modja, Sophie Binet (UGICT-CGT), Chris Blache (Genre et ville), Clémence Cousteau
(Actrice), Eva Darlan (Actrice et réalisatrice), Gabrielle Deydier
(Grossophobie), Elvire Duvelle Charles (journaliste et réalisatrice), Mie
Kohiyama (Femme violée dans son enfance), Michele Le Doeuff (Philosophe), Danielle
Mérian (Avocate honoraire au barreau de Paris), Florence Montreynaud
(Ecrivaine), Karine Plassard (Féministe), Martine Storti (Philosophe), Sylvie
Horau (Chanteuse et compositrice) et Aurélie Saada ( Brigitte), Patricia Téglia
(Attachée de presse indépendante dans le secteur musical), Céline
Verzeletti (CGT), Juliette Arnaud (Actrice, scénariste, chroniqueuse de radio), Vanessa Demouy
(Actrice et mannequine), Anna Mouglalis (Actrice), Laura Calu (Humoriste),
Orlan (Artiste), Maureen Dor (animatrice
d'émissions jeunesse).
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« Muriel Robin et Anne Le Nen »
-On n'est pas couché 24 février 2018
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Sophie Binet (CGT) : «Supprimer le statut des cheminots coûterait plus
cher que ça ne rapporterait.»
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De la dualité
à la complexité | Chris Blache
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Clémence Cousteau
« Les hommes enceintes » :
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HF IDF avec Eva
Darlan pour le 8 Mars toute l'année :
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« Mon
pré carré reste les spectacles féministes et drôles » : Eva Darlan
sera sur scène à Lisieux.
La comédienne, actrice et
réalisatrice Eva Darlan sera au théâtre de Lisieux Normandie, ce samedi
2 décembre 2023, pour présenter son dernier spectacle au public :
« Irrésistible. » Ce voyage narre l’avancée des femmes à travers le
temps, et tente avec humour, sur fond de vérité anthropologique, de dépeindre
l’origine et le développement de la société patriarcale.
Eva Darlan est-elle
féministe ? Sans l’ombre d’un doute. « C’est comme
respirer, je n’y suis pour rien, ce n’est pas un choix », confie-t-elle,
sourire au coin. Le regard de la comédienne s’agite, lorsqu’elle s’insurge à
l’évocation du passé, en souvenir de la lutte menée par les femmes pour
acquérir des droits. « Les jeunes ne le savent peut-être pas,
mais c’est seulement depuis 1965 que les femmes peuvent ouvrir un compte en
banque et travailler sans l’autorisation de leur mari. Et en 1968, on n’avait
pas le droit de porter des pantalons, c’était insupportable ! »
Évidemment, il reste tant à
faire,...
Ouest France
11 23
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Gabrielle
Deydier, auteure de "On ne naît pas grosse", explique la grossophobie.
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Interview de
Mié Kohiyama dans Public Sénat
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Alors comme ça, ça rapporte plus
d'écrire quand on est un mec ?
Cette vidéo est le
résultat d'un mix entre deux idées : celle d'Elvire Duvelle-Charles et celle de
Paola Guzzo.
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Jacqueline Sauvage: réaction de la militante féministe Karine Plassard.
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Martine Storti pour le 8 Mars toute l'année.
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Brigitte -
Palladium / Victoires de la Musique 2018.
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Patricia Teglia, Attachée de presse indépendante,
Métiers de la création.
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Céline Verzeletti
Le gouvernement refuse d'ordonner l'interception des casseurs avant
qu'ils n'agissent (CNEWS, 24/11/18, 21h08)
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Le diable trouve à faire de James Baldwin - La chronique de Juliette Arnaud :
« Je n’ai pas oublié, j’ai les noms ».
Juliette Arnaud : victime d’agression sexuelle, elle s’exprime
pour la première fois.
(…) La chroniqueuse de France Inter a
révélé qu’elle avait elle-même dû faire face à un homme ayant voulu abuser
d’elle.
(…) Juliette Arnaud a
croisé la route d’hommes pour qui la notion de consentement n’existait
pas.
(…) « Le type
me propose de me raccompagner en taxi, parce qu’on était sur la même route. Et
il a plongé sur moi, sans prévenir. Il m’a plongé dessus pour essayer
de m’embrasser. »
Vanessa Demouy
comment elle a vécu les infidélités de Philippe Lellouche.
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Anna Mouglalis, sa petite pique discrète à son ex Samuel Benchétrit.
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Laura Calu,
jeune humoriste
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Orlan, son
corps est son oeuvre
Maureen
Dor :
L'ex-chroniqueuse de Ruquier Maureen Dor harcelée sexuellement.
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La
comédienne, Eva Darlan, a été sauvagement agressée par Lino Messina, qui sera
condamné à de la prison avec sursis pour ces actes inadmissibles.
(…) Bien sûr, au début, l'amoureux est
beau, gentil, attentif et, cerise sur le gâteau, plus jeune qu'elle et désireux
de la sortir de ses déboires financiers.
(…) « Il m'accusait d'être responsable de
tout. Il ne payait pas le loyer de la maison que nous avions louée à
Bourg-la-Reine Je me suis rendu compte aussi qu'il avait tout un réseau de
maîtresses et les coups ont commencé à pleuvoir… »
(…) C'est avec une immense émotion qu'elle
révèle avoir été victime de violences conjugales. Et après des années de
mariage, n'y pouvant plus, elle provoque la rupture.
(…) Quelques mois plus tard, Éva obtient
gain de cause et les juges du tribunal de grande instance condamnent son mari à
trois mois de prison avec sursis et 1 500 euros d'amendes pour les coups
assénés. « Bien sûr, c'est peu, commente-t-elle aujourd'hui, mais ce qui
compte, c'est d'être reconnue en tant que victime.
(…) Elle dévoilait un autre pan de son
enfance au cours de laquelle elle avait été victime d'inceste de la part de son
père et de ses frères.
(…) Aujourd'hui, Éva ne veut plus d'hommes
dans sa vie. Amère et déçue, elle déclare avec poésie que son cœur « fait dodo
».