Il faut choisir l'utilisation de notre argent. "T'as les moyens. T'auras tout. T'as pas les moyens? T'auras rien." Macron veut diriger tout seul. "Tu veux mourir de mort violente? Tu te fais contrôler par la police." Le sexe n'est pas un "travail". Soutien aux Palestiniens et aux Palestiniennes. 520 493 vues.
Les
Vaudois de Provence vont être déclarés hors-la-loi par un décret de François 1er
et du parlement d’Aix en Provence. En 1545, Jean Meynier, seigneur
d’Oppède, président du parlement
d’Aix-en-Provence, décide de mettre en place le décret car il a des occupants
vaudois sur le territoire qu’il veut chasser pour récupérer leurs terres. A la
fin du XVe siècle, les seigneurs leur avaient donné des terres pour les faire
venir. Il va lever les troupes du roi de France, celles du légat du Pape et les
troupes de Provence contre les 22 villages du Lubéron de confession vaudoise.
Les
troupes vont perpétrer des massacres odieux sur leur passage, pendant quinze
jours en avril 1545. Les 22 villages seront quasiment rasés et épurés de leurs
habitants aussi bien de confession vaudoise que catholique. Mérindol va
connaître un bain de sang. 4 000 personnes vont mourir dans des conditions
atroces. 600 hommes seront capturés et envoyés dans les galères de François 1er
à Marseille. Ceux qui auront pu passer à travers les mailles vont se cacher
dans les montagnes du Lubéron.
Un
procès retentissant a été fait quelques années après contre Jean Meynier. Il y
a une plaque commémorative à Mérindol, 500 ans plus tard. Les guerres de
religion vont suivre vers 1570. On est vingt ans avant la Saint-Barthélémy.
Plaque dans le château de Lourmarin
En référence aux massacres des Vaudois.
La
confession vaudoise :
Excommuniés en 1184 puis condamnés comme hérétiques en
1215 les vaudois vont subir de nombreuses persécutions et massacres. Ils vont
trouver refuge dans les hautes vallées alpines du Piémont et de la Savoie,
certains se réfugient dans le Lubéron en France. Au XVIe siècle, les vaudois
vont en grande partie adhérer à la Réforme protestante. De ce fait ils continuent d'être persécutés par le roi de
France et duc de Savoie. Certains se réfugient en Suisse, en Allemagne, en Hollande.
Près d’un jeune protestant sur
10 a quitté l’église parce qu’il ne s’y sentait pas « protégé du
harcèlement sexuel ».
« Les résultats de cette
étude sont similaires aux recherches précédentes menées au fil des ans. Les
fidèles et le cadre de l’église ont statistiquement moins de cas de
comportement immoral, mais ces problèmes ont toujours une présence
réelle. »
Laurent
Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Retraite La réforme Macron.
Quels droits à la retraite?
A quel âge?
Pour quel niveau de vie?
Laurent
Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Les
conquis sont loin d’être négligeables et nos aïeux ont bien travaillé pour
construire les acquis sociaux pour répondre aux besoins de la population. La
pérennité financière du système est assurée aujourd’hui. Il n’y a pas de
gouffre financier à attendre pour les dix, vingt prochaines années. Notre
système de retraite fonctionne très bien.
Laurent
Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Les
systèmes qui assurent ou non la parité entre le niveau de vie des actifs et des
retraités.
Les
systèmes qui socialisent (solidarité avec une approche collective de la
question de la retraite) ou individualisent (chacun épargne pour sa propre
retraite). La France est sur le haut du classement. Notre système socialisé est
très efficace. Le problème est qu’il n’y a aucun espace pour la capitalisation
ou le profit.
Laurent
Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Les
dépenses publiques sont directement reversées aux citoyens. Les retraites
représentent 20% des dépenses publiques.
Laurent
Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Dans
les richesses créées en France (le PIB), on consacre 14% aux retraites. Il va y
avoir de plus en plus de retraités (démographie). La part consacrée aux
retraites va augmenter. Si en 2025, avec une croissance du PIB de +1%, la part
va augmenter. Si la croissance est de 1,8%, la part consacrée aux retraites va
baisser. (Étude du COR)
Mis
un dogme politique a été énoncé : on ne doit pas dépenser plus que 14% du
PIB pour les retraites. Ca n’a pas été discuté. Il n’y a pas eu de débat public
pendant les présidentielles.
Si
on gèle tout, la part des retraites va être beaucoup plus faible.
Laurent
Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Si
nous n’arrivons pas à faire sauter ce dogme politique des 14% du PIB, ça va entraîner une baisse des pensions que
chaque individu va toucher.
Laurent
Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Macron
veut instaurer un régime universel : « Il y a trop de régimes. Les
paramètres ne sont pas les mêmes. Il y a des injustices entre les
fonctionnaires et le privé ».
Globalement,
le résultat est identique entre les fonctionnaires et le privé. Ca s’équilibre.
Le nombre d’enfant est moins favorable aux fonctionnaires. La diversité des
régimes ne génère pas d’iniquité.
Laurent
Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Il y
a une volonté d’attaquer le code des pensions, et particulièrement celui des
fonctionnaires. C’est une attaque de la fonction publique française. Les
fonctionnaires sont recrutés par l’Etat pour accomplir des missions publiques
d’intérêt général. Leurs conditions de travail et le déroulé de leur carrière
sont définis par un statut.Le Parlement
vote des textes législatifs. Il faut s’assurer que les fonctionnaires sont
dévoués à l’intérêt général, et non pas sensibles à telle ou telle sirène ou
tel intérêt particulier. Ils ne doivent pas être corruptibles.
Laurent
Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Il
faut s’assurer que les fonctionnaires n’ont pas de soucis à se faire pour leur
propre existence pendant leur période d’activité et au-delà. Si on ne lui
assure pas un niveau de retraite digne, il peut se faire acheter, se faire
rétribuer pour des intérêts particuliers, au détriment de l’intérêt général. Le
code des pensions qui date de 1948 l’avait prévu.
Retraite
Code des pensions
Laurent
Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Le
salaire socialisé. A la FSU, on parle de salaire continu. L’Etat s’engage à
payer un salaire pendant la période d’activité et une pension, pendant la période
de retraite. La pension des fonctionnaires n’est pas payée par une caisse de
retraite mais par le budget de l’Etat lui-même.
Laurent Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Dans la réforme Macron de la fonction publique, il y a la volonté de faire baisser les retraites avec une dimension spécifique sur la fonction publique. Il veut casser le lien essentiel entre la Nation et ses fonctionnaires dès leur départ en retraite. Avec Delevoye, au 1er janvier 2025, tout le monde va basculer dans le nouveau système universel à points, y compris les fonctionnaires.
Laurent Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Le gouvernement est en train de saborder la fonction publique à la Française, en déléguant au privé un certain nombre de missions, en supprimant des postes, en recrutant plus de contractuels (comme à France Télécom). Il y a 20 % de contractuels dans la fonction publique. On fragilise le statut des fonctionnaires en se débarrassant de la démocratie sociale qui existe.
Macron propose un nouveau projet de société avec les Réformes du code du travail, de la fonction publique, de la Sécurité Sociale, des retraites.
Laurent
Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
On
ne peut pas recruter dans la fonction publique des contractuels quand il existe
des corps de titulaires qui peuvent faire la mission demandée. Dans le cadre de
la mission de l’accompagnement des élèves en situation de handicap, on a fait
appel à des AESH. Le gouvernement de l’époque a fait le choix de créer un corps
de contractuels. Dans l’éducation, il y 17% de contractuels. Ils sont parfois
remplaçants.
Laurent
Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Toutle monde va y perdre, actifs et retraités,
salariés du privé et fonctionnaires. Nous avons les ressources nécessaires pour
le mettre en échec et imposer d’autres perspectives de société.
Un
tel projet politique ne peut pas aboutir en France.
Laurent
Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Le
pire n’est jamais atteint quand les gens se mobilisent. Macron n’a pas pu
imaginer, en devenant président de la République, que le premier recul qu’il
ait à faire viendrait des retraités qui ont mené une bagarre exemplaire. Ce
qu’ils ont fait dans les derniers mois est fabuleux. Le groupe des 9 est
inédit. Ils servent d’exemple car ils ont fait reculer Macron
(partiellement).
-------------------------------------
Retraite, CSG et canicule....
---------------------------------------
Attac
Les retraites par points :
« Le système
par points engendrera une baisse générale des pensions [...] Les personnes ayant
connu chômage, précarité ou temps partiel seront pénalisées à la retraite après
l’avoir été pendant le travail, les femmes en 1er lieu. »
------------------------------------------
Réforme des retraites : la députée LREM qui préside le
groupe de travail perd ses moyens en pleine interview.
Interrogée par la chaîne LCP sur la réforme des retraites
mercredi 24 juillet, la députée LREM Corinne Vignon a eu bien du mal à trouver
ses mots. Une information relevée par L'Obs.
Laurent Tramoni (secrétaire académique du Snes 13)
Pierre Dharréville :
La
réforme concerne tout le monde, y compris les retraités. Emmanuel Macron
l’avait annoncé dans sa campagne. Il s’attaque à tous les conquis sociaux. Les
retraites, c’est le sujet qui a beaucoup mobilisé depuis 25 ans. Ca donne
lieu à des mouvements sociaux importants.
Pierre Dharréville :
Emmanuel
Macron va concerter. Pourtant 9 organisations syndicales sur 9 se sont opposées
à la réforme de la fonction publique.
Pierre Dharréville :
Les
jeunes pensent qu’ils n’auront pas droit à la retraite. Il faut résister à
cette idée. C’st un droit fondamental. Nous avons un système solidaire, de
répartition, qui garantit des droits. Beaucoup de femmes touchent de toutes
petites retraites. Il y a des choses à améliorer et il ne faut pas le casser et
le remplacer par un système encore plus inégalitaire.
L’âge
du départ à la retraite a été remis sur la table par des membres du gouvernement.
On
s’y attaque sans sembler s’y attaquer.
Pierre Dharréville :
Le
budget de l’Etat.
Il y
a une part de recettes et de dépenses. Il y aura 120 000 postes de
fonctionnaires en moins et cela se sentira notamment dans le secondaire. L’Etat
décide de se passer d’un certain nombre de recettes en supprimant l’impôt sur
la fortune. On ne va pas chercher l’argent évadé fiscalement. Pour les
dépenses, on prélève une partie de l’argent créé pour le consacrer à l’action publique, à la
solidarité et aux droits sociaux. Il y a l’Etat et la Sécurité sociale. Mais il
y a une volonté de moins prélever une partie des richesses pour la laisser dans
l’économie de marché et aux grands propriétaires.
Pierre Dharréville :
Le
statut de fonctionnaire.
L’agent
de la fonction publique ne signe pas un contrat avec un employeur. Il s’engage
avec la nation. Il a un certain nombre d’obligations pour servir l’intérêt
général.Mais quand on essaie de changer
les contrats dans la fonction publique et de les rendre de « gré à
gré », on affaiblit l’action des agents.
Pierre
Dharréville
Les
fonctionnaires ne gagnent pas plus que ceux du privé.
Il y
a des grilles salariales, de progressions de carrières. Par rapport au privé,
ce n’est pas franchementmirobolant.
Pour la retraite, onnous explique que
les fonctionnaires sont des nantis par rapport aux salariés du privé.
Les
élections européennes.
Il
faut se mobiliser car ces élections sont d’importance. Le parlement européen
prend des décisions concrètes. Les politiques libérales régressives pèsent sur
la politique nationale. Les libéraux et les nationaux-populistes essaient de
peser dans le débat. Face à ces deux impasses, il faut une alternative
véritable de gauche. Je voterai pour la liste d’Ian Brossat portée par le PCF
car en tant que député, j’espère travailler avec des députés européens qui
iront dans le même sens.
Pierre
Dharréville
Les
jeunes
Dans
leurs aspirations, leurs désirs, la retraite n’est pas leur priorité. Mais
quand on en parle, à l’assemblée nationale, certaines personnes pensent que les
retraités sont une génération dorée. Macron prend la CSG des retraités pour financer
le chômage, désindexe les pensions. Il a donné le ton et le signal en France.
Pierre
Dharréville
On
demande aux salariés de travailler plus longtemps. Pourtant, on a les moyens de
partager le travail et de continuer à bénéficier d’une bonne retraite. Les
richesses produites peuvent être utilisées pour les garantir. Il faut combattre
les projets gouvernementaux. On demande aux salariés d’agir chacun pour soi et
d’épargner en mettant de l’argent de côté. Les droits des retraités ne seront
plus garantis. Je défendrai l’idée des garanties collectives. Au lieu des
logiques de solidarité, Macron distille l’idée du chacun pour soi. Or, nous
avons besoin de garanties collectives
Pierre
Dharréville
On
doit en parler autour de nous.
On
doit mettre Emmanuel Macron en difficulté.
Départ
à la retraite à 60 ans avec 75% du salaire, le SMIC minimum, toutes ces
dispositions sont dans le projet de loi qui a été déposé à l’Assemblée
nationale en 2018.
-----------------------------
La retraite par poings (jeu de mots avec la retraite par points)... ----------------------------------
On nous retraite comme de la m...! ----------------------------------------
Retraite : le casse du siècle ----------------------------------------
"Retraite par capitalisation : piège à con!" --------------------------------------
Retraite En 2030, vous osez la réclamer ? -------------------------------
Les conquêtes sociales en France ----------------------------
Bastien Faudot :
"Cette reforme des retraites est inacceptable. En plus d'être une escroquerie, elle est injuste. Il est vrai, le sens de la solidarité est a priori plus développé dans une meute de hyènes que dans le cerveau d'un macroniste."
-------------------------------
Laurence Rossignol (PS):
"Les fonctionnaires seront les plus impactés par la réforme des retraites. Quand on attaque le statut des fonctionnaires et fonction publique, on attaque la République et ce qui fait notre force et notre solidarité."
Merci au PCF d’avoir invité à son université d’été les formations de gauche à débattre d’actions communes pour défendre et renforcer notre système de retraite. Très heureuse d’y avoir représenté le Parti Socialiste.
-----------------------------------
Roxane Lundy :
"Nous sommes face au plus grand plan d'appauvrissement de notre société. Cette réforme des retraites nous laisse le choix entre travailler un peu plus pour un peu moins ou travailler un peu moins pour beaucoup moins."
----------------------------------
"Nous devons réussir un immense rassemblement autour des retraites. Si nous échouons, ce sera la fin de la securité sociale."
Sylvie Durand
------------------------------
Retraite La consultation mortuaire des Français! -----------------------------
Emmanuel Macron toujours aussi volontaire pour les retraites. ---------------------------------
Retraite Delevoye, Macron, la CFDT et l'âge pivot --------------------------------
Retraite Pour pouvoir la toucher, il va falloir faire des études en accéléré! ------------------------------------
CGT La France gronde pour la rentrée! --------------------------------
Le réaménagement du gouvernement annoncé par l’Élysée vient
d'avoir lieu. Jean Paul Delevoye chargé du dossier des retraites, entre au gouvernement. Le
message de Macron
est clair la réforme des retraites va se faire au pas de
charge ...
Réforme des retraites reportée en juillet 2020, pendant les vacances! ------------------------------------
Delevoye a 72 ans et bosse toujours! -----------------------------------------
Retraite et calculs Système actuel Système Macron ----------------------------------------------
Retraite Les propositions de Delevoye Evaluation du point variable.... ----------------------------------
Retraite Espérance de vie en bonne santé à 35 ans
Différence entre les cadres et les ouvriers. --------------------------------
Retraite Le gouvernement ment ------------------------------
Retraite Il faudra travailler plus avec le système de Macron. --------------------------------
Retraite Pourcentage du dernier salaire par année de naissance. Chute vertigineuse avec le système de Macron --------------------------------------
Arditi soutient Emmanuel Macron. Pour la retraite, il est d'accord avec le recul du départ. Pourquoi pas des déambulateurs au travail? --------------------------
Pierre
Dharréville :
« Nous prendrons une part active et offensive dans le
combat contre la réforme des retraites menée par les forces libérales ».
09 19
-------------------------------------
Pierre Dharréville :
"L'année de concertation
supplémentaire annoncée par le gouvernement c'est la stratégie de l'enfumage,
pour préparer l'opinion à de nouvelles régressions, à de nouvelles casses
sociales" Le 24 septembre : mobilisons-nous contre la réforme de la
retraite. »
Emmanuel Macron en campagne contre les
retraites, une opération financée par les atteintes répétées au pouvoir d’achat
des retraités ?
-------------------------------
Lancement de la concertation des retraites, à Rodez dans l’Aveyron Emmanuel Macron va lire le Bulletin de Giscard. -------------------------------
Retraite et élixir de durée de vie. Delevoye et Macron en direction de Rodez. Le commentaire est argotique. A vous de le lire... ---------------------------------------------
JP Delevoye, le
haut-commissaire aux retraites, ne partage pas
la position d’Emmanuel Macron selon laquelle la
réforme des régimes de pension pourrait ne s’appliquer qu’aux nouveaux entrants.
Source « L’Humanité »
NDLR :
nous, on ne la veut pour personne. Qu’ils se l’appliquent à eux-mêmes, si ils
sont si convaincus que ça !
-----------------------------------
La réforme des retraites est-elle équitable? Elle n'est pas transparente du tout... 11 19 Source Le Monde ----------------------------------
« Attention
arnaque. Ce qui fait peur c’est la volonté de s’attaquer encore au droit à la
retraite. Après tant de casse sociale, comment les jeunes pourraient-ils avoir
confiance dans la retraite à la sauce Macron ? »
Pierre
Dharréville
------------------------------
L'âge de départ si la réforme Macron est appliquée. --------------------------------
Grève du 5 décembre, en direct : la France se prépare
à un «jeudi noir».
(…) Edouard
Philippe a récusé mardi avoir «critiqué ou dénigré» les bénéficiaires des
régimes spéciaux, qui «ne sont pas dans une situation irrégulière», à
l'avant-veille d'une grève contre la réforme des retraites prévoyant la
disparition de ces régimes. "Vous ne m'avez jamais entendu critiquer ou
dénigrer ceux qui relevaient d'un autre régime que le régime général.
Jamais", a lancé le Premier ministre au député PCF Pierre Dharréville, qui
l'interpellait lors de la séance de questions au gouvernement à l'Assemblée.