vendredi 23 octobre 2015

Raphaël Porteilla - La culture de la paix et la non-violence. Istres - Winnie Mandela


Le Mouvement de la Paix
Université Populaire de la culture de la Paix.
17 octobre 2015
Istres
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Raphaël Porteilla
Maître de conférence en science politique à l’université de Bourgogne
Chercheur au CREDESPO
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Est-ce que le terme ‘culture de la Paix’ est un terme creux ou plein ?
C’est un terme qui définit le respect de l’autre, de l’humain.
Les conflits sont intrinsèques à la nature humaine, on ne se construit pas ‘comme ça !’

Gandhi a défini trois attitudes humaines en cas de conflit :
-        La lâcheté. C’est le repli sur soi-même. C’est aussi le repli communautaire. On est absent, on ne résout pas.
-         La violence. Gandhi préférait ça à la lâcheté.
-        La culture de la Paix et la non-violence.
Il a préféré résoudre les problèmes de la manière non-violente et il avait raison en son temps. Nelson Mandela s’est aussi convaincu lui-même de passer de l’état de violence qui l’habitait à celui de l’état de non-violence pour s’opposer à son agresseur. Cela a amené à une situation ubuesque après la réconciliation. Le Prix Nobel a été donné à l’emprisonné et à celui qui l’avait emprisonné !
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Les sociétés sont gangrenées par la culture de la guerre et de la violence. Comment peut-on rester comme cela quand cela provoque des milliers de morts ? C’est une violence systémique.
La crise écologique conduit sur les routes de l’exil des milliers d’humains.
Le 'vivre-ensemble' est une notion difficile. On nous le sort  régulièrement. C’est galvaudé.

L’ONU est perverti. C’est la transformation de la culture de paix en violence et en culture de guerre. Les articles présentent les solutions en premier et en dernier vient la définition.

Il faut une approche globale, intégrale et il faut revenir à l’écologique.
En 1998, les USA et l’Allemagne ont été les deux pays à refuser un accord à l’UNESCO de ne plus faire la guerre et de ne plus vendre d’armes.

Il faut s’attaquer aux racines du mal et au système capitaliste.
En France, pays en ‘paix’ et sans guerre, on connaît la violence sociale. Le vocabulaire guerrier est utilisé au sujet des employés d’Air-France.
C’est le système de la domination. ‘Nous avons l’autorité’ et les autres attendent.
La domination des femmes n’est pas nouveau. ‘Vous pouvez accéder au pouvoir, mais c’est selon nos conditions.’

Les outils de conscientisation :
Il faut faire prendre conscience que la paix, c’est :
-        l’absence de guerre
-        la justice sociale
-        la redistribution.
Et on peut rajouter un accès aux ressources pour tout le monde.

La Terre est le bien commun de l’Humanité.
On vit sur la même planète, la même Terre.
C’est le lieu de vie de l’Humanité. Il suffit d’une bombe nucléaire pour qu’il n’y ait plus de vie.
S’il n’y a plus de dimension écologique, que va faire l’Homme?
 Il y a une consultation sur Internet à cette adresse :
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Les instruments d’émancipation :
Ce sont les éléments de construction.
Il faut former les individus à la Charte des Nations, au préambule de l’UNESCO, au manifeste de Séville de 1986.
Il faut des discussions qui permettront de changer le regard.
·                 Voir Paulo Freire (Pédagogie des opprimés, Editions Maspero,1974 (écrit en 1969)) à cette adresse :
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Voir aussi Journée Internationale de la Paix et 25ème anniversaire du Congrès International sur la paix dans l'esprit des hommes à Yamoussoukro à l’adresse suivante :

http://www.unesco.org/new/fr/africa/priority-africa/culture-of-peace-in-africa/yamoussoukro/

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Aller dans le pratique :
Dans tous les domaines culturels ou éducatifs.
Par exemple :
Travailler dans un climat de classe apaisé
Résoudre un conflit
Permettre une expression libre et totale
Déconstruire l’imaginaire de la guerre : peignons le sur les murs.


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Les petites choses font un grand fleuve à la fin.
Il faut se mettre en réseau dans le Mouvement de la Paix, dans nos communes.
Rendons-nous visibles, interpellons nos élus.
Si on ne fait rien, on exclut la culture de la paix.
Il faut faire des ponts avec d’autres mouvements : les alter-mondialistes, les 99%, etc
Le mouvement de la Paix a les mêmes objectifs, pas avec les mêmes mots, et parfois avec des contradictions. Il suffit de trouver ce qu’il y a de mieux entre nous.

Commencer à agir, ce n’est pas de la lâcheté. Par la violence ou pas ? Il faut produire du positif pour maintenant et pour la jeunesse.

Les liens avec la jeunesse sont difficiles. La non-violence est beaucoup plus efficace mais chaque peuple choisit les moyens d’accéder à la liberté (Palestine, par exemple, la Résistance française)

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 Né le 18 juillet 1918 dans une chefferie xhosa, Nelson Mandela suit une formation d'avocat et rejoint le Congrès National Africain (African National Congress, ANC) pour lutter contre l'apartheid et la domination blanche dans son pays. Emprisonné en 1962, il est libéré 27 ans plus tard par le président Frederik de Klerk, acculé à la négociation par la pression internationale. Élu à la présidence de la République le 10 mai 1994, il forme un gouvernement multiracial et réalise son rêve d’une Afrique du Sud «arc-en-ciel». Contredisant tous les mauvais augures, il mène son pays vers la démocratie et la paix. Frederik de Klerk et lui ont reçu le Prix Nobel de la Paix en 1993.

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Nelson Mandela 1918 - 2013 : “Etre libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autres.”
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"L'éducation est l'arme la plus puissante qu'on puisse utiliser pour changer le monde."
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Winnie Mandela, militant anti-apartheid et ex-épouse de la fin du Président sud-africain Nelson Mandela, est mort à 81 ans.



La famille a déclaré dans une déclaration qu'elle est décédée à l'hôpital Netcare Milpark à Johannesburg, en Afrique du Sud, après une longue maladie, pour laquelle elle avait été dans et hors de l'hôpital depuis le début de l'année.

 "Mme Malika-Mandela a été l'une des plus grandes icônes de la lutte contre l'apartheid, " dit la déclaration. "Elle s'est battue vaillamment contre l'Etat d'apartheid et a sacrifié sa vie pour la liberté du pays."



La militante au franc-parler était connue sous le nom de «mère de la nation» en raison de sa lutte contre la domination des blancs en Afrique du Sud. Elle a été mariée à Nelson Mandela pendant 38 ans, y compris les 27 ans où il a été emprisonné sur une île près du Cap.

"Elle a gardé la mémoire de son mari Nelson Mandela emprisonné et vivant pendant ses années sur Robben Island et a contribué à donner la lutte pour la justice en Afrique du Sud un de ses visages les plus reconnaissables, " dit la déclaration.

Le couple a divorcé en 1996, deux ans après que Nelson Mandela devienne le premier président noir de l'Afrique du Sud. Ils avaient deux filles ensemble. Nelson Mandela est mort en 2013.

La famille a dit qu'elle publiera les détails du Mémorial et des services funéraires une fois que ceux-ci auront été finalisés.

Il s'agit d'une histoire de nouvelles de rupture, plus à suivre...

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En 1991, elle est reconnue coupable de complicité dans l'enlèvement d'un jeune militant, Stompie Seipei. Elle est condamnée à six ans de prison, une peine ultérieurement commuée en simple amende.

(…)Mise au ban de la direction de l'ANC, condamnée une nouvelle fois en 2003 pour fraude, Winnie fait tout de même son retour en politique quatre ans plus tard en intégrant le Comité exécutif du parti, l'instance dirigeante de l'ANC.

(…)Leur animosité a continué même après la mort de Nelson Mandela en 2013. Il ne lui a rien légué. Furieuse, elle a engagé une bataille pour récupérer la maison familiale de Qunu (sud). La justice l'a récemment déboutée de ses demandes.

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Pasionaria en Afrique du Sud de la lutte antiapartheid, "Winnie", ex-épouse controversée de l’icône Nelson Mandela, a inextricablement lié son destin à celui de son pays. Un portrait documenté de la figure emblématique des townships. Un beau visage sous un chapeau cloche, Winnie Madikizela-Mandela, jeune assistante sociale née

dans un village du Transkei, a 25 ans lorsque son mari, Nelson Mandela, est arrêté en 1962 à la suite d’une campagne de sabotage de l’ANC, puis condamné à perpétuité : "Nous nous connaissions à peine." Militante au puissant charisme et à la détermination sans faille, la pasionaria va alors mener la lutte antiapartheid en Afrique du Sud et maintenir haut la flamme de la résistance, récoltant des fonds pour les prisonniers et orchestrant sans relâche la mobilisation. Cible du régime, espionnée et maintes fois arrêtée, cette mère de deux petites filles, qui jamais ne désarme, est bientôt accusée d’avoir provoqué la vague de violence qui submerge le pays en 1976. Assignée à résidence à Brandfort – "un tombeau vivant" –, l’opposante, courtisée par les médias internationaux, assume d’être prête à tuer pour la liberté. Ne craignant rien ni personne, Winnie, qui recrute avec Chris Hani et Oliver Tambo les soldats d’Umkhonto we Sizwe, la branche militaire du Congrès national africain, joue aussi les courroies de transmission entre le terrain et le prisonnier légendaire dont le monde entier exige la libération. Mais tandis que, dans les années 1980, le pouvoir engage des négociations secrètes avec Mandela en vue de sa libération, le régime s’acharne à discréditer son épouse, figure emblématique des townships, qui comprend mieux que personne les aspirations de la jeunesse et ne cesse de fustiger le capitalisme.
Le saint et la pécheresse
Entrelaçant archives et témoignages précieux, dont le sien et celui de sa fille Zindzi, ce portrait dense et très documenté éclaire le rôle majeur – et souvent sous-estimé – de cette militante engagée en première ligne dans la lutte antiapartheid.

Il montre surtout comment le régime sud-africain s’est ingénié à opposer "le saint" Nelson Mandela à la "pécheresse" Winnie, redoutée pour son intransigeance, jusqu’à leur séparation et sa diabolisation.

Mais si le film la réhabilite politiquement, il n’occulte pas pour autant les zones d’ombre de cette flamboyante personnalité, accusée d’avoir commandité l’assassinat du jeune Stompie Seipei Moketsi, 14 ans. Au travers du parcours de cette femme insoumise, 81 ans aujourd’hui, dont la popularité n’a jamais faibli dans son pays, une subtile réflexion sur l’histoire récente tourmentée de l’Afrique du Sud.

Documentaire de Pascale Lamche (France/Afrique du Sud, 2016, 1h25mn) ARTE

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L’ancien président Jacob Zuma, 79 ans, a été condamné, mardi, par la Cour constitutionnelle, à 15 mois de prison pour outrage à la justice après son refus de comparaître devant une commission anticorruption.

L’Humanité

 07 21

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Afrique du Sud : l’ancien président Jacob Zuma dort en prison.

Condamné pour outrage, l’ex-dirigeant (2009-2018) a accepté mercredi soir, in extremis, de se conformer à la demande de la justice et de se constituer prisonnier.

(…) Incarcérer ou non, la police hésitante.

Familier des tribunaux, l’ex-dirigeant a obtenu que la Cour constitutionnelle réexamine sa sentence lundi. Il avait aussi réclamé la suspension de son arrestation d’ici là, mais la décision du tribunal doit être rendue vendredi.

Ces recours en justice ont fait planer l’incertitude sur son incarcération. La police elle-même avait laissé entendre ces derniers jours qu’elle pourrait renoncer à arrêter Jacob Zuma.

afrique-du-sud-lancien-president-jacob-zuma-dort-en-prison-08-07-2021

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AFRIQUE DU SUD : AU MOINS 212 MORTS DANS DES VIOLENCES ET PILLAGES.

(…) Dans la journée, des pillards ont été vus en train de vider des chambres froides d’une boucherie, devant un agent de sécurité impuissant.

Face à cette montée de violence, l’armée a dû être déployée, avec 2.500 soldats. Au total, 1.234 personnes ont été arrêtées. Cependant, les destructions se sont poursuivies dans la soirée de mardi.

(…) L’Afrique du Sud traverse une période critique. Un taux de chômage record à 32,6% et une troisième vague de Covid-19. 


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Nelson Mandela 
Les racines de la résistance 
Fête de l'Humanité 

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Nelson Mandela 
27 ans au bagne de Rodden Island.
1993 - Prix Nobel de la Paix.
"L'Humanité "
11 21
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"Mandela" 
Théâtre 
Par Xavier Marchand  
"L'Humanité"
NDLR: j'ai choisi ce passage qui parle de Winnie en la qualifiant de "beauté à couper le souffle".

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Le Prix Nobel de la paix en 1984 pour son combat contre l'apartheid est mort à l'âge de 90 ans. Il avait inventé l idée de « nation arc-en-ciel » pour caractériser la nouvelle Afrique du Sud démocratique et non raciale.

Desmond Tutu.

« L'Humanité ».

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" Nul ne vient au monde achevé. Nul ne saurait penser, marcher, parler, se conduire s'il ne l'avait appris de ses frères. Chacun a besoin d'eux pour acquérir son humanité. Je suis, parce que d'autres sont."

Desmond Tutu.

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Desmond Tutu 
"Faire le bien par petits bouts".
"Racisme et éducation."
"Sexualité et éducation".
"Choisir son camp dans l'injustice".
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Desmond Tutu 
La neutralité devant l'injustice favorise l'oppresseur.
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GB

Timbres

Relief of Mafeking latest.

Le dernier Soulagement de Mafeking


Les foules à Londres.

L’Angleterre célébrant le soulagement de Mafeking en 1900.

Le siège de Mafeking était une célèbre défense britannique dans la seconde Guerre des Boers qui a eu lieu à la ville de Mafeking, en Afrique du Sud sur une période de 217 jours.

Cette seconde « guerre des Boers » sévit pendant deux ans, avec les défaites de Bloemfontein (mars 1900), Mafeking (mai 1900) et Pretoria (juin 1900), détruisant le terres de l'Orange et du Transvaal, et conduisant à l'internement dans des camps britanniques de plus de 100 000 Boers. En mai 1902, le Transvaal et l'État libre d'Orange sont définitivement annexés à la couronne britannique.


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Donald Woods (né le 15 décembre 1933 à Transkei, mort le 19 août 2001 à Londres) est un journaliste sud-africain blanc, éditeur du journal Daily Dispatch. Il est célèbre pour ses idées libérales et son soutien apporté à la lutte anti-apartheid notamment par le biais de l'activiste Steve Biko.

Donald Woods, l'ami de Steve Biko Le journaliste sud-africain avait s'exiler à Londres en 1978 pour avoir mené un long combat anti-apartheid.

Ses livres ont exposé l'affaire et ont servi de base au film "Cry Freedom".

Woods avait fondé et dirigé le journal Daily Dispatch, à East London en Afrique du Sud, dont il a été rédacteur en chef de 1965 à 1977, année où il a été banni par les autorités sud-africaines dans le bantoustan du Transkei d'où il parvint à fuir avec sa famille et à quitter l'Afrique du Sud. Il ne pouvait supporter plus longtemps répression et intimidations.

He was known for befriending fellow activist Steve Biko, who was killed by the police after being detained by the South African government.Woods continued his campaign against apartheid in London.

Il était connu pour s'être lié d'amitié avec un autre militant, Steve Biko, qui a été tué par la police après avoir été détenu par le gouvernement sud-africain. Woods poursuivit sa campagne contre l'apartheid à Londres.

Donald Woods était l'un des rares Blancs à avoir lutté contre le régime d'apartheid sud africain.

C'est un Sud-Africain blanc, dont les idées libérales et le soutien sans faille pour la lutte contre la ségrégation et la violence du système de l'apartheid ont amenés à rencontrer de

grands militants comme Nelson Mandela ou encore Steve Biko.

 

Film « Le cri de la liberté » :

1975, Afrique du Sud. Rédacteur en chef de l’un des journaux d’opposition les plus lus du pays, Donald Woods rencontre Steve Biko, un activiste qu’il soupçonne de prôner la haine des Noirs contre les Blancs. Immédiatement, entre les deux hommes, s’établit un rapport de confiance et de respect qui se transforme en profonde amitié. Après l’assassinat de Steve Biko par la police, Donald Woods reprend son combat, prêt à endurer toutes les épreuves pour que la vérité sur les crimes de l’Apartheid soit révélée au monde entier…

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