Cinéma
Requins
« Dangerous
animal »
Ecologiste
et féministe
Et Steven Spielberg inventa le requin, par un chaud été de
1975. Pas l’animal, bien sûr, qui sillonne nos océans depuis 420 millions
d’années. Mais bien la créature de cinéma : elle hante depuis nos
imaginaires, charriant un cortège d’hydrophobes traumatisés par le film, à
contre-courant de tout savoir scientifique accumulé sur les squales.
Succès monstre à sa
sortie, chef-d’œuvre du cinéma d’horreur, les Dents de la mer (
« Jaws », en VO) jette aussi les bases du blockbuster moderne – pour
le meilleur et pour le pire – et fixe la gueule bardée de dents de Bruce le
grand blanc dans les peurs collectives. Pas mal pour un long métrage où le
requin. (L’Humanité).
Sous ses airs de film de requins calibré pour l’été, "Dangerous Animals" cache un thriller
mordant. Présenté à la Quinzaine des Cinéastes au Festival de Cannes 2025, ce
petit film malin s’impose. (Fnac).
Sean Byrne a créé avec Dangerous Animals un film de requins innovant qui se distingue
des Dents de la mer en ne montrant pas les squales comme des tueurs. (20
Minutes).
Dans Dangerous Animals, le squale mangeur d’hommes
n’est pourtant que l’adjuvant d’un dispositif très particulier. Celui que met
en place un psychopathe qui enlève de jeunes touristes. (Le Monde).
Dangerous Animals offre certes un chouette
message écologique destiné à réhabiliter les requins mais c’est loin d’être le
seul attrait de cet excellent divertissement horrifique. (MSN).
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