jeudi 24 juillet 2025

Cinéma - Requins - « Dangerous animal » - Ecologiste et féministe

 

Cinéma

Requins

« Dangerous animal »

Ecologiste et féministe

Et Steven Spielberg inventa le requin, par un chaud été de 1975. Pas l’animal, bien sûr, qui sillonne nos océans depuis 420 millions d’années. Mais bien la créature de cinéma : elle hante depuis nos imaginaires, charriant un cortège d’hydrophobes traumatisés par le film, à contre-courant de tout savoir scientifique accumulé sur les squales.

Succès monstre à sa sortie, chef-d’œuvre du cinéma d’horreur, les Dents de la mer ( « Jaws », en VO) jette aussi les bases du blockbuster moderne – pour le meilleur et pour le pire – et fixe la gueule bardée de dents de Bruce le grand blanc dans les peurs collectives. Pas mal pour un long métrage où le requin. (L’Humanité).

 

Sous ses airs de film de requins calibré pour l’été, "Dangerous Animals" cache un thriller mordant. Présenté à la Quinzaine des Cinéastes au Festival de Cannes 2025, ce petit film malin s’impose. (Fnac).

Sean Byrne a créé avec Dangerous Animals un film de requins innovant qui se distingue des Dents de la mer en ne montrant pas les squales comme des tueurs. (20 Minutes).

Dans Dangerous Animals, le squale mangeur d’hommes n’est pourtant que l’adjuvant d’un dispositif très particulier. Celui que met en place un psychopathe qui enlève de jeunes touristes. (Le Monde).

Dangerous Animals offre certes un chouette message écologique destiné à réhabiliter les requins mais c’est loin d’être le seul attrait de cet excellent divertissement horrifique. (MSN).

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