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Francisco Goya
1746-1828
“Witches’ Sabbath” – Le Sabbat des sorcières.
1797-1798
Oil on canvas
Huile sur toile.
"Le Sabbat des sorcières" de Goya, réalisé entre 1821 et 1823, fait partie des "Peintures Noires" et représente Satan sous la forme d'un bouc entouré de sorcières terrifiées, symbolisant des thèmes sombres comme la violence, la mort, et la critique des superstitions, tout en étant affectée par des restaurations qui ont modifié son état original. (Trek zone).
Un rituel de sorcellerie nocturne dirigé par un bouc démoniaque, inspiré par la mythologie basque et les superstitions populaires. (Wikipedia).
Sorcières du sabbat, commandé par les ducs d'Osuna en 1797-1798. (Art twenty).
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A witch in black robes kneels before a massive tree with an arched wooden door set into its trunk. The door glows with golden sigils and is partly open, revealing bright blue light from within. Roots and bark frame the mystical portal, evoking secrecy and supernatural ritual.
Une sorcière en robe noire est agenouillée devant un arbre massif dont le tronc est percé d'une porte en bois cintrée. La porte, ornée de sceaux dorés, est entrouverte, laissant entrevoir une vive lumière bleue. Racines et écorce encadrent le portail mystique, évoquant le secret et un rituel surnaturel.
La publication de « La Sorcière » par l’historien Jules Michelet en 1862 marque une rupture : la sorcière devient à la fois un emblème de révolte, de connaissance et d’harmonie avec les éléments naturels. (Site ac Nancy-Metz).
Deux images bien différentes des sorcières cohabitent dans l’art : l’une d’une femme vieille et volontairement laide, et l’autre d’une femme jeune, séductrice et cruelle. (Muzeo).
Cette image de deux hérétiques vaudoises en plein vol est considérée comme une des premières représentations connues de sorcières, telles qu’on se les figurait à l’époque. (Genially).
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Enquête passionnante qui se déroule sous la fin de règne de Henri IV.
Arte
Sorcière
« Chronique d'un massacre »
Pays basque
1609
Démonologie
Misogynie
Quels mécanismes ont conduit à la plus meurtrière chasse aux sorcières en France au Pays basque en 1609 ? Cette enquête saisissante plonge au coeur de la pensée démonologique. (Arte).
Arte revient ce 18 octobre 2025 sur la chasse aux sorcières menée au Pays basque en 1609 par le juge Pierre de Lancre, avec le captivant documentaire. (Sud Ouest).
Arte diffuse ce soir Sorcières : chronique d’un massacre, un documentaire édifiant sur la chasse aux sorcières la plus terrifiante de France, qui envoya au bûcher des dizaines de femmes. (Yahoo).
Au début du XVIIᵉ siècle, la chasse aux sorcières est devenue une véritable obsession en Europe, ce saisissant documentaire retrace l’une d’elles dans le Pays Basque. (Nouvel Obs).
Il s'agit d'une enquête sur les mécanismes cruels, irrationnels et misogynes qui ont conduit à la plus meurtrière chasse aux sorcières en France au Pays basque en 1609. (Ile-de-France).
En 1609, dans la province basque du Labourd, 80 personnes, dont une majorité de femmes, sont brûlées vives pour sorcellerie à l’issue de quatre mois d’un procès à charge. (Historia).
Les motifs misogynes, liés aux maléfices ayant trait à la sexualité, au vol nocturne, au cannibalisme d'enfants, repris de traditions antérieures, apparaissent progressivement et sont appelés à se développer. (La femme est mariée au diable).
Une autre critique positionne le Malleus comme une œuvre phare dans ce qui allait devenir un nouveau genre littéraire de divertissement en plein essor dans la dernière moitié du XVIe siècle. (Wikipedia).
"Depuis Adam, il n'y a guère de méfaits en ce monde où une femme ne soit entrée pour quelque chose…" écrit William Thackheray, auteur du 19ème. Plongée au cœur de la "misogynie". (Les grands misogynes de l’hidsoire, Europe 1).
Dans le cadre des sources historiques, les démonologues du XVIe et du XVIIe siècles s’efforcent de classifier les démons, comprendre leurs pouvoirs et leurs modes d’action, et étudier les interactions entre le Bien (Dieu) et le Mal (le diable). (Wikipedia).
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Sorcière:
Ghada Amer
“We are the granddaughters of the witches that you could not burn.”
« Nous sommes les petites-filles des sorcières que vous n'avez pas pu brûler. »
Ghada Amer, née le 22 mai 1963 au Caire, est une artiste plasticienne égyptienne, peintre - brodeuse, et une figure féministe de l' art contemporain. Elle vit et travaille à New York. (Wikipedia).
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Sorcière :
Portland, US, annyal event known as the "Standup Paddleboard Witch Paddle".
Portland, États-Unis, événement annuel connu sous le nom de « Stand Up Paddleboard Witch Paddle ».
"Pagaie de sorcière pour stand-up paddle".
Chaque octobre, des sorcières, des magiciens, des sorciers et des démons se réunissent pour répandre la joie d'Halloween tout en faisant du paddle sur la rivière Willamette lors de la Paddle annuelle des Sorcières. (Rove).
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Sorcière
Marjorie Cameron
1922-1995
Songs for the witch woman
Chansons pour la sorcière
1951
Marjorie Cameron, artiste et occultiste américaine, est connue pour son œuvre "Songs for the Witch Woman", un recueil de poèmes de John W. Parsons illustré par ses propres dessins, né de leur relation tumultueuse et de leurs pratiques magiques. (Door of perception).
Songs for the Witch Woman est une œuvre majeure associée à Marjorie Cameron. Il s'agit d'une collection de poèmes écrits par John W. Parsons, son partenaire à la fois amoureux et occulte, et illustrée par Cameron elle-même. Ce projet est né de leur relation tumultueuse et de leur collaboration magique. (Cameron).
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Sorcière
Malleus Malefic Arum
En anglais.
Le Malleus Maleficarum, également connu sous le nom de The Hammer of Witches en anglais, est un traité sur la sorcellerie co-écrit par Heinrich Kramer et Jacob Sprenger en 1487. (Glosbe).
Malleus Maleficarum, un texte fondamental sur la sorcellerie et la démonologie, entièrement traduit en anglais moderne par Montague Summers. (Le marteau de la sorcière).
In 1486, in Strasbourg, the Inquisitors published Maleficarum Malleus ("The Hammer of the Witches"), trying in particular to explain why women are more affected by witchcraft than men. (Context reverse).
En 1486, à Strasbourg, les inquisiteurs publièrent Maleficarum Malleus (« Le Marteau des sorcières »), tentant notamment d'expliquer pourquoi les femmes sont plus touchées par la sorcellerie que les hommes.
En 1486, les inquisiteurs Heinrich Kramer et Jacob Sprenger ont publié le Malleus Maleficarum ("Le Marteau des Sorcières") pour expliquer et combattre la sorcellerie, avec l'approbation du pape Innocent VIII. (Wikipedia).
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