jeudi 28 septembre 2017

La Commune de Paris - Nathalie Le Mel





Il y a eu une exposition sur la Commune aux Archives Nationales rue des Francs Bourgeois à Paris.


Les Communardes ont été accusées d'être des incendiaires. Ce qui est faux car aucune femme n'a été jugée pour ces faits.


En allant chercher le lait, elles (les Communardes) avaient un pot en lait que nous avons tous connus dans notre jeunesse. Elles n'y mettaient pas de pétrole pour incendier les monuments de Paris.



Nathalie Lemel a eu un rôle important et déterminant pendant la Commune.


Dans le livre les auteurs ont représenté ce qu'elle avait pu faire avant la Commune. Elle a eu une activité politique importante, mais mère de plusieurs enfants, elle n'a pas écrit sur ses activités, contrairement à Louise Michel, qui était célibataire et institutrice.


Nathalie Lemesle a été très engagée dans beaucoup de mouvements émancipateurs.


Elle bossait treize heures par jour, elle rentrait ensuite s'occuper de sa famille et en plus elle était une militante active.


Voici la bande dessinée qui raconte la vie de Nathalie Lemel
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 "Vive la commune!"
 Marseille
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Aurore Valade

Révoltes intimes



Commissaire de l’exposition

Daniel Lesmes



Née en 1981 à Villeneuve-sur-Lot, France.

Vit et travaille entre Arles et Madrid.





Paillettes et sabotage. Nous les femmes nous sommes le continent.

Marseille

2018



Vive la Commune
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Léon Auguste Mellé
(1816 – 1889)
L’Incendie des Tuileries*
Huile sur toile
Signée et datée Léon Melle, 1871
Le 23 mai 1871, de nombreux monuments, dont le palais des Tuileries, la Cour des Comptes (actuel Musée d’Orsay) et l’hôtel de Salm, visibles dans ce tableau, étaient incendiés par les communards, autant pour détruire les symboles du pouvoir que pour ralentir les troupes du gouvernement.
Si les façades et les murs intérieurs survécurent, l’hôtel de Salm fut considérablement endommagé. A l’initiative du général Vinoy, grâce au chancelier et grâce à une souscription lancée auprès des légionnaires et les médaillés militaires, il fut le premier bâtiment reconstruit après la Commune.
Palais de la Légion d’honneur

Hôtel de Salm
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*
Etienne Martin 
1913 - 1995
Personnages III 
1967 
Bronze patiné
Jardin des Tuileries
Paris


Emile Deroy
Panorama des incendies de Paris par la Commune
Nuits des 23, 24 et 25 mai 1871
Lithographie
Pavillon de l’Arsenal

Paris
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 Ernest Pignon Ernest
Affiches 1965 - 2019
La Commune a 140 ans (2011)
Fête de l'Humanité 2019

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Retraite
Pour la Commune !
12 19

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C
Pierre Vieuguet
Petit-fils d’une famille de paysans-métayers et vignerons du Berry (Chabris-Valençay-Nord de l’Indre) et de Touraine (Vallée du Cher-Thésée-Monthou-Sud du Loir-et-Cher), fils de parents résistants et communistes, initialement instituteurs, il est né en 1951 à Paris, 4 sœurs et frère, né à Tours et à Saint-Denis. Il a vécu jusqu’en 1976 à Saint-Denis (93), la ville où est né Paul Eluard, puis en Isère près de Grenoble, à Saint-Martin-d’Hères de 1976 à 1980 et Gières de 1981 à 2006. Il vit aujourd’hui à Vinay, ancien pays de vignes, aujourd’hui pays de la noix.
La Commune
En
partage.



Musée Dubocage de Bléville
Saint-François
Le Havre

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Le 24 avril 1871, la Commune de Paris votait la réquisition des logements vacants pour loger les personnes sans toits.

Source Mathilde Larrère

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La Semaine Sanglante

Paroles : Jean-Baptiste Clément

Musique : Pierre Dupont

Interprétation : Les Amis d'ta femme

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Sauf des mouchards et des gendarmes,
On ne voit plus par les chemins,
Que des vieillards tristes en larmes,
Des veuves et des orphelins.
Paris suinte la misère,
Les heureux mêmes sont tremblants.
La mode est aux conseils de guerre,
Et les pavés sont tous sanglants. –
Refrain :
Oui mais ! Ça branle dans le manche,
Les mauvais jours finiront.
Et gare ! à la revanche
Quand tous les pauvres s'y mettront.
Quand tous les pauvres s'y mettront.

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21 mai 1871 
L'armée versaillaise entre dans Paris 
La "semaine sanglante" démarre.

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 28 Mai 1871  
La Semaine sanglante s'achève au Père Lachaise. 
147 fédérés, combattants de la Commune de Paris, étaient fusillés par les Versaillais et jetés dans une fosse ouverte au pied du mur. 

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Commune

1871

Belle Ménil

Paris 

Ménilmontant - Belleville

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La Commune 

Lille 

1871

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Armand Guerra était un anarchiste cinéaste.
Tangui Perron a écrit sur la Commune pour expliquer un contexte plus large.

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Peu de femmes dans le film, mais en 1914, elles ne comptaient pas. (NDLR: elles prendront conscience de leur force et de la possibilité d'une autre vie après cette boucherie...)


A la fin du film, on voit Nathalie Lemel en chair et en os.

Mathilde Larrère.



cinematheque.fr/henri/film/103075-la-commune-armand-guerra-1914

La Commune

De Armand Guerra

France

1914

20 minutes

Silencieux

 

 

Film restauré en 1995 d'après un négatif issu des collections de la Cinémathèque française. Le générique et les intertitres ont été reconstitués avec le concours de l'historien Nicolas Offenstadt.

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"La Commune, savez-vous,
Petit-e-s téméraires,
Ce que c'est? Ecoutez tou-te-s
C'est vivre en frères (et soeurs, NDLR)
Et lorsque nous serons grand-e-s
Nous combattrons les tyrans (tyranes au féminin?)
Vive la Commune!
Enfants, vive la Commune!
Vive la Commune..."

Rue Maxime Lisbonne
Paris 18e, la Goutte d'Or

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Gambetta, Thiers, Hugo, les hommes-clés du siège de Paris en 1870-71.
Mathilde Larrère rappelle que des femmes ont aussi été des incontournables de ce siège: Louise Michel, Juliette Adam, Geneviève Breton.
NDLR Je rajouterai Séverine, Nathalie Lemel.

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Juliette Adam

Écrivaine, romancière, journaliste.

Juliette Lambert, épouse Adam, née le 4 octobre 1836 à Verberie et morte dans sa centième année, le 23 août 1936 à Callian, est une écrivaine, polémiste, salonnière féministe et républicaine française. Elle est la fille d'un médecin.

Après la mort de son premier mari en 1867, elle épouse l'avocat Edmond Adam, député de la gauche républicaine, fondateur du Crédit foncier,  préfet de police en 1870.

Issue de la bourgeoisie du XIXe siècle, Juliette Adam tiendra de longues années un salon qui  fût un foyer actif d'opposition à Napoléon III et devint un des cercles républicains. Son salon fut fréquenté par les littérateurs, les libéraux et les hommes d'état les plus influents dont Léon Gambetta.

Elle s’impose dans le Paris du lendemain de la défaite de 1871 qui voit la République   s’installer progressivement après  la chute du Second Empire.  

Dans les années 1870, elle diffuse les brochures de Julie Daubié. Dix ans plus tard elle intègre le Suffrage des femmes, mouvement dont Hubertine Auclert   est à l'origine. Mais « désenchantée par les médiocres effets du suffrage universel masculin », elle change d'avis et rallie l’antiparlementarisme tout en conservant sa position républicaine.

Elle évolua vers un féminisme modéré. Elle fut amie de George Sand. 

EN 1904, Juliette Adam achète les ruines de l'abbaye de Gif. Elle est surnommée « Grand-mère de la Patrie ».

Féministe et républicaine, elle publia de nombreux ouvrages de souvenirs sur le siège de Paris de 1870.

Autrice de :

 « Idées antiproudhoniennes sur l'amour ».

« Le Siège de Paris, journal d'une Parisienne »

« L'Heure vengeresse des crimes bismarckiens »

 


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Geneviève Bréton

1849 – 1918

Femme de lettres. –

Son père était un riche homme d'affaires parisien

Mère de l'écrivain et critique d'art Jean-Louis Vaudoyer (1883-1963).

Geneviève Bréton (1849-1918) est une figure émouvante et quelque peu oubliée de l'histoire du Plessis-Robinson. Jeune parisienne, elle est issue de la haute bourgeoisie. Elle a relaté le siège de la capitale, de septembre 1870 à janvier 1871. Elle déplore son impuissance face au danger qui .menace. L'étau prussien se referme. Les Parisien-enne-s  risquent leur vie pour briser le siège. Il y eut 30 000 morts au cours de cet hiver 1870-1871 où la capitale fut assiégée. 

Elle fut la fiancée cultivée et exaltée, amoureuse éperdue de l'artiste. surnommé  le « petit Regnault », exécuté en octobre 1870. Geneviève Bréton épousera par la suite Alfred Vaudoyer.

 

Autrice de :

« 1867-1871, Journal »

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La Commune 

150 ans 

Lallement soutient Thiers

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La Commune -

Nathalie Lemel en 2021: solidarités internationalistes, solidarités populaires, marmites dans les restaurants coopératifs, Union des femmes, émancipation.

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La Commune 
17 e arrondissement  de Paris.
Les femmes sont appelées à défendre Paris.
Infirmières dans les ambulances, relève des corps des blessés sur le champ de bataille, derrière les barricades.
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La case du siècle

 

En mars 1871, lorsque la Commune de Paris est proclamée, les photographes descendent dans la rue pour immortaliser l'histoire en marche. Ils livrent ainsi plusieurs centaines de clichés qui forment le premier photoreportage de l'histoire. Leurs témoignages ne sont pas neutres, car l'image exalte ou dénonce, grandit les insurgés ou les rabaisse, défend la révolution ou soutient la répression.

France 5


Sur France TV

Le récit photographique de la Commune dans « La Case du siècle » sur France 5

C’est une autre histoire de la Commune que propose « La Case du siècle » dimanche 2 mai à 22.40. Lors de ces 72 jours où l’utopie s’est transformée en tragédie, seuls quelques photographes ont immortalisé des scènes rares. Puis les clichés sont devenus pièces à conviction, et certains n’ont pas hésité pas à les manipuler. Ce film permet de découvrir ce moment unique d’une révolution brisée à travers l’objectif forcément subjectif de l’appareil photographique.

(…) Cette bataille des images communardes et versaillaises nous rappellent qu’un témoignage n’est pas neutre. La photographie exalte ou dénonce, grandit les insurgés ou les rabaissent, défend la révolution ou soutient la répression. Un éclairage sur les soixante et onze jours d’insurrection au plus près de la période historique de la Semaine sanglante.

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7 mai 1871, la Révolution sans la femme?

IL Y A 150 ANS. 

Mathématicienne et écrivaine, Michèle Audin est aussi passionnée par l'histoire et tient un blog sur la Commune de Paris

(…) André Léo s’adresse directement au général Dombrowski à la une de La Sociale. Voici son article (la citation en italique). Que je dédie à toutes les amies et amis de la Commune qui croient que « la place des femmes dans la cité, au travail et au foyer a été réinterrogée comme jamais » pendant ces quelques semaines.

(…) Arrêtés tout d’abord par la crainte de blesser les femmes et d’écraser leurs enfants, qui s’attachaient aux roues des canons, les soldats comprirent ces reproches, et ils mirent en l’air la crosse de leurs fusils.

(…)La Révolution était faite. Grâce aux femmes, surtout. Il faut bien l’avouer, et je vous le répète, citoyen Dombrowski, — et vous, grand-prévôt, qui chassez de vos avant-postes les femmes assez dévouées à la cause de la Révolution, pour lui sacrifier leur vie.

(…) La femme ne doit plus obéir aux prêtres; mais elle ne doit pas plus qu’auparavant relever d’elle-même. Elle doit demeurer neutre et passive, sous la direction de l’homme, elle n’aura fait que changer de confesseur.

(…) La Révolution, il faut bien en prendre son parti, est la liberté et la responsabilité de toute créature humaine, sans autre limite que le droit commun, sans aucun privilège de race, ni de sexe.

(…) On pourrait, d’un certain point de vue, écrire l’histoire depuis 89, sous ce titre: Histoire des inconséquences du parti révolutionnaire. — La question des femmes en ferait le plus gros chapitre, et l’on y verrait comment ce parti trouva moyen de faire passer du côté de l’ennemi la moitié de ses troupes, qui ne demandait qu’à marcher et à combattre avec lui.

André Léo

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150 ans de la Commune de Paris : Pas de révolution sans les femmes.

Pour les 150 ans de la Commune, les élèves du lycée-collège Voltaire ont choisi d’évoquer l’engagement des femmes dans ce soulèvement populaire. 

(…) Portraits de femmes à partir des modèles des photographies prises par Eugène Appert dans les prisons de Versailles en 1871. Ces photos montrent les communardes  toutes assises, sur fond apparemment gris, lumière naturelle, mains sur les genoux, suivant une consigne donnée par le photographe.

(…) Dans ces quelques centaines de photos de communards, archivés  au musée Carnavalet, il y a 70 portraits de ces femmes emprisonnées.

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Ludivine Bantigny : « la Commune continue d’inspirer les luttes ».

« Elle n’est pas morte ! ». Dès 1886, le poète et révolutionnaire Eugène Pottier en a la conviction : la Commune de Paris n’a pas dit son dernier mot. À l’occasion de son 150ème anniversaire, on remonte le temps pour faire le lien entre héritage de la Commune et luttes actuelles avec l’historienne Ludivine Bantigny.

(…) La Commune de Paris, de quoi parle t-on ?

Longtemps écartés des programmes scolaires, les 72 jours de l’insurrection parisienne n’évoquent pas toujours un souvenir historique très clair. Aujourd’hui encore, peu de personnes en dehors des cercles militants situent vraiment l’événement. 

(…) Elle poursuit : « la Commune continue d’inspirer les luttes sociales modernes »

la-commune-ludivine-bantigny

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29 MAI 2021 : GRANDE JOURNEE POPULAIRE POUR CELEBRER LES 150 ANS DE LA COMMUNE DE PARIS 1871 

 

 

Plus que jamais, la Commune reste une source d’inspiration et de confiance pour toutes celles et tous ceux qui se réclament, encore et toujours, des valeurs de la République démocratique et sociale, une République émancipatrice et universelle. Face à la haine intacte des versaillais d’aujourd’hui, manifestons la solidarité joyeuse que stimule son héritage.

 Samedi 29 mai 2021, une grande journée populaire pour célébrer le 150e anniversaire de la Commune de Paris 1871… à l’appel de 89 organisations :
• À partir de 10 heures, sur la place de la République à Paris, animations, spectacles, prises de parole, pique-nique…
• À 14 heures, départ du cortège populaire en direction du Père-Lachaise et montée au Mur des Fédérés

 

 

 

RENDEZ-VOUS

SAMEDI 29 MAI 2021 • À PARTIR DE 10 HEURES

PLACE DE LA RÉPUBLIQUE À PARIS

 

 

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FIGURES D'HIER, ESPOIR D'AUJOURD'HUI 

 

 

En cette année du 150e anniversaire nous mettons à l’honneur des acteurs et actrices de ce moment historique qui résonne dans nos cœurs et dans nos têtes.

Ces 50 portraits, spécialement restaurés graphiquement par nos soins illustrent le combat d'hommes et femmes, connus ou non, qui ont marqué à jamais l’Histoire pour un idéal d’émancipation qui reste d’actualité et à conquérir. 


1871-2021, la Commune est toujours vivante.
Vive la Commune ! 

 


La Commune

Info'Com CGT

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La Commune

Info'Com CGT

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La Commune

Info'Com CGT

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La Commune

Info'Com CGT

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La Commune

Info'Com CGT

Eugène Varlin 

Louis Eugène Varlin, né le 5 octobre 1839 à Claye et mort le 28 mai 1871 à Paris, est un militant socialiste et libertaire, membre de la Commune de Paris et de la Première Internationale.

Eugène Varlin naît dans une famille de paysans pauvres. Il devient artisan relieur.

Eugène Varlin se montra dévoué défenseur des grévistes et il se tourna pour les aider vers la “ Caisse du Sou ”. Il a précisé son point de vue dans un article du Travail, organe des associations ouvrières.

Eugène Varlin est sûrement, avec Louise Michel, l'une des plus grandes figures de la Commune de Paris. Socialiste d'esprit plutôt libertaire.

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150 ans après l’insurrection de 1871, la #villedeparis inaugure deux rues aux noms de André Léo et Anna Jaclard, ces féministes et figures de la Commune. À travers elles, l’histoire oubliée des communardes refait surface.

« L'Humanité »

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« Lorsque notre nourriture, nos vêtements, nos toits ne seront plus que le fruit exclusif de la production standardisée, ce sera le tour de notre pensée. Toute idée non conforme au gabarit devra être éliminée. »

John Steinbeck        

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Nathalie Le Mel 

La Commune 

Fête de l'Humanité

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André Léo 

La Commune 

Fête de l'Humanité

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Anna Jaclard 

La Commune 

Fête de l'Humanité

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Lire aussi:

severine-premiere-journaliste-francaise





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