Virginie Despentes
Vernon Subutex 1
Editions Bernard Grasset
215
C’est le livre écrit par Virginie Despentes que j’ai préféré parmi ceux que j’ai lu. Mais, je n’ai pas poursuivi le tome 2. J‘ai calé. Le départ est passionnant. Il y a des excès, mais pas trop. Subutex devient SDF et est attachant.
Alcoolisme :
Bernard peinait à boutonner ses chemises noires, tant la bière lui avait gonflé le bide (p 19).
Jean-No s’était mis au hard casse-burne et buvait comme un trou (p 24).
Virginie accueille Subutex qui est à la rue. Quand elle est bourrée, elle oublie son corps qui a grossi et le rejet des hommes (p 57).
Quand on boit seul-e, c’est glauque et contraire à l’esprit festif (p 84).
Il appelle une de ses copines « la petite » (p 22). Ce surnom n’est pas anodin.
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Alcool
gai, alcool triste, mais trop souvent, le triste alcool.
(…)En
quelques chiffres, l'alcool c'est 49 000 morts par an, dont 15 000 cancers.
C'est aussi la première cause de mortalité chez les jeunes de 18 à 25 ans.
(…)
Les risques à long terme sont connus : cancers, hépathopathies, maladie du
pancréas, troubles cardiovasculaires, maladies neurologiques, troubles
psychiques, troubles liés à l'usage.
(…)
Trop de personnes sont chaque année victimes d'agressions, délits ou crimes
liés à l'alcoolisation.
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Viol en Italie : la décision de justice qui scandalise les
Italiennes.
La Cour de cassation a cassé le verdict d'un procès pour viol en raison de l'état d'ébriété de la victime, rapporte « The Guardian ». Une décision très contestée.
(…) À la suite d'un repas arrosé,
deux hommes, âgés de 50 ans, ont profité de l'état d'ébriété de la
victime pour la violer.
(…) Une décision dont la jeune femme
avait fait appel en janvier 2017.
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