Ville antique de 18 hectares dominant le sillon rhodanien et le confluent des vallées de la Cèze et de la Tave.
Les grandes occupations :
Age du Fer (Ve siècle avant notre ère).
Haut
Empire romain (Ier – IIe siècle de notre ère).
Antiquité
tardive (IIIe – VIIe siècle de notre ère).
Laudun - Oppidum -
Laudun est une Ville antique
Les vestiges à l'état actuel des recherches :
Remparts des Ve - Ier siècles avant notre ère et du changement d'ère
Centre monumental du Ier siècle de notre ère : forum, basilique, tribunal.
Huilerie des Ier - IIe siècle de notre ère
Nécropoles des Ve - VIIe siècle de notre ère
Prieuré clunisien Saint-Jean-de-Todon.
Laudun - Oppidum - Les vestiges à l'état actuel des recherches
Ville antique de 18 hectares dominant le sillon rhodanien et le confluent des vallées de la Cèze et de la Tave.
Les grandes occupations :
Age du Fer (Ve siècle avant notre ère).
Epoque tardo-républicaine (1er siècle avant notre ère).
Haut Empire romain (Ier - IIe siècle de notre ère).
Laudun - Oppidum - Porte principale
Porte principale de la ville romaine.
Empruntée du Ier au VIIe siècle de notre ère.
Egout principal permettant l'évacuation des eaux usées hors de la ville. Saignées verticales du dispositif de fermeture (porte en bois à double battant).
" Chasse-roues " pour les charrettes.
Trottoir.
Centre
monumental gallo-romain.
Forum/basilique
du Ier siècle de notre ère.
Forum :
place publique entièrement dallée, à l’origine, et entourée sur trois de ses côtés
par un portique (galerie couverte supportée par une colonnade). Le forum est le
centre de la vie politique, religieuse et judiciaire chez les romains.
Basilique :
bâtiment couvert de plan rectangulaire et rythmé par trois nefs séparées par
des colonnades antérieures. Cet édifice civil, lieu de réunion, abrite un tribunal
axial de plan arrondi.
Laudun - Oppidum - Rempart gaulois du Ve siècle avant J-C, poterne et tour
Remparts gaulois du Ve siècle avant notre ère.
Epoque gauloise du Ve au Ier siècle avant notre ère
Epoque augustéenne (changement d'ère)
Haut Empire (Ier siècle de notre ère).
Flanqué de tours pleines quadrangulaires et défendant, à l'ouest, le village primitif.
Enceinte sur le rocher construite à l'aide de gros blocs calcaires bruts d'extraction et posés à sec.
Préfet
de l’Annone
Praefectus
annonae
Ce
magistrat impérial est chargé sous la République romaine de veiller au bon
déroulement du marché du blé entre les diverses régions du bassin méditerranéen
(Afrique du nord, Espagne, Italie…). Son rôle est également d’assurer l’approvisionnement
des étals dans chacune des villes de l’Empire.
Durant
plusieurs siècles, la cité gallo-romaine installée sur le plateau du Camp de
César connut de riches échanges économiques grâce à sa position directement
liée au fleuve Rhône ainsi que son positionnement au carrefour de plusieurs
voies de communication.
Préteur
Praetor
Elu
du peuple romain, le préteur est un magistrat administrant les lois civiles et
commandant les armées provinciales. Gouverneurs de provinces, certains d’entre eux peuvent agir
comme juge dans les tribunaux.
Le
complexe monumental du Camp de César regroupant un forum (place publique), une
basilique et un tribunal montre que la ville possède durant la période romaine
un statut et une autonomie politique privilégiés.
Jules César : des
archéologues dévoilent une étonnante reconstruction 3D de la tête du général
romain.
(…) L’Histoire nous a laissé de lui l’image d’un
impitoyable conquérant avide de pouvoir. Mais Jules César avait-il vraiment la
"grosse tête"…?
des-archeologues-devoilent-une-etonnante-reconstruction-3d-de-la-tete-de-jules-cesar
16 Art
On peut lire aussi "César".
Monnaie – Italie, Gaule cisalpine
César (43 avant notre ère)
Tête laurée de César
Aureus, or
Musée lapidaire
Avignon
Portrait
de Jules César (100 avant notre ère, 44 avant notre ère)
En
47 avant notre ère, le général et homme d’état romain vainquit le souverain
lagide, Ptolémée Philopator (qui aime son père) III. De sa liaison avec
Cléopâtre (69 avant notre ère, 31 avant notre ère), sœur du souverain, il
aurait eu un fils, Ptolémée César, surnommé Césarion.
Alliage
métallique.
Provenance
inconnue.
Surmoulage
moderne d’une œuvre antique, vraisemblablement le portrait du dictateur abrité
au Palais Pitti, Florence.
Musée lapidaire
Avignon
Armoire en noyer sculpté « quatre cavaliers »
Jules César
Musée du vieux Nîmes
Benjamin
Ulmann
Blotzheim,
1829 – Paris, 1884
Huile
sur toile
Caton
expulsé du Sénat
La
vertu républicaine y est célébrée par le geste accusateur porté envers César
par le sénateur Caton le Jeune (95 – 46 avant notre ère), tel que le décrit
Plutarque. La scène fourmille de détails tirés de l’archéologie (vêtements,
mobilier, choix des matériaux utilisés pour le décor) qui ont une fonction
pédagogique.
Musée d’art et d’histoire de Bayeux
Nicolas Coustou
Lyon, 1658 - Paris, 1733
Jules César
Marbre, 1722 Jardin des Tuileries
Paris
Lyon, 1658 - Paris, 1733
Jules César
Marbre, 1722 Jardin des Tuileries
Paris
Ambrogio Parisi
Connu en Italie depuis 1676 - Rome, 1719
Jules César d'après l'Antique
Marbre - 1688 - 1694
Jardin des Tuileries
Paris
Naples
Connu en Italie depuis 1676 - Rome, 1719
Jules César d'après l'Antique
Marbre - 1688 - 1694
Jardin des Tuileries
Paris
Musée national d'archéologie.
Jules César
110 avant J-C.
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« La mort de César » par
Vincenzo Camuccini.
Jules César
Assassinat
La Mort de César est
un tableau, mesurant 400 x 700 cm, peint par Vincenzo Camuccini vers 1806. Il est conservé au Museo Nazionale di
Capodimonte de Naples. Une version plus petite de la toile, de dimensions 112 ×
195 cm, est exposée à la Galerie nationale d'art moderne et contemporain de
Rome. (Wikipédia).
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Métier
à tisser gaulois
4
barres de lisse.
Tissu
sergé par Marie-Pierre Puybaret, spécialiste des textiles antiques.
Musée de l’Ardenne
Charleville-Mézières
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Page
274 :
Jules
César, d’après Chateaubriand, est « l’homme le plus complet de l’histoire
parce qu’il réunit le triple génie du politique, de l’écrivain et du
guerrier. »
Jean D’Ormesson
De l’Académie française
Mon
dernier rêve sera pour vous
Une
biographie sentimentale de Chateaubriand
Editions
Jean-Claude Lattès, 1982
Bague
en or d’un guerrier gaulois
Milieu
du IIIe siècle avant notre ère
Musée de Normandie
Caen
Bague
en or
Intaille
en agate (profil d’homme)
Touffréville
(Calvados)
Musée de Normandie
Caen
Les
bijoux
Les
colliers sont très longs et portés en plusieurs tours. Les boucles d’oreilles
sont mises en valeur par les coiffures. Les bagues ornées de camées sont
appréciées par les hommes et les femmes. Les miroirs étaient des objets
précieux.
Les
personnes, dans leur fuite, avaient emporté avec eux leurs bijoux.
Bague
1er
siècle de notre ère
Or,
cornaline
Musée de la Romanité
Nîmes
Torques, fin de l’Age du Bronze (vers 800 avant notre
ère)
Exceptionnels par leurs tailles et leur poids, ces colliers
de parure torsadés ont été découverts en 1992 et 1994 par deux pêcheurs sur
doris, Claude et Denis Dufour.
Vraisemblablement perdus en mer lors d’un naufrage, ces
torques témoignent des relations commerciales entre les populations côtières
des deux rives de la Manche.
L’hypothèse d’un dépôt rituel ou funéraire en mer n’est pas
exclu.
Fécamp
Musée les Pêcheries
Masque
de divinité celto-romaine
Tête
de bronze, Bailleul (Orne)
1er
siècle avant notre ère, 3e siècle de notre ère
Le
masque représente une divinité non identifiée. Cette idole païenne indigène
traduit l’antiquité et la permanence des nombreux cultes locaux. Ce masque
appartient à un petit groupe d’une vingtaine de visages en métal représentant
divinités ou fidèles.
Musée de Normandie
Caen
Statue
de déesse mère
Trouvée
en 1843 brisée au fond d’un fanum désaffecté au IVe siècle de notre ère,
cette statue est un exemple de la romanisation d’un culte indigène. Elle
représente une femme assise dans un fauteuil, de part et d’autre de laquelle se
tiennent deux enfants. Coiffée d’un diadème, elle porte sur son manteau deux
fibules (agrafes) ainsi qu’autour du cou un torque de tradition gauloise.
Musée de Normandie
Caen
Edmond-Victor
Le Harivel Durocher
Chanu,
1816 – 1878
Marbre,
1865
Arcisse
de Caumont – Buste
Bayeux,
1801 – Caen, 1873
Arcisse
de Caumont est reconnu comme le fondateur de la science archéologique en
France. Il a joué un rôle éminent en faveur de l’étude et de la sauvegarde du
patrimoine, en impulsant à l’échelle nationale la fondation d’un grand nombre
de sociétés savantes.
Arcisse de Caumont à Bayeux
Les sociétés savantes en Normandie
Lillebonne - théâtre romain.
BAYEUX
Arcisse de Caumont, né à Bayeux en 1801, un Normand de terrain, « Semons, semons toujours, récoltera qui pourra ». Cette devise personnelle résume bien la vie d'Arcisse de Caumont, explorateur, défricheur, laboureur et tuteur du renouveau de la culture à travers tout le XIX e siècle.
Archéologue, géologue, Arcisse de Caumont est surtout connu pour son rôle dans le développement de l'histoire de l'art médiéval au XIXe siècle.
Auteur, personnalité majeure du XIXe siècle, il édite en 1846 Statistique monumentale du Calvados, une oeuvre complète sur l'archéologie et le patrimoine du département.
Congrès archéologique de France, 1875.
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Paris
Musée Cernuschi
Deux bagues
Argent
Epoque de Dông Son (4e - 1er siècle avant notre ère)
Vietnam
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