mercredi 11 octobre 2017

La collection Lambert à Avignon


Le centre d'art à Avignon, la collection Lambert et sa cour intérieure qui vibre sous les reflets du soleil et le souffle du vent.











Collection Lambert À Avignon
La cour de la Collection Lambert, vue de l'intérieur, avec ses reflets sur les perles et les gouttes d'eau qui jouent avec l'irisation du soleil.


Adam Pendleton
Né en 1984 à Richmond, Etats-Unis
Vit et travaille à New York
Maybe/ I Am
2004
Impression offset sur papier



Allan McCollum

Né en 1944 à Los Angeles, Etats-Unis

Vit et travaille à New York

Untitled

1980

Peinture sur bois


NDLR : Je vous laisse juge !

Carl Andre

Né en 1935 à Quincy, Etats-Unis

Vit et travaille à New York

Third Copper Corner

(Troisième coin de cuivre)

Plaques de cuivre


Donald Judd

1928, Excelsior Springs, Etats-Unis – 1994, Manhattan, New York,

Untitled

1984

Peinture époxy sur métal


Douglas Gordon

Né en 1966 à Glasgow, Ecosse

Vit et travaille entre Glasgow, New York, Berlin, Allemagne

Never, Never (White)

2000

Tirage gélatino-argentique couleur




Jill Magid


Née en 1973 à Bridgeport, Etats-Unis


Vit et travaille à New York


I Can Burn Your Face: Miranda II


2008


Néon




Richard Long


Né en 1945 à Bristol, Angleterre


Vit et travaille à Bristol


Ardennes State Line


1978


Ardoises






Robert Barry


Bronxville (USA), 1936 – Vit et travaille à Teaneck, USA


Untitled


1980


Peinture acrylique et crayon graphite sur papier

François Ristori
Sans titre
1967 – 1968

Peinture vinylique sur toile tendue sur châssis

Reflets dans les vitres....
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Voir aussi:

collection Lambert
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Pierre Dharréville et les services publics


Madame, Monsieur, Cher.e ami.e,

Alors que se déroulait la manifestation de la fonction publique, hier, lors de la séance des questions au gouvernement, hier, mardi 10 octobre, Pierre Dharréville a interrogé le ministre sur les services publics.

Voici  la question dont vous trouverez le texte ci-dessous.


Cordialement



Marie-France Nunez
Attachée parlementaire
du député Pierre Dharréville
0658251420
mfnunez.pflg@gmail.com


Pierre Dharréville

Député des Bouches du Rhône

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Question au gouvernement du 10 octobre 2017


Monsieur le ministre de l’action et des comptes publics.

Il y a ces pompiers avec leur dévouement quotidien que j’ai encore vus à l’œuvre ce week-end face à un feu de forêt, ces policiers de la BAC, engagés contre les trafics, ces hospitaliers, qui ne supportent pas de voir leur hôpital traiter de plus en plus mal ses patients quand sa mission est de les soigner, ces enseignants, qui ont conscience d’exercer une mission essentielle auprès des enfants et qui ont le sentiment d’être empêchés, ces douaniers qui ne comprennent pas pourquoi on organise leur inefficacité face aux fraudes.

Chacune, chacun, à leur façon, ces oeuvriers du bien commun sont indispensables.
Ils devraient être la fierté de la République.

Pourtant, ce sont eux qui manifestent aujourd’hui, partout en France. Ils demandent des comptes. Ils posent des questions précises. Ils veulent le déploiement du service public. 
Ils demandent quand va cesser cet acharnement à les priver de moyens d’agir. Ils demandent quand leur travail sera respecté, quand les usagers seront respectés, quand les droits des citoyens de ce pays seront respectés. 

Et vous leur répondez : quand nous aurons fini de faire des restrictions et vous ne cessez jamais. Et vous refusez d’aller chercher l’argent là où il est. Par exemple les quelque 300 milliards planqués par des citoyens français dans les paradis fiscaux.

Gardons l’argent du CICE, de l’ISF, des taxes sur les dividendes et les milliards que vous dilapidez pour vos amis les riches de la finance.

Ces héros du quotidien, payez-les correctement, recrutez-les !

Vous n’en finissez pas de priver la République de sa force ! Monsieur le ministre, quelle ambition avez-vous pour les services publics ? Quand allez-vous prendre la mesure de la colère sociale qui monte dans le pays ?

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https://vimeo.com/237691152

Octobre 2017:

Les Français ont une bonne image (63%) des agents du secteur public, alors que ces derniers s’imaginent au contraire mal-aimés de leurs concitoyens (65%).
Source: sondage Odoxa pour l’Obs

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Rencontre avec Raimund Hoghe à la FabricA


Raimund Hoghe

Rencontre à la FabricA

Octobre 2017




Curieux homme, têtu, déterminé, ambitieux.

Allemand né à Wuppertal et vivant à Düsseldorf, il est obsédé par le passé nazi de son pays et se demande si avec son infirmité il aurait survécu à cette période qui exigeait la perfection de la race. Il veut connaître l’histoire pour qu’elle ne se reproduise plus. Il a été élevé par sa maman, veuve. Il n’a pas connu son père, mais a côtoyé son grand-père. « Elle ne m’a jamais regardé comme un être monstrueux. Elle m’aimait et m’a regardé avec amour. » Sa mère a accepté son enfant beau comme il était. Sa maman avait le goût de la beauté. « Elle avait le rêve de la beauté ». Couturière, elle fabriquait elle-même ses vêtements et a transmis à son fils le goût de la création et de la mode. Il est aussi inspiré par Agnès b.






Journaliste de profession au Zeit, il est amené pour son travail à rencontrer Pina Bausch, la célèbre chorégraphe. « Pina est une sœur pour moi. ». On ne choisit pas sa famille, mais ses amis…Il devient son dramaturge. Un inspirateur intellectuel. L’aventure dure dix ans. Ils viennent deux fois présenter un spectacle à Avignon.

Puis, il y a vingt ans, il se lance sur scène. « Je n’utilisais plus les mots pour m’exprimer, mais les gestes et le corps. »

Il aime lutter contre le rejet et l’exclusion. Il insiste sur la différence des corps, sur la beauté que chacun de nous porte en lui et sur lui malgré ses défauts ou infirmités. Les migrants l’attirent aussi avec leur destin tragique. Il utilise les lettres portées par des migrants retrouvées sur eux après le crash de leur avion. Le petit fantôme, celui d’Aylan, l’enfant syrien noyé, découvert en septembre 2015 sur les côtes turques aussi.
Si la beauté est importante au théâtre, il n’en oublie pas moins la réalité. Est-elle moins belle que le spectacle ? Le monde et ses affaires l’effraient surtout. Il a peur de Trump qui « peut à chaque instant appuyer sur le bouton et faire exploser la planète. » Tout d’un coup, on n’existera plus.

Pour conjurer le sort, il se réfugie dans la musique. Pas n’importe laquelle. Pas le rock, pas la musique actuelle dans laquelle il ne se reconnaît pas. La grande ! Il cite Léonard Bernstein. Et il choisit une cantatrice célèbre qui finira sa vie dans la solitude, abandonnée par l’amour, par sa mère, sans contrat et dans la misère. Maria Callas. Il créera une œuvre personnelle, 36 avenue George Mandel en 2007, dernière adresse parisienne de la cantatrice qui a erré d’hôtels en hôtels toute sa vie durant. Lui ? Il aime la vie d’hôtel, il n’aime pas faire le ménage…

Il nous visionnera des extraits de spectacles. Nous découvrons Ornella Balestra, une danseuse qui a participé à la compagnie de Béjart*, elle était sa danseuse fétiche. « Je préfère une femme qui a dans son corps inscrit les épreuves de la vie à une jeune fille de 18 ou de 20 ans. » Au bord de la rupture avec la vie de scène, il lui redonne le goût de sa présence sur les planches quinze ans plus tôt. Il regrette que les danseurs, les étoiles connaissent une fin de vie artistique à 38 ou 41 ans. Pour elle, il crée le spectacle « Canzone per Ornella », chanté par l’italienne Emilie. Il le présentera l’été prochain à Avignon.

Ses spectacles s’appuient sur ses rituels, il insiste sur la lenteur et l’élégance. « Le spectateur qui surgit de la vie trépidante doit avoir le temps d’entrer dans son monde ».

Il diffuse un extrait de Maria Callas chantant  avec le chef d’orchestre Georges Prêtre. Un moment de félicitée que le public applaudit. « Vous remarquerez qu’elle bouge peu. Comme Piaf qui apprenait qu’il fallait un mouvement par chanson. »




Plus tard, il rencontre Marie Thérèse Allier, une femme sans âge – « on reste jeune dans sa tête » -, mais qui entretient et insuffle en elle la vie, refusant d’attendre dans l’angoisse la mort. Elle mène la danse à la Ménagerie de Verre depuis 1983, dans le 11e arrondissement de Paris. Elle passe du classique qui l’a fait souffrir au contemporain.

Et pour terminer, Raimund Hoghe conclut « À mon âge, on vit plus dans le présent. »

La Valse de Raimund Hogue :

Maria Callas " La sonnambula" de Bellini


Ornella Balestra
Rosenzeit

Marie Thérèse Allier :

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*

Maurice Béjart 
Maison à Bruxelles
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Maria Callas

Musée à Athènes

Centenaire de la naissance de la Diva.

Après 25 ans de préparatifs, la ville d'Athènes a inauguré un musée en l'honneur de la légendaire soprano Maria Callas.

Annoncé depuis des décennies, le Musée Maria Callas vient d'ouvrir à Athènes. Situé à proximité de l'Acropole.

10 23

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mardi 10 octobre 2017

Aquarelles - Aix-en-Provence - Hôpital

 Institut des Etudes politiques
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 L'olivier pousse sur le toit en face de l'hôpital.
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Bandes pour l'embellie ou contre l'embolie?
Non, C'est contre la phlébite.
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Figueres :

Ma peau



« La meua pell, fina i lletosa, no acostuma a recupar-se bé dels talls, pero aquest cop la cicatriu quasi s’ha fosa mb la carn llisa, el meu torax i el meu abdomen tornen a tenir activitat ja no estic freda continue sent una i continue estant sencera. »



« Ma peau, mince et lactée, pas habituellement récupérée en de telles coupes,

mais cette fois la cicatrice a presque fondu la chair qui était lisse,

et mon  thorax,  mon abdomen reviennent pour avoir une activité,

je ne suis plus un ensemble froid et je continue encore. »



Texte traduit de La Sed
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Discussion féminine
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Fontaine

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C'est la ville des hôtels particuliers - Ici, le baron de Saizieu
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C'est une ville universitaire
Ici, le CREPS
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Route impériale N° 7 - De Paris à Antibes
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Aix-en-Provence moderne
Le parking relais pour les automobiles.
Il vaut mieux prendre les transports en commun.
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Le petit marseillais
Marseille n'est pas loin.
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Cathédrale Saint-Sauveur
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Ecole communale de garçons..
Vive la mixité!
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1833 - Sonnette chinoise
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Rue Pierre et Marie Curie
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Musée du Vieil Aix
Portrait du roi René
Bas relief en plâtre
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David D’Angers
Réplique de la statue du roi René
XIXe siècle
Sculpture en plâtre
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Jeanne Laval * :
Femme du roi René
Elle n’est pas dépensière pour les dépenses de toilette, contrairement à « la duchesse de Calabre qui dépense deux fois plus que son mari Charles du Maine, plus même que le roi René. »
Jeanne achète des draps de laine. La duchesse achète des soies « du plus haut prix ». (p 124)


*
Jeanne est née à Auray le 2 novembre 1433. En 1446, Jeanne, participe avec son père Guy XIV au tournoi d’Emprise du Château de Joyeuse Garde.
Elle meurt en 1498.

La femme au temps des cathédrales
Régine Pernoud
Livre de Poche

1980
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Musée du Vieil Aix

Coupole

Modello de G.B. Gaulli dit le Baciccio

Projet de coupole en bois peint réalisé par Giovanni Battista Gaulli dit le Baciccio (Gênes 1639-Rome 1709). Caché au fond de l'appartement d'un célèbre collectionneur aixois, ce modello a dormi pendant plus de 200 ans sans que personne ne s'y intéresse.


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Francis Gruber


Nancy, 1912 – Paris, 1948


Paysage d’Aix-en-Provence, 1935


Huile sur toile


Musée des Beaux-Arts


Nancy

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lundi 9 octobre 2017

Permanence du député Pierre Dharréville - Contrats aidés

Madame, Monsieur,

Le Président de la République Emmanuel Macron a annoncé durant l’été la suppression des financements de 150 000 contrats aidés par l’Etat.
Cette décision constitue un plan social à grande échelle et aura des conséquences humaines et sociales graves pour des milliers de personnes. Elle plonge des salariés, déjà précaires, dans l’incertitude du lendemain. 
Les associations sont également victimes de cette mesure, elles vont être privées de recrutements indispensables à leur fonctionnement. Déjà fragilisées financièrement par les baisses récurrentes de subventions de la part des collectivités- elles-mêmes victimes de l’austérité imposée par l’Etat- beaucoup devraient renoncer à leurs projets, pourtant vitaux pour les habitants du territoire de la circonscription. De beaux projets de solidarité risquent de ne pas voir le jour.
Enfin, les services publics sont eux aussi impactés par la suppression des contrats aidés, et en particulier l’école. Dans la circonscription, la rentrée a été marquée par des mobilisations pour exiger le renouvellement des contrats de personnels de secrétariat dans l’Education Nationale.
Nous ne pouvons laisser faire. Face aux premières mobilisations, la Ministre du travail, Madame Pénicaud a annoncé avoir obtenu une rallonge budgétaire pour le renouvellement de certains contrats aidés pour la fin de l’année 2017. Mais ce n’est pas suffisant.
Ces postes doivent être transformés en contrat à durée indéterminée car ils répondent à de réels besoins. 
Je vous invite à une rencontre avec les responsables associatifs, les privés de contrats, les élus de la circonscription pour évaluer la situation et décider ensemble des mobilisations pour faire reculer le gouvernement sur ce sujet.

Je vous invite nombreux le : 
Vendredi 13 octobre  2017 à 18H
Salle Gagarine Rue Charles Nedelec à Port de Bouc


Dans l'attente de vous y retrouver, recevez, Madame, Monsieur, Cher.e ami.e, mes cordiales salutations.

Pierre DHARRÉVILLE
Votre député




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