Benoîte Groult
Mon évasion
Autobiographie
Editions Grasset – 2008
Elle est née en 1920. Elle écrit avoir « dix-huit ans en 1939 » (p 27).
Son père était ami de Max Jacob (p 75). Elle a Marie Laurencin pour marraine (p 21). Marie Laurencin était l’amie de la maman de Benoîte, en 14 - 18 (p 80). Son oncle maternel est Paul Poiret (p 25).
Sa mère lui prédit un avenir de vieille fille (24), ce qui provoque de la pitié ou des sarcasmes (p 69). Elle, elle se voit en célibataire comme la majorité des institutrices des années 1930 (p 71). Elle a pourtant lu Balzac qui décrit « l’horreur que lui inspirent les femmes célibataires »* (p 70). Elle sait très jeune qu’il n’y « a pas d’avenir indépendant pour les filles » (p 26).
*
"On
m'a inculqué d'attendre le prince charmant, mais pourquoi je ne
serais pas la maîtresse des horloges de ma vie ?"
À 35
ans, célibataire et prête à avoir un enfant, Johanna Luyssen a
décidé de devenir mère, seule. Et son idée de la famille, c'est
ça.
Johann Luyssen est journaliste et cheffe adjointe à Libération.
02 22
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Une des vertus pour les jeunes filles est le renoncement, y compris celui du bonheur (p 28). Aristote et Platon n’ont-ils pas écrit que « la femme était un homme raté » ? (p 31).
Avec cet environnement familial de réussite (ses parents ne sont pas en reste dans leur domaine), Benoîte va chercher pendant longtemps un domaine de réussite à elle. Elle se tournera vers le féminisme, passé ses cinquante ans, après trois mariages (p 43). Elle a meublé l’ennui d’un jeune homme qui attendait quelqu’un d’autre. Les fiançailles sont rompues par lui. (p 66).
Fiancé critiqué par ma mère.
"Ma mère n'aimait pas le fiancé que j'avais choisi. "Tes enfants auront de mauvaises dents. Et pas de cheveux sur le crâne!"
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Elle devient veuve dès son premier mariage, puis épouse Georges de Caune. Ils travaillaient ensemble à Radiodiffusion (p 106). Il est agressif avec elle. Le mariage est malheureux (p 112). Elle fait des efforts et espère devenir une épouse adorée (p 113). Georges de Caunes étant joueur, il perd beaucoup d’argent à Vincennes (p 45). Après son divorce, elle épouse Paul Guimard, directeur littéraire des éditions Denoël (p 182). Ils vivront ensemble pendant cinquante ans, jusqu’à la mort de son mari. Ils ont essayé de vivre selon le pacte qui liait Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre. Elle reconnaît que ce pacte est avantageux surtout pour l’homme du couple. Elle se demandait comment elle a pu supporter toutes ses infidélités.
Elle était proche du PS.
Elle pense que la cause des femmes avance très lentement car « les femmes privilégient leurs relations avec les hommes ». Elle regrette le manque d’assurance des femmes et la peur des hommes (p 222).
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Les
femmes victimes dans l’Antiquité grecque – Page 32 :
Aristote
et Platon :
« La
femme n’est qu’un homme manqué, un mâle raté, une erreur de la nature ».
Hélène
de Troie
Sa beauté fut la cause de la guerre de Troie, « où moururent les meilleurs des Grecs".
Jocaste
« Elle épouse sans le savoir son fils Œdipe ».
Iphigénie
« Sacrifiée à seize ans pour de dérisoires raisons météorologiques ».
Ariane
« Séduite puis abandonnée dans une île déserte par Thésée ».
Lilian Bourgeat
Saint-Pierre-de-Varengeville
Centre d'art contemporain Daniel Havis
Fil d'Ariane, 2022.
Médée
« Infanticide, magicienne comme sa sœur Circé ». Les deux femmes seront abandonnées, elles aussi.
NaplesMusée national d'archéologie.
Médée envisage le meurtre de ses deux enfants.
Médée est assise avec une épée dans la main, considérant avec anxiété le meurtre de ses deux enfants qui jouent avec insouciance devant elle, tout en étant sous le regard du pédagogue.
20 - 25 après J-C.
Maison de Jason
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Fécamp
Musée les Pêcheries
Cham
Amédée de Noé
1818 - 1879
Médée et ses enfants qui la questionnent sur son air canaille.
Ils sont encore en vie.
L'univers illustré, 1877
Revue comique du Salon.
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Jean-Marc Depas
Thomas Corneille
Saint-Pierre-de-Varengeville
Centre d'art contemporain Daniel Havis
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Œuvres musicales et littéraires inspirées par Thomas Corneille.
Psyché, tragédie en musique de Jean-Baptiste Lully* (1678) (ne pas confondre avec la tragédie-ballet de 1671 (texte de Pierre Corneille, Molière et Philippe Quinault)
Médée, tragédie lyrique en cinq actes et un prologue de Marc-Antoine Charpentier 1693.
Médée (Thomas CORNEILLE)
Opéra en cinq actes et en vers. Musique de Marc-Antoine Charpentier. Représenté pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre du Palais-Royal, le 4 décembre 1693.
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*
Jean-Baptiste Lully - buste-----------
Andromaque
Elle est une des « figures emblématiques des destinées de vaincues, de victimes ».
Antigone
Créon lui dit : « La désobéissance est le pire fléau. Nous ne devons tolérer en aucune manière qu’une femme nous donne des leçons. Elles doivent rester des femmes et non pas faire leurs quatre volontés » (p 140)
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Les
femmes et la littérature.
Trois
auteurs féminins qui n’existaient pas à la Bibliothèque de l’université de
Barnard (USA):
Selon Erica Jong, en 1960.
Erica Jong, née Erica Mann le 26 mars 1942 à New York,
est une écrivaine américaine surtout connue en France comme l'auteur du roman « Le
Complexe d'Icare », d'abord paru aux États-Unis sous le titre « Fear
of Flying » en 1973, et de sa suite, « La Planche de salut »,
paru aux États-Unis sous le titre « How to Save Your Own Life » en
1977. Cette grande figure du féminisme américain a également écrit des poèmes,
dont un recueil, « Amour racine », traduit et publié en 1979 chez
Seghers.(Wikipédia)
Colette
« Prétendue épuisée. »
Simone
de Beauvoir
Simone de Beauvoir, née le 9 janvier 1908 dans le 6ᵉ
arrondissement de Paris, ville où elle est morte le 14 avril 1986, est une
philosophe, romancière, mémorialiste et essayiste française. (Wikipédia)
Emily
Dickinson
Emily Dickinson, née le 10 décembre 1830 à Amherst
dans le Massachusetts et morte le 15 mai 1886 dans la même ville, est une poète
américaine. Issue d'une famille aisée ayant des liens communautaires forts,
elle a vécu une vie introvertie et recluse. Après avoir étudié dans sa
jeunesse, durant sept ans à l'académie d’Amherst, elle vit un moment au
séminaire féminin du Mont Holyoke avant de retourner dans la maison familiale à
Amherst. (Wikipédia).
La littérature écrite par les femmes :
Benoîte Groult cite Virginia Woolf, étant d’accord
avec ce qu’elle a écrit :
« Tuer la fée du foyer reste le premier devoir
d’une femme qui veut écrire » (p 237).
« Si j’avais dû rompre avec la tradition, il
m’aurait fallu un courage héroïque, et je ne suis pas un héros (ou une héroïne,
NDLR) !
Virginia Woolf
au sujet d’une vie indépendante des femmes
très difficile, à son époque (p 38).
A propos du renoncement des femmes à la création, Virginia
Woolf écrit :
« Comment pourrait-il en être autrement ?
Les femmes sont restées assises à l’intérieur de leurs maisons pendant des millions d’années, si bien qu’à
présent ce sont les murs même qui sont imprégnés de leur force créatrice »
(p 169).
Molière, en 1679, lance des « formules
chocs », sur le ton de la dérision,
en traitant les femmes qui veulent s’exprimer en-dehors du cercle
familial de « précieuses ridicules », ou de « femmes
savantes » (p 35).
Selon les Anglais, un « bas-bleu » est une
femme « qui a des prétentions littéraires » (p 37).
« Je ne veux pas de bas-bleu chez nous »
disait madame Dudevant à la future George Sand.
House of Parlement - Maison du Parlement.
Londres
Maquette au Havre
Mon montage avec des femmes françaises.
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Dans « Les Dames aux chapeaux verts », une
mère déclare : « Je n’accepterai pas que ma fille devienne un
bas-bleu ».
Le livre raconte avec un humour mordant les aventures
sentimentales inattendues d’une jeune Parisienne envoyée chez ses quatre
cousines, vieilles filles qui habitent « le plus vieux quartier d’une des plus
vieilles villes du Pas-de-Calais », en fait le quartier de la cathédrale à
Saint-Omer, ville natale de l’auteur. (Wikipédia)
« Pas de jupons chez nous » diront les
Goncourt, refusant de couronner « Marie-Claire », de Marguerite
Audoux.
Marie-Claire est un roman de Marguerite Audoux publié
en 1910 aux éditions Fasquelle et qui a reçu la même année le prix Femina, ce
qui lui a interdit de recevoir le prix Goncourt, décerné une semaine plus tard,
malgré le soutien d'Octave Mirbeau, auteur de la préface . C'est la première
œuvre de son auteure et à ce titre la plus autobiographique. Le roman s'est
vendu à son époque à plus de 100 000 exemplaires. (Wikipédia)
Betty
Friedan - « La femme mystifiée ».
La Femme mystifiée est un essai féministe de l'
Américaine Betty Friedan paru en anglais en 1963
sous son titre originel The Feminine Mystique puis traduit en français par
Yvette Roudy en 1964. (Wikipédia)
Le livre est étudié aux États-Unis et fréquemment cité
dans la pop culture. Dès lors, Betty Friedan s'impose comme l'égérie de la
deuxième vague féministe. (Amazon)
En proposant une critique radicale de la condition
faite à la femme dans la société de consommation, ce livre a permis à des
millions d’Américaines de prendre conscience de la prison dorée de la
domesticité dans laquelle elles se sont laissées enfermer, se condamnant à une
aliénation profonde. (RFI)
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La littérature féminine tournée vers les vieilles filles
– Page 69 :
Gabrielle Réval – Les Sévriennes. 1900
Gabrielle Réval est une écrivaine
française
(1869 – 1938)
Pseudonyme : Gabrielle Réval.
Elle fut l’une des
premières diplômées (classe 1890) de
l’École normale supérieure de jeunes filles de
Sèvres. Elle passa son agrégation en 1893 et enseigna au lycée de filles à
Niort.
Ses romans lui
valurent une série de distinctions et notamment la Légion d’honneur.
Elle a également marqué l’écriture des femmes en
tant que co-fondatrice du prix « La Vie heureuse » qui devint le prix Femina
dont elle fut l’une des présidentes.
Féministe d’avant-garde et femme d’une grande
beauté, elle eut une vie sentimentale riche et mouvementée. (Babélio).
Jeanne Galzy – L’Initiatrice aux mains vides. 1929.
Il a remporté en 1930 le Prix Brentano.
Marie Pascal est une jeune femme célibataire qui
enseigne « littérature, géographie, histoire, etc. » dans un petit
collège d'une petite ville de Picardie.
Le roman fut jugé « très triste » et
« très beau ».
L'Initiatrice aux mains vides est le premier des trois romans à thème lesbien
publiés par Galzy. L'amour lesbien, selon Waeti-Walters, est une alternative
secrète aux deux seules sortes d'amour que les femmes étaient autorisées à
exprimer : l'amour maternel et l'amour hétérosexuel ; en conséquence,
les lesbiennes « have no models and no language for what they are
experiencing and no place to situate themselves socially ». (Wikipédia).
Germaine Acrement – Ces Dames aux chapeaux verts.
1921.
Le livre raconte avec un humour mordant les aventures
sentimentales inattendues d’une jeune Parisienne envoyée chez ses quatre
cousines, vieilles filles qui habitent « le plus
vieux quartier d’une des plus vieilles villes du Pas-de-Calais »,
en fait le quartier de la cathédrale à Saint-Omer, ville natale
de l’auteur. (Wikipédia).
Marcelle Tinayre – La Rançon (1894) et la Rebelle.
1905*
A lire en ligne, La Rebelle :
. https://fr.wikisource.org/wiki/La_Rebelle
Elle aborde dans ce
roman la question de l’avortement.
La Rançon :
«... Pourquoi donc rendre à la lumière ces pages
écrites naguère avec la hardiesse ingénue de l'inexpérience ? Je répondrai bien
sincèrement que je n'aurais pas osé republier la Rançon si cet ouvrage
imparfait m'avait paru tout à fait médiocre. Il contient un petit drame de
conscience dont le dénouement et les conclusions me semblent aujourd'hui très
discutables, mais qui touchera néanmoins quelques âmes tendres et scrupuleuses.
Je les prie d'accueillir avec indulgence cette histoire de deux amants
inférieurs à leur idéal, supérieurs à leur destinée, faibles devant la douleur
d'autrui, et contraints au stérile sacrifice de leur grand et bel amour, parce
qu'ils ont préféré le « bon mensonge » à la vérité libératrice...»
Colette Yver – Les Cervelines - Prix Femina en 1907.
Ses ouvrages sont représentatifs des fictions
antiféministes qui abondent sous la IIIe République. Destinés à un public
féminin, ces types de romans mettent en scène des femmes émancipées confrontées
à de multiples malheurs qu'elles n'auraient pas subis si elles avaient choisi
la vie au foyer. (Wikipédia)
Le Prix Femina condamne les femmes
« émancipées » (p 69 – 70).
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Louise Michel – Page 35 :
Pétroleuse : « Un surnom qui resta, en plus de celui de « Vierge rouge » (encore une pucelle !) ». Ces surnoms relèguent au second plan « la volonté politique de toute sa vie ».
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Les
« suffragettes » – Page 35 :
Elles sont taxées de l’expression « majorettes joyeuses du droit de vote ». Cela permet d’évacuer leurs revendications du droit de vote.
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Les
femmes du Moyen-Age – Page 36 :
Christine
de Pisan*
On la surnommait « La dame savante ».
*
21-Portrait-de-femmes-de-notre-Matrimoine-par-Jacqueline-Hennegrave
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Portrait de femmes de notre "Matrimoine" par Jacqueline Hennegrave.
Christine de Pisan (1364-1430) première femme de lettres de langue française ayant vécu de sa plume.
(…) Nous présentons Christine de Pisan philosophe et poétesse italienne de naissance vénitienne. Christine de Pisan est considérée comme la première femme de lettres de langue française ayant vécu de sa plume.
Héloïse
(et Abélard)
« Elle savait le latin, le grec, l’hébreu et la théologie, mais c’est l’amour qui causa son malheur ».
Louise
Labé
« Elle parlait quatre langues. »
Marguerite
de Navarre
« Elle rayonna sur tout le XVIe siècle ».
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La
Révolution française et les femmes –:
Les révolutionnaires « grisés par des grands principes dits universels (…) étaient bien décidés à ne pas (les) appliquer aux femmes » (Page 36).
Elle critique le « Suffrage universel de 1789 qui ne représentait que les hommes et qui osait se dire universel ! » (p 211).
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Le
« Code civil » de Napoléon – Page 37 :
Il établit « la perpétuelle et obligatoire résignation des femmes », en les transformant en mineures (dépendantes de l’homme) à vie.
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Trois
hommes féministes – Page 38 :
Condorcet
Il « fut pratiquement le seul défenseur des femmes» pendant la Révolution française.
Nicolas de Condorcet est un mathématicien, philosophe,
homme politique et éditeur français, représentant des Lumières, né le 17
septembre 1743 à Ribemont et mort le 29 mars 1794 à Bourg-la-Reine. (Wikipédia)
Guyomar
Idem pour lui pendant la Révolution française. Il « passa pour un hurluberlu ou un dangereux utopiste ».
Pierre Marie Augustin Guyomar, né le 19 décembre 1757
à Guingamp et mort le 10 octobre 1826 dans la même ville, est un homme
politique français. Il est élu successivement député à la Convention nationale,
au Conseil des Cinq-Cents, au Conseil des Anciens.(Wikipédia)
Le
général Fournier
Il « resta toute sa vie dans la misère ».
François Louis, comte Fournier-Sarlovèze, né à Sarlat,
le 28 avril 1772 et mort à Paris le 18 janvier 1827, est un général d'Empire
français. (Wikipédia)
Contrairement à ce qu’écrit Benoîte Groult, il
terminera sa vie dans les honneurs :
« Surnommé « El Demonio » (le Démon)
par les guérilleros espagnols, tant pour sa brutalité que pour son efficacité
redoutable dans les opérations de lutte antiguérilla, il est l'un des rares
personnages d'origine roturière à avoir été distingué par deux titres
nobiliaires, l'un conféré par l'Empereur, l'autre par le roi de France. »
« Son goût pour la séduction de femmes mariées
ou non lui cause de nombreux duels, devenus son jeu favori. » (Canal
Académie)
NDLR : je ne vois pas ce qu’elle lui trouve…
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André
Gide et les femmes – Page 39 :
« Par passion pour Les Nourritures terrestres, je me rendais compte que les héroïnes des romans d’André Gide étaient interdites de désir et de maternité, vouées(…) à des morts sinistres ».
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Les
femmes et la psychanalyse – Page 41 :
Benoîte Groult regrette que la psychanalyse n’ait pas « eu de mère ».
Anna
Freud
Elle devint « l’Antigone de son père ». (Antigone est la fille d’Œdipe, NDLR). Elle tient l’emploi d’une fille respectueuse.
Anna Freud, née le 3 décembre 1895 à Vienne et morte
le 9 octobre 1982 à Londres, est une psychanalyste, née en Autriche, puis
exilée en Angleterre en 1938, et naturalisée britannique. Elle est la fille du
psychanalyste Sigmund Freud. (Wikipédia)
Délaissée par les grands de sa fratrie pour lesquels
elle représente avant tout une personne en trop, elle peine à trouver sa place.
Il arrive alors que son père la console et la félicite de sa réaction non
revendicative.
On sait qu’A. Freud fut la fille préférée de son père, avec
Sophie. « Ce que vous cherchez à me faire savoir, c’est qu’Anna occupe parmi mes six
enfants une place différente de celle des autres » (Cairn).
Hélène
Deutsch
Helene Deutsch-Rosenbach, née le 9 octobre 1884 à
Przemyśl, ville alors en Galicie autrichienne et morte le 29 mars 1982 à
Cambridge aux États-Unis, est une psychanalyste américaine d'origine
autrichienne. Elle est la première psychanalyste à se spécialiser dans la
psychologie féminine. (Wikipédia)
Simone de Beauvoir s’est beaucoup inspirée, dans Le
Deuxième Sexe, de The Psychology of Women d’Hélène Deutsch,
malgré les différences théoriques qui l’opposent à la psychanalyse. La
possibilité de ces emprunts s’explique d’abord par la complexité de la pensée
d’Hélène Deutsch, qui nuance ses présupposés « naturalistes »,
parfois jusqu’à la contradiction. (Cairn)
Marie
Bonaparte
Elle se fit « opérer le clitoris pour jouir selon le diktat de Freud ».
Marie Bonaparte, princesse Bonaparte, puis, par son
mariage, princesse de Grèce et de Danemark, est née le 2 juillet 1882 à
Saint-Cloud (aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine) et morte le 21 septembre 1962
à Gassin (dans le Var), en France. Arrière-petite-fille de Lucien Bonaparte et
épouse du prince Georges de Grèce, c'est une femme de lettres, une mécène et
une psychanalyste disciple de Sigmund Freud, dont elle a contribué à diffuser
le travail en France et à l’étranger. (Wikipédia)
Mais Marie Bonaparte ne se contenta pas de ces
conclusions et alla plus loin: elle décida de remédier aux erreurs de dame
nature et se fit opérer. En 1927, elle passa sous le scalpel du professeur
Halban, chirurgien viennois qui prétendait pouvoir déplacer le clitoris.
(Sexplicit)
Souffrant de frigidité, la princesse française
n’hésita pas à passer sur le billard pour y remédier. (Soir mag)
Plusieurs médecins (dont des psychanalystes comme
Freud ou encore Marie Bonaparte,
dont le clitoris fut
déplacé 3 fois!) préconisaient une opération chirurgicale
pour l'ablation du clitoris car:
- il ne sert pas à la procréation - il peut engendrer des pulsions
incontrôlables - il est à l'origine d'un syndrome dit « hystéro-épileptique »
(Penelop.overblog)
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Les
femmes et l’Histoire.
Les femmes la subissent. Elles ne sont pas nées pour la faire (p 74). Pendant les guerres, les femmes soignent les blessés. Les femmes ne sont pas faites pour entrer dans l’Histoire (p 89).
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Les
avortements.
Pendant son mariage avec Georges de Caunes, elle subira quatre avortements clandestins. (p 122). Son premier avortement, en 1944, par curetage, se fera à vif, sans anesthésie (p 95). Benoîte Groult rappelle les conséquences d’un avortement clandestin : « perforations, hémorragies, septicémies, morts subites par syncope » (p 125). Elle regrette que personne ne lui ait demandé de signer le « Manifeste des 343 salopes » (p 174).
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Le
mariage selon George Sand :
« Il faut, je crois, que l’un des deux en se mariant renonce entièrement à soi-même et fasse abnégation non seulement de sa volonté, mais même de son opinion ; qu’il prenne le parti de voir par les yeux de l’autre, d’aimer ce qu’il aime. Mais aussi quelle source inépuisable de bonheur quand on obéit ainsi à ce que l’on aime ! L’on fait à la fis son devoir et son bonheur. » (p 113).
« Il faut se demander si c’est à l’homme ou à la femme de se refaire ainsi sur le modèle de l’autre. Mais « comme du côté de la barbe est la toute puissance » et que d’ailleurs les hommes ne sont pas capables d’u tel acharnement, c’est à nous qu’il appartient de fléchir à l’obéissance… Il faut aimer et aimer beaucoup son mari pour en venir là. » (p 118)
Lettre
à Emilie de Wismes, 1823.
« Je vis que tu n’aimais pas la musique et je cessai de m’en occuper parce que le son du piano te faisait fuir. Tu lisais par complaisance, et, au bout de quelques lignes, le livre te tombait des mains d’ennui et de sommeil. Quand nous causions surtout, littérature, poésie ou morale, ou tu ne connaissais pas les auteurs dont je parlais, ou tu traitais mes idées de folies, de sentiments exaltés ou romanesques…Je cessai d’en parler. Je résolus de prendre tes goûts. »
Confession
de Madame Dudevant à son mari. 1825
https://www.jstor.org/stable/44844462
Elle se séparera de Casimir Dudevant en 1836.
Benoîte Groult explique qu’un homme pouvait quitter son épouse et ses enfants sans qu’aucun grief ne lui sot reproché. Ce n’état pas pareil pour les femmes et c’était même impossible. Gauguin a abandonné sa femme et ses quatre enfants, non par génie, mais « parce qu’il pouvait déserter sa famille sans être poursuivi, interné, condamné par la société » (p 168).
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La
langue française.
Elle rappelle que la grammaire « fait le bon et le mauvais usage ». La langue française n’évolue pas d’elle-même. « Son histoire a commencé avec la fameuse Ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539 ». François 1er remplace le latin et les dialectes locaux dans les textes administratifs et officiels. En 1549, Joachim de Bellay écrit Défense et Illustration de la langue française. Richelieu fonde l’Académie française « pour élaborer un Dictionnaire sous l’autorité de Vaugelas (p 213). En 1660, c’est la Grammaire de Port-Royal (p 214).
Au Moyen-Age, « on disait une tisserande, une abbesse, une diaconesse, une pécheresse ».
Au XXe siècle, Alain Gillot-Pétré, mécontent d’une féminisation de la langue, se demande dans Libération « quel est le masculin de l’expression « enculer les mouches à merde » ? » » Benoîte Groult est taxée d’ignare de la langue française par Georges Dumézil, dans le Nouvel Obs : « Ces dames qui s’attaquent au vocabulaire ont une profonde méconnaissance des langues indo-européennes ». Dans France-Soir, Jean Dutourd écrit : « Au secours, voilà la clitocratie » (p 215).
Guy Bedos propose de nommer les femmes dans la Marine d’un « enseignette de vaisselle » ou d’une « majordame ». Marc Fumaroli transforme la femme-recteur en « madame la Rectale » (p 220).
Au Québec, « la langue est bien vivante et a su évoluer ». Les Canadiens français ont remplacé « Droits de l’Homme » par « Droits humains » (p 223).
En 1967, le Littré introduit les mots « factrice » et « inspectrice ».
Puis en 1982 apparaît le mot « agricultrice ».
Les premiers noms féminins apparaissent dans le Petit Larousse en 1996 :
"La juge, la ministre, la sculptrice, la baroudeuse". (p 224)
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La pornographie est l’exploitation du corps des autres (p 266).
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« Le féminisme ne gêne en rien l’orgasme. Au contraire » (p 268).
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Le paternalisme est ennemi des femmes (p 269).
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La grand-mère a réfléchi et transmet des idées nouvelles (p 271).
« On ne peut pas s’épanouir sur une génération de sacrifiées ou de victimes ».
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Diderot et les femmes ménopausées :
« A la ménopause, qu’est-ce qu’une femme ? Négligée de son époux, délaissée de ses enfants, nulle dans la société, la dévotion est son unique et dernière ressource ! »
NDLR : Toutes au couvent…..
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4 films de femmes conseillés par Benoîte Groult:
Thelma et Louise
"Thelma
& Louise" - Ending Scene
Scène
finale.
NDLR :
C’est la mort violente qui les attend, quelle fin !
Beignets de tomates vertes
Film Beignet
de tomates vertes (en entier)
"Le bon dieu ne ferme
jamais une porte sans en ouvrir une autre "
Company of strangers
(de Cynthia Scott, Canada)
Dans ce long métrage, 7 femmes âgées se retrouvent
bloquées lorsque leur bus tombe en panne en pleine nature. Avec seulement
leur intelligence, leurs souvenirs et quelques cuisses de grenouilles rôties
pour les soutenir, ce groupe remarquable d'étrangers partage l'histoire de leur
vie et transforme une crise potentielle en un moment magique d'humour, d'esprit
et de camaraderie. Mettant en vedette des acteurs non professionnels et
des dialogues non scénarisés, ce film dissout la barrière entre la fiction et
la réalité, tissant une histoire réconfortante d'amitié et de courage.
The Hours
The Hours (2002) Official Trailer # 1 - Nicole
Kidman.
Film à boycotter:
Les Mamies
Les Mamies:
Le Film (1992) Bande annonce française
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Femmes citées dans le livre :
Elise
Jouhandeau (p 21) :
1888-1971.
Avant de devenir Madame Jouhandeau, Elise était
Elisabeth Toulemon, danseuse de son état, et avait eu son heure de gloire avec
le ballet d'Erik Satie. En 1929, au moment de sa rencontre avec Marcel, elle
est consciente d'avoir franchi une étape importante de sa vie.
C'est en 1938 que Marcel Jouhandeau,
laissant la peinture de Chaminadour, ou les états d'âmes de Monsieur Godeau, se
fait chroniqueur.
(…) En avril 1942 elle envoie aux Allemands, à la
Feldgendarmerie de l'avenue de la Grande Armée- (proche de chez elle), des
lettres de dénonciation, dans l'espoir de faire arrêter des amis de son mari,
résistants, comme Jean Paulhan.
Elle
a écrit :
- L’Enfance et l’adolescence d’Élise.
- Joies et douleurs d’une belle excentrique-
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Marie
Wollstonecraft (p 26).
Mary Wollstonecraft, née le 27 avril 1759 à
Spitalfields, un quartier du Grand Londres, et morte le 10 septembre 1797 à
Londres, est une maîtresse d'école, femme de lettres, philosophe et féministe
anglaise.
La plupart des ouvrages de la jeune Mary
Wollstonecraft sont centrés sur du thème de l'éducation. Ainsi, trouve-t-on un
florilège d'extraits littéraires « destiné au perfectionnement des jeunes
femmes », The Female Reader, et deux traductions d'œuvres pour enfants Young
Grandison de Maria Geertruida van de Werken de Cambon et Elements of Morality
de Christian Gotthilf Salzmann.
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Conchita
Cintro (p 29) :
Consuelo Cintrón Verril dite « Conchita Cintrón », née
le 9 août 1922 à Antofagasta, décédée le 17 février 2009 à Lisbonne, était une
rejoneadora péruvienne. Conchita Cintrón est restée dans l'histoire de la
tauromachie comme la première femme rejoneadora célèbre, bien qu'elle ne soit
pas la première torera à cheval.
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Marie
Bashkirtseff (p 29) :
Marie Bashkirtseff, née Maria Kostiantynivna
Bashkirtseva à Gavrontsi près de Poltava, dans le Gouvernement de Poltava de
l'Empire Russe le 11 novembre 1858 et morte à Paris 17ᵉ, le 31 octobre 1884,
est une diariste, peintre et sculptrice.
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Hélène
Boucher (p 29) :
Hélène Boucher, née le 23 mai 1908 à Paris et morte le
30 novembre 1934 à Guyancourt, est une aviatrice française. Elle bat de
nombreux records de vitesse.
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Pythie de Delphes (p 30) :
Dans la religion grecque antique, la Pythie, également
appelée Pythonisse, est l'oracle du temple d'Apollon à Delphes. Elle tire son
nom de « Python », le serpent légendaire qui vivait dans une grotte à
l'emplacement du site actuel du sanctuaire, et qui terrorisait les habitants de
la région autour du mont Parnasse avant d'être tué par Apollon, ou bien de «
Pytho », le nom archaïque de la ville de Delphes.
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Zarah Leander (p 51) :
Zarah Leander, née Sara Stina Hedberg le 15 mars 1907
à Karlstad et morte le 23 juin 1981 à Stockholm, est une actrice et chanteuse
suédoise. Elle a incarné dans l'Allemagne nazie le rôle qu'avait refusé Marlène
Dietrich, celui d'un modèle de femme sensuelle et fatale, contrepartie
artistique de la « femme aryenne ». Prétendant tout ignorer de la politique,
elle fit une carrière lucrative au service de l’UFA.
Elle a été sous contrat pour travailler pour la
société d’État Universum Film AG. Cela a fait que ses films et ses paroles ont
été identifiés comme de la propagande nazie, bien qu’elle n’ait pris aucune
position politique publique, et elle est restée une figure controversée pour le
reste de sa vie.
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Kate
Millett (p 270) :
Katherine Murray Millett dite Kate Millett, née le 14
septembre 1934 à Saint Paul et morte le 6 septembre 2017 à Paris, est une
écrivaine féministe américaine.
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Erika Jong (p 270) :
Erica Jong, née Erica Mann le 26 mars 1942 à New York,
est une écrivaine américaine surtout connue en France comme l'auteur du roman « Le
Complexe d'Icare », d'abord paru aux États-Unis sous le titre « Fear
of Flying » en 1973, et de sa suite, « La Planche de salut »,
paru aux États-Unis sous le titre « How to Save Your Own Life » en
1977. Cette grande figure du féminisme américain a également écrit des poèmes,
dont un recueil, « Amour racine », traduit et publié en 1979 chez
Seghers.
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Sylvia Plath (p 274) :
Sylvia Plath, née le 27 octobre 1932 à Jamaica Plain,
dans la banlieue de Boston*, et morte le 11 février 1963 à Primrose Hill, est
une écrivaine américaine, qui a écrit des poèmes, un roman, des nouvelles, des
livres pour enfants et des essais. Si elle est surtout connue de façon
internationale pour sa poésie, elle tire également sa notoriété de « The
Bell Jar », roman d'inspiration autobiographique qui décrit en détail les
circonstances de sa première dépression, au début de sa vie d'adulte. Des
milliers d'études de par le monde ont été produites autour de sa vie, de son
œuvre, de son esthétique poétique et littéraire.
Kan Kankavee
Boston
Kan Kankavee is an urban photographer. Born in 1990, Bangkok, Thailand. Start photography since 2016.
Kan Kankavee est photographe urbain. Né en 1990, Bangkok, Thaïlande. Début de la photographie depuis 2016 pendant ses études à Boston (Etats-Unis) avec le X-T10 puis il est passé au X-T2, son appareil photo actuel, un an plus tard..
Kan, Kankavee est un homme d'affaires et également un photographe urbain.
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Zelda Fitzgerald (p 274) :
Zelda Sayre, ou Zelda Sayre Fitzgerald, née à
Montgomery en Alabama, est une romancière américaine. Elle fut l'épouse et
égérie de l'écrivain Francis Scott Fitzgerald.
À l'été 1918, Zelda rencontra
pour la première fois Scott, 22 ans, alors qu'il était stationné sur une base
militaire juste à l'extérieur de Montgomery. Leur première rencontre, lors
d'une danse de country club, sera plus tard la base de la première rencontre
entre Jay Gatsby et Daisy Buchanan dans « The Great Gatsby ». Bien
qu'elle ait eu plusieurs prétendants à l'époque, Zelda en est rapidement venue
à favoriser Scott, et ils se sont rapprochés d'une vision du monde partagée et
de leurs personnalités créatives similaires.
Elle fut une icône des années 1920 —
surnommée la « première garçonne américaine » par son mari.
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Almada Negreiros:
"La joie est une des choses les plus sérieuses dans la vie".
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Graph
Paris Saint-Ouen
"Demandez l'impossible".
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TagParis
"Vivre consiste à agir".
Post 2021
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"Dis, maman, Y'a pas de dames dans l'histoire"
Une pensée pour celle qui vient de nous quitter.
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Maryse Wolinski reposera au cimetière Montparnasse*.
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*
Kiki de Montparnasse
1935
Gaston Paris - Photographe
Beaubourg
Paris
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“La joie est le soleil des âmes ; elle illumine celui qui la possède et réchauffe tous ceux qui en reçoivent les rayons.”
Carl Reysz
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Féminisme. "Partout où l'homme a dégradé la femme, il s'est dégradé lui-même".
Charles Fourier, philosophe.
"L'Humanité"
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Benoîte Groult
ONU femmes
"Il a fallu cent ans pour effacer les discriminations les plus criantes entre les hommes et les femmes, mais qu'attend-on pour abroger celles qui restent?"
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BNF
Limitation des horaires.
Rien ne va plus : l'accès à la recherche est limitée!
Libération.
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La Ménopause est discutée sans les femmes sur C8!
10 23
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Six hommes et aucune femme pour parler… de ménopause.
Mercredi 18 octobre, à
l’occasion de la journée mondiale pour la ménopause, la chaîne CNEWS a organisé
un plateau consacré au sujet.
Autour de la table : six
hommes pour en discuter, et aucune femme. Un casting qui s’est reflété dans la
tournure du débat qui s’est vite penché sur les hommes qui appellent le docteur
"au secours" parce
qu’ils voient le "désespoir de leur
femme", ou encore d’un "traitement miracle
qui satisfait aussi" les époux et les enfants ".
femmage-a-louise-gluck-britney-spears-mahsa-amini-les-9-actus-genrees-de-la-semaine