lundi 25 juin 2018

Diaporama - La guerre d'Algérie - Charonne

Diaporama - La Guerre D'Algérie
V
oici les dessins inspirés par la guerre d'Algérie. 



Les femmes civiles,
 les femmes guerrières, 
Josette Audin, 
Les couples civils, 
Les soldats français, 
Les soldats algériens, 
Le général Aussaresses, 
Henri Alleg
.
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La baie d'Alger
par Albert Marquet*

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Juillet 2019:

Halte à la répression du peuple algérien
Pour le respect des droits de l’Homme et les libertés

Depuis plus de quatre mois, le peuple algérien manifeste, avec constance, fermeté et courage, pour en finir avec un système autoritaire militarisé qui lui est imposé depuis l’indépendance. Ses revendications sont réaffirmées chaque vendredi, à travers tout le pays : instaurer un Etat de droit garant des libertés individuelles et collectives, promoteur de l’égalité citoyenne – dont celle entre les femmes et les hommes -, et la justice sociale.

Grâce à son pacifisme, loué sous toutes les latitudes, le peuple algérien a pu déjouer jusqu’ici toutes les manœuvres de diversion, toutes les tentatives de division, toutes les manipulations d’un pouvoir qui se révèle tel qu’il est : derrière une façade civile, un pouvoir militaro-sécuritaire, qui ne trompe ni les Algériens ni l’opinion internationale.

Ces dernières semaines, le pouvoir a décidé de mettre au pas les marches pacifiques du vendredi : arrestations arbitraires pour le simple fait d’avoir manifesté pacifiquement ou d’avoir brandi un drapeau berbère, passages à tabac de manifestants, matraquages médiatiques et campagnes de haine sur les réseaux sociaux, sont autant d’outils de la répression.

Lors de la manifestation du vendredi 5 juillet, des scènes de violence policière ont été révélées au monde entier : des policiers se sont acharnés à frapper des manifestants à terre et ne constituant aucune menace pour eux ni pour quiconque. La liste des violations des droits de l’homme est déjà longue et ne cesse de s’allonger dangereusement.

Cette répression ne doit pas être tue. Elle doit être dénoncée fermement, vigoureusement, par toutes les consciences libres.
Nous appelons toutes les associations et organisations à dénoncer ces atteintes aux droits de l’Homme.
Nous appelons à l’arrêt immédiat de la répression et des persécutions ainsi qu’à la libération de tous les détenus d’opinion.

Pour vous joindre à cet appel : acda.dz@gmail.com

Associations et organisations signataires
ACDA (Agir pour le changement et la démocratie en Algérie)
Ajouad Algérie Mémoires
APEL-Egalité
Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie 
Collectif national diaspora algérienne - France
Collectif Vigilance Mouvement-22 Février (CSVM-22 Fev)
Debout l'Algérie
Dzayer2.0
FFS (Front des forces socialistes)-France
Ibtykar
Jil Jadid-Europe
Les Humanistes
Les Progressistes
ODIA (Observatoire de la diaspora algérienne)
OTTVLA (One Two Three Viva L'Algérie)-France
Révolution du sourire
Riposte internationale
SOS-Disparus
UCP (Union pour le changement et le progrès)-France
UEAF (Union des étudiants algériens en France)-Sorbonne

Associations et organisations solidaires
ACORT (Assemblée citoyenne des originaires de Turquie)
Algiers Herald et d'Enlighten N. Africa 
AMDH (Association marocaine des droits humains)-Paris/Île-de-France
AMF (Association des Marocains en France)
ASDHOM (Association de défense des droits de l’homme au Maroc)
Association Beity
ATF (Association des Tunisiens en France)
ATMF (Association des travailleurs maghrébins de France)
ATSM (Association tunisienne de soutien des minorités)
ATTAC (Association pour la taxation des transactions financières et pour l'action citoyenne)
CEDETIM (Centre d'études et d'initiatives de solidarité internationale 
CIIP (Centre d'information inter-peuples), Grenoble
CNT (Confédération nationale du travail)
Collectif 3 C
CRLDHT (Comité pour le respect et les droits de l’Homme en Tunisie)
Droits devant !!
EMCEMO (Het Euro-Mediterraan Centrum Migratie & Ontwikkeling)
Femmes plurielles
Fondation Copernic
FORSEM (Forum de solidarité euro-méditerranéenne)
Forum France Algérie
Forum Palestine Citoyenneté
FTCR (Fédération tunisienne des citoyens des deux rives)
FUIQP (Front uni des immigrations et des quartiers populaires)
GAME (Groupe d'amitié Maghreb Europe)
IDD (Immigration Développement Démocratie)
Kamel Lazaar Foundation
LDH (Ligue des droits de l’Homme)
LTDH (Ligue tunisienne pour la défense des droits de l'homme)
LPP (La Plate-forme panafricaine)
MBDHP-SF (Mouvement burkinabé des droits de l’homme et des peuples, section France)
MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples)
Organisation contre la torture en Tunisie
Osservatore Repressione (Italie)
Rencontres Marx
Réseau Euromed Rights
Réseau syndical international de solidarité et de luttes
RMCC (Réseau euro-maghrébin Citoyenneté et culture)
UJFP (Union juive française pour la paix)
Union syndicale Solidaires
UTAC (Union des Tunisiens pour l’action citoyenne)
Vigilance pour la démocratie et l’état civique

Partis solidaires
EELV (Europe Ecologie-Les Verts)
Ensemble
Gauche révolutionnaire
NPA (Nouveau parti anticapitaliste)
PCF (Parti communiste français)
PG (Parti de gauche)

Premiers signataires
Abdesselam Abdennour, écrivain journaliste
Hasna Abid, militante associative
Ramdane Achab, éditeur
Abderrahim Afarki, bibliothécaire
Noureddine Ahmine, avocat
Farid Aïssani, enseignant, militant politique
Nadia Aïssaoui, militante féministe
Hakim Addad, militant associatif
Nacer Aït-Ali, retraité
Faïza Aït-Kaci, militante associative
Aghilès Aït-Larbi, juriste
Mohand Aklouche, universitaire
Françoise Akoum, universitaire, militante LDH
Sanhadja Akrouf, militante féministe et associative
Nylda Aktouf, consultante en communication
Guillaume Alemany, éducateur (Reims)
Brigitte Allal, professeure de lettres classiques
Mourad Allal, militant associatif
Tewfik Allal, coordinateur ACDA
Mohammed-Ali Allalou, journaliste
Cécile Allegra, réalisatrice, présidente de l’association Limbo
Ahcène Aliouchouche, cadre ingénieur 
Jean-Claude Amara, co-fondateur du DAL, porte-parole de Droits devant !!
Yazid Amazit, physicien, maître des conférences
Ghanima Ammour, écrivaine
Samia Ammour, artiste, féministe
Malika Arabi, écrivaine
Alima Arouali, cinéaste
Omar Arezki, biologiste
Kader Attia, artiste et réalisateur, fondateur de la Colonie barrée
Boualem Azahoum, militant associatif
Ana Azaria, présidente de Femmes Égalité
Kamel Azouz, journaliste, réalisateur

Abdallah Badis, cinéaste
Salah Badjou, professeur de physiques
Marc Bagou
Malika Bakhti, fonctionnaire
Etienne Balibar, philosophe
Hocine Bardi, avocat
Mohammed Bazza, militant associatif
Stéphane Beaud, sociologue
Yagoutha Belgacem, directrice artistique
Lachemi Belhocine, avocat, président de ASF
Farouk Belkeddar, retraité
Fadela Belkhenchir, retraitée
Foudil Benabadji, président de l’Union des familles de culture musulmane
Fayçal Benabdallah, responsable associatif
Sana Ben Achour, juriste, militante associative
Yadh Ben Achour, juriste, universitaire
Malika Benarab Attou, militante associative
Noureddine Ben Bachir, psychiatre psychanalyste
Bachir Ben Barka, militant associatif
Léla Bencharif, militante associative
Abdou Bendjoudi, militant associatif
Tahar Ben Guiza, chercheur universitaire
Raymond Benhaïm, économiste
Yasmine Benhamza-Flitti, militante associative
Day Benhenni
Tarek Ben Hiba, militant associatif
Ouerdia Ben Mamar, enseignante et militante associative
Ali Bensaad, géographe, professeur des universités
Mohammed Ben Saïd, militant associatif
Djamel Benseba, ancien secrétaire international du FFS
Mohamed Bensidhoum
Mohamed Bentahar, militant associatif
Mohamed el-Moncef Bentchikou
Amel Benzia, Association de solidarité avec tout-e-s immigré-e-s (ASTI)
Rachid Benzine, politologue, islamologue
Jaleleddine Berhima, militant démocrate
Soraya Berichi, psychologue clinicienne
Boussad Berrichi, universitaire
André Bertrand
Sophie Bessis, historienne
Olivier Besancenot, militant politique
Mohamed Bhar, musicien
Michel Bianco, militant PCF (13)
Juliette Binoche, actrice
Simone Bitton, cinéaste
Laurent Bloch
Mariano Bona, membre de Algérie au Cœur, Isère
Christian Borg, militant
Saïd Bouamama, sociologue
Horia Bouayed, psychologue
Messaoud Boubacar, militant associatif
Bruno Boudjelal, photographe
Hacène Boudjema, cofondateur du Manifeste pour une Algérie nouvelle
Soraya Bouherou
Dahbia Boukacem, militante des droits de l’Homme
Nadir Boumaza, professeur émérite des universités, chercheur
Alima Boumediene, avocate
Fatima Boumedienne, dirigeante d’entreprise
Mouloud Boumghar, juriste
Omar Bouraba, militant associatif
Noureddine Boutella, graphiste
Jean-Jacques Boy, responsable associatif

Nadia Chaabane, ancienne élue à la Constituante tunisienne (2011-2014)
Chahla Chafiq, romancière, essayiste
Yannick Champain, architecte, président de la fédération départementale de la LDH de l’Aisne
Kacem Chahab, militant associatif
Hedi Chenchabi, militant associatif
Mouhieddine Cherbib, militant associatif
Khadidja Cherif, sociologue
Cherif Cherifi, militant associatif
Alice Cherki, psychiatre, psychanalyste 
Souad Chouih, responsable associative
Philippe Clerc
Annick Coupé, responsable associative

Driss Dadsi, économiste
Ahmed Dahmani, économiste
Lucile Daumas, retraitée
Merwane Daouzli, retraité de l’enseignement
Raymond Debord, de la revue « Militant »
Christian Delarue, militant Attac et Mrap
Tessadith Demdoum, Business Angels Algérie Diaspora
Christine Dennefeld, militante associative
Mahmoud Dhaouadi, journaliste
Ali Muhammad Diallo, SG du Mouvement national des rénovateurs tchadiens
Badreddine Djadouri, conseiller en insertion
Fafia Djardem, psychiatre-psychanalyste
Gilles Domenget
Hervé Douin
Joss Dray, artiste photographe
Mohsen Dridi, militant associatif de l’immigration
Lalia Ducos, militante associative
Nassera Dutour, responsable associative
Guillaume Duval, journaliste

Dominique Eddé, écrivaine
Nacer El-Idrissi, militant associatif
Driss El-Kherchi, militant associatif
Mohammed-Lakhdar Ellala, militant associatif
Chedly Elloumi, militant associatif
Akim El-Sikameya, artiste chanteur et violoniste
Gérard Estragon, médecin
Stéphane Enjalran, secrétaire national de Union syndicale Solidaires
Abdelfattah Ezzine, sociologue

Abbas Fahdel, réalisateur
Patrick Farbiaz, militant écologiste
Bernard-Martin Fargier, metteur en scène
Jacques Fath, militant politique
Chérif Ferjani, professeur émérite Lyon-II
Claudette Ferjani, militante associative
Ouiza Fernane-Guillemet, avocate
Cyrille Ferro-Steyeart, syndicaliste CNT-FTTE
Saïd Fewzi, militant associatif 
Sarah Fourati, militante associative
Yosra Frawes, présidente de l’ATFD (Association tunisienne des femmes démocrates) 

Stanislas Gall, militant associatif (Coup de soleil)
René Gallissot, historien
Mario Gamba, journaliste
Vincent Geisser, chercheur au CNRS, président du CIEMI
François Gèze, éditeur
Ouissame Ghnimat, militant associatif
Salah Guemriche, essayiste et romancier
Daniel Guenancia, économiste du développement, retraité
Ali Guenoun, historien
Daniel Guerrier, journaliste honoraire

Mouloud Haddak, chercheur et militant associatif 
Houaria Hadjadji
Cherif Hadji, chef d’entreprise
Janine Halbreich-Euvrard, spécialiste des cinématographies du Moyen-Orient
Khaled Hamida, membre comité central LDH
Zine Elabidine Hamda, écrivain journaliste
Sonia Hamza, fonctionnaire
Nayla Hanna, artiste peintre, syndicaliste, militante associative
Emilie Hanak, musicienne
Abdelkader Haouès, avocat
Mohammed Harbi, historien
Zahir Hassani, médecin
Odile Hélier, anthropologue
Kemel Hessene, membre du collectif algérien de Grenoble
Françoise Hickel, sociolinguiste
Mahmoud Hussein, écrivain

Ramdane Iftini, réalisateur

Jean-Charles Jauffret, historien
Kamel Jendoubi, militant des droits humains

Nadia Kaci, actrice
Nouara Kaci, artiste peintre
Mohamed Kacimi, écrivain
Bachar Kaddour
Djilali Kadid, artiste-peintre et critique d’art
Aïssa Kadri, universitaire
Sarah Kadri, actrice
Mohand Kechadi
Myriam Kendsi, artiste peintre
Omar Kezouit, informaticien, militant associatif
Pierre Khalfa, économiste, membre de la Fondation Copernic
Tahar Khalfoune, juriste
Ferroudja Kherbouche, étudiante
Amerouche Kies, enseignant
Ouisa Kies, sociologue, directrice de « Dialogues citoyens »
Robert Kissous, économiste
Isabelle Krzywkowski, universitaire

Abdellatif Laabi, écrivain
Kamel Labidi, militant associatif
Annie Lahmer, conseillère régionale
Lila Lakehal, artiste
Feriel Lalami-Fatès, universitaire
Ramid Lamrani, retraité
Pierre Laurent, sénateur de Paris
Olivier Le Cour Grandmaison, universitaire
Mathias Lefgoum
Renée Le Mignot, co-présidente du MRAP
Djaffar Lesbet
Patrice Loraux, philosophe

Larbi Maaninou, militant des droits humains
Djamila Maatoug
Nadia Makri Ketfi, télécommunication
Christian Mahieux, syndicaliste
Lylia Mahious
Raymond Maillard, rédacteur en chef de « Militant »
Ziad Majd, politiste, professeur universitaire
Tahar Majdoub, journaliste
Benedicte Malaurent, sociologue
Gilles Manceron, historien
Marc Mangenot, économiste-sociologue, membre de la Fondation Copernic
James Mann
Roger Marlin, professeur des universités, militant associatif
Jean-Baptiste Martin, artiste et musicien
Christian Marzelier, fonctionnaire
Souad Massi, artiste chanteuse
Gustave Massiah, économiste
Mounir Meghni, responsable associatif
Ahmed Mehaddene, retraité
Enrico Melissano
Akli Mellouli, élu municipal
Abdou Menebhi, militant associatif
Halima Menhoudj, écologiste, adjointe au maire
Henri Merme, militant politique
Karim Messaoudi, militant associatif
Mayssa Messaoudi, militante associative
Umit Metin, président d’ACORT (Assemblée citoyenne des originaires de Turquie)
Omar Mezgrane
Nadia Mezhoud, juriste
Maati Monjib, historien
Dalila Morsly, chercheure en sociolinguistique
Giuseppe Mosconi
Abassi Mouhieddine, militant associatif
El Mouhoub Mouhoud, économiste, universitaire
Chérif Msdaek, militant associatif
Jamel Msallem, militant associatif

Rayhana Obermeyer, réalisatrice
Slim Othmani : Chef d’entreprise, Président du Think-Tank CARE (Algérie) et du Think-Tank MEF (Tunisie)
Frieder Otto Wolf, philosophe, ex-eurodéputé
Salah Oudahar, poète, directeur artistique Strasbourg-Méditerranée
Mahieddine Ouferhat, chef d’entreprise
Saïd Oularbi, avocat
Abdelaziz Ould Ali, consultant
Abdenasser Ould Ammar, informaticien, militant associatif
Aïcha Oustani, étudiante, stagiaire à la LDH

Salvatore Palidda, universitaire
Stéphane Peu, député de Seine-Saint-Denis
Rafaël Pleutin, retraité de l’enseignement
Henri Pouillot, militant de Sortir du colonialisme
Christine Prunaud, sénatrice des Côtes-d'Armor

Bernard Ravenel, agrégé d’histoire, président d’honneur de l’Association France-Palestine Solidarité
Kahina Redjala, militante associative
Philippe Revault, architecte
Rahim Rezigat, responsable associatif 
Fabrice Riceputi, historien
Simon Robert, militant associatif
Gérard Rodriguez, cadre de santé
Alex Rouillard, militant politique

Lana Sadeq, militante associative
Hend Sadi, militante
Mayo Saïdani, artiste plasticien
Ouidir Saighi
Lydia Samarbakhsh, responsable à l'international du PCF
Francoise Schein, militante associative
Jean-Marc Schiano, retraité
Alain Schmidt, cadre d’entreprise
Noureddine Senoussi, responsable associatif
Sidi Menad Si Ahmed, climatologue 
Michèle Sibony, militante UJFP
Ali Silem, artiste-peintre
Danielle Simonnet, conseillère FI de Paris
Brahim Slaim
Mohammed Smida, militant associatif de l’immigration
Jean-Claude Soufir, médecin
Nawal Souissi, psychiatre
Gilbert Soulet, cadre honoraire SNCF
Sid Ahmed Soussi
Hadi Sraieb, économiste
Marion Stalens, réalisatrice
Philippe Sultan, Fondation Copernic

Dalila Tachouaft
Taoufiq Tahani, universitaire
Nadia Tazi, philosophe
Emmanuel Terray, anthropologue
Joëlle Théron
Omar Tibourtine, médecin
Redha Tlili, militant associatif
Zineb Toujani, militante associative
Habib Trabelsi, journaliste retraité

Kamel Yadel, chef d’entreprise
Farid Yadel, chef d’entreprise
Samir Yahyaoui, architecte
Farid Yaker, responsable associatif

Rahim Zenati, militant
Kader Zerrou, enseignant
Abdallah Zniber, militant associatif


 


L'Algérie en marche vers la démocratie ?


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Mathilde Larrère
Massacre des Algériens le 17 octobre 1961 à Paris.
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PCF

Plus jamais ça!
"Ici on noie les Algériens."
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Le général Bugeaud en Algérie.
Ian Brossat répond à Eric Zemmour:
"Il était un monstre!"

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Le général Bugeaud en Algérie.

Mathilde Larrère explique qu'il a fait mourir des réfugiés dans des grottes.

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Gennevilliers 

Pont vers Clichy

Les Algériens ont été jetés dans la Seine le 17 10 1961 


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Maïssa Bey 

Autrice algérienne
09 19

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Voir aussi:


jean-dubuffet-en-algerie



  *




Albert Marquet
Bordeaux, 1875 – Paris, 1947
Le Havre, le bassin
MUMA

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Algérie : 
 

Concert « Songs for freedom »

Les artistes chantent pour ceux qui sont privés de liberté.
De la musique et des chansons pour dire ensemble
MaranechHabsine !! MaranechSaktine !!
Pour un état de droit !! Pour une liberté d’expression !!

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Taous Ait Mesghat ♦ Activiste et féministe algéro-berbère.

Khamja

Il pleuvait, il ventait et il faisait froid, il commençait déjà à faire nuit et je devais presser le pas. Ce n'est pas facile quand la boue arrive aux chevilles et que les ordures jonchent les trottoirs, mais j'avançais quand même avec précaution, le parapluie à la main comme un funambule sur un fil de soie.

 

Journée ordinaire d'un "Mahgo ur"

Il se lève à 11h avec difficulté, toujours du mauvais pied ; c'est que notre jeune Mahgour ne dort pas assez ; il passe ses nuits courbé sur son PC à polémiquer, critiquer, philosopher, refaire le monde et la société ; lynchant ses concitoyennes tout en échangeant avec des Européennes de l'âge de sa fille.

 

“Puisque dévoiler mes jambes cause des tremblements de terre…” Chroniques Algériennes.

Puisque dévoiler mes jambes cause des tremblements de terre

et mes cheveux cyclones et vents froids.

Puisque un bout de ma gorge fait monter la mer

et des terrains glissent au son de ma voix.

Puisque mon sein qui allaite provoque famine et misère

et que mes bras nus réchauffent le climat.

Puisque mon sourire déstabilise l’univers

 et réveille tous les instincts bas.

Puisque je suis derrière toutes les catastrophes naturelles, alors crains-moi.

Car force divine je suis et le misérable mortel c’est toi”.

puisque-devoiler-mes-jambes-cause-des-tremblements-de-terre-chroniques-algeriennes

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Commémoration du 60e anniversaire du massacre au métro Charonne, Mardi 8 février 2022 à 18h.


L'affaire du métro Charonne a lieu dans les derniers mois de la guerre d'Algérie (commencée le 1er novembre 1954, elle s'achèvera officiellement le 18 mars 1962 par la signature des accords d'Évian). La manifestation du 8 février 1962 a lieu dans un contexte d'opérations meurtrières du FLN contre la police, et d'une campagne d'attentats de l'OAS.

Une manifestation contre l'OAS et la guerre d'Algérie vire à l'horreur, neuf personnes trouvent la mort.

Le 8 février 1962, la police réprimait une manifestation antifasciste à Paris.

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Charonne.

L’État n’a toujours pas reconnu ses responsabilités dans le massacre du 8 février 1962. De nombreuses organisations l’appellent à le faire 60 ans après les faits. Aucun membre du gouvernement ne participera aux cérémonies.

L’Humanité.

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Jean-Michel Aphatie sur l'Algérie : "Vous avez comment je suis rentré dans le wokisme". Et il explique pourquoi.

 

« ...nous avons volé leurs terres, nous les avons affamés, pendant 5 générations nous leurs avons interdit l'école soit 90% d'analphabètes...nous avons enfermé 4000 personnes dans un stade et fusillés arbitrairement 2000 ..."

 

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J-M Apathie et la guerre d'Algérie.

Critique de la cruauté du général Lamoricière qui fit tuer le maximum d'Algérien-ennes lors de la conquête française vers 1845. Comment peut-on laisser le nom d'un général qui a fait tuer des enfants sur une école dans le 12e arrondissement de Paris?

Il compare Lamoricière à Rudolph Hesse.

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Louis Juchault de Lamoricière

Louis Juchault de Lamoricière, né le 5 février 1806 à Nantes et mort le 11 septembre 1865 à Prouzel, est un officier et homme politique français. Ses actions décisives sur le plan militaire ont contribué à la pacification rapide de l'Algérie française.

Général et homme politique français (Nantes, Loire-Atlantique 1806 - château de Prouzel, près d'Amiens, Somme 1865).

Elève de l'Ecole polytechnique, il en sortit à vingt ans pour entrer à l'Ecole de Metz, fut promu lieutenant du génie en 1828, et passa en Afrique lors de l'expédition contre Alger (1830).

Après la capitulation du Dey d'Alger le 5 juillet 1830, la résistance du peuple algérien provoque une véritable folie meurtrière de la part des « pacificateurs » français, notamment le général Lamoricière et le Général Bugeaud qui inventent la politique de la « terre brûlée » et pratiquent un nettoyage ethnique d'une cruauté sans précédant, exterminant sans état d'âme.

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Jean-Marie Le Pen en Algérie en 1957. Son poignard provient des Jeunesses hitlériennes.

Ahmed Moulay va être soumis à la question. Il en mourra.

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José Gonzalez, du RN, doit revoir sa copie. L'OAS a commis des crimes en Algérie.

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Algérie

Le Dey avait prêté de l'argent à Napoléon et n'avait pas été remboursé. C'est la raison du conflit avec la France.

Film "De la conquête".

La Marseillaise

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Franssou Prenant, née le 8 novembre 1952 à Paris, est une monteuse, scénariste et réalisatrice française

Franssou Prenant fait ses études à l'école de cinéma de Paris l'Institut des hautes études cinématographiques (IDHEC).

Son premier court métrage sort en 1975 sous le titre « Paradis Perdu ».


Entretien – De la conquête.

Votre film propose une plongée au cœur de l’invasion de l’Algérie par la France entre 1830 et 1848, un sujet sensible et peu traité. Quelle a été la genèse de votre projet ?

Du fait du travail de mon père (géographe spécialiste de l’Algérie) et des prises de position pour l’indépendance de l’Algérie de mes parents, et plus généralement de mon entourage familial et amical, j’ai appris et compris très tôt ce qu’était le colonialisme. Plus tard, entre 1963 et 1966, j’ai vécu à Alger, y suivant mes parents. J’y suis retournée régulièrement jusqu’en 1980. Puis en 1999, par le hasard des circonstances, je suis revenue à Alger où j’ai vécu dix ans. Deux films en sont issus dont le second, Bienvenue à Madagascar, monté à Paris, revient sur ces dix années, de rencontres, découvertes, retrouvailles, explorations, rigolades, conversations, plaisirs, surprises, déceptions.

 fidmarseille

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Raymond Depardon / Kamel Daoud. Son œil dans ma main. Algérie 1961-2019.

À l’approche du 60e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie, l’exposition « Son œil dans ma main. Algérie 1961-2019. Raymond Depardon / Kamel Daoud » offre un témoignage unique sur l’Algérie en 1961 puis en 2019, à travers le regard de deux grands artistes : l’un français, cinéaste et photographe, revisitant ses photos d’Algérie ; l’autre algérien, journaliste et écrivain, né en 1970, après l’indépendance de son pays.

 expositions/raymond-depardon-kamel-daoud-son-oeil-dans-ma-main-algerie-1961-2019

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Algérie. 
60 ans d'indépendance. 
Le maire de Perpignan, Louis Aliot, a organisé un événement de 3 jours célébrant la colonisation française en Algérie.

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Le 17 octobre 1961, le journaliste de l'AFP William Gardner Smith est dans la rue. En 1963, il raconte le massacre des Algériens dans un roman en anglais. Il n'est pas traduit en français avant 2021.

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Le 1er août 1930 naissait le sociologue Pierre Bourdieu à Denguin, au sein d’une famille d’origine paysanne. Après l’agrégation de philosophie il sert comme appelé en Algérie où il enseigne, entre 1958 et 1961, à la faculté des lettres d’Alger.

Algériades.

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Paris 

Institut du Monde Arabe 

Kamel Daoud 

"Femme et vêtements.

Femme lapidée.

Femme à seize ans.

Femmes et guerre d'Indépendance.

Amour et guerre."

08 22

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Algérie 

Paul Max Morin 

La tribune 

Droitisation de Macron sur la question algérienne.

Lutter contre les haines racistes permettrait de rétablir un sentiment de justice.
 

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"Les larmes de la Seine" : c'est le titre de ce film d'animation français qui a été primé, jeudi à Los Angeles, lors de la cérémonie des Oscars étudiants, équivalent des célèbres trophées pour les films réalisés par des cinéastes encore dans leurs études.

Un film d'animation français sur le massacre de manifestants algériens.

Le court-métrage "Les Larmes de la Seine" raconte la répression policière sanglante de la manifestation d'Algériens du 17 octobre 1961.

Les Larmes de la Seine" dissèque la répression policière sanglante de la manifestation d'Algériens.

Des étudiants de l'école Pôle IIID à Roubaix remportent leur 42ème prix pour leur court-métrage d'animation “Les Larmes de la Seine”.

Le 17 Octobre 1961, les “travailleurs algériens” de France décident de manifester pacifiquement dans les rues de Paris contre le couvre-feu qui leur a été imposé.

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Francis Tack

Algérie

Nappe phréatique très proche de la surface. Nul besoin d'irriguer. Les palmiers sont plantés dans la cuvette creusée par les humains.  

Lehon - Abbaye

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Algérie

Massacre colonial du 17 octobre 1961

Hommage aux JO

«Ce geste est un hommage aux martyrs du 17 octobre 1961. Vive l'Algérie» a déclaré un membre de la délégation dans une vidéo filmée à bord.

(Contre attaque)

Le 17 octobre 1961, des Algériens furent tués par balle afin de stopper leur démonstration pacifique mais c'est surtout une violence sans limite qui s'exprima : de nombreuses victimes sont mortes sous les coups de bidule portés par les agents, parfois après leur arrestation ; des dizaines d'autres furent jetés dans la Seine. (Musée de l’histoire de l’immigration).

Le massacre du 17 octobre 1961 est la répression meurtrière, par la police française, d'une manifestation pacifique d'Algériens organisée à Paris. (Wikipédia).

JO 2024 : sur la Seine, l'Algérie rend hommage aux victimes du massacre du 17 octobre 1961 à Paris. (France 24).

07 24

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