Les 150 ans de la Commune de Paris.
29 mai 2021
Slogans.
Place de la République
« Ce n'est pas aux Versaillais de faire la loi!
La vraie démocratie est ici! »
« On est là!
Même après 150
ans,
Nous, on est là!
Pour l’honneur des travailleurs
Pour l’honneur de La Commune
Et
pour un monde meilleur. »
Correction: en 2021 et non pas 21021!
Roger Martelli.
Les 150 ans de la Commune de Paris.
Remédier aux difficultés de la vie quotidienne.
Faire du droit au travail une réalité.
Du côté des ouvrier-ère.s.
Pas du côté des patrons.
Les chambres syndicales et
les coopératives décident des choix économiques et sociaux.
Les marchés publics sont
soumis à des normes sociales.
Ils conquièrent la gestion par
les ouvrier-ères des ateliers abandonnés.
Loi sur la durée du temps de
travail.
L'école laïque et gratuite.
Enseignement professionnel revalorisé :
Ouvert aux filles et aux garçons.
Accueil des étranger-ères dans les écoles.
Les arts et la culture doivent être accessibles à tous et à toutes.
Pas qu’à un petit nombre.
Nous allons marcher ensemble vers le Mur des Fédéré.es.
C’est le plus beau cadeau d’anniversaire.
« Vive la Commune ! »
Les 150 ans de la Commune de Paris.
29 mai 2021
Le Temps des cerises.
Le Temps des cerises est une chanson dont les paroles furent écrites en 1866 par Jean Baptiste Clément et la musique composée par Antoine Renard en 1868. Bien que lui étant antérieure, cette chanson est néanmoins fortement associée à la Commune de Paris de 1871, l'auteur étant lui-même un communard ayant combattu pendant la Semaine sanglante.
Les oiseaux aussi peuvent porter des cerises aux oreilles.
Rudi Hurzlmeier ist deutscher Cartoonist, Maler und Autor.
Rudi Hurzlmeier est un dessinateur, peintre et auteur allemand.
Rudi Hurzlmeier, highly vaunted Cartoonist for decades (2010 prize of excellent German Caricature ). From humorous bird's series "Happy Birds Day".
Rudi Hurzlmeier, caricaturiste très vanté depuis des décennies (prix 2010 de l'excellente caricature allemande).
De la série humoristique d'oiseaux « Happy Birds Day ».
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Les 150 ans de la Commune de Paris.
29 mai 2021
Chanson "Ay
Carmela"
Chantée par les ancien-enne.s volontaires français.es
en Espagne
El paso del Ebro (parfois appelé El Ejército del Ebro ou ¡Ay, Carmela !) est un chant anarchiste
de la Révolution espagnole, composé à l’origine en 1808 contre l’envahisseur
français pendant la Guerre d’indépendance espagnole et réactualisé par les
soldats républicains pendant la guerre civile.
L’armée de l’Èbre
Rum bala rum bala
rum ba bam !
Une nuit passa le fleuve
Ay Carmela, ay Carmela.
Et aux troupes d’envahisseurs […]
Elle donna une bonne raclée […].
L’aviation des traîtres […]
Passe sa fureur sur nous […].
Mais les bombes ne peuvent rien […]
Là où il y a plus de cœur qu’il n’en faut […].
À des contre-attaques enragées […]
Nous devrons résister […].
Comme nous avons combattu […]
Nous promettons de résister […].
Le défilé jusqu’au Mur des Fédéré.es.
Elle est vivante : VIVE LA COMMUNE !
Le nom du mur renvoie aux derniers moments de la
Commune de Paris. L’expérience insurrectionnelle ouverte le 18 mars 1871 voit
la garde nationale parisienne — les « fédérés » —
confrontée à partir du 21 mars à l’avancée de l'armée de Versailles, entamée à l’ouest
de la capitale.
Symbole de l'émancipation
ouvrière
De nombreux événements montrent que le mur des Fédérés fut un lieu de
commémoration important, un symbole fort d'émancipation et de liberté dans la
mémoire militante
Plus que jamais, la Commune reste une source
d’inspiration et de confiance.
Le Mur des Fédérés au Père Lachaise (Paris) symbolise la lutte
pour la liberté et des idéaux.
Les 150 ans de la Commune de Paris.
29 mai 2021
« La Semaine Sanglante ».
Sauf des
mouchards et des gendarmes,
On ne voit plus par les chemins,
Que des vieillards tristes en larmes,
Des veuves et des orphelins.
Paris suinte la misère,
Les heureux
mêmes sont tremblants.
La mode est aux conseils de guerre,
Et les pavés sont tous sanglants.
Oui mais!
Ça branle dans le manche,
Les mauvais jours finiront.
Et gare! à la revanche,
Quand tous les pauvres s'y mettront.
Quand tous les pauvres s'y mettront.
Les 150 ans de la Commune de Paris.
29 mai 2021
« Le drapeau rouge. »
Après les combats sanglants de la Commune, le peuple a
gardé le drapeau rouge qui en était le symbole et la chanson Le Drapeau rouge
dont les couplets I, III et VI furent écrits en 1877 à Berne par le socialiste
Paul Brousse.
Elle a été composée sur la musique d'une chanson de
Suisse, Armons-nous enfants de l'Helvétie.
Paul Brousse s'y était réfugié pendant la
proscription. Il rajouta les deux derniers couplets après des échauffourées qui
eurent lieu en août à Saint-Imier lors du congrès de la fédération jurassienne
de l'AIT, l'Association internationale des travailleurs. Lorsqu'il rentre en
France, il se désintéresse de la chanson.
Les révoltés du Moyen-Âge
L’ont arboré sur maints beffrois.
Emblème éclatant du courage,
Toujours il fit pâlir les rois.
Refrain
Le voilà !, Le voilà ! Regardez !
Il flotte et fièrement il bouge,
Ses longs plis au combat préparés,
Osez, osez le défier !
Notre superbe drapeau rouge !
Rouge du sang de l’ouvrier ! (bis)
Il apparut dans le désordre
Parmi les cadavres épars,
Contre nous, le parti de l'Ordre
Les 150 ans de la Commune de Paris.
29 mai 2021
« L’Internationale »
L'Internationale est un chant révolutionnaire dont les
paroles furent écrites par Eugène Pottier en 1871 lors de la répression de la
Commune de Paris, sous forme d'un poème à la gloire de l'Internationale
ouvrière, et dont la musique fut composée par le belge Pierre Degeyter à Lille
en 1888.
Couplet 1 :
Debout ! les damnés de la terre !
Debout ! les forçats de la faim !
La raison tonne en son cratère,
C’est l’éruption de la fin.
Du passé faisons table rase,
Foule esclave, debout ! debout !
Le monde va changer de base :
Nous ne sommes rien, soyons tout !
Refrain :
(2 fois sur deux airs différents)
C’est la lutte finale
Groupons-nous, et demain,
L’Internationale,
Sera le genre humain.
Les 150 ans de la Commune de Paris.
29 mai 2021
Cimetière du Père Lachaise.
Ca arrive de partout. Il y a eu un monde
extraordinairement nombreux. La foule a mis du temps à arriver au Mur des
Fédéré.es.
Les allées ont été envahies. L’ambiance était festive.
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La Commune
La librairie "Le Monte en l'air" est encerclée par la police pendant un débat avec Ludivine Bantigny.
Est-il vrai que la police a «nassé» une librairie qui organisait un débat sur la Commune ?
A Paris, samedi 29 mai, un cortège catholique a été pris à partie dans le quartier de Ménilmontant. Sur le parcours, une librairie où se tenait un débat sur la Commune de Paris a été encerclée par la police.
(…) La nasse a duré environ une heure, alors que la discussion ayant lieu devant la librairie se déroulait dans le calme. Cette opération policière semble s’être déroulée dans le contexte d’une marche sous tension, organisée par le diocèse de Paris et plusieurs paroisses parisiennes en hommage à des prêtres tués pendant la Commune, dont le cortège traversait le quartier de Ménilmontant samedi en fin d’après-midi.
(…) Les manifestants catholiques sont attaqués physiquement par des personnes leur jetant des déchets de poubelles, dont des bouteilles en verre aux cris de «A bas les Versaillais !», «cassez-vous !», «Paris, Paris, Antifa !» Il est alors environ 17 h 50.
(…) La préfecture de police de Paris, sollicitée, n’a pas encore apporté d’éléments sur cette intervention et sur les raisons qui ont conduit ses effectifs à encercler précisément la librairie. Quant au diocèse, il confirme à CheckNews son intention de porter plainte contre X suite aux violences constatées.
est-il-vrai-que-la-police-a-nasse-une-librairie-qui-organisait-un-debat-sur-la-commune
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La Commune.
Le collectif "BlackLines" a réalisé une fresque dans le 11e arrondissement de Paris.
"La Semaine sanglante."
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ALIX PAYEN
infirmière au 153e
Le
16 avril 1871, Alix Payen s’engage comme infirmière au 153e bataillon de la
Garde nationale. Elle a vingt-neuf ans, est née Alix Milliet, vient d’une
famille bourgeoise (socialement) et républicaine. Elle et sa sœur ont été
éduquées comme leurs frères. Illustration du fouriérisme de la famille : le
degré de l’émancipation féminine est la mesure naturelle du degré de
l’émancipation générale, a écrit Fourier (cité par Engels et Marx dans La
Sainte famille).
(…)
« Cher Henri,
Je
t’écris sans courage, puisque mes lettres ne t’arrivent pas. J’ai grande envie
de te voir et je suis triste comme un bonnet de nuit. Dimanche, on s’est tiré
des coups de fusil à l’Hôtel de Ville. Le remplacement de Trochu par Vinoy ne
contente personne. Ce n’est pas là un changement puisqu’ils combinaient
toujours ensemble leurs opérations. On entend dire tout haut que les généraux,
qui n’avaient pas de canons à Montretout, ont bien su en trouver pour les
braquer sur l’Hôtel de Ville. En effet il y avait là un appareil de
mitrailleuses, qu’on eût mieux aimé voir tourner contre les Prussiens. Je vois
qu’il faut rabattre de ma confiance dans le Gouvernement. Les généraux n’ont
qu’un désir : capituler. »
(…)
Une semaine plus tard, elle s’engage :
«
Je rêvais d’être ambulancière dans le bataillon d’Henri et de le suivre
partout. Je cours à la mairie, je m’adresse à M. S. [...]. Pendant que je
préparais ma petite pharmacie, il allait à l’Hôtel de Ville faire signer mon
brevet, puis nous partons en voiture découverte pour Issy. Ce petit voyage m’a
paru charmant. Il faisait une belle journée d’avril, entremêlée de pluie et de
soleil. »
(…)
C’est le printemps, les oiseaux chantent, mais Henri Payen meurt le 29 mai,
après la Semaine sanglante. La Commune est morte, elle aussi, et beaucoup de
ses défenseurs. Le 31 mai, meurtrie, Alix quitte Paris avec Paul, sa sœur et
leur mère.
Fin
de l’histoire d’Alix : pour subvenir à ses besoins, elle a travaillé chez des
photographes, elle a vendu ses aquarelles, plus tard elle s’est remariée. Elle
est morte en 1903.
MICHÈLE
AUDIN
les-femmes-de-la-commune/698-allix-payen-infirmiere-au-153e
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Louise Michel 2022.
Louis Michel présidente?
Elle a tous les attributs de la punk:
épingle à nourrice, coiffure iroquoise, tatouages dans le cou.
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Élisabeth Dmitrieff : féministe, socialiste,
communarde.
(…) Née de l’union illégitime d’un aristocrate russe
et d’une infirmière allemande dans la Russie rurale, Élisabeth Dmitrieff gagne
Genève à 16 ans pour étudier la propagande socialiste et féministe et
s’impliquer dans leur mise en œuvre. Elle arrive ainsi à Paris expérimentée,
avec un solide bagage intellectuel : sa propre trajectoire géographique
l’a déjà amenée des périphéries de l’engagement politique international jusqu’à
son centre. En dépit de la marginalisation qu’elle a subie en raison de son
genre, de ses origines « bâtardes » et rurales, de sa jeunesse et de
son statut d’étrangère, Dmitrieff a su se saisir de ce moment révolutionnaire.
(…) De plus en plus politisée, elle s’implique dans le
mouvement militant de la jeunesse de Saint-Pétersbourg, rencontre les idées de
Marx dans la revue Rousskoe slovo (« Le
Mot russe »).
(…) À son arrivée, Dmitrieff se plonge dans la vie
politique genevoise. Aux côtés de l’importante communauté russe de la ville,
parmi laquelle figurent plusieurs futurs communards, elle fonde la section des
émigrés russes de Genève de l’Internationale.
(…) Elle arrive à Londres en décembre 1870, munie
d’une lettre de la section genevoise la présentant à Marx sous son nom
d’épouse, « Mme Élisaveta Tomanovskaya ». Pendant les trois mois qui
précèdent l’éruption de la Commune, Dmitrieff assiste aux réunions de
l’Internationale de Londres, étudie le mouvement syndical britannique, discute
et débat avec Marx et ses collègues, se lie d’amitié avec ses filles.
(…) L’Union des femmes et la Commune.
elisabeth-dmitrieff-feministe-socialiste-communarde
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Paris
La Commune
2 Communardes
Rosa Bordas
Victorine Brocher.
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Paris
La Commune
5 Communardes
Marceline Adolphe Clairiot
Euphrasie Vincent
Elisabeth Rétiffe
Nathalie Le Mel
André Léo
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Paris
La Commune
3 Communardes
Joséphine Marchais
Léontine Suetens
Marie Christe
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Paris - La Commune
150 ans
Les artistes de Ménilmontant.
"N'oubliez pas que l'utopie sera la réalité de demain".
D'après Victor Hugo dans "Les Misérables".
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Paris.
La Commune.
Elisabeth Dmitrieff.
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Paris.
La Commune.
Nathalie Le Mel
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Paris.
La Commune.
Paule Mink.
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Théophile Ferré, né à Paris le 6 mai 1846 et mort exécuté à Satory près de Versailles en novembre 1871 est une personnalité de la Commune de Paris. Clerc
d’avoué, militant blanquiste, il est condamné à quatre reprises sous le Second Empire pour ses
opinions politiques.
Théophile Ferré
fut arrêté dans la nuit du 8 au 9 juillet, puis comparut en août-septembre 1871 devant le 3e conseil de guerre. On l’accusait en
particulier d’avoir donné, le 18 mars, l’ordre de livrer le général Lecomte, d’avoir incendié, en mai, le Palais de Justice, et surtout émis l’ordre
non signé : « Flambez Finances. » Il s’en défendit avec beaucoup de dignité et
rien ne semble moins prouvé.
Les Ogres de Barback.
Sortie du disque dans un mois.
Illustration de Cool Stand.
Des artistes de toutes générations ont réorchestré des chansons de La Commune de Paris.
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1871
Nathalie Le Mel
Son anniversaire est fêté.
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Roger
Martelli
La
Commune, un espoir mis en chantier
Fête de l'Humanité
09 21
Commémorer la Commune de Paris, c’est une manière inventive, créative, fantastique.
Ca n’allait pas de soi, pas seulement pour des raisons de crise sanitaire.
Emmanuel Macron aime bien le « et – et » et le « en même temps ».
« Et de gauche, et de droite ».
« Et libéral, et autoritaire ».
Cette année, nous avions deux anniversaires : le bicentenaire de la mort de Napoléon et le cent cinquantième anniversaire de la Commune de Paris.
On pouvait s’attendre à ce que l’Elysée décide de « Et – et ».
Ben non. Il ne l’a pas fait. Il a « oublié » la Commune de Paris, comme la République officielle pendant des années avait voulu l’oublier et comme justement on ne peut pas l’oublier.
Ceux et celles qui l’ont commémorée ont raison et pas ceux et celles qui mettent un voile sur la Commune. D’ailleurs Sthathis (Kouvélakis, NDLR) l‘a dit : la Commune de Paris est un élément fondateur de la modernité des XIXe et XXe siècles, de l’histoire sociale et démocratique de notre pays, depuis 150 ans.
Pourquoi ? Il suffit de la regarder.
C’est une Révolution populaire. C’est la troisième révolution du XIXe siècle. C’est un événement qui ne se décide pas, qui est inattendu, qui n’est pas programmé, mais à un moment donné, une part importante ou une fraction de ce peuple se dresse contre ce qu’il estime insupportable, inadmissible, contre une légalité que ce peuple juge illégitime.
La Commune de Paris est un mouvement populaire exceptionnel.
C’est un moment de politisation sans équivalent dans le cours de l’histoire « tranquille » démocratique.
Des dizaines de milliers d’individus se réunissent, parlent, débattent, discutent, dans des ateliers, dans la Garde nationale, dans des clubs. En règle générale, iels ne parlent pas.
Les « Invisibles » arrivent sur le devant de la scène. On ne les voit pas dans la vie politique et sociale. Les « Sans voix » se mettent à parler avec une envie farouche, ce qui caractérise la Commune de Paris.
Si l’on parle, c’est parce que l’on veut prendre son destin en main, directement, soi-même.
Une population décide de prendre ses affaires en main.
La Commune de Paris a été très brève.
Elle a pris des décisions peu appliquées parce qu’iels n’ont pas eu le temps de le faire. Comment les choses se seraient développées avec le temps ?
La démocratie prend un tour nouveau.
Il ne s’agit pas seulement, de temps à autre, de désigner des représentant.e.s.
C’est l’expression du désir d’une démocratie plus directe, plus implicative, plus citoyenne.
Les élections du 26 mars.
C’est la mise en place d’une assemblée. Communale ? Parlement ? Gouvernement ?
On ne sait pas et peu importe.
Pendant 72 jours, cette assemblée va débattre, décider, et elle est à l’image de la société elle-même. Cela ne s’était jamais vu et ne se reverra plus ensuite.
Elle est à l’image de ceux et de celles qui l’ont désignée.
C’est une parenthèse où les citoyens et les citoyennes ont fait irruption dans les procédés de prise de décisions permanentes.
C’est un souffle d’air frais dont on aurait bien besoin aujourd’hui, alors que notre démocratie s’essouffle et peine.
C’est une manifestation de colère contre l’ordre et le désordre existant.
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Notre
commune.
Compagnie
Théâtre Amer
Fête de l’Humanité
09 21
En 2019, Mathieu Coblentz fonde, au Guilvinec, en pays
Bigouden, la compagnie Théâtre Amer. En 2021, il adapte
et met en scène Fahrenheit 451 de Ray Bradbury. Il recrée et interprète aux
côtés de Vincent Lefèvre Notre Commune, histoire méconnue
racontée sur un char.
Son nom est une incantation, un appel à l’élaboration
d’un théâtre qui soit reflet du monde, de sa beauté
comme de sa rudesse, de sa violence comme de sa tendresse.
Depuis 150 ans, deux spectres de communards, hantés
par l’oubli dans lequel on les a plongés, déambulent sur un char monumental
racontant la formidable histoire de la Commune de
1871. Le déploiement des machineries, les artifices, les marionnettes, la
musique et les chansons viennent ré-enchanter l’Histoire.
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Notre Commune
Théâtre Amer
Fête de l'Humanité
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La Commune
BD - Raphaël Meyssan.
Fête de l'Humanité
La destruction de la colonne Vendôme.
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La Commune
BD - Raphaël Meyssan.
Fête de l'Humanité
Jules Ferry, un républicain contre le peuple.
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La Commune
BD - Raphaël Meyssan.
Fête de l'Humanité
Les barricades - Le désespoir.
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La Commune
BD - Raphaël Meyssan.
Fête de l'Humanité
Les Femmes.
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La Commune
BD - Raphaël Meyssan.
Fête de l'Humanité
Victorine B. Souvenirs.
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Elisabeth Dmitrieff
La Commune
Fête de l'Humanité
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Jules Vallès
La Commune
Fête de l'Humanité
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Maria Deraismes
La Commune
Fête de l'Humanité
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La Commune de Paris.
Exposition à la fête de l'Humanité à Rouen.
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21 mai 2022.
140 ans.
Montée au Mur des Fédéré-e-s
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Yann Pendaries
Le coiffeur de kiwi.
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Né en 1975 Yann Pendariès est originaire d'Orléans, parcourant la ville durant son adolescence il réalise ses premiers en noir et blanc.
Yann Pendariès est photographe professionnel indépendant depuis plus de 15 ans. Inspirée par l'amour de la photographie humaniste d'après guerre, et mettant à profit ses talents de manipulateur numérique, la dernière de ses séries de photographies artistiques s'appelle "Les tout petits métiers".
Diplômé de l'école Icart Photo à Paris, Yann Pendariès travaille ensuite pour de nombreuses entreprises et agences de communication, réalisant ainsi des reportages, des photos de joaillerie, vins et champagnes, des campagnes publicitaires et de la photographie corporate. Ne perdant jamais son goût pour la photographie artistique, il réalise plusieurs séries et projets personnels.
"Coiffeur de kiwi", "découpeur de feuilles", "dresseur d'escargots" et bien d'autres tout petits métiers à découvrir dans cet album mêlant textes et photographies. Car rien ne vaut un peu de poésie pour susciter les vocations, ces tout petits métiers accompagneront rêves et rêveries des petits et grands.
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