Les violences vicariantes : l’enfant, dernier otage
des violences conjugales.
Elles ne laissent pas toujours de bleus, mais
elles brisent. Les violences vicariantes sont encore largement ignorées par la
justice française, alors qu’elles détruisent des vies. Une stratégie perverse,
souvent post-séparation, qui consiste à utiliser les enfants comme armes de
guerre contre leur propre mère. Et personne ne semble prêt à appeler ça par son
nom.
(…) “Cette
expression désigne des faits de violences intentionnelles opérées sur les
enfants dans le but de faire du mal à la mère”,explique Maëlle Noir, membre de la coordination nationale de #NousToutes.
(…) L’absence
de justice pour les femmes qui subissent des violences vicariantes.
(…) Une
violence profondément genrée (et totalement ignorée).
(…) “Il
sait que ça me fait mal, c’est pour ça qu’il le fait”.
(…) Pourquoi
il faut (vraiment) en parler maintenant.
Violée dès l’âge de 9 ans, Erika n’a toujours pas obtenu justice, 30 ans après. Plaintes ignorées, dossier détruit, protections ?… Les institutions ont failli pendant 3 décennies. Son tortionnaire, père d’accueil, était #policier.
(Le Parisien)
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NDLR : la jalousie est une maladie mentale. Elle
se soigne. C’est long, mais possible.
Violences conjugales 
Cuisinier star 
4 ex compagnes témoignent dans Elle 
Enquête ouverte.
L'Humanité
Quatre
ex-compagnes de Jean Imbert, chef étoilé et star de la
gastronomie, ont témoigné dans le magazine Elle en
avril de violences physiques et psychologiques, une
plainte a été déposée le 23 août pour des
faits remontant à 2012-2013, et une enquête a été ouverte par
le parquet de Versailles. (France info).
Ce que
l'on sait de l'enquête pour violences conjugales qui vise le chef cuisinier Jean Imbert, accusé par plusieurs ex-compagnes L'une d'elles, Lila Salet, a déposé plainte
samedi. (France info).
Quatre
ex-compagnes de Jean Imbert témoignent dans le magazine "Elle" de violences
psychologiques et physiques, décrivant un schéma de
dénigrement, contrôle et jalousie excessive, ce qui a conduit à
une enquête officielle et à une réaction
publique. (France info).
En
avril dernier, quatre femmes, toutes des ex-compagnes du chef Jean Imbert, avaient affirmé dans une enquête du magazine Elle avoir subi de violences
psychologiques mais aussi physiques. (Le Parisien).
Quelque 272 400 victimes de violences conjugales, en très grande majorité des femmes, ont été enregistrées par les forces de sécurité en 2024, soit + 0,4 % par rapport à l’année précédente, a annoncé jeudi le ministère de l’Intérieur.
(…) « Nous avons besoin d’un réel plan d’action féministe, et de la construction d’une société et d’une culture du consentement, et pas de mesurettes bien insuffisantes qui n’enrayent en rien les violences sexistes, et qui ne permettent pas un meilleur accompagnement des victimes », s’insurge la militante de Nous Toutes.
violences-conjugales-272-400-victimes-enregistrees-en-2024-en-hausse-de-04-en-un-anViolences conjugales : 272.400 victimes enregistrées en 2024, en hausse de 0,4%.
(…) 84% des victimes sont des femmes, 85% des mis en cause sont des hommes.
Comme les années précédentes, en 2024, la très grande majorité des victimes sont des femmes (84%) et les mis en cause sont principalement des hommes (85%), précise le SSMSI. Dans le détail, 64% des victimes d'un partenaire ou d'un ex-partenaire ont subi des violences physiques, 31% des violences verbales ou psychologiques et 5% des violences sexuelles. Comme en 2023, le Pas-de-Calais, La Réunion, le Nord, la Somme et la Seine-Saint-Denis "figurent parmi les départements qui affichent le plus fort taux de victimes enregistrées pour 1.000 habitantes" âgées de 15 à 64 ans, selon le ministère.
violences-conjugales-272-400-victimes-enregistrees-en-2024-en-hausse-de-0-412 personnes ont lu cet article.
 

 
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