N Sarkozy
Avec B Retailleau la
« France des gens honnêtes ».
Bruno Retailleau, président
des Les Républicains (LR), soutient Nicolas
Sarkozy, condamné à cinq ans de prison, malgré les critiques sur son
slogan "La France des honnêtes gens", perçu
comme une récupération politique et un déni du racisme. (L’Humanité).
Photomontage réalisé par Attac mêlant le slogan de
campagne du LR Bruno Retailleau – « La France des honnêtes
gens » – avec une photo présentant Nicolas Sarkozy et François
Fillon (définitivement condamné dans l’affaire des emplois fictifs de son
épouse). (La nouvelle république).
Or, dans la droite de Retailleau
(Les Républicains aujourd’hui et Union pour un mouvement populaire hier), on
compte une belle collection de casseroles. Nicolas Sarkozy en tête donc, mais
aussi François Fillon, Claude Guéant, Michèle Alliot-Marie, Patrick et Isabelle
Balkany… (Là-bas).
N Sarkozy
Carla lui chante "Les portes du pénitencier »
Par Truan.
Nicolas Sarkozy est devenu, cette semaine, le premier président français à passer derrière les barreaux. Une décision de justice qui pèse sur sa famille et notamment Giulia, sa fille cadette. Yahoo).
Ndlr : Elle pèse sur nous tous et toutes !
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N Sarkozy
Carla n'aime pas les bonnettes
car on peut entendre honnête.
La réponse est drôle en
elle-même :
« Carla Bruni a arraché la bonnette
du micro de Médiapart après la condamnation de son mari, Nicolas
Sarkozy, mais cela ne signifie pas qu'elle n'aime pas les bonnettes.
Son geste était une réaction émotionnelle liée au contexte judiciaire et
médiatique ». (Qwant).
Le dédain de Carla Bruni-Sarkozy n'a pas besoin de mots. Via
Mediapart, c'est toute l'indépendance de la presse que piétine l'ancienne
première dame. (Arrêt sur Images).
À la sortie du tribunal, Carla Bruni, présente aux côtés
de son mari, a discrètement exprimé sa colère envers une journaliste.
(Téléstar).
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N Sarkozy
Condamnations, mises en examen
et enquêtes en cours.
Il est impliqué dans plusieurs
autres affaires, dont certaines sont encore en cours, comme les enquêtes sur
les liens avec la Russie et le Qatar. (24 matins).
Son nom a par ailleurs été cité
dans de nombreuses autres affaires, dont certaines sont toujours en cours. C’est un nouveau revers
judiciaire pour Nicolas Sarkozy. (MSN).
Une douzaine de personnes
sont mises en
cause à de divers degrés, dont Carla Bruni-Sarkozy et la reine de la presse
people, Mimi Marchand. (Actu).
Condamnation de Nicolas Sarkozy : enquêtes ouvertes après des menaces
contre la présidente du tribunal Des investigations sont ouvertes après des
messages menaçants visant la juge. (Le Parisien).
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N Sarkozy
Drame inédit pour notre
démocratie
Mots pesés par la justice
10 ans d'enquête.
La justice française a
condamné Nicolas Sarkozy et ses collaborateurs
pour financement libyen présumé de sa campagne de
2007, marquant un tournant démocratique après 10
ans d'enquête. (Le Dauphiné).
A près plus dix ans d’enquête, trois mois et demi d’audience et des centaines de pièces et de témoignages, la justice a posé des mots sur ce qui constitue déjà un drame inédit. (Le Monde).
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N Sarkozy
F Arfi
Délinquants en col blanc
20 h aux grandes chaînes
Pas d'Etat de droit.
Nicolas Sarkozy condamné : "moment
trumpien", "privilège de la délinquance en col blanc"… Le journaliste
Fabrice Arfi cingle
la réaction de l’ex-président. (La Dépêche).
Nicolas Sarkozy : « eux, ils peuvent aller
au 20 Heures et prendre la main sur le récit », réagit Fabrice Arfi.
(La Voix du Nord).
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N Sarkozy
F Arfi
« Il a un problème avec le
code pénal ».
Fabrice Arfi estime que Nicolas
Sarkozy a un problème avec le code pénal et
non les juges, inversant ainsi le débat public sur la condamnation de l'ancien
président. (Radio France).
Sur le rôle des juges : Arfi regrette que le débat
public se focalise sur « s’il y a un problème des juges avec la politique ». (Yahoo).
Condamnation de Nicolas Sarkozy : "La question qu'on
se pose, c'est s'il y a un problème des juges avec la politique",
regrette Fabrice Arfi, journaliste à Mediapart. (La Dépêche).
N Sarkozy
La bonnette de Mediapart vous
suit, tendue vers l'info, détendue en privé.
Carla Bruni-Sarkozy a arraché la bonnette du
micro de Mediapart après la condamnation de son
mari, Nicolas Sarkozy, dans l'affaire du financement
libyen de 2007. (Freelance info).
N Sarkozy
« Le problème de la
justice, c'est la justice ».
Par F Sochard
La condamnation de
Nicolas Sarkozy a suscité des critiques de la part de la droite
et de l'extrême droite, qui remettent en question la neutralité et
l'autorité de la justice, tandis que le Syndicat de la magistrature
s'alarme des attaques contre l'institution judiciaire.
(HuffingtonPost).
La condamnation de Nicolas Sarkozy menace de relancer la
polémique sur le “gouvernement des juges”, alors que l’État de droit est sous
le feu dans plusieurs pays. (Le Dauphiné).
C’est ici que se loge le cœur
du problème,
souvent ignoré par les détracteurs de l’institution judiciaire ou les partisans
d’une justice d’exception
: la gravité des faits expliquant la sévérité de la peine. (Yahoo).
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N Sarkozy
« Nous, bourgeois corrompus
et corrupteurs, ne sommes plus au-dessus des lois. »
Nicolas Sarkozy, ancien président de la
République, a été définitivement condamné pour corruption et
trafic d'influence, marquant ainsi un recul de l'impunité des élites
politiques. Cette décision historique montre que personne n'est
au-dessus des lois, y compris les anciens chefs d'État. (Radio
France).
Depuis la fin de son mandat,
Nicolas Sarkozy fait
face à une succession d’affaires judiciaires. Toujours défendant son innocence,
l’ancien président dénonce une justice instrumentalisée.
Mis en cause pour corruption et
trafic d’influence, l'ancien président doit maintenant faire face à la
convocation du juge d'application des peines.
(France info).
N Sarkozy
« Se
faire financer par des dictateurs et des terroristes »
Différentes réactions.
Nicolas Sarkozy a été condamné à
5 ans de prison ferme pour avoir reçu des financements illégaux de la part du
régime libyen de Mouammar Kadhafi, notamment via des intermédiaires
comme Ziad Takkiedine, et pour avoir noué un pacte
de corruption avec un dictateur. (L’Humanité).
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