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mardi 25 novembre 2025

Viols - Carrie Fisher - Police -

 

Viol

Carrie Fisher a apporté une langue de vache dans une boîte de Tiffany à l'agresseur d'une de ses amies.

« La prochaine fois, ce sera un morceau de vous ! »

Carrie Fisher a envoyé une langue de vache dans une boîte Tiffany à un producteur qui avait agressé son amie, avec une note menaçant de couper un appendice s'il recommençait. (Europe 1).

Carrie Fisher, célèbre pour son rôle dans Star Wars, a réagi de manière mémorable après avoir appris que son amie Heather Ross avait été victime de harcèlement sexuel par un producteur. En 2000, Ross a repoussé les avances du producteur, qui l'a menacée en lui disant qu'elle ne ferait jamais de film dans sa ville.

Fisher a décidé de prendre la défense de son amie. Deux semaines plus tard, elle a envoyé un message à Ross pour lui annoncer qu'elle avait remis personnellement au producteur une boîte Tiffany contenant une langue de vache. La boîte était accompagnée d'une note menaçante : « Si jamais vous touchez à nouveau ma chère Heather ou à n'importe quelle autre femme, la prochaine livraison sera quelque chose à vous dans une boîte beaucoup plus petite ! »

Cette action audacieuse de Fisher illustre son caractère fort et son engagement à protéger ses proches. (Qwant).

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Classement sans suite

Femmes

Manque de moyens

Pas d'obligation d'enquête

Par Violaine de Fillipis-Abate

L'Humanité

Les classements sans suite massifs pour les violences faites aux femmes sont souvent dus à un manque de moyens et à l'absence d'obligation d'enquête, comme le soulignent les associations féministes. (Osez le féminisme).

Il est également souligné que le procureur n'a pas l'obligation légale d'enquêter avant de classer une affaire sans suite. Cette absence d'obligation peut entraîner des décisions rapides et parfois injustes, notamment dans les cas de violences conjugales et sexuelles.

Malgré un classement sans suite, les victimes conservent des droits :

  • Action civile : Elles peuvent engager une action devant les juridictions civiles pour obtenir réparation du préjudice subi.
  • Voies de recours spécifiques : Elles peuvent contester la décision de classement via une plainte avec constitution de partie civile.

Une "prescription glissante" : la prescription commencerait au moment où les actes sont révélés par la victime, et non à la date des faits.

Des voies de recours pour les victimes dont les plaintes sont classées sans suite, afin de garantir leur information et leur accès à la justice.

Ces mesures font partie d'une proposition de loi intégrale déposée le 24 novembre 2025, co-signée par 109 parlementaires issus de huit groupes politiques. (Qwant).

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Viols par la police

Disclose

429 victimes

57 agressées ou violées par celui qui a accueilli la plainte

30 en cellule ou interpellation.

Selon l'enquête de Disclose, entre 2012 et 2025, 429 victimes ont été recensées, dont 57 agressées ou violées par le policier ayant accueilli leur plainte et 30 en cellule ou en interpellées. (L’Hermine rouge).

  • 76 % des cas concernent du harcèlement sexuel.
  • 24 % des cas sont des agressions sexuelles ou des viols.
  • 57 femmes ont été agressées ou violées par le policier ou le gendarme qui avait accueilli leur plainte.
  • 37 de ces 57 femmes étaient victimes de violences conjugales.
  • 30 victimes ont été agressées en cellule ou lors d'une interpellation.

Ces chiffres montrent un système de protection des agresseurs au sein des forces de l'ordre, avec une impunité persistante malgré les condamnations. (Qwant).

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Viols et police

Banderole féministe brandie à l'envers

Policiers encagoulés

Comme les hooligans.

Une photo circulant sur les réseaux sociaux montre des policiers en uniforme, certains cagoulés, posant dans un commissariat parisien avec une banderole féministe, antiraciste et antifasciste saisie lors d'une manifestation contre les violences sexistes et sexuelles le 22 novembre. La banderole est tenue à l'envers, une pratique connue des milieux hooligans pour afficher leur hostilité envers l'ennemi.

Cette mise en scène est interprétée comme une provocation ou un mépris affiché envers les mouvements progressistes, en contradiction avec la neutralité du service public. Le ministère de l'Intérieur n'a pas encore réagi officiellement.

Par ailleurs, une enquête de Disclose révèle des violences sexuelles commises par des policiers et gendarmes, impliquant 215 agents pour des faits sur 429 personnes, majoritairement des femmes, entre 2012 et 2025. (Qwant).

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Viols dans la police

Aucun dispositif de signalement au ministère de l’Intérieur

Aucune interdiction de relation sexuelle entre plaignant-e et police ou surveillant-e.

L'enquête de Disclose révèle des cas de violences sexuelles commises par des policiers et gendarmes, avec des procédures de signalement et de sanction en place, mais des lacunes persistantes.

Seulement 18 policiers expulsés ou sanctionnés depuis 2021, et 3 gendarmes radiés en 2023.

Un tiers des agents ayant agressé des plaignantes ont fait plusieurs victimes avant d'être sanctionnés.

Le portail « Ma sécurité » du ministère de l'Intérieur propose des services en ligne pour les victimes, incluant un tchat disponible 24/7 pour signaler les violences.

Mesures en cas de signalement

  • Police : une enquête est ouverte dès qu'une plainte est connue.
  • Gendarmerie : le militaire est muté ou suspendu en cas de signalement étayé.

Aucun texte n'interdit explicitement les relations sexuelles entre policiers et personnes placées en détention ou en garde à vue, bien que des enquêtes soient ouvertes dès qu'une plainte pour violences sexuelles est déposée. (Le club des juristes).

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