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mardi 9 décembre 2025

"Sales connes". Criminalisation des militantes féministes.


Violences structurelles et dérives fascistes de la police.

Répression contre les mouvements féministes.

Intensification.

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vendredi 5 décembre 2025

Police - Peut-on changer ses missions? Angelina. Lyon. Soulèvements de la terre.

 

Police

Anthony Caillé

« Que peut la police ? »

CGT

Mixité sociale,

Formation des policiers par historiens, sociologues, philosophes,

Police au service de tous et toutes,

Devenue dépendante des gouvernements.

L'Humanité

Anthony Caillé, enquêteur à la Brigade de répression du banditisme et secrétaire général de la CGT-Intérieur Police, a publié en novembre 2025 un essai intitulé « Que peut la police ? » aux Éditions de l’Atelier. Cet ouvrage aborde les tensions actuelles au sein de l'institution policière, notamment le manque de moyens, le virage répressif et l'éloignement de l'idéal républicain.

  • Critique du contrôle social : Caillé dénonce la transformation de la police en un instrument majeur de contrôle social, éloigné de sa mission de service public.
  • Réforme structurelle : Il plaide pour une police plus démocratique et pluraliste, moins instrumentalisée par les politiques sécuritaires.
  • Formation et mixité sociale : Le livre propose d'intégrer des formations dispensées par des historiens, sociologues et philosophes pour une approche plus réfléchie et moins répressive.
  • Renouer le lien social : Caillé insiste sur la nécessité de rétablir la confiance entre la population et la police, en s'inspirant de modèles comme ceux du Québec ou de la Belgique.

La CGT Intérieur, à travers Anthony Caillé, agit comme une voix critique et propositionnelle. Le syndicat appelle à des réformes structurelles pour une police :

  • Moins dépendante des aléas politiques
  • Plus axée sur un service public démocratique et respectueux des libertés
  • Orientée vers la prévention et la proximité. (Qwant).

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Angelina. 2018.

Contrôle judiciaire et interdiction d'exercer.

Non assistance à personne en danger pour une seconde personne. Contrôle judiciaire.

Dux fonctionnaires de police sont impliqués.

Maître Brice Grazzini.

Appel à se dénoncer.

D'autres policiers seraient directement impliqués dans les coups donnés à Angelina.

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Lyon. Fête des lumières.

Les soulèvements de la terre ont projeté des messages politiques hostiles à la police.

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jeudi 27 novembre 2025

Le taser? Dangereux?

 

Taser

Brûlé vif par une policière près de Caen

Torche humaine

Sursis

Contre-attaque

Une policière a été condamnée à un an de prison avec sursis pour avoir utilisé son taser sur un homme qui s'était aspergé d'essence, provoquant son embrasement et son décès en août 2020 près de Caen. (France 3 régions).

En août 2020, à Saint-Contest près de Caen, une policière a été condamnée pour avoir provoqué l'embrasement d'un homme de 60 ans lors d'une intervention. La victime, en détresse, s'était aspergée d'essence pour empêcher la saisie de son véhicule par un huissier. L'usage du taser par la policière a enflammé l'essence, transformant l'homme en torche humaine.

La policière a été condamnée à un an de prison avec sursis par le tribunal de Coutances (Manche) le 20 novembre 2025.

L'homme, décrit comme ni virulent ni menaçant par les témoins, n'était pas armé et n'avait même pas de briquet.

La victime est décédée un mois et demi plus tard à l'hôpital des grands brûlés de Clamart.

L'affaire a soulevé des questions sur l'usage des armes de répression comme le taser. (Qwant).

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mercredi 26 novembre 2025

Eduquer les garçons - Société égalitaire - Stéréotypes de genre - Solitude - Police

 

Eduquer les garçons autrement pour prévenir les violences sexistes.

ÉDITORIAL. La journée internationale de lutte contre les violences sexistes est aussi l’occasion de repenser les normes et les valeurs avec lesquelles les garçons grandissent.

(…) Apprendre aux garçons à prendre soin d’eux-mêmes et des autres, leur transmettre de nouveaux modèles moins axés sur la performance et la rivalité et davantage sur la coopération et l’empathie, leur montrer des figures masculines intéressantes qui rompent avec les clichés constitue un puissant levier de prévention des violences sexistes. Mais repenser l’éducation des garçons ne peut pas reposer sur la seule responsabilité des parents. Cela devrait devenir le projet central d’une société égalitaire, partagé par l’école, les structures d’accueil de la petite enfance et tous les adultes qui les entourent. Un projet pour s’émanciper d’un système sexiste qui enferme tout le monde.

 eduquer-les-garcons-autrement-pour-prevenir-les-violences-sexistes

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Article non en entier :

Eduquer les garçons à la sensibilité, au soin, à l’écoute, pour «leur permettre d’exprimer toute leur humanité».

Les stéréotypes de genre qui imprègnent encore l’éducation des garçons les enferment dans des rôles qui nuisent à leurs relations et à eux-mêmes.

Ruth Whippman était sur le point d’accoucher de son troisième garçon, fin 2017, lorsque le mouvement #MeToo a explosé. L’essayiste anglaise vit aux Etats-Unis et, pour la féministe qu’elle est, c’est un tournant aussi historique qu’exaltant. Mais en tant que mère de garçons, ce moment suscite de la peur et beaucoup de questions. Soudain, les débats tournent autour de la masculinité toxique et des dommages créés par les hommes dans la société. «Je veux élever des fils confiants et qui rêvent en grand, est-ce que je dois leur apprendre à rester en retrait?» se demande-t-elle dans un livre* passionnant, où se croisent sa trajectoire de mère et ses analyses.

A côté de son quotidien bruyant et épuisant avec trois garçons «très conformes aux stéréotypes de leur genre» qu’elle raconte avec humour, Ruth Whippman parcourt des études, interroge des experts et mène des interviews avec des dizaines d’adolescents. Son constat: les jeunes hommes souffrent de solitude. Et, d’où qu’ils viennent, ils partagent la même crainte: être perçus comme faibles, vulnérables, ou féminins. Elle pointe la façon encore stéréotypée dont les garçons sont élevés: dès leur naissance, ils reçoivent moins de chaleur affective. En grandissant, ils ont moins de conversations sur leurs émotions et moins d’activités préscolaires propices à l’apprentissage, affirme-t-elle.

Le Temps. 

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"Un jour, ça finira mal" : enquête sur une famille marquée par les violences conjugales sur plusieurs générations.

Dans 'Un jour, ça finira mal', le journaliste français Valentin Gendrot relate l’histoire personnelle d’une branche de sa famille où la violence semble enracinée depuis longtemps. Son cousin, Jérôme, assassine sa femme Magali avant de se donner la mort en prison, laissant quatre enfants orphelins. Ses parents, condamnés et incarcérés pour complicité, mettent fin à leurs jours un an et demi plus tard. Un autre fils, Frank, s’était déjà suicidé après une séparation marquée par les coups. Deux générations plus tôt, c’est le grand-père qui frappait sa femme. Un phénomène systémique, où la reproduction de la violence conjugale se perpétue d’une génération à l’autre, la branche pourrie de son arbre généalogique. Il était l’invité de Matin Première.

(…) Des meurtres commis souvent au moment de la séparation.

Pourtant, la plainte sera classée sans suite. Valentin Gendrot évoque le manque de responsabilité collective et sur la prise en charge des plaintes en France pour violences conjugales, que ça soit par les gendarmes, par la police et par la justice. Jérôme aura fait payer Magali à coups de batte de baseball. "La grande majorité des féminicides sont commis au moment de la séparation. Magali a été tuée au moment de la séparation, au moment où Jérôme a compris que sa propriété ne le serait plus" indique le journaliste.

Lors de 'La Journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes', l’Organisation Mondiale de la Santé a rappelé que toutes les dix minutes dans le monde une femme ou une fille est tuée par un proche

Depuis ce 25 novembre, un tout nouveau site est accessible aux victimes : stop-violences-femmes.be. Il a été lancé par la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Wallonie et la Cocof. Sa spécificité : réunir en un seul endroit toutes les ressources pour comprendre, agir et protéger des violences faites aux femmes. Il s’adresse aussi aux personnes qui ont un comportement violent.

un-jour-ca-finira-mal-enquete-sur-une-famille-marquee-par-les-violences-conjugales-sur-plusieurs-generations

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Police anti féministe contre un gendarme choqué par des flics fascistes qui posent avec une banderole à l'envers sur BFMTV.

Il y a des flics non fascistes.

La banderole, récupérée lors d'une manifestation contre les violences sexuelles et sexistes le 22 novembre 2025, portait l'inscription : « Antifa Féministes contre la transphobie & le racisme ».

Selon Blast, cette pratique de retourner la banderole de l'adversaire est une pratique connue des milieux hooligans.

La photo a été prise après une manifestation où les policiers avaient également protégé des cortèges d'extrême droite.

La préfecture de police a qualifié la photo de « maladroite » mais n'a pas encore commenté davantage.

Certains policiers peuvent ne pas être fascistes, mais leur fonction et leur environnement professionnel les exposent souvent à des dynamiques de frustration, de racisme et de fascisme, comme le soulignent les auteurs Serge Quadruppani et Jérôme Floch.

Ces exemples montrent que des policiers non fascistes existent, mais ils semblent être minoritaires et souvent marginalisés au sein de leur profession. Le contexte souligne également que la structure même de la police et son rôle dans la société rendent difficile la coexistence avec des idées antifascistes ou progressistes. (Qwant).

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Féminisme contre la police

La banderole est mise à l'endroit

Les militantes sont sans cagoule

Message antiféministe et raciste des policiers

Rupture avec les valeurs républicaines.

Une enquête administrative a été ouverte après la publication d'une photo montrant des policiers posant derrière une banderole féministe retournée. La banderole, saisie lors de la manifestation contre les violences sexuelles et sexistes du 22 novembre 2025 à Paris, portait l'inscription "Antifa Féministes contre la transphobie & le racisme".

La banderole retournée et les poses des policiers ont été interprétées comme un message antiféministe et raciste, en contradiction avec le principe de neutralité du service public. (Qwant).

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Quand on dit que les éducateurs ne sont plus assez formés, voilà une dérive possible.
Ils ont filmé un gamin de huit ans en train de se faire raser la tête, en mesure de répression.
Ils se sont passés la vidéo sur une boucle, entre eux.
Apparemment, il est dévêtu.
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11 personnes ont lu cet article.


 

mardi 25 novembre 2025

Viols - Carrie Fisher - Police -

 

Viol

Carrie Fisher a apporté une langue de vache dans une boîte de Tiffany à l'agresseur d'une de ses amies.

« La prochaine fois, ce sera un morceau de vous ! »

Carrie Fisher a envoyé une langue de vache dans une boîte Tiffany à un producteur qui avait agressé son amie, avec une note menaçant de couper un appendice s'il recommençait. (Europe 1).

Carrie Fisher, célèbre pour son rôle dans Star Wars, a réagi de manière mémorable après avoir appris que son amie Heather Ross avait été victime de harcèlement sexuel par un producteur. En 2000, Ross a repoussé les avances du producteur, qui l'a menacée en lui disant qu'elle ne ferait jamais de film dans sa ville.

Fisher a décidé de prendre la défense de son amie. Deux semaines plus tard, elle a envoyé un message à Ross pour lui annoncer qu'elle avait remis personnellement au producteur une boîte Tiffany contenant une langue de vache. La boîte était accompagnée d'une note menaçante : « Si jamais vous touchez à nouveau ma chère Heather ou à n'importe quelle autre femme, la prochaine livraison sera quelque chose à vous dans une boîte beaucoup plus petite ! »

Cette action audacieuse de Fisher illustre son caractère fort et son engagement à protéger ses proches. (Qwant).

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Classement sans suite

Femmes

Manque de moyens

Pas d'obligation d'enquête

Par Violaine de Fillipis-Abate

L'Humanité

Les classements sans suite massifs pour les violences faites aux femmes sont souvent dus à un manque de moyens et à l'absence d'obligation d'enquête, comme le soulignent les associations féministes. (Osez le féminisme).

Il est également souligné que le procureur n'a pas l'obligation légale d'enquêter avant de classer une affaire sans suite. Cette absence d'obligation peut entraîner des décisions rapides et parfois injustes, notamment dans les cas de violences conjugales et sexuelles.

Malgré un classement sans suite, les victimes conservent des droits :

  • Action civile : Elles peuvent engager une action devant les juridictions civiles pour obtenir réparation du préjudice subi.
  • Voies de recours spécifiques : Elles peuvent contester la décision de classement via une plainte avec constitution de partie civile.

Une "prescription glissante" : la prescription commencerait au moment où les actes sont révélés par la victime, et non à la date des faits.

Des voies de recours pour les victimes dont les plaintes sont classées sans suite, afin de garantir leur information et leur accès à la justice.

Ces mesures font partie d'une proposition de loi intégrale déposée le 24 novembre 2025, co-signée par 109 parlementaires issus de huit groupes politiques. (Qwant).

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Viols par la police

Disclose

429 victimes

57 agressées ou violées par celui qui a accueilli la plainte

30 en cellule ou interpellation.

Selon l'enquête de Disclose, entre 2012 et 2025, 429 victimes ont été recensées, dont 57 agressées ou violées par le policier ayant accueilli leur plainte et 30 en cellule ou en interpellées. (L’Hermine rouge).

  • 76 % des cas concernent du harcèlement sexuel.
  • 24 % des cas sont des agressions sexuelles ou des viols.
  • 57 femmes ont été agressées ou violées par le policier ou le gendarme qui avait accueilli leur plainte.
  • 37 de ces 57 femmes étaient victimes de violences conjugales.
  • 30 victimes ont été agressées en cellule ou lors d'une interpellation.

Ces chiffres montrent un système de protection des agresseurs au sein des forces de l'ordre, avec une impunité persistante malgré les condamnations. (Qwant).

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Viols et police

Banderole féministe brandie à l'envers

Policiers encagoulés

Comme les hooligans.

Une photo circulant sur les réseaux sociaux montre des policiers en uniforme, certains cagoulés, posant dans un commissariat parisien avec une banderole féministe, antiraciste et antifasciste saisie lors d'une manifestation contre les violences sexistes et sexuelles le 22 novembre. La banderole est tenue à l'envers, une pratique connue des milieux hooligans pour afficher leur hostilité envers l'ennemi.

Cette mise en scène est interprétée comme une provocation ou un mépris affiché envers les mouvements progressistes, en contradiction avec la neutralité du service public. Le ministère de l'Intérieur n'a pas encore réagi officiellement.

Par ailleurs, une enquête de Disclose révèle des violences sexuelles commises par des policiers et gendarmes, impliquant 215 agents pour des faits sur 429 personnes, majoritairement des femmes, entre 2012 et 2025. (Qwant).

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Viols dans la police

Aucun dispositif de signalement au ministère de l’Intérieur

Aucune interdiction de relation sexuelle entre plaignant-e et police ou surveillant-e.

L'enquête de Disclose révèle des cas de violences sexuelles commises par des policiers et gendarmes, avec des procédures de signalement et de sanction en place, mais des lacunes persistantes.

Seulement 18 policiers expulsés ou sanctionnés depuis 2021, et 3 gendarmes radiés en 2023.

Un tiers des agents ayant agressé des plaignantes ont fait plusieurs victimes avant d'être sanctionnés.

Le portail « Ma sécurité » du ministère de l'Intérieur propose des services en ligne pour les victimes, incluant un tchat disponible 24/7 pour signaler les violences.

Mesures en cas de signalement

  • Police : une enquête est ouverte dès qu'une plainte est connue.
  • Gendarmerie : le militaire est muté ou suspendu en cas de signalement étayé.

Aucun texte n'interdit explicitement les relations sexuelles entre policiers et personnes placées en détention ou en garde à vue, bien que des enquêtes soient ouvertes dès qu'une plainte pour violences sexuelles est déposée. (Le club des juristes).

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10 personnes ont lu cet article.


 

 





mardi 18 novembre 2025

Police - Les femmes sont visées -

 

« 42 % des victimes de violences sexistes et sexuelles par des policiers venaient chercher de l’aide » : le rapport accablant de NousToutes.

Une enquête publiée par le collectif NousToutes ce samedi 15 novembre a recueilli des dizaines de témoignages de personnes victimes de violences sexistes et sexuelles commises par des agents de police en fonction. Les femmes et personnes issues d’une minorité sont surreprésentées dans les témoignages.

(…) Face aux résultats de son enquête, le collectif Nous Toutes appelle à une prise de conscience générale sur ces violences et leur caractère intersectionnel. À cette fin, un nouveau plan de politique publique féministe, avec un volet sur les violences policières, est en cours de préparation, en collaboration avec d’autres associations. « L’omerta autour des violences sexuelles et sexistes policières est très présente mais elle se fissure petit à petit. Il faut continuer », conclut Maëlle Noir.

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"Mieux comprendre et combattre le phénomène systémique" : #Noustoutes appelle à une "prise de conscience" sur les violences sexuelles commises par les forces de l'ordre.

Plus de 200 témoignages faisant état de violences sexuelles et sexistes qui auraient été commises par des gendarmes et des policiers ont été collectés par le collectif #Noustoutes dans le cadre d'une enquête menée en collaboration avec Disclose dont les conclusions ont été publiées ce samedi 15 novembre.

(…) "La nuit, en activité réduite avec une brigade à hauteur de six personnes, il y aura systématiquement au moins un fonctionnaire féminin destiné à répondre aux demandes, notamment des personnes de sexe féminin qui peuvent être présentes la nuit", a-t-il annoncé, avant d'ajouter que les fonctionnaires devront désormais systématiquement activer la caméra piéton lorsqu'ils interviennent à l'intérieur d'une cellule.

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Police

Ndlr : Laurent Nunez va bien : il surenchère avec le RN.

Répression maximale

Néo nazis manifestent

Violences policières niées

Elu-es poursuivi-es

Pierre-Emmanuel Barré.

Le chroniqueur et humoriste Pierre-Emmanuel Barré se retrouve au cœur d’une nouvelle tempête médiatique et politique. Laurent Nunez, ministre de l’intérieur, a personnellement saisi la justice.

Contre-attaque

Les images et propos révélés aujourd'hui par Mediapart sur la répression à Sainte Soline sont terrifiantes. Ils montrent l'ampleur de la violence et de la volonté de blesser, voire de tuer,. (Yahoo).

Invité de la Grande interview d'Europe 1-CNews ce mercredi, Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, a déclaré ne pas "souscrire" à la thèse de l'existence de violences policières. (Europe 1).

Laurent Nuñez, ministre de l'Intérieur, est connu pour son implication dans la gestion des manifestations et la lutte contre les mouvements radicaux. Il a notamment été actif lors des manifestations des Gilets jaunes et des grèves anti-loi travail, où des méthodes controversées comme l'utilisation de canons à eau et de gaz lacrymogènes ont été employées.

Concernant les néo-nazis, Nuñez a adopté une position ferme. Il a déclaré qu'il était « urgent de lancer la phase trois » contre « l’entrisme » de l’islam radical. Cependant, il a été critiqué pour son soutien aux forces de l'ordre et sa défense de la brigade BRAV-M, souvent accusée d'utilisation excessive de la violence. (Qwant).

EST-CE QUE LAURENT NUNEZ VA BIEN ?

Après avoir porté plainte contre des députés qui avaient estimé que «la police tue», le Ministre de l'Intérieur veut poursuivre un humoriste –

Contre-attaque.

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"Un angle mort" : l'enquête choc de NousToutes sur les violences sexistes et sexuelles au sein des forces de l'ordre.

Dans une enquête inédite parue le 15 novembre, le collectif féministe #NousToutes révèle l'ampleur des violences sexistes et sexuelles commises par les policiers et gendarmes en France. "Un phénomène de société" qui nécessite "une prise de conscience", selon le collectif.

Les victimes étaient venues porter plainte pour violences conjugales, étaient en garde à vue, participaient à une manifestation... C'est dans ce contexte qu'elles ont subi des violences sexistes et/ou sexuelles venant des forces de l'ordre (police nationale, municipale ou gendarmerie).

La Montagne.

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Laurent Nunez

Nouvel humoriste sur radio Nova

« Oeil éborgné et porte un gilet jaune. Qui est-ce ? »

Radio Nova a prévenu qu'elle "n'acceptera aucune menace" après la plainte de Laurent Nuñez contre Pierre-Emmanuel Barré, dans un communiqué. (France info).

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Voisins vigilants.

Surveillons la police.

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Féminisme

25 Novembre

Plus 50% de femmes vulnérables

Climat ou guerres

Harcèlement contre les militant-es

Cynthia Fleury

L'Humanité

La manifestation féministe du 25 novembre 2025, journée internationale pour l'élimination de la violence à l'encontre des femmes, met en lumière plusieurs enjeux majeurs :

·         Violences sexistes et sexuelles (VSS) : La lutte contre les violences faites aux femmes reste au cœur des revendications. En France, plus de 8 victimes de violences conjugales sur 10 sont des femmes, et 90 000 femmes sont victimes de viols ou tentatives de viol chaque année.

·         Constitutionnalisation de l'IVG : La question de la protection de l'avortement est portée dans les cortèges, en réponse aux remises en cause récentes.

·         Droits dans la sphère du travail : Les manifestantes exigent de nouveaux droits pour les femmes dans le monde professionnel.

·         Financement des associations : Les organisations féministes demandent à l'État de prendre leur lutte au sérieux et de mettre 3 milliards d'euros sur la table pour soutenir les victimes.

·         Violences sur les enfants : La question des violences sexuelles sur les enfants, en majorité au sein de la famille, est également visibilisée.

·         Contexte international : Les manifestantes expriment leur solidarité avec les femmes du monde entier, premières victimes des conflits armés et des gouvernements réactionnaires.

·         Lutte contre l'extrême droite : Les organisations féministes dénoncent l'extrême droite, qui ne défend ni la liberté des femmes, ni leur émancipation, ni l'égalité.

·         Éducation et prévention : Les manifestantes exigent une politique publique à grands moyens, incluant prévention et éducation, pour lutter contre les violences du patriarcat. (Qwant).

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Police antiféministe

Photo vue plus de 6 millions de fois

L'institution fait semblant de condamner.

Une photo montrant des policiers cagoulés posant derrière une banderole féministe et antifasciste tenue à l'envers a suscité une vive polémique. Publiée le 28 novembre 2025 par le média Blast, cette image a été vue plus de 6 millions de fois.

Cette image a provoqué un malaise dans les milieux féministes et suscite des débats sur la neutralité de la police. Les forces de l'ordre sont censées s'abstenir de toute expression de convictions politiques ou philosophiques dans l'exercice de leurs fonctions.

Cet incident a relancé le débat sur les comportements des forces de l'ordre et leur relation avec les mouvements sociaux. La photo a été largement partagée sur les réseaux sociaux, amplifiant la polémique. (Qwant).

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dimanche 16 novembre 2025

Police - Nunez- Pierre-Emmanuel Barré - Angelina - Marseille

 

Pierre-Emmanuel Barré

Plainte de Nunez qui ne s'émeut pas des 50 morts dus à la police par an, ni du racisme sur CNews

Laurent Nuñez a porté plainte contre Pierre-Emmanuel Barré pour avoir comparé les forces de l'ordre à Daech et les avoir traités de violeurs et meurtriers, ainsi que pour des injures à son encontre. (France info).

Radio Nova a réagi en défendant la liberté d'expression et en déclarant qu'elle n'accepterait aucune menace contre ses humoristes. La radio souligne l'importance de préserver la liberté de ceux qui font rire pour la santé de la démocratie. (Qwant).

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Pierre-Emmanuel Barré

Dénoncer les violences policières n'est pas un crime

« Un vrai kiff » sur Radio Nova

Youtube.

  • Barré a comparé les forces de l'ordre à Daech, déclarant : « la police et la gendarmerie, c’est Daech avec la sécurité de l’emploi ».
  • Il a également traité les policiers et gendarmes de « violeurs » et « meurtriers ».
  • Ces propos ont été tenus dans l'émission « La Dernière » diffusée le 9 novembre 2025 sur Radio Nova et relayée sur Internet le 10 novembre.

Barré a cité des affaires spécifiques, comme un viol aggravé impliquant des policiers de Bobigny et des violences autour de la méga-bassine à Sainte-Soline.

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Police

Mensonge révélé et avoué

Angelina

Crâne fracassé à Marseille

2018

Gilet-e Jaune.

Un policier a avoué avoir été sous pression pour mentir à la justice concernant l'affaire Angelina, où une jeune femme a eu le crâne fracassé par des forces de l'ordre à Marseille en décembre 2018. (Mediapart).

16 novembre 2025

  • Des policiers la croisent. Elle reçoit un tir de LBD, puis ils la rouent de coups et lui fracassent le crâne, sans raison. Sur les images vidéo, les policiers sont casqués et difficilement reconnaissables.
  • L’un d’entre eux porte cependant une attelle. Et le nom d’un autre est mentionné. Mais l’IGPN assure ne pas parvenir à retrouver les coupables. L’enquête pénale est classée par deux fois. Mais une nouvelle juge reprend le dossier en 2023 et relance les investigations. (Les Gilets jaunes de Forcalquier).

En décembre 2018, des membres des forces de l’ordre ont roué de coups cette femme de 19 ans qui rentrait chez elle. (Marsactu).

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ÉTAT POLICIER :

DEPUIS 2018, LA POLICE FRANÇAISE A TIRÉ PLUS DE 10.000 MUNITIONS SUR LA POPULATION CHAQUE ANNÉE.

Un chiffre lâché par Sébastien Roché, qui souligne qu’il y avait moins de 500 munitions tirées par an avant 2015.

Contre-attaque.

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samedi 8 novembre 2025

Sainte-Soline - Police - Peur d'une dérive - Stérin.

 

Fascisme

« Faut qu'on les tue »

Police à Sainte-Soline

Si l'extrême droite arrive au pouvoir

Par Soph'

Les propos tenus par certains gendarmes, comme des références à des véhicules blindés de la Seconde Guerre mondiale, soulèvent des inquiétudes quant à une possible radicalisation au sein des forces de l'ordre. Ces déclarations, associées à des méthodes de répression violentes, alimentent les craintes d'une dérive autoritaire, surtout en cas d'arrivée au pouvoir de l'extrême droite.

  • Ministère de l'Intérieur : Laurent Nuñez a condamné les propos et gestes des gendarmes et demandé l'ouverture d'une enquête.
  • Demandes de transparence : Des associations et familles de victimes réclament la levée du silence entourant ces violences et des sanctions appropriées.

Ces événements soulignent l'importance de surveiller les dérives potentielles des forces de l'ordre et de garantir le respect des droits fondamentaux lors des manifestations. (Qwant).

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Sainte-Soline

E Macron n'a pas peur des conséquences

Police obéissante

Par Allan Barte.

Emmanuel Macron, lors d'un déplacement dans les Hautes-Alpes, a qualifié les manifestants de Sainte-Soline de personnes "venues pour faire la guerre". Il a dénoncé des scènes de violences "inacceptables" et a affirmé que "des milliers de gens étaient simplement venus pour faire la guerre". Le président a également évoqué une "forme d’habitude de la violence" qu'il faut combattre avec fermeté.

Ces déclarations ont suscité des réactions, notamment en raison des révélations sur des propos tenus par des gendarmes lors de la manifestation. Des enregistrements ont révélé des propos choquants, comme "Bien joué, en pleine gueule !" ou "Je compte plus les mecs qu'on a éborgnés, un vrai kiff !". Ces éléments ont relancé le débat sur l'usage de la force par les forces de l'ordre. (Qwant).

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Pierre-Edouard Stérin.

Dettes. Nul en affaires. Détesté du grand public. Son empire réactionnaire s'effondre.

Contre-Attaque.

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E Macron a fait le plus gros : hôpital, assurance chômage, retraite, école cassées.

Il donne le maillet à J Bardella et a V Bolloré pour continuer de casser les libertés et la démocratie.

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