Viols
Claire Geronimi, coqueluche de l'extrême droite.
Racisme.
Claire Geronimi, victime de viol et figure médiatique de l'extrême droite, a été instrumentalisée politiquement, bien qu'elle en ait reconnu l'existence et s'en soit accommodée. (Le Dauphiné).
Deux ans après son cauchemar, Claire Geronimi a créé l'association Éclats de femme pour accompagner les victimes d'agressions et elle est devenue vice-présidente de l'UDR (Union des droites pour la République) d'Éric Ciotti. (Le Point).
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Viol
Maria Schneider
Directeur Cinémathèque
F Bonnaud
« Pas de viol ?
M Brando amant ? »
Polémique.
La Cinémathèque française a annulé une projection du film "Le Dernier tango à Paris" (1972) de Bernardo Bertolucci, suite à une polémique concernant une scène de viol non consentie impliquant l'actrice Maria Schneider. Cette scène, non prévue au scénario, a été imaginée par le réalisateur et l'acteur Marlon Brando le matin même du tournage, sans que Maria Schneider en soit informée.
Frédéric Bonnaud, directeur de la Cinémathèque, a suscité la controverse en remettant en cause l'existence d'une agression sexuelle sur le tournage. Il a notamment déclaré que Marlon Brando et Maria Schneider étaient "amants", des propos qualifiés d'« arriérés » par certains. Ces déclarations ont provoqué une vive réaction, notamment de la part des étudiants de l'université Paris 1-Panthéon-Sorbonne, où il était invité.
La polémique a également été alimentée par des associations féministes et des syndicats, comme le collectif 50/50 et le SFA-CGT, qui ont rappelé que filmer et diffuser un viol reste répréhensible. La Cinémathèque a finalement annulé la projection, invoquant des raisons de sécurité, mais a été convoquée par une commission de l'Assemblée nationale pour s'expliquer sur cette programmation. (Qwant).
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