Aux USA et en France : "T'as les moyens. T'auras tout. T'as pas les moyens? T'auras rien." "Tu veux mourir de mort violente? Tu te fais contrôler par la police." Le sexe n'est pas un "travail". Soutien aux Palestinien-nes , aux Libanais-es, aux Iranien-nes. En 1832, Jeanne DEROIN disait : "Plutôt le célibat, que l'esclavage (NDLR : du mariage)". En 2024, 1 adulte français-e sur 3 est célibataire. 648 595 vues. Google attaque mon blog en supprimant des articles. Je vais sur Qwant maintenant.
Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT participe à la manifestation ce matin à 10H30 à Marseille
Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT a participé à la manifestation ce matin à 10H30 à Marseille
La CGT et Solidaires ont appelé à se mobiliser contre les ordonnances et la réforme du travail. Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT manifeste à Marseille plutôt qu'à Paris
La
CGT a sa bande son pour les manifestations, avec souvent une chanson du groupe
Noir Désir, L’homme pressé.
Hier,
à Marseille, cette chanson démarre. J’avoue que j’aimais ce titre, avant le
meurtre. Et puis, je vais vers le camion qui s’occupe de la sono. Je m’adresse
au militant :
-C’est dérangeant de diffuser du Noir
Désir quand il y aune polémique
autour de la diffusion de la photo de Bertrand Cantat sur la une des Inrockuptibles.
-Quoi ? Je ne suis pas au
courant !
-Ben, c’est lui qui a tué Marie
Trintignant…Et la photo ne passe pas. Elle suscite de la colère.
La
musique est à fond la caisse. J’ai l’impression de parler dans le vide.
Parfois, le silence est assourdissant. Là, ce sont les décibels qui couvrent
tout.
Je m’éloigne.
Je poursuis la prise de mes photos. J’ai de la chance. Il y a des affiches avec
des dessins satiriques.
A
peine 30 secondes plus tard, changement brutal. La diffusion a cessé au milieu
de la chanson. Enchaînement avec un autre titre.
Merci
de m’avoir écoutée et entendue.
Philippe Martinez: "Continuer à expliquer les préoccupations"
Les communistes sont là.
Macron, la déclasse sociale.
Philippe Martinez
Philippe Martinez
Bain médiatique.
Service d'ordre masculin
Service d'ordre féminin
"Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée dormante porte l'orage."
Jean Jaurès
Solidaires
Les dockers
Retrait immédiat de la loi travail XXL!
Non à la loi travail.
Tous unis et solidaires pour la défense de nos acquis sociaux!!
Déraisonnable et désespérant
- Avec tous mes compliments monsieur le président. (Il lui offre le code du travail).
- Allons, allons, mon petit Macron, appelez-moi maître! (Pierre Gattaz, président du MEDEF).
Parcours professionnels
Carrières et rémunérations
En marche pour la régression sociale
Catherine Lecoq
Balance ton Macron dans le port
Les retraité - e - s revendiquent
Retraité-e-s en lutte
Non à la casse:
Du droit du travail
Des services publics
De la Sécurité Sociale
Non à la loi travail
Tous unis et solidaires
Pour la défense de nos acquis sociaux
Construction
Halte au dumping social
La régression sociale ne se négocie pas, elle se combat!
13 morts au chantier
Rien ne justifie la MORT d'un homme
Reconnaissance de la pénibilité
Départ anticipé à la retraite à 55 ans.
Face au totalitarisme capitaliste, la France ne se met pas à quatre pattes.
Macron, regarde ta Rolex, c'est l'heure de la révolte
Marcassin en colère, on ne se laissera pas faire
Le président de la République, à grand renfort de médias, a signé les ordonnances sur la loi travail mais la bataille n'est pas finie. Signer, ce n'est pas ratifier !
Pierre Dharréville vous invite à venir décrypter ensemble le contenu des ordonnances et à en débattre lors de la Rencontre citoyenne qu'il organise jeudi 5 octobre à 18h à la salle des Festines à Fos sur Mer.
Initialement prévue pour le jeudi 5 octobre, la Rencontre citoyenne sur le décryptage des ordonnances de la loi travail XXL est reportée au vendredi 6 octobre à 18h à la salle des Festines à Fos sur Mer.
Pierre Dharréville "Ordonnances travail: le dumping social à l'oeuvre"
Source La Marseillaise
Avril 2019
Le président de la République agit au
service de quelques-uns.
Tous ceux et celles qui risquent d'être
les victimes des ordonnances quand elles seront appliquées puissent
se mobiliser et se faire entendre. Les dernières enquêtes
continuent de montrer que 65% des Français craignent cette loi qui
va réduire leurs droits.
Le problème c'est que la
loi ne se fait pas au Parlement puisqu'on nous a demandé de ne pas
la faire.
Le Premier ministre a
déclaré que le texte était globalement prêt et qu'on ne le
retoucherait qu'à la marge. Quand il va revenir devant le
gouvernement pour ratification en octobre, on va nous expliquer que
tout a été discuté avec les organisations syndicales. Si on
retouchait, on ne respecterait pas le dialogue social. Au contraire,
moi, je pense qu'il n'y a pas de majorité dans le pays pour casser
le code du travail. Il y a besoin de faire grandir le mouvement
populaire et la conscience de se qui est en train de se passer.
Si la loi n'est pas faite
contre le chômage comme le dit le gouvernement, elle est faite
pourquoi ?
Elle n'est pas faite non
plus pour simplifier le code du travail puisqu'il va y avoir un code
du travail par entreprise. Elle est faite pour faire plaisir à ses
amis de la finance et du MEDEF ou à des gens qui ont des
stocks-options comme madame Pénicaud, ministre du travail qui s'est
permis de faire un million d'euros de bénéfice en revendant des
stocks-options. Mais là, on ne touche pas aux stocks-options dans la
loi qui ne sont pas « le problème ». Ni la finance. On
ne légifère pas là-dessus.
Le gouvernement avait
expliqué que les salariés étaient responsables du sort des
chômeurs parce qu’ils avaient trop de droits, des salaires trop
élevés, etc . Il a arrêté de dire ça car toutes les études
montrent que la casse du code du travail ne créera pas d'emplois
supplémentaires. Au contraire.
Les décisions sont
prises avec les actionnaires dans les Conseils d'administration des
entreprises. J'ai fait une proposition pour donner plus de pouvoirs
aux salariés. Sur les questions de la pénibilité, il y a un retour
en arrière sans précédent pour les risques chimiques (doute sur la
formulation dans la loi) , les postures, les vibrations.
On va faire disparaître
les CHSCT qui regardaient de manière précise les conditions de
travail, la santé, la sécurité, et qui ont été une vraie
conquête sociale.
Les licenciements
économiques et les plans sociaux d'entreprises.
On nous explique que la
loi est faite pour aider les petites entreprises et vous verrez que
ce n'est pas le cas. Le périmètre dans lequel on va juger de la
validité du motif économique pour licencier va être limité au
périmètre national. Il était auparavant illimité.
Pour une multinationale
qui va vouloir licencier en France, on ne pourra pas regarder si elle
est bénéficiaire ailleurs en Europe ou dans le monde et si elle
peut absorber le déficit de son unité de production ou si elle peut
organiser autrement les choses.
Ce n'est pas la
barémisation des indemnités qui est en cause, mais les dommages et
intérêts, en cas de licenciement sans cause réelle et sérieuse,
en cas de licenciement abusif ou illégal. On prévoit déjà le cas
où la loi ne va pas être respectée. Et donc, il y a un barème.
Un Cerfa va permettre de
modifier la motivation de licenciement. Avant, ça n'existait pas.
Dans la lettre, il y avait une motivation que le salarié pouvait
contester. Ça va ouvrir dans la jurisprudence des nouvelles
problématiques. En cas d'accord collectif, le recours sera réduit
de moitié (12 mois au lieu des 24 actuels).
Le référendum.
L'employeur peut demander
l'autorisation aux syndicats d'organiser un référendum der son
propre chef. Avant, la loi El Khomri n'était pas allée jusque-là.
C'étaient les organisations syndicales qui pouvaient le soumettre
aux salariés.