dimanche 8 octobre 2017

Moi, Armand, né sourd et muet - Les chiens en aide - Le chant-signes


Armand Pelletier, Yves Delaporte.

« Moi, Armand, né sourd et muet… »

2002

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Armand Pelletier est né à Bourg-en-Bresse le 15 mai 1933.

L’histoire de sa vie témoigne de la volonté des sourds-muets d’exister comme nos égaux.

Il raconte la vie de sa femme, par bribes.

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Sans langage commun avec ma famille, mon éducation se réduisait à peu de chose. C’est une expérience douloureuse qu’ont subie tous les enfants sourds, quel que soit le milieu dans lequel ils ont été élevés, riche ou pauvre, paysan ou citadin.

Ma femme a connu les mêmes frustrations : regardant sa mère préparer la cuisine, elle était dévorée de l’envie de l’aider mais c’étaient toujours les mêmes réponses dilatoires : « plus tard, plus tard » ou bien « trop difficile »

Le contraste est saisissant entre mon enfance et ce qu’ont dû  subir beaucoup d’autres sourds, entièrement isolés dans leur famille entendante, soigneusement dissimulés aux regards comme une chose honteuse. Des parents entendants ont essayé d’abandonner, ou même de tuer, leur enfant sourd. Au début de la guerre, celle qui devait devenir ma femme avait trois ans. Un jour où un convoi de soldats, français ou italiens, je ne sais, passait sur une route de sa Savoie natale, sa mère a tenté de se débarrasser d’elle en la jetant dans un camion. Les soldats l’auraient bien pris avec eux comme mascotte, mais elle s’est débattue si violemment qu’ils se sont arrêtés et l’ont rendue à sa mère. Voilà comment étaient considérés les petits sourds : comme inférieurs à des animaux.

Si j’en crois ce que m’ont raconté d’autres sourds, ce qui était pour nous une exception était plutôt la règle ailleurs : les sourds se voyaient partout considérés comme les idiots du village, des sortes de demeurés qui ne méritaient que des sarcasmes. Dans les rues de Chambéry, lorsque passaient les élèves de l’institut des sourds, les passants ricanaient : « Tiens, voilà les dingues… » Pour aller à l’école communale, ma femme devait parcourir cinq kilomètres à pied deux fois par jour. A mi-chemin, un garçon la guettait pour lui jeter des pierres. Elle était si terrorisée qu’un midi elle a refusé de retourner à l’école. Sa mère l’y a obligée, vérifiant qu’elle prenait bien le chemin conduisant à la vallée. Dès que la fillette a été hors du regard de sa mère, elle s’est cachée dans un bosquet, y restant tout l’après-midi. Elle est revenue à l’heure habituelle, si bien que personne ne s’est douté de rien. Le lendemain, elle a recommencé, mais le garçon a découvert sa cachette et lui a à nouveau jeté des pierres. Une voisine ayant aperçu la pauvre gosse en larmes à une heure où elle aurait dû être à l’école, la chose s’est sue. Plus tard, lorsqu’elle est entrée à l’école des sourds, les petits entendants se moquaient  d’elle et de ses compagnes pendant leurs rares sorties en ville.

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Violence et handicap

Un numéro d’urgence.



Quatre femmes en situation de handicap sur cinq sont victimes de violences. Face à cette insoutenable ampleur du phénomène, l’Association « Femmes pour le dire, Femmes pour agir » lance le 6 mars 2015 le premier numéro national d’urgence pour venir en aide aux victimes, pour contribuer à rompre leur isolement et pour rendre plus visibles les violences que subissent ces femmes.

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12/2017
Le budget des différents instituts nationaux de jeunes sourds (ainsi que l'institut des jeunes aveugles) vient d'être diminué de 13 %.

On brade l'éducation des jeunes sourds, c'est horrible.


Sourds :

Handicap: l'émancipation est au bout de la laisse

handicap-l-emancipation-est-au-bout-de-la-laisse
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L’œil et la main :

L'affaire Weinstein a libéré la parole des femmes et a amené une prise de conscience fondamentale sur les violences et les agressions sexuelles. Toutes les strates de la société ont été touchées et notamment la communauté des femmes sourdes. Sandrine Herman est allée à la rencontre de ces femmes, elles aussi vulnérables.

l-oeil-et-la-main/459739-metoo-ustoo-nousaussi
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Tag
Marseille
"Les oreilles ont des murs."




Le chant signes à Nîmes (Théâtre Bernadette Laffont)
Atelier animé par Mireille Philippe, professeure de musique et Bruno Mourier, professeur de LSF*.
10 18

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Apprendre la Langue des Signes Française du niveau débutant au niveau avancé :


« On vous a présenté une chanson écrite en langue des signes et traduite en français.
Maintenant ce sera une chanson en français traduite en langue des signes.
Le logo des deux mains permet de signifier que le spectacle est accessible aux sourds.
Le spectacle de ce soir, on met le monde à l’envers, est accessible aux entendants. On est dans un rapport inversé par rapport aux habitudes.
La traduction.
On peut avoir l’impression qu’il manque des mots, que  la traduction est complexe, mais en sens inverse, les questions de la traduction se posent aussi.
Il faut être fidèle au chanteur, à son rythme, à son vouloir-dire, à sa prosodie.
L’adaptation à la langue des signes nécessite parfois d’avoir une structure plus étoffée que ce qui est dit en français et inversement. Il faut trouver les adaptations pour que cela donne un chant-signes qui soit fidèle au niveau du sens. Les choix seront  iconiques, plus ou moins compressés, étendus. On utilisera plus ou moins le signaire*, le vocabulaire de la langue des signes. »

PS : l’expérience est portée par le collège de Rochefort-sur-Gard. La professeure s’est passionnée pour la langue des signes, et tout le collège s’y est mis. Le spectacle est présenté par les collégiens qui ne sont pas sourds, mais pratiquent la langue des signes, langue apprise au collège.

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Le Wiki-Signaire International (WISI) est une encyclopédie en Langue des Signes qui permet d’enrichir son signaire (vocabulaire en signes) sans besoin de mots.


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André Chassaigne :


"Déremboursement du transport des enfants handicapés : encore une fois le gouvernement s'en prend aux plus fragiles."
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 «On m'a expliqué qu'avec un parcours psy comme le mien, mon agresseur ne risquait rien».

Infériorisées et infantilisées, les femmes handicapées victimes de violences sexistes et sexuelles rencontrent de nombreuses difficultés à être entendues par la justice et la police.

(…) Les personnes handicapées ont intériorisé ce regard.

(…) Violer une femme handicapée, c’est lui faire une fleur.



(…) «Quand une femme aveugle doit trouver le commissariat et que le policier lui répond “c’est le troisième bureau en face”, vous sentez déjà que c’est pas adapté».



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Gilet-e-s Jaunes
Caen
"Une vie digne pour les handicapé-e-s"
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Le gouvernement veut intégrer l'AAH d'activité au Revenu Universel.
NDLR: je n'ai jamais entendu que les handicapés roulaient sur l'or.

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Maltraitances dans un institut pour enfants sourds: les tutelles regardent ailleurs.

Violences verbales, physiques et psychologiques, tentatives de suicide et de fugue : à l’Institut public Gustave-Baguer, qui accueille des enfants sourds et handicapés, les incidents se multiplient depuis l’arrivée d’un nouveau directeur. Alertée depuis plus d’un an, l’agence régionale de santé ne réagit toujours pas.

 « Des enfants sont en danger, tranche une soignante de l’Institut Gustave-Baguer, sous couvert d’anonymat. Chaque jour, on se dit que quelque chose de grave peut arriver. » Dans cette institution centenaire d’Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) dédiée aux enfants malentendants ou souffrant de troubles du langage, près de deux cents jeunes sont scolarisés ou viennent pour des soins et du suivi médico-éducatif. Mais d’après nos informations, cela fait plus d’un an que des soignants et des familles ont fait part d’inquiétudes aux deux tutelles, l’agence régionale de santé (ARS) et la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH). 

Article non en entier.

maltraitances-dans-un-institut-pour-enfants-sourds-les-tutelles-regardent-ailleurs

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La déconjugalisation de l'aah est perdue. LREM ont fait passer les amendements. Honte à eux. Honte à s_cluzel. Honte à Emmanuel Macron dont l'aah faisait partie de ses arguments de campagne.

Angie

06 21

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A Massy, pour la première fois, un élu sourd célèbre un mariage.

Ce samedi, Julien Compan a célébré un mariage dans la commune de l’Essonne où il est conseiller municipal depuis un an. Une vraie responsabilité pour le trentenaire, qui milite pour l’accessibilité des personnes sourdes.

(…) Si la présence d’un interprète s’est généralisée depuis lors des réunions municipales, Julien Compan doit faire sans la grande majorité du temps. Il y a encore un an, il ne se séparait jamais de son ardoise, seul moyen pour lui d’interagir avec les autres. Depuis, elle prend la poussière, remplacée par une application sur son portable qui permet de retranscrire les propos de ses interlocuteurs.

a-massy-pour-la-premiere-fois-un-elu-sourd-celebre-un-mariage-10-07-2021

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Sourd-e-s 

La langue des signes n'est reconnue que depuis 2005.

Au Havre, présentation à la bibliothèque Oscar Niemeyer de cette langue en février 2022.

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Le 3919 est également accessible pour les personnes sourdes ou malentendantes sur le site http://solidaritefemmes.org

En cas d'urgence appelez le 17 (114 par sms).

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Handicap

Contrôles sur les maltraitances en 2025.

Une campagne de contrôles systématiques est lancée en 2025 dans le cadre d'une stratégie gouvernementale. "Cette stratégie prévoit de contrôler tous les établissements médico-sociaux hébergeant des enfants et des adultes handicapés d'ici 2030 (liste des 5 grands axes en fin d'article). (Handicap).

Maltraitance des handicapés : tous les établissements seront contrôlés, promet le gouvernement · Des contrôles « annoncés mais surtout inopinés ». (Ouest France). (Si iels préviennent de leur venue, ça ne sert à rien, NDLR).

Une enquête diffusée dimanche soir sur M6 a mis en lumière de lourdes

défaillances dans des établissements sociaux et médico-sociaux accueillant des personnes handicapées.
(DNA).

03 24

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Séances d'humiliations de personnes vulnérables, handicapées, sur la plateforme Kick.

Cartons d'audience.

Violences en direct.

NDLR : quelle horreur !

12 24.

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116 personnes ont lu cet article.

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Jetée à la rue dans la nuit - Je soutiens Elodie


Jetée à la rue dans la nuit.

Il l’a poussée au-dehors de la salle de sports qu’ils dirigeaient ensemble depuis dix ans. Physiquement, en la bousculant. « Dehors ! Je ne veux plus de toi ici ! Tu ne comprends pas ? »

Il en avait assez d’elle. Elle ne voulait pas l’entendre ! Ce geste de violence et d’expulsion dans la rue  lui a évité des années et des années de procès…Les avocats, ça coûte cher. Il a des muscles en gonflette. Qu’ils servent ! Ils avaient construit cette salle de sport ensemble. Elle avait tenu l’accueil pendant que lui jouait au coach sportif. Mais, maintenant, il ne l’aimait plus. Son cœur battait ailleurs.

Il avait le droit pour lui : la salle était à son nom.

Il avait la force pour lui : musclé, une tête de plus qu’elle, ce n’était pas difficile de la jeter sur le trottoir !

Il ne lui a pas laissé le temps de prendre des affaires dans une valise : elle l’a trop énervé. Tant pis pour elle ! Il a donné des coups, il ne sait pas comment cela aurait pu finir….

Ils se sont disputés et ça a dégénéré. C’est comme ça !

La petite était couchée au premier étage. Elle n’a rien entendu. Il verra le lendemain ce qu’il fera. A chaque jour suffit sa peine…Il a réglé le problème majeur. Il voulait se débarrasser de cette compagne gênante  et c’est chose faite. Son cœur appartient à une autre femme.

Depuis le temps qu’il en avait assez de sa double vie ! Ouf ! Il a trouvé une solution, radicale certes, mais définitive. Il va pouvoir profiter de son nouvel amour sans contrariété, sans être inquiété, et surtout, sans reproches. Dès demain. Et que personne n’ose lui faire une simple remarque.

Personne ne lui a rien dit. La société ferme les yeux. Les voisins n’ont pas bronché. La famille non plus.

Cette ex-compagne est repartie à zéro. Elle a recherché seule un logement, un emploi et a éduqué sa fille du mieux qu’elle a pu. Le tout sans aide. Mais avec dignité et le sentiment d’avoir tout bien fait.

Quel courage…
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Tag
Marseille
"Je suis comme les termites, je vis chez l'habitant."


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NDLR : voici un exemple de voisinage inhumain et d’une justice inhumaine.

Hauts-de-Seine : son compagnon la bat, elle est expulsée à cause du bruit.

(…) C’est la double peine. Victime de violences conjugales, cette mère de famille est expulsée de son logement… à cause de la violence de son compagnon.
hauts-de-seine-son-compagnon-la-bat-elle-est-expulsee-a-cause-du-bruit
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L'avocate d'Elodie, qui avait été expulsée de son logement alors qu'elle était victime de violence conjugales, nous prévient qu'elle a été relogée ! Bravo à toutes les personnes qui l'ont soutenue et accompagnée, que ses voisins en prennent de la graine !



#JeSoutiensElodie
JeSoutiensElodie

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67 personnes ont lu cet article.

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La femme de l'imprimeur


La femme de l’imprimeur.

Il possédait une imprimerie. Sa petite entreprise marchait bien. Il imprimait tout : affiches, revues, livres, prospectus, étiquettes, cartes, etc.

Il se maria peu de temps après le démarrage de son affaire. Sa femme était charmante, avenante. Elle accepta avec plaisir d’accueillir les clients de l’imprimerie. Bientôt, elle réceptionna les commandes, les livraisons et établit des devis.

Avec cet emploi à temps plein, elle réussit à élever leurs trois enfants. Vous imaginez ! Son mari aurait déséquilibré leur situation financière en payant le salaire d’un employé à sa place! Elle refusa toujours d’être payée, travaillant avec amour et par amour pour lui… Cette entreprise étant familiale, ses enfants hériteraient de ses avantages et pour cette raison, ses sacrifices n’étaient pas vains.

Les années passaient, les enfants grandissaient, l’entreprise prospérait.

Un jour, monsieur eut cinquante ans.

Il aspira dès ce jour-là à une autre vie. Il avait besoin de jeunesse et il commença à sortir seul, de son côté.

Il chassait et trouva rapidement la proie convoitée. Elle avait vingt ans de moins que lui…Le statut social de monsieur éblouit cette jeunette.

Son amour pour cette jeune femme prospéra tant qu’il commença à trouver sa femme gênante. Cette entreprise était sienne, il avait encore de nombreuses années de bonheur à vivre avec son nouvel amour. Du jour au lendemain, il mit sa femme dehors sans tambour, ni trompette. Elle avait grossi, vieilli. Il n’eut aucune pitié pour elle. Qu’elle se débrouille ! Il l’avait assez entretenue…

A cinquante ans, elle se retrouva à la rue, sans rien. Sa sœur l’accueillit. Elle traversa une longue période de désespoir. Elle ne pouvait prétendre à aucune aide, aucune retraite, n’ayant jamais cotisé.

Elle avait été son esclave, non déclarée, non payée ! Elle s’en voulait de lui avoir fait confiance et d’avoir espéré que son mariage durerait toute sa vie….Son seul remerciement était son ingratitude.

Petit à petit, elle recouvra des forces et la colère s’amplifia.

Elle contacta un avocat, réclama une pension compensatoire et un dédommagement financier pour toutes ses années à travailler à l’imprimerie.

Elle gagna. C’est exceptionnel, mais, elle avait une excellente avocate. Elle reçut 7 000 € pour ses trente années de dur labeur ! Faites le calcul…Il devra lui verser 220 € par mois en plus.

Une misère…

Mais elle gardait toujours le sourire ! Elle n’avait pas cédé et avait osé réclamer.

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Musée du Petit Palais à Avignon

Entrée gratuite



La Vierge de l’Annonciation

Taddeo di Bartolo

Sienne – Vers 1362/1363

Décès en 1422

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84 personnes ont lu cet article.

En 2025, sans pension...


En 2025, sans pension…



En 2025, que ferai-je sans pension ?

C’est là toute la question !

C’est aujourd’hui peut-être,

-          Ca inquiète mon futur bien-être -

Mais c’est déjà dans leurs têtes :

Ils ne veulent plus payer les retraites.

L’Etat fera un cadeau aux assurances.

Elles vont entrer dans la danse.

Et je n’aurai plus rien dans la panse.

Il ne faut pas que j’y pense…



Bien, sans d’autres revenus

Je vais me sentir bien dévêtue!



Que vais-je en 2025 pouvoir faire ?

Comme aux US, vendre des hamburgers ?

Ou bien, lire dans les lignes de la main

Et prédire aux autres un fabuleux destin ?

Peut-être garder des enfants chez moi

Si les parents voudront encore de moi ?

Quel métier faire à cet âge ?

J’ai trouvé : les journaux en portage !



Le plus vieux métier du monde

Me sera refusé. C’est immonde…

Nettoyer les navires sur les ondes,

Animer des danses, faire des rondes,

Tendre la main à tout le monde,

Maigrir, ne plus être ronde ?



Ou alors, s’imposer chez ses enfants,

Supporter leurs ordres impatients,

Plier le dos en attendant,

De finir à l’hospice..

C’est ça leur justice !



J’aimais bien l’idée de cotiser

Pour eux, les aînés.

Ca s’appelle la solidarité.

Mais ce mot est damné.

Il ne rapporte pas.

L’argent, l’argent, n’est-ce pas !



Cette chaîne, ils vont la casser.

Ils veulent tout rafler,

La mise et ses intérêts.

« Tu cotises, tu touches.

Il n’y a rien de louche. »

C’est la loi du marché.

Sinon, tu es un raté.



Mais nous, les futurs vieux ?

En 2025, ils nous diront :

« Il n’y a plus un rond ! 

L’Europe nous fait les gros yeux !

Vous devrez vous y faire,

Et surtout vous taire…

Vous auriez dû économiser.

Tous ces malheurs, vous les auriez évités. »



En 2025, ce sera notre bévue !

Ils nous avaient prévenus.

Dix ans avant, ils ont tout prévu.

Les vieux seront indigents,

Ou bien mendiants.

Ou riches et vaillants…

Ils devront se débrouiller.

C’est dans leur intérêt.

S’ils n’ont rien de côté,

C’était leur destinée…



Voilà notre avenir.

Et gardez le sourire…



Brigitte Masson.
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58 personnes ont lu cet article.
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samedi 7 octobre 2017

La tour de la fondation Luma s'habille

Voir aussi:







Novembre 2017:















Décembre 2017:





Janvier 2018:

Arles - Fondation Luma
La tour Gehry monte.

Arles - Fondation Luma 1
La tour Gehry se monte.

La tour Gehry sous la pluie.

Mars 2018:


Elle pousse, elle pousse toujours. Elle se pare de ses beaux atours, et sous le soleil d'été, elle va étinceler, rutiler, éclabousser d'éclats lumineux.


Diaporama à Arles à la Fondation Luma Mars 2018 
La tour s'agrandit d'une verrière au rez-de-chaussée. Il va faire chaud en plein été…


Arles - Fondation Luma
Les travaux se poursuivent. La façade sur le boulevard est presque terminée. Il reste l'arrière à habiller.



Août 2018
Il y a encore des grues...Comme au début!


Voir aussi:

la-fondation-luma-est-ouverte-depuis


La fondation Luma de nuit.
Novembre 2018


Novembre 2018


La tour Ghery de nuit, en novembre 2018.




Retrospective - Arles - La Tour Ghery De 2015 À 2018
2015, 2016, 2017 et cette année pour finir. Une petite rétrospective des débuts des travaux à maintenant.


Lire aussi:

la-fondation-luma-est-ouverte-depuis


Fondation Luma

Reflets sur le petit Rhône



Arles - La Fondation Luma - 2019
La tour continue son évolution. Le soleil vient la parer de mille feux brillants. En plein été, elle va chauffer. Le verre réverbèrera les rayons de l'astre céleste.








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Ca pousse, ça pousse. On en est aux travaux d'aménagement du trottoir...
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La Tour Luma à Arles


Le trottoir qui longe le bâtiment s’ouvre aux piétons. Les arbres vont devoir s’étoffer, mais il y en a en grande quantité pour offrir de l’ombre et de la fraîcheur.

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173 personnes ont lu cet article