Musique
Rave
party de droite ?
A
interdire !
Les rassemblements festifs à
caractère musical (rave/teknival) organisés non déclarés doivent faire l’objet
d’une déclaration préalable et peuvent être
interdits par arrêté préfectoral; le juge des référés a maintenu l’interdiction
et l’interdiction du transport de matériel sonore destiné à ces rassemblements,
avec sanctions potentielles pour organisateurs et participants. (Public Sénat).
Fête
Free
party – Rave party
Retailleau
encercle et tape dans le tas.
Bruno Retailleau a déclaré viser une
approche plus ferme des free parties, évoquant la
possibilité de mesures répressives renforcées et de verbalisation accrue.
L’extrême droite est au pouvoir
et elle le montre tous les jours. Par exemple, le ministre de l’Intérieur
Bruno Retailleau a
déclaré en toute décontraction, sur le plateau de TF1 le 2 septembre : «On regroupe nos forces. Ensuite, on les
encercle, et après on les tape…»
Contre-attaque
Retailleau a trouvé une nouvelle
cible : les free-parties.
Ces fêtes
autogérées, déjà largement stigmatisées, pourraient bientôt valoir jusqu’à six
ans de prison à leurs organisateurs (Le media TV).
Le syndicat étudiant Union
Pirate a annoncé la couleur. Il s’agissait de faire une « free party » (« fête gratuite »), ou encore une
« fête antifasciste
». (L’Insoumission).
Les teufeurs sont empêchés de
manifester, la musique techno interdite pendant certaines les manifs, le
matériel de sonorisation saisi et certains sont poursuivis. (Disjoncter).
-----------------
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire