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mardi 12 septembre 2023

Huguette Bouchardeau - Simone Signoret

 

Huguette Bouchardeau

Simone Signoret

Editions Flammarion – 2005

 

A vingt ans, pendant la seconde guerre mondiale, elle remplace le père absent et participe à un journal collaborationniste. Elle entre ensuite dans le monde du cinéma (p 36).

Elle manque de confiance en elle et doit relever les défis avec courage (p 64).

Lors du procès de Salem en 1692, les juges se sont appuyés sur des « preuves spectrales » ! Les étudiants de Boston qui ont ri pendant le procès ont failli être emprisonnés. La pièce d’Arthur Miller connaîtra un énorme succès « dans les pays où la tyrannie soit cesse, soit commence » (p 113).

Leur résidence d’Autheuil sera gardée et entretenue par le couple Mirliton, Georges et Marcelle, rencontré à Paris, place Dauphine.

En 1966, elle se lance un défi, jouer Lady MacBeth de Shakespeare à Londres. Elle se fait éreinter et est comparée à « une matrone comique à tête de Méduse » (p 230).

Simone Signoret, dans sa biographie parle de la relation incestueuse entre Yves Montand et sa fille, Catherine Allégret. « Quatre ans. Lui vingt-neuf ans. Ils se sont aimés ». Ca donne froid dans le dos sur l’absence de protection de sa propre fille. En accentuant la fatalité, elle nie sa part de responsabilité (p 9).

Après « La Mouette » tourné en Suède, en 1968, elle a laissé sa fille Catherine jouer le rôle de groupie auprès de Montand. L’épisode de Marilyn a laissé une trace indélébile et elle ne voulait plus jouer avec son mari le rôle de l’épouse attentionnée (p 296). Elle regrette que la presse parle encore et encore de cette histoire (p 298). Dans la vie de couple, il y aura un avant et un après Marilyn.

L’alcoolisme de Simone alourdit ses traits après ses cinquante ans. Elle aimait le whisky (p 259). Son alcoolisme était « de salon », chez soi, à table, midi et soir (p 284). Les week-end à Autheuil étaient bien remplis, avec de nombreux convives du monde du cinéma.

Elle connaîtra des crises de jalousie vis-à-vis de Montand. Depuis 1968, il a tourné trente films quand elle n’en a tourné que quinze (p 297).

Elle écrira un roman à la fin de sa vie. Elle était en quête d’une reconnaissance de son intelligence, tout comme Marilyn (p 298).

 

 


"Casque d'Or"

Avec Serge Reggiani.

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62 personnes ont lu cet article.

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mardi 9 avril 2019

Une vie - Myriam Boyer - Jean Seberg - Romain Gary




Myriam Boyer
Avignon
03 19

L’association Les Papestes l’a reçue à la Maison Jean Vilar à Avignon.
Elle a retracé sa carrière.




Myriam Boyer, née le 23 mai 1948 à Lyon, est une actrice française, deux fois lauréate du Molière de la meilleure comédienne. Elle est la mère de l'acteur Clovis Cornillac et de l'acteur et metteur en scène Arny Berry.


A – L’enfance


A deux ans, sa maman frappée par son père, se sépare de lui pour peu de temps. Elle a toujours connu la violence depuis ses seize ans et place Myriam, son frère et sa sœur dans un orphelinat. Myriam rentre dans la vie de façon brutale. Pour elle, la maison, c’est la violence et la misère. Malade depuis toujours, sa mère a eu ses premiers ulcères à vingt ans.

Dans son film « La Malatesta » (c’est le nom d’un bistrot) elle raconte qu’à chaque fois que son père prenait un Ricard, elle avait droit à une grenadine. Face à la violence, sa mère apportait de la douceur. Grâce à  l’empathie, Myriam l’a protégée. Elle n’aimait pas la voir pleurer. Elle pensait pouvoir toujours faire quelque chose pour l’aider. Quand il y avait quelque chose à payer à la maison, elle pensait que l’on pouvait y arriver même si elle ne savait pas comment faire.

Elle ne garde pas un souvenir triste de son enfance. Dans la misère, il y a la radio toute la journée. Son frère aîné pousse la table et lui apprend à danser le rock à l’âge de six ans. Elle a l’impression que ça rigole et que ça chante à longueur de temps alors que c’est très très dur.

« Quand je serai grande, je serai heureuse » se disait-elle. Elle ne supportait pas la charité et la pitié.

En pension chez les religieuses à la Brêle ( ?, NDLR – Les Béates*), elle y est restée pendant près longtemps, au moins neuf ans. Elle ne pouvait pas toujours sortir parce qu’elle était collée presque tous les dimanches. Elle était une enfant difficile. La « Berthe » (sa maman) ne pouvait pas venir la chercher car le transport coûtait trop cher.
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En-Haute-Loire-les-beates-continuent-d-inspirer-des-chretiens


Les religieuses avaient quelque chose de différent pour elle. Quand «elle était malade, elle dormait dans le bureau de la mère supérieure. On l’habillait dans la cuisine pour qu’elle n’ait pas froid". Ce qui a été le plus difficile, à six ans, ca a été de rentrer dans les rangs car elle devenait une grande comme tout le monde. Elle ne voulait pas être comme tout le monde et elle voulait rester avec les religieuses. Elle aimait leurs costumes, leur odeur.

Pour aller à l’école maternelle, il fallait traverser le village. Elle se souvient de la douceur de la religieuse qui l’accompagnait. Elle y préparait un café pour elle et un chocolat pour Myriam. C’était très tendre, très joli, pas dur.

Sa sœur a été placée dans un autre orphelinat. Son frère Serge a été placé à Avignon. Il était aussi chez les Maristes. La fratrie a été sauvée par les religieuses. C’est assez curieux pour Myriam. Mais les enfants ont trouvé là la douceur.

Avec son travail, elle était contente de rapporter sa paie à la maison. Sa mère a pu acheter une télévision à crédit. Myriam va danser tous les samedis avec son petit copain avec qui elle flirtait.
A La Croix Rousse, elle est entrée un jour dans un théâtre. La directrice qui s’appelait Gisèle Tavel lui demande :
- Vous cherchez quelqu’un ?
Elle lui répond « Non, je regarde ».
Elle lui demande si elle veut prendre des cours d’expression corporelle. Myriam lui demande ce que c’est et lui dit qu’elle n’a pas d’argent. « Non, non. Venez voir ! ». Elle trouvait le style « Yeh-yeh » de Myriam marrant. Et ça a été le début.
La seule chose de théâtre qu’elle avait vue, et c’était formidable pour elle, c’était Planchon qui était venu à l’école parler des "Trois mousquetaires ». Elle n’a jamais imaginé la suite de sa carrière ni ne se rendait compte de ce que c’était.


B - Le théâtre


Elle postait des petits colis contenant des petits bijoux avec de la cire cachetée. Elle s’est brûlée au troisième degré. Et ce qui a été extraordinaire, c’est qu’elle a pu fréquenter le théâtre pendant cinq mois du matin, midi au soir. C’était un théâtre d’avant-garde. Ils jouaient Arrabal. Elle changeait les décors pendant les noirs. Elle portait un collant noir. Elle dit à la Berthe : « « Viens voir. Je fais du théâtre. » Elle lui répond : « Pour exciter les vieux cons du premier rang, tu as réussi. »

Parfois ils étaient vingt sur scène et ils se disaient qu’ils n’allaient pas jouer puisqu’ils n’étaient que dix dans la salle. Il fallait que les spectateurs soient plus nombreux que ceux sur scène. Souvent ils annulaient la représentation.

« Le dernier adieu d’Amstrong d’Arden »
TNP
Villeurbanne
Le conservatoire a demandé des figurants. Ils chantaient, il y avait quelques petites répliques.
C’était sa première aventure au théâtre avec Planchon. Elle avait repris le travail et allait au TNP le soir. Elle était très fière et très heureuse.

« Combat de nègre avec chien », mise en scène de Chéneau
Texte de Koltès
Quand elle est montée à Paris pour aller au conservatoire de la rue Blanche, à l’âge de dix-huit ans en 1968, elle est « tombée enceinte ». Elle attendait Clovis. Elle n’a plus fait de théâtre jusqu’à l'année 1983.  Cette pièce a été une bascule dans le théâtre. C’était quelque chose de complètement nouveau. Le plateau mesurait trente mètres. Il y avait des caravanes, des voitures sur scène. Elle revoit le premier soir avec Koltès et ils ne savaient pas où ils allaient. Même les spectateurs ne connaissaient pas ce théâtre. Maintenant ça paraît évident. Il y avait Piccoli, Philippe Léotard, Siti Pazapa  et elle.  







Myriam Boyer sur sa carrière et sur "Combat de nègre et de chiens"



Koltès refusait toutes les propositions des acteurs. Mais quand il appréciait, il se mettait sous votre nez pendant que vous jouiez et vous regardait. Quand vous alliez dans la direction qu’il avait envie d’entendre, il était merveilleux.  L’aventure du théâtre de Nanterre a été un événement qui a été transmis et qui est encore là. Koltès a apporté énormément. C’est quelque chose à vivre qui est complètement étonnant.

Elle a fait « Série Noire » avec Patrick Dewaere.
Ces acteurs ne pourraient plus être engagés aujourd’hui. Ils étaient dérangeants. On était toujours dans l’urgence, en danger. On ne savait pas si on allait aller jusqu’au bout du film. Aujourd’hui, on a trop peur des personnages, des acteurs. On n’aurait plus un Jouvet, ni tous ces acteurs qui ont une personnalité aussi forte. Bien sûr, il en reste quelques uns, qui sont mis dans des petits coins. Je pense à Denis Lavant. Ca marche ensemble d’être un peu décalé dans la vie et d’être acteur.




Denis Lavant - 28 minutes - ARTE


Ce n’est pas le metteur en scène qui choisit son acteur aujourd’hui. Il n’arrive pas directement à l’artiste. J’ai fait partie d’une époque où les personnalités étaient là. C’était pareil pour Michel Piccoli. Ca partait du plus petit à Nanterre : les éclairagistes, la vendeuse de livres.


« Le suicidé »
de Claude Stratz
1984
Nanterre
C’est une belle histoire avec Bernard Ballet



« Woyzeck »
1988
Centre dramatique de Saint-Etienne.

Avec Daniel Benoît, un grand metteur en scène,  avec qui elle a fait dernièrement « Misery ». Il avait fait un toboggan de sept mètres de long.



Premier Molière pour la pièce « Qui a peur de Virginia Woolf ? » en 1997.
Là, elle bascule dans le privé. Pendant des années, elle a fait du théâtre subventionné.
C’est une pièce très très forte. Malheureusement, elle a vécu une histoire terrifiante avec son partenaire Niels Arestrup*. C’était dommage car c’était vraiment un moment de théâtre exceptionnel. Elle a fait 54 représentations et il l’a faite renvoyer à la 54e. Ca a été un cauchemar qu’elle n’a pas compris. Elle a su que c’était  un narcissique, amoureux du pouvoir. Il avait déjà fait ça avec Adjani. Il a crevé le tympan de Miou-Miou sur le film la Dérobade. Il a cassé les bras d’Anne Alvaro. Aujourd’hui ça ne passerait pas.



portrait/2007/04/10/lassez-moi-tranquille


« Tchin-tchin » de Marcel Maréchal.
1999
Au théâtre du Rond-Point, un théâtre de la Ville de Paris.
C’est « entre-deux ».  C’est subventionné et c’est une pièce d’un théâtre de la Ville. Les spectateurs n’imaginent pas combien c’est différent dans la manière d’être comédienne, et comment vous allez être vécu par le public. Vous avez des abonnés. C’est formidable et c’est un certain confort. Il n’y a rien de plus difficile que le privé. C’est au coup par coup. Il y a parfois des groupes, mais le travail sur le public n’est pas possible. Dans le privé, vous êtes en danger sans arrêt.

« Médée Kali »
2003
Théâtre du Rond-Point, un « entre-deux ».
Laurent Gaudé avait fait pour moi ce monologue. Philippe Calvario avait été l’assistant de Chéreau. Ca a été très difficile de faire vivre ce spectacle. Elle revoit Cavalrio qui, à la première lecture, dit : « Mais je ne sais pas comment on monte ça. »




Molière 2008 pour La Vie devant soi.
Mise en scène : Didier Lange
Ca n’a pas été évident non plus pour le monter. Ils ont attendu deux ans car les théâtres n’en voulaient pas. Ce spectacle faisait peur. Au démarrage, Mohamed est petit. Ca voulait dire qu’au théâtre vous avez trois enfants qui vont se relayer. Il y en a un meilleur que les autres et vous ne savez jamais lequel vous allez avoir le soir de la représentation.  Myriam a travaillé plusieurs fois avec Didier Lange. Ils en ont discuté et ils ont pris un acteur âgé de dix-sept ans qui a été exceptionnel, Aymen Saïdi. Ils n’en avaient rien à faire qu’il n’ait pas l’âge du rôle. Au théâtre, c’est ce qui est merveilleux. On leur disait : « Simone Signoret était tellement bonne dans Madame Rosa. » C’est important d’entendre cette époque à Belleville. Cette femme qui a été dans les camps, qui a été prostituée,  a élevé des enfants de toutes les religions, tout en les respectant. Ce personnage lui tenait profondément à cœur. Dans toute sa carrière, ça part de l’humain et elle n’a pas envie de faire un numéro de comédienne.
Ensuite ils ont fait deux tournées dans toute la France. Ce personnage l’a accompagnée longtemps. Si bien qu’elle l’a monté pour Arte après. « C’est plus que du théâtre. Vous trimballez quelque chose qui a du sens à partager» dit-elle.

Elle a accepté toutes les récompenses : Légion d’Honneur, Officier du Mérite, etc. Elle aime toutes les récompenses : les Molière, les nominations, les Prix de la Critique (en 1987 sur le Retour au désert), le prix de l’Espoir pour Combat de nègres, etc.


C – Le cinéma

« Il pleut toujours où c’est mouillé ».

J-D Simon – 1973


En pleine campagne électorale, je joue le rôle d’une fermière qui jette son lait et est embarquée. Son mari n’apprécie pas du tout.  La télévision vient la voir et elle leur dit « moi, je suis heureuse. J’ai mes enfants. Mais j’aimerais bien que l’on puisse vivre de notre travail » (« c’est marrant car c’est vraiment d’aujourd’hui », dit Myriam). Son mari en regardant le reportage à la télévision lui dit : « T’avais besoin de raconter ça ? »  Elle vient de dire qu’elle est heureuse et il lui file une baffe ! (Rires dans la salle…) Le film a été sélectionné à Cannes. C’est l’année où Pompidou est mort. Comme c’était en pleine élection, ils n’ont pas pris le film.  

A la place, ils sont allés à Cannes à la quinzaine des réalisateurs. C’était un film très engagé. Après le film, on disait qu’il ne restait plus que trois personnes au Parti Communiste : Jean, Daniel et Simon. (Rires dans l’assistance).


Festival de Cannes, 1975.


Elle est à Cannes pour deux films. A la quinzaine avec «Le vieux pays où Rimbaud est mort » de J-P Lefebvre, le Godart canadien. L’autre film était « La communion solennelle » de René Féret, autre grand artiste et réalisateur. Il ne fallait surtout pas faire des « films commerciaux » comme on disait. « Je suis une des rares à faire le grand écart entre le subventionné et le privé » dit-elle. Et avec des familles différentes car en général, "si vous travaillez avec untel, vous ne travaillez pas avec un autre". Quand elle faisait du théâtre à Lyon, il y avait un café. Le TNP, les  Célestins, Maréchal avaient leur table. Si un acteur parlait à une autre table, il était foutu. Quand elle a fait le film (jugé commercial) « L’événement le plus important depuis que l’homme a marché sur la lune », elle a été mal vue.



« Jonas qui aura 25 ans en l’an 2 000 ». Alain Tanner - 1976

Il y avait toute sa bande : Jean Denis, etc. C’est un très beau film. Il marque une époque.
C’est un cinéma d’auteur.

L’Hôtel de la plage
1977
Il vient après « A nous les petites anglaises » et de ce film est partie la bande Du Splendide avec les Bronzés. Quand elle le regarde, ce sont les vacances pour elle. Elle a beaucoup ri. L’ambiance de vacances était vraiment sympa avec des comédiens supers qui formaient une très belle bande.

« Série Noire »
1979
de Alain Corneau, avec Patrick Dewaere
Patrick n’était pas dans le personnage. Ce n’est pas vrai. "Je n’ai jamais eu peur d’être étranglée pendant qu’on tournait.  Ce que je suis dans un film, c’est ce que j’apporte au personnage. Autrement avec tous les dingos que j’ai fait, je serais malade. » (Rires dans la salle)
C’est le plus grand film et ils tous partis en plus. Marie Trintignant n’est plus là, Patrick et d’autres non plus. A la sortie du festival de Cannes, ça a été la première déception. Patrick et Alain pensaient avoir un prix. Ils ont tous été nommés. Myriam a été nommée dans le second rôle. Après la cérémonie, ils se sont retrouvés à quatre aux Bains Douches, établissement qu’ils avaient réservé. Ce n’était pas juste. Ce film ne vieillit pas. Il est devenu culte. C’est extraordinaire.

« Le village sur la colline »
1981

D- La productrice

Après avoir été comédienne de films populaires et de films d’auteur, après avoir été actrice du théâtre privé et subventionné, elle devient productrice.

« La dame de Paimpol »
de John Berry, 1985

Ca a été de la folie pure. Cela faisait dix ans qu’elle vivait avec John Berry. Ils ont beaucoup vécu aux Etats-Unis. Il avait fait un film « Claudine » qu’elle adorait. C’est l’histoire d’une femme noire à Harlem qui vivait avec un éboueur. Ce film est extraordinaire et très beau. Myriam rêvait de tourner avec John Berry sur le genre de femme comme Claudine. Elle s’est dit : « Si je ne monte pas au charbon, si je ne monte pas une boîte de production, je ne travaillerai jamais avec lui. » Elle a décidé de devenir productrice et de monter la boîte. « John croyait que j’avais de l’argent et que je pouvais en donner au metteur en scène pour qu’il puisse tourner la scène comme il le souhaitait. » C’est la pire casquette que vous pouvez porter sur un film. C’est un métier épouvantable, mais en même temps (NDLR, cette expression est à la mode…) vous pouvez réaliser vos rêves. Mais vous le payez très cher. Elle est allée chercher l’argent. Elle a trouvé France 3, une avance sur recettes, mais elle n’avait pas assez, comme à chaque fois qu’elle a fait un film. Il y avait assez pour enclencher le film.  Mais à la fin, ce sont des dettes qui s’accumulent. Pourtant, le film est là et elle en était très contente.
Dans les années 1970, c’était plus facile de raconter des histoires d’ouvriers. Dans les années 1980, c’est devenu plus compliqué de parler du social.

« La mère Christain »
1998
Elle a eu envie de faire ce film pour raconter ce qu’elle faisait à ses débuts.
Tout est vrai dedans. C’est tout ce qu’elle a vécu. Mais elle a changé les lieux. La Berthe (sa maman) n’a jamais tenu un bistrot. Elle a reconstitué l’ambiance avec la radio, le mystère. Son père fréquentait cet endroit. Il y avait les prostituées du coin, les mariniers qui vivaient dans les péniches devant. Elle a parlé au plus d’une réalité. La mémoire est là et il n’y a plus que l’odeur qui manque. Elle tient particulièrement à ce film. Elle a remonté une maison de production pour pouvoir faire ce film, après les dettes, et après avoir vendu son appartement quand elle s’est retrouvée sur la paille. Cela fait vingt ans qu’elle a cette maison de production. Elle s’en sert pour prendre des droits d’auteurs (comme Simenon pour Le Chat).
Elle a pris comme acteur un grand copain de son frère Serge qui ressemblait beaucoup à Brassens. L’idée de la mort remonte à son enfance. La petite fille du charbonnier était tombée dans un trou. Elle a toujours en tête cette image de la petite fille morte. La mère Christain se pose des questions, mais ce sont des questions de petite fille.

E – La télévision
A la télévision, aux Buttes-Chaumont, elle a commencé à travailler avec « Les cinq dernières minutes ». Dans un endroit qui se situait au deuxième supérieur et que l’on appelait « le couloir de la honte », les acteurs faisaient le tour des assistants des metteurs en scène (Lorenzi, etc). Ils étaient payés à la ligne. Il n’y avait pas de casting, pas d’agent. Ils faisaient la queue devant les bureaux. Elle a commencé avec une ligne, puis deux lignes. Elle a eu des rôles de plus en plus importants, en ayant commencé par la petite porte. Elle a fait ses plus beaux rôles à la télévision dans les années 1970.

La rencontre avec John Berry.
De retour à Paris, en 1975, après un tournage à Hambourg, elle  invitée à une projection d’un film de Denis Berry avec Jean Seberg. Elle est assise à côté d’un homme qui a un accent américain qui la fait fondre. Elle le retrouve chez Castel, endroit qu’elle fréquente pour la première fois de sa vie. Elle rencontre John Berry. Il rentrait aux Etats-Unis et il lui dit qu’il reviendra la voir. Ils ne se sont pas quittés pendant des années. Elle a vécu entre les Etats-Unis et la France avec les visas de fiancée. John avait eu des problèmes avec le Maccarthysme. Il en avait été une victime. C’était très compliqué de retourner aux Etats-Unis. Il a fait des comédies musicales à San Francisco, un film avec Tony Curtis sur le monde du sport (six mois de tournage au Japon et six mois à Los Angeles). Elle a vécu des choses extraordinaires. La « petite nana de Belleville » a vécu avec lui à Hollywood, dans les lieux où avaient vécu Marilyn et Simone Signoret. Il lui a fait rencontrer Tony Curtis, Burt Lancaster, Kirk Douglas, les plus grands écrivains des années 1950. Elle n’a pas mis les pieds par terre pendant pas mal d’années. Quand elle a eu son fils Arny, ils sont venus plus en France. A 65 ans, John avait décidé d’avoir un enfant pour qu’il ait une trace de leur amour. C’était une vie exceptionnelle. Tous ses amis étaient du même quartier quand ils étaient gamins. Avec Orson Welles, à l’âge de dix-sept ans, ils avaient créé le Mercury théâtre. Elle a vécu dan un monde d’artistes brillants.

Jean Seberg*, mariée avec le fils de John, vivait sur le même pallier que  Romain Gary. Au milieu, se trouvait le fils de Jean et de Romain, avec une gouvernante. Cette période était très étonnante. Romain Gary prenait les petits déjeuners avec John au café du coin de la rue du Bac. Les conversations étaient très riches.
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The bad new bears go to Japan (1978):


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Burt Lancaster, Ava Gardner

 “THE KILLERS” - « LES TUEURS »

(1946)

Dir. Robert Siodmak.

Burt Lancaster et Ava Gardner ont atteint la célébrité grâce à leur performance dans "Les Tueurs" (1946), un film noir réalisé par Robert Siodmak, marquant leurs débuts au cinéma. (Wikipedia).

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Les amants terribles : Jean Seberg et Romain Gary


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 Jean Seberg.

Jean Dorothy Seberg [ d͡ʒin sebɛʁg], née le 13 novembre 1938 à Marshalltown dans l'Iowa et morte le 30 août 1979 à Paris, est une actrice américaine qui passa une partie importante de sa carrière en France.  (Wikipédia).

Jean Seberg naît dans l'Etat de l'Iowa en 1938 dans une famille luthérienne à l'éducation stricte. (Radio France).

Comment s'est suicidé Jean Seberg ?

Le 8 septembre 1979, à 40 ans, Jean Seberg est retrouvée morte sur le plancher de sa voiture, à Paris, avec huit grammes d'alcool dans le sang. (Paris-Match).

Mort de Jean Seberg : le dernier souffle de l'actrice qui gênait.

"L'Heure du Crime" revient sur la mort mystérieuse de Jean Seberg, en 1979. À l'époque, l'affaire est classée en suicide, mais la police et la justice restent dans le doute. Pourquoi autant d'incohérences dans ce décès qui a tout d'une mise en scène ?

(…) "Il y a là quelque chose de très malsain dans leur couple et qui laisse supposer, seulement un an plus tard, que Hasni pourrait peut-être être lié à la mort de Jean Seberg", atteste Emmanuel Pierrat, avocat et auteur, dans l'Heure du crime.

(RTL).

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“Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres.”

Romain Gary

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 « Il est moins grave de perdre que de se perdre. »

Romain Gary

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Myriam Boyer au festival d’Avignon 2019.
Elle produira une pièce de théâtre.





Avignon - Hôtel Berton De Crillon


L'hôtel a été construit à partir de 1648 pour Louis III de Berton (1608-1695), baron de Crillon, seigneur de Saint-Jean-de-Vassols, colonel général de l'artillerie pontificale.

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Des pas et des voix - Festival d'Avignon

La superbe Compagnie toulousaine - Les Voix de la Métamorphose présente une nouvelle fois son spectacle engagé et féministe, "Des pas et des voix", écrit et mis en scène par Alyssa Ahrabare

RDV le 20 juillet à 11h30 au Théâtre de la porte Saint Michel à Avignon

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« L’actrice américaine Jean Seberg , dont la vie est portée à l’écran dans un biopic, a vu sa carrière détruite par une campagne de harcèlement et de dénigrement public des autorités fédérales, pour avoir soutenu et financé les Black Panthers. »


L’Humanité


08 20

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Romain Gary et l'humour 
"L'humour c'est l'arme blanche des hommes (et des femmes, NDLR) désarmé-e-s;
c'est une déclaration de dignité, de supériorité de l'humain sur ce qui lui arrive".
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Niels Arestrup, homme violent avec les actrices.

Isabelle Adjani : giflée

Myriam Boyer et ses indemnités de licenciement.

L'incident provoque un scandale, Adjani se retire du rôle, tandis qu'Arestrup nie être violent malgré d'autres accusations. (Closer).

Selon la version d'Isabelle AdjaniNiels Arestrup lui aurait porté un coup violent au visage, la poussant à quitter précipitamment le théâtre. (Yahoo).

Niels Arestrup est aussi connu pour avoir commis des violences contre des comédiennes. En 1983, Isabelle Adjani renonce à son rôle. (France info).

En 1996, il avait aussi une altercation violente avec Myriam Boyer lors d'une représentation de Qui a peur de Virginia Woolf ?. Licenciée. (La Nouvelle république).

"J'ai découvert, avec Niels Arestrup, ce qu'était la perversité. Après des accès de violence, il a fait en sorte que je sois renvoyée. » (Pure people).

Elle décrit dans son livre la violence verbale et physique, le licenciement abusif après 54 représentations à succès, son remplacement au pied levé. (Le petit bulletin).

12 24

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NDLR : taper une actrice volontairement n’est pas un « incident » !

Niels Arestrup violent avec les actrices

Miou Miou : Tympan crevé

Maria Schneider : Coccyx cassé.

Le tournage du film La Dérobade, sorti en 1979, fut émaillé d'incidents impliquant l'acteur : Maria Schneider se fracture le coccyxMiou-Miou a le tympan percé à la suite d'une gifle assénée trop vivement lors d'une prise. (Wikipédia).

Sa carrière a été émaillée d'incidents, l'acteur se montrant à plusieurs reprises violent avec des comédiennes sur des tournages. (La nouvelle république).

De plus, "il a cassé le coccyx de Maria Schneider", le même jour ! (Melty).

Adjani : "J'ai connu ça au théâtre, un acteur avec une vraie violence physique. ... Arestrup se défend, quant à lui, d'être un homme violent. " (Télé star).

Maria Schneider a quant à elle subi une fracture du coccyx le même jour. Malgré ces faits, Niels Arestrup a exprimé son dégoût pour la violence. (Délit d’opinion).

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dimanche 31 décembre 2017

Diaporama - Le cinéma de Brigitte - Les femmes ayant reçu une palme d'or - Varda


Vous y verrez Danielle Darrieux, Mel Brooks, Anita Ekberg*, Rayponce, Sylvester Stallone, Jerry Lewis, Brigitte Bardot, Bridget Jones*, Jane Fonda, Brigitte Roüan, Ben-Hur, James Bond** et Docteur No, le corniaud, Mireille Darc et pour finir Superman***.

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Anita Ekberg avec un arc et une flèche face aux paparrazi.

1960

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Anita Ekberg, actrice et sex-symbole

On se souvient d'elle à jamais, sublime et sensuelle, en 1960, dans la fontaine de Trevi à Rome, dans les bras de Marcello Mastroianni.

Elle était vêtue d'une robe du soir noire, en bustier. Mastroianni était subjugué par sa beauté. On la surnomme alors la «bombe suédoise ».

Les photos du couple dans la fontaine feront le tour du monde.

C’était dans le film « La Dolce Vita » de Federico Fellini.

 



Anita Ekberg est morte le 11 janvier 2015, à l’âge de 83 ans, dans les environs de Rome, en Italie.

Elle est née à Malmö, en 1931. Elle était la sixième enfant sur huit. Son père était docker.

Elle est élue miss Suède en 1950. Elle ne parvient pas être élue miss Univers, mais obtient un contrat chez « Universal ».

Elle tournera aussi avec John Wayne.

Dans les années 1970, sa carrière ralentit. Elle ne sera la star que d’un seul film, mais sera aussi célèbre que Brigitte Bardot ou que Marilyn Monroe.

Elle se mariera deux fois. Elle terminera sa vie seule et dans la précarité, ruinée.

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Superman
Puces de Saint-Ouen

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Superman aux toilettes 
Honfleur 

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"Wonderwoman n'est pas un personnage, c'est un état d'esprit."

Brühl 

Par Feeairy

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Le journal de Bridget Jones
Bridget Jones's diary
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James Bond - Agent 007 - Sean Connery.
Casino Royale 
Fécamp

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Campagne de la CGT dénonçant les inégalités femmes-hommes dans le monde de la culture.

1
C'est le nombre de femmes à avoir obtenu une palme d'or au festival de Cannes.


Agnès Varda (2015)


Figure emblématique du courant cinématographique de la Nouvelle Vague en France, Varda (1928-) est la première réalisatrice à avoir été récompensée de la Palme d'honneur, en mai 2015. Elle est à l'origine d'une nouvelle tendance dans le monde des arts grâce à son travail sur les enjeux sociaux et les sujets féministes, et grâce à ses méthodes de réalisation de films peu conventionnelles.




Varda par Agnès
"Voilà, tout est simple, on part d'une petite rêverie et ça devient une oeuvre."
2019
"L'Humanité" du 29 mars 2019 (Michèle Levieux).

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                                                               Cannes - Hôtel Carlton


                                                              Cannes - Hôtel JW Grill



                                                                   Cannes - Hôtel Martinez

Harcèlement sexuel et parité : le Festival de Cannes veut tirer les leçons de l'affaire Weinstein.

(…) Mais si le jury 2018 est majoritairement féminin -cinq femmes et quatre hommes-, on ne trouve en revanche que 3 réalisatrices parmi les prétendants à la Palme d’or. Rappelons qu'une seule à ce jour l'a remportée, la Néo-Zélandaise Jane Campion avec "La leçon de piano" en 1993.

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Le pot d’or

James Stephens

Edition Terre de Brume – traduction 1997


L’action se passe en Irlande.


Page 31 :

« Une pensée est un être réel, dont les mots ne sont que les vêtements. »

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Mon corps, mes choix.
A l'occasion de la re-sortie du film “L'une chante l'autre pas”, d'Agnès Varda, Marie Claire livre son ode à la liberté des femmes à disposer de leur corps.
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« Nous devons continuer le combat.
Nous pensions dans les années  1960 que les choses changeraient rapidement.
Mais clairement, ça n’a pas été le cas. »
Agnès Varda.
Le féminisme devrait être enseigné dans les écoles, dit la légende du film d’Agnès Varda « L’une chante, l’autre pas. »
Women in motion : leçon de féminisme avec Agnès Varda.

(…) Réalisé en 1976, L'une chante, l'autre pas raconte l'amitié entre Pauline et Suzanne, deux femmes que tout oppose mais qui partagent la même aspiration : revendiquer leurs droits.
(…) L'une chante, l'autre pas en salle dès le 4 juillet dans sa version restaurée.
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Elsa la rose (1966) AGNÈS VARDA.

L'histoire d'amour de Louis Aragon et Elsa Triolet.


Elsa la rose (1966) AGNÈS VARDA from user28664911 on Vimeo.


Sandrine Bonnaire dans le café de Boulbon
Sans toit ni loi
Agnès Varda
1985

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"Agnès Varda féministe "
PCF

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Agnès Varda 
Arles
Marian Adreani 
07 19


Jean Vilar par Agnés Varda
Maison J Vilar
Avignon
A Midi le Juste, la maison de Sète
1957




Le Palais des Papes à Avignon
On voit à gauche l’emplacement de la première mairie d’Avignon. De l’autre côté de la roche, c’est l’arrière du Palais des Papes.
Le Palais des papes d'Avignon est la plus grande des constructions gothiques du Moyen Âge. À la fois forteresse et palais, la résidence pontificale fut pendant le XIVᵉ siècle le siège de la chrétienté d'Occident.

Musique gratuite sur Musopen – Bartók 2 Romanian Folk Dances, Op. 8a dance 1

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« Black Panthers » d’Agnès Varda à voir gratuitement.


Ce documentaire est proposé via le programme Mk2 Curiosity de Mk2 et TROISCOULEURS.


1968. Alors que la contestation étudiante bouleverse la France, Agnès Varda filme de son côté un autre mouvement, cette fois-ci de l’autre côté de l’Atlantique. Présente aux Etats-Unis depuis 1967 pour présenter dans un festival son film Les Créatures, Agnès Varda rencontre, grâce au producteur Tom Luddy, des leaders du Black Panther Party dans une période particulière. Huey Newton, le cofondateur du mouvement avec Bobby Seale, est en procès pour homicide involontaire et de nombreuses manifestations le soutenant sont organisées à Oakland.

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1977
L'une chante, l'autre pas est un film réalisé par Agnès Varda avec Thérèse Liotard, Valérie Mairesse.
Synopsis : Deux jeunes femmes vivent à Paris en 1962.
 Film musical sur l'amitié entre deux femmes sur fond de luttes pour la libération de la femme.
Pauline, une jeune femme de 17 ans, chante dans une chorale et caresse secrètement l'espoir de devenir chanteuse yé-yé. 
Agnès Varda présente un film sur le féminisme et non  un film féministe.

« On ne naît pas femme, on le devient. » Simone de Beauvoir.       


Agnès Varda

« L'une chante, l'autre pas »

1977

Deux amies vivent à Paris en 1962 : Pauline, étudiante, rêve de quitter sa famille pour devenir chanteuse alors que Suzanne s'occupe de ses deux enfants. Chacune vit son combat de femme. Pauline devient chanteuse et Suzanne sort de sa misère. (Allo ciné).

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Bande-annonce du film L'UNE CHANTE, L'AUTRE PAS réalisé par Agnès Varda

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Le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC), anciennement appelé Centre national de la cinématographie jusqu'en juillet 2009, est un établissement public à caractère administratif français, doté de la personnalité juridique et de l'autonomie financière, qui a été créé par la loi du 

Dominique Boutonnat en assure la présidence depuis le 24 juillet 2019.
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Tag 
Paris 
Varda

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Cinéma 
CNC 
Boutonnat 
7500 euros de don pour la campagne de Macron = deux agressions sexuelles dont une sur son filleul et Boutonnat est toujours président du CNC.

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Cinéma 
CNC 
Boutonnat 
Les contradictions du personnage: 
il lance des formations contre les  violences sexuelles en 2020, alors qu'il en est un acteur vivant....

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10 films du festival de Cannes gratuits et DISPONIBLES JUSQU'AU 22 JUILLET, 17H.



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Jane Campion.
Prix Lumière 2021. 

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Hommage à  Jane Campion. 
Par Alice Rohrwacher.
Prix Lumière. 
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Agnès Varda, née un 30 mai. Pionnière de la Nouvelle Vague, expérimentatrice du 7ème art et féministe engagée qui a marqué l'histoire du cinéma français et international avec plus de 50 films, courts, long, fictions, documentaires où s’entremêlent fiction et réalité.

Carlotta films.

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Cinéma 
Agnès Varda - Rétrospective.
Théâtre National de Bretagne en octobre 2018. 
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Cinéma 
Agnès Varda - Rétrospective.
Théâtre National de Bretagne en octobre 2018. 
 
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Les humains volant.es – Superman et Wonderwoman.

Il y a des hommes : Superman, Spiderman, etc.

Les femmes s’appellent Wonderwoman.

Les poings sont souvent levés.

Parfois, le héros se repose allongé.

Iels sont debout, avant de s’envoler.

D’autres grimpent sur les murs.

J’ai glissé des dessins faits pendant mon enfance.

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Super héros

The Boys

D Trump bodybuilder

THE BOYS SE MOQUE DE DONALD TRUMP VERSION SUPER-HÉROS, ET C'EST HILARANT.

Pour 99 dollars, les fans de Donald Trump vont pouvoir faire l'acquisition d'une carte NFT à l'effigie de leur idole politique. Pour ceux qui ne s'en souviendrait pas, un NFT désigne une propriété numérique "signée", ce qui en fait une oeuvre comme authentique et unique, différentiable de ses copies. (Hitek).

L'ancien président américain Donald Trump se présente comme le « super-héros » dont l'Amérique a besoin, mais une telle proclamation ne passe pas inaperçue. (Jolie bobine).

Trump a lancé une collection de cartes à collectionner à son effigie. Dans l'une d'entre elles, il est notamment mis en scène dans la tenue d’un super-héros. (Tomsguide).

Une pluie d'incitations au passage à l'acte qui rappelle la soif d'autodéfense des milices armées américaines et les mots de Donald Trump. (Telerama).

Antagoniste de The Boys, série télévisée américaine développée par Eric Kripke, diffusée sur Amazon Prime et adaptée de la bande dessinée du même nom de Garth Ennis et Darick Robertson, Homelander est une reprise satirique assumée de Superman, le surhomme par excellence. (L’Humanité).

Discussions autour de la série d'Amazon The Boys, satire se moquant de la politique, des super-héros et de la célébrité. (Allo ciné).

On peut interpréter son personnage comme une caricature de l'image de Trump et de l'extrême droite américaine en général. (Warlock studio).

Ils se foutent de l'extrême droite ou de Trump : the boys devient woke. (Jeux vidéos).

La série satirique The Boys est connue pour parodier l'univers des super-héros. (Télé Loisirs).

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Cinéma 

Agnès Varda à la cinémathèque française 

Collectif 50 50

10 23


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Agnès Varda à l'honneur sur Google

Google rend hommage à Agnès Varda [#Doodle]. Ce Doodle met à l'honneur Agnès Varda, une cinéaste, photographe et plasticienne franco-belge.

Agnès Varda est à l’honneur aujourd’hui sur Google. Le moteur de recherche arbore un dessin illustrant la réalisatrice se regardant en miroir et c’est la fameuse coupe de cheveux que la pionnière de la Nouvelle Vague qui remplace les « O » de Google. (Un simple clic).

Google rend hommage ce 13 décembre à Agnès Varda, pionnière influente du cinéma moderne. (Tout sur Google).

Le logo de Google épouse les formes rondes de la fameuse coupe au bol blanc et rouge d'Agnès Varda ce mercredi 13 décembre 2023. (L’avenir).

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