Viol
Ary
Abittan protégé par l'extrême droite
Viols
instrumentalisés à des fins racistes
Culture
du viol.
L'extrême
droite s'oppose à l'intégration du non-consentement
dans la définition pénale du viol et instrumentalise les
violences faites aux femmes pour des discours xénophobes,
selon Lucie Daniel.
L'extrême
droite s'oppose à l'intégration du non-consentement dans la définition pénale
du viol. Le Rassemblement national a dénoncé cette réforme comme une « dérive
morale et juridique sans précédent ». Seuls les élus d'extrême droite ont voté
contre la proposition de loi à l'Assemblée nationale, qui a été adoptée par 155
voix contre 31.
L'extrême
droite européenne instrumentalise les violences faites aux femmes pour
justifier un discours xénophobe. Elle met en avant une corrélation supposée
entre immigration et violences sexuelles, en amplifiant les statistiques
concernant les étrangers. Par exemple, en septembre 2024, l'extrême droite a
exploité le cas de Philippine Le Noir de Carlan pour dénoncer les violences
subies par cette jeune femme, tout en ignorant les autres féminicides.
La
culture du viol est également liée à des préjugés racistes, comme le montre
l'instrumentalisation des viols par l'extrême droite. (Qwant).
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Viol
Michel
Didym
Metteur
en scène
Novembre
2020
20
femmes se plaignent.
Sexisme
à viol
Le
metteur en scène et ancien directeur du Centre dramatique national La
Manufacture à Nancy, Michel Didym, a été mis en examen pour viol le 27 novembre
2025. Cette décision fait suite à une plainte déposée en novembre 2020 par une
femme, identifiée sous le prénom d'emprunt Alice, qui accusait Didym de l'avoir
violée en 2012 lorsqu'elle était une élève comédienne de 20 ans.
Plusieurs
femmes ont témoigné avoir subi du harcèlement et des violences sexuelles de la
part de Michel Didym, contribuant au mouvement #MeTooThéâtre. En novembre 2021,
Didym avait quitté la direction du festival de théâtre contemporain La Manufacture.
L'enquête
préliminaire pour violences sexuelles avait été ouverte fin septembre 2020. Le
metteur en scène avait été laissé libre à l'issue de sa garde à vue. L'affaire
a été largement médiatisée, notamment par le journal Libération, qui en a fait
un dossier emblématique de la lutte contre le sexisme et les violences faites
aux femmes dans le monde du théâtre. (Qwant).
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Viols
Fières
d'être connes
J.
Godrèche
Camélia
Jordana
Protestations
contre Ary Abittan
Spectacle
NousToutes.
Judith
Godrèche et Camélia Jordana se déclarent fières
d'être des "sales connes" en soutien aux militantes de #NousToutes,
qui ont protesté contre Ary Abittan lors de son spectacle,
accusé de viol en 2021.
Plusieurs
personnalités, dont Judith Godrèche, Charlotte Gaccio, Sidonie Bonnec, Rachida
Brakni, et Camélia Jordana, ont exprimé leur soutien aux militantes en se
déclarant fières d'être des « sales connes ». Judith Godrèche a notamment écrit
sur Instagram : « Moi aussi je suis une sale conne. Et je soutiens tous.tes les
autres ».
Des
internautes ont également partagé des statistiques sur les violences sexuelles
en France, comme le fait que 86 % des plaintes sont classées sans suite et que
seulement 6 % des violeurs sont condamnés par la justice.
Les
militantes du collectif #NousToutes protestent régulièrement contre les
spectacles d'Ary Abittan, accusé de viol en 2021. (Qwant).
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Sales
connes
« Camille
ont te croit
Merci
les sales connes
Abittan
violeur
Brigitte
complice ».
Au
Lilas, Paris.
Brigitte
Macron a qualifié de sales connes des militantes féministes du
collectif #NousToutes qui ont interrompu un spectacle d'Ary
Abittan, accusé de viol en 2021, suscitant une vive polémique. (Qwant).
Elle
a déclaré : « S'il y a des sales connes, on va les foutre dehors. Surtout des
bandits masqués. »
Cette
polémique met en lumière les tensions entre le mouvement féministe et certaines
figures publiques, ainsi que les débats sur la liberté d'expression et le
respect des militants. (Qwant).
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