Gisèle Pelicot
Légion d'honneur mais budget en baisse pour lutter contre les VSS.
Légion d'honneur pour Gisèle Pelicot : "Je crains que les décorations nous dédouanent de véritables actions", redoute l'avocate féministe Michelle Dayan.
L'avocate spécialisée et présidente de l'association "Lawyers for women" voit cette décoration comme "un symbole" qui ne doit pas écarter la question des moyens pour "lutter efficacement contre les violences faites aux femmes". (France info).
07 25
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Meta supprime "Mia Moglie", un groupe
Facebook dans lequel 32.000 hommes partageaient des photos de leurs propres
femmes à leur insu.
L’entreprise Meta a supprimé cette semaine le groupe
Facebook "Mia Moglie", "Ma Femme" en italien, qui comptait
32.000 membres partageant des photos suggestives de leurs propres femmes (la
plupart du temps) sans leur demander leur consentement. C’est une militante
féministe qui a donné l’alerte, déclenchant une vague d’indignation et un
déluge de signalements ayant abouti à la fermeture du groupe.
(…) "Gisèle Pelicot n’est pas une
anomalie dans le système", écrit sur
Instagram Carolina Capria, dont la publication a permis l’éclatement du scandale. "Un homme qui est convaincu de
pouvoir disposer de sa femme, pour qui la sexualité est étroitement liée à la
domination, c’est ça, le système. Parce que c’est ainsi que nous éduquons les
hommes. À se reconnaître dans une masculinité qui conquiert, s’empare,
occupe", conclut-elle.
08 25
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"Quand on a plus chaud, on ressent davantage
d'irritabilité" : la canicule favorise les violences conjugales.
Les périodes de canicules sont mauvaises pour l'être
humain. Pas seulement pour sa santé physique, mais aussi mentale. Selon un
rapport publié par les Nations Unies, les fortes chaleurs favorisent les
violences faites aux femmes. On remarque en particulier une hausse du nombre de
violences domestiques.
(…) Les hôpitaux constatent ainsi une
hausse des urgences psychiatriques en période estivale, alors même que le
personnel est réduit. C'est pourquoi le service psychiatrique de l'hôpital
universitaire de Bruxelles fait le plus possible de prévention. Par exemple,
même si ce n'est pas quelque chose que ce service avait l'habitude de faire,
les médecins doivent désormais "éventuellement associer et modifier les posologies des médicaments
en fonction de la température ambiante".
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