Lucie Castets est proposée comme première ministre par le NFP. A quand le "président de la république démissionnaire" comme ses ministres ? Aux USA et en France : "T'as les moyens. T'auras tout. T'as pas les moyens? T'auras rien." "Tu veux mourir de mort violente? Tu te fais contrôler par la police." Le sexe n'est pas un "travail". Soutien aux Palestiniens et aux Palestiniennes, aux Libanais, Libanaises. 542 534 vues.
mercredi 26 août 2015
Peinture - Albert Gleizes - Maternité - Gaudi - Apollinaire - Marie Laurencin
Rouen
Albert
Gleizes
1881
– 1953
Ecuyère
vers 1920-1923
Huile
sur toile
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Albert Gleizes
Paris, 1881- Saint Rémy de
Provence, 1953.
Il était peintre, graveur,
illustrateur, auteur et a laissé une œuvre originale. Son apprentissage
commence auprès de son père, dessinateur technique. Il se lie avec Le
Fauconnier, Metzinger et Delaunay.
Il participe à la consécration du
mouvement cubiste au Salon des Indépendants de 1911.
Démobilisé en 1915, il se rend
aux Etats-Unis, à Barcelone, aux Bermudes. Il oscille entre les influences de
Picabia, de Duchamp.
Préoccupé par les questions
sociales et intellectuelles, il fonde en
1927 une communauté d’artistes artisans à Moly Sabata dans l’Isère.
La décoration murale constituera
une part importante de son travail qu’il expose en 1937 aux côtés de Sauvage et
de Léger.
En 1939, il s’installe
définitivement à Saint-Rémy-de-Provence. Il vit au mas des "Méjades" avec Juliette Roche, et ses deux chiens, Wisky et Tabou.
Il écrit « Du Cubisme »
en 1912. Il illustrera « Les Pensées de Pascal » en 1950.
Ses œuvres sont présentées dans
les plus grands musées du monde et dans les collections les plus importantes.
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Le parc Güell est situé en hauteur, un peu au-dessus de Barcelone. Il domine la ville.
La Casa Batlló est un édifice moderniste conçu par l'architecte Antoni Gaudí, chef de file de ce mouvement, de 1904 à 1906. Elle est située dans l'Illa de la Discòrdia, au 43 Passeig de Gràcia à Barcelone.
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Sagrada Familia by Antoni Gaudí, Barcelona.
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Barcelone
Glories
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Albert Gleizes (Paris, 1881 – Avignon, 1953)
Maternité glorieuse, 1935
Huile sur toile
Dans ce tableau qui réactualise l’iconographie
chrétienne de la Vierge et de l’Enfant, Gleizes enveloppe les aplats centraux
bleus, verts et rouges d’un réseau de cercles concentriques où l’on retrouve
les couleurs modifiées de l’accord central. Il s’agit pour Gleizes d’un rapport
d’ordre entre couleur et lumière, dont il trouve le modèle dans le motif de l’ »Arc-en-ciel »,
hérité de la peinture romane, qui va prendre de plus en plus d’importance dans
son œuvre.
Cette peinture qui a été publiée
en 1936 dans la revue Abstraction-Création
a valeur de manifeste : l’art sacré peut faire bon ménage avec le langage
de l’abstraction, tel qu’il se formalise dans ces années 1930.
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Albert
Gleizes
Paris,
1881 – Avignon, 1953
Composition
à sept éléments, 1943
Huile
sur toile
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Albert
Gleizes
Paris,
1881 – Avignon, 1953
Composition
à trois éléments, 1923
Huile
sur toile
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Albert
Gleizes
1881,
Paris – 1952, Avignon
L’Ecolier
1924
Gouache
et tempera sur toile
Il
expose au Salon d’Automne de 1904, dans un style impressionniste tardif. Puis
il se lie avec Le Fauconnier, Metzinger, Robert Delaunay, Fernand Léger et
Marie Laurencin. Ils exposent dans la salle 41 du Salon des Indépendants de
1911, suscitant l’appellation péjorative de « cubisme », aussitôt
récupérée par Apollinaire*. En 1912, Gleizes se rapproche des frères Duchamp et
participe aux réunions de la Section d’Or à Puteaux. Gleizes est mobilisé puis
gagne New York où il participe à l’Armory Show en 1913. Revenu à Paris en 1919,
il développe ses idées de façon rigoureuse à l’attention de ses premiers
élèves. Il obéit aux principes de « translation » et de « rotation ».
Musée
Cantini
Marseille
*
« Tu
me répéteras je t’aime
Ainsi
vont les jours et les nuits
Amour
bleu comme est le cœur même
Guillaume
Apollinaire
Nuit
douce
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J
Jean Cocteau
1889 - 1963
Guillaume Apollinaire
1917
Stylo-feutre noir sur papier
Petit Palais
Paris
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Albert Gleizes
Paris, 1881 - Avignon, 1953
Composition
Huile sur toile
Caen
Musée d'art
A partir de 1912, il devient le premier théoricien du mouvement des cubistes.
Après 1920, il crée des compositions abstraites, dénuées de profondeur.
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Marie Laurencin
Autoportrait
1905
Huile sur panneau.
Deauville
Les Franciscaines
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Marie Laurencin
Jeunes filles dans un jardin
Première moitié du 20e siècle
Huile sur toile.
Deauville
Les Franciscaines
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Marie Laurencin
Paris, 1883 - 1956
Les tulipes jaunes
1950
Huile sur toile
Muma
Le Havre
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Marie
Laurencin
Marie Laurencin, née le 31 octobre 1883 à Paris 10ᵉ et
morte le 8 juin 1956 à Paris 7ᵉ, est une artiste-peintre figurative française,
mais aussi une graveuse et une illustratrice, étroitement associée à la
naissance de l'art moderne et de l'École de Paris.
D'origine modeste (sa mère est couturière et
collectionne Le Journal des Demoiselles).
Jusqu'en 1904, elle se forme à l'Ecole de Sèvres.
Un temps sensible au fauvisme, Marie Laurencin simplifie et
idéalise les formes sous l'influence des peintres cubistes.
Marie Laurencin peint essentiellement des portraits de jeunes
femmes ou des scènes les représentant.
Électron libre de l'École de Paris, Marie Laurencin a multiplié les
expérimentations.
Qui est Marie Laurencin pour Guillaume Apollinaire ?
Marie Laurencin (1883–1956) appartient à
l'histoire de l'École de Paris. Peintre, graveuse, décoratrice, poète ; elle
fut aussi l'amoureuse de Guillaume Apollinaire.
Pourquoi Marie Laurencin a quitté
Apollinaire ?
Sa rupture avec Apollinaire fut pour elle
une manière de s'émanciper, car elle commençait déjà à tomber dans l'ombre de
son amant. En 1909, le Douanier-Rousseau, qui pourtant était leur ami, avait
réalisé le tableau La Muse inspirant le poète, double portrait de Marie
Laurencin et de Guillaume Apollinaire.
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---------art Albert Gleizes
1881, Paris – 1952, Avignon
Pour la contemplation
1942
Huile sur toile
Musée des Beaux-Arts
Valence
Il révèle le cubisme au public. Il crée le scandale. En 1927, il fonde une communauté dans l'Isère à la résidence d'artistes Moly-Sabata, à Sablons.
Complexes et sereines.
Instabilité des fonds colorés.
Dynamique du regard.
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Albert Gleizes
1881 - 1953
Les baigneuses
1912
Huile sur toile
Petit Palais
Paris
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Maternité de dauphins et princesses
Julien
Clément (médecin), est accoucheur après
70 heures du duc de Bourgogne le 6 août 1682, premier petit-fils
tant désiré de Louis XIV, et du duc d'Anjou le 15 février
1710, troisième arrière petit-fils de Louis XIV, et qui lui
succédera en tant que Louis XV. Louis
XIV lui
donne par la suite des lettres de noblesse en août 1711.
L'accoucheur
de Marie-Antoinette pouvait toucher une pension de ;
40
000 livres si c'est un dauphin
10
000 livres si c'est une princesse
Nous
remarquons la différence de traitement entre la naissance d'un
garçon et d'une fille.
Un
médecin d'une petite ville de province avait du mal à atteindre 1
000 à 1 500 livres par an.
Le
XVIIIe siècle a montré la voie en anoblissant les médecins. C'est
le symbole de la réussite et de la consécration officielle du
mérite. Certains médecins cumulent des charges de cour, des
fonctions universitaires et une clientèle dans les milieux
courtisans. Leur fortune a été faite.
Plus
tard, Dubois
en tant que médecin accoucheur, connut une heureuse issue de
l'accouchement dramatique de l’impératrice Marie-Louise en octobre
1810, ce qui lui valut une gratification de 100.000 francs, de
15.000 francs d'honoraires, le tout assorti du titre de baron de
l'Empire,
et d’une
rente de 9.000 francs.
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Stefan Zweig
Lettre d'une inconnue
1922
Pocket – Univers Poche – 2013
Pages 40 et 44
Présentation de sa
vision d'une maternité.
Si le texte est écrit en
1922, on ne sait pas quand est situé le récit de cette lettre. Cela
date peut-être de la fin du XIXe siècle ou du début du XXe siècle.
La maternité est dans
une salle de l'hôpital. Il la décrit comme le dernier lieu à
fréquenter et où se côtoie toute la misère du monde.
Le pauvre, et dans le cas
présent, la pauvre, est une victime. C'est humiliant d'aller
accoucher dans une maternité. Il faut être opprimée, indigente,
exclue, oubliée pour ne pas avoir d'autre choix. Il fait parler son
héroïne avec des expressions qui n'en sont pas moins fortes. « J'ai
du m'y rendre », « je n'avais plus d'argent « ,
« j'y ai échoué ». C'est le désespoir qui amène la
misérable à mettre au monde son enfant dans ce triste endroit où
gisent les prostituées et les malades qui s'expriment avec des râles
affreux.
Elle décrit dans sa
lettre le cynisme des jeunes médecins aux dents longues qui sont
heureux d'avoir sous leurs mains cette manne humaine gratuite, sans
défense et providentielle pour leurs études personnelles. Ils
manipulent les femmes « à la manière d'un rat de
laboratoire ! ». Les infirmières n'en sont pas
meilleures, elles sont jugées comme « cupides ». Il ne
reste d'une personne que son nom inscrit sur une étiquette au bout
de son lit. Il n'y a plus d'humanité.
Pour elle, l'enfer,
depuis cette expérience, est cette salle de maternité où elle a
souffert. C'est le lieu où elle a perdu sa pudeur, c'est
« l'abattoir de la dignité».
Le bonheur, pour elle,
aurait été d'accoucher à la maison, avec un époux qui attende
avec tendresse l'arrivée de ce bébé.
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Fontainebleau Maternité
Fiorentino et Primatice -------------------------------------------
A Fontainebleau
Anne d'Autriche?
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Un célèbre médecin accoucheur et
professeur d’obstétrique à la Maternité de Port-Royal de Paris :
Jean Louis BAUDELOCQUE
(1745-1810) dans ses ouvrages écrit en 1781 et 1787:
« L’art des accouchements » «
Principes sur l’Art des accouchements »
Excellent opérateur, il est
devenu un des pionniers de l'obstétrique qui a permis à l'art des accouchements
de réaliser de très importants progrès.
Il était le médecin accoucheur
des reines d'Espagne, de Hollande, de Naples et de toutes les dames de la cour.
-------------------------------------------- Serena Williams dénonce le défaut de prise en charge médical des complications suite à sa césarienne. Elle libère la parole des femmes noires américaines qui rappellent que la mortalité maternelle est 3 à 4 fois plus élevée chez les afro-descendantes. serena-williams-birth-complications
Rouen
Eugène
Carrière
Gournay-sur-Marne,
1849 – Paris, 1906
Jeune
mère 1879 -----------------------------
p
219 : une césarienne qui tourne mal :
Hélas !
la pauvre Ferramonti ne fut pas longtemps en butte à la jalousie de ses
camarades.
(…)
On fit venir un accoucheur, l’enfant était mal tourné ; on en vint à l’opération
césarienne. Le fils était mort et la mère le suivit de près.
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