Suicide
Plus
47% entre 2010 et 2021
Adolescence.
« En France, les
hospitalisations pour tentative de suicide chez les moins de 15 ans ont augmenté de 47
% entre 2010 et 2021.
L'Humanité
Entre 2010 et 2021,
la prévalence des tentatives de suicide chez les 18-24 ans a
augmenté de plus de 50%, passant de 6,1% à 9,2%,
avec une hausse notable chez les femmes (de 7,1% à 12,8%)
et une multiplication par deux chez les hommes (de 2,8% à 6,1%).
(beh santé publique France).
Du point de vue territorial,
toutes les régions et tous les types d’agglomérations (commune rurale,
banlieue, ville-centre ou ville isolée) sont aussi affectés par cette hausse des
hospita-lisations. (Drees solidarités santé gouv).
Plus de la moitié des suicides dans le monde (58%) ont eu
lieu avant l’âge de 50 ans. (Info suicide).
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Enfance
Justice
adaptée
C
Hédon
Eduquer,
protéger, reconstruire
Descolarisation
Moitié
des jeunes placés.
Protection
de l'enfance.
Le
rapport formule 25 recommandations, parmi lesquelles :
- Inscrire dans la loi le principe de
non-responsabilité pénale absolue pour les moins de 13 ans.
- Créer un code de l’enfance,
réunissant les dispositions civiles et pénales relatives aux mineurs.
- Renforcer la prévention et les
moyens socio-éducatifs.
- Mettre en œuvre effective du droit à une
justice qui éduque, protège et favorise la réinsertion.
Enjeux clés
- Primauté de l’éducatif sur le répressif
: La justice des mineurs doit rechercher le relèvement éducatif et moral.
- Atténuation de la responsabilité pénale
en fonction de l’âge et du discernement.
- Respect des droits des enfants
tout au long du processus judiciaire.
Décrochage scolaire
Le
rapport aborde également la question du décrochage scolaire,
soulignant que la moitié des jeunes placés sont concernés. Il
plaide pour des mesures renforcées afin de lutter contre ce phénomène et de
soutenir la parentalité. (Qwant).
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Pourquoi à l'adolescence, les filles se sentent-elles
moins bien que les garçons ?
Dans
l’ombre de la hausse du mal-être chez les jeunes, une réalité persiste : la
puberté marque une rupture nette entre filles et garçons. Des études menées
auprès de plus de 10.000 adolescents en Espagne révèlent un écart émotionnel
qui s’installe tôt – et qui ne cesse de se creuser.
(…) L’adolescence
est une étape décisive. En soutenant les filles à ce moment clé, en renforçant
leur autonomie, leur estime de soi et leur relation à leur corps et à leurs
émotions, nous posons les bases d’un bien-être durable.
Il
ne s’agit pas de leur demander d’être fortes. Il s’agit de créer des
environnements qui ne les fragilisent pas. Investir aujourd’hui dans la
santé mentale des adolescents, c’est construire une société plus juste
et plus équilibrée demain.
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