A Fontainebleau
François 1er à Fontainebleau.
Il tient dans la main une grenade, fruit qui symbolise tous les pouvoirs maintenus par François 1er.
Par moi-même
A Blois
Un dessin de François 1er
Mon dessin de François 1er
François 1er regarde le bassin du Roy au Havre
Statue de R.A Duparcq - 1946
Livre sur la naissance du Havre de Grâce
François 1er à la bibliothèque (...)
Lettre manuscrite avec sa signature
Les 500 ans du Havre
François 1er marin
Léonard de Vinci peint la Joconde devant François 1er.
Grand vase en porcelaine de Sèvres de style Renaissance (1832).
La légende situe la scène à Fontainebleau, mais Léonard de Vinci n'est jamais venu à Fontainebleau.
Le Havre
500 ans
Vu à Montivilliers
La salamandre est le symbole du pouvoir sur le feu
Salamandre dans le château de Fontainebleau
Nutrisco et extinguo (nourrit et éteint)
Salamandre à Uzès
Le Havre
La Salamandre sur le mur d'une maison
06 20
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Graph
Salamandre
Le Havre
05 22
De Theutis?
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Musée de Pont-Aven.
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*Les Vikings
Les Normands, au début du XIe siècle, s'étaient transformés en à peine cent ans en un peuple énergique et doué de la considération de « la loi » comme une base solide et merveilleuse sur laquelle ériger les structures de l’État. Intelligents, s'adaptant facilement, dotés d'une énergie inépuisable et plein de confiance en eux, ces hommes courageux et vagabonds ont démontré un attachement dans les pays où ils se sont installés.
Le hâvre avant Le Havre (06/2017)
Les Vikings sont des explorateurs. Ils ont voyagé partout en Europe jusqu'aux portes de l'Asie et jusqu'au Moyen-Orient.
Ils ont découvert l'Amérique avant Christophe Colomb. Ces expéditions demandaient une organisation rigoureuse et un courage sans faille pour affronter les intempéries, mais surtout des moyens pour les financer.
Ils voyageaient sur les Drakkar.
Les bateaux de commerce s'appelaient des "kauskip".
Les bateaux de guerre s'appelaient des "langskip".
Le cheval bleu (? Blanc?) de François 1er
Timbre français
François Clouet (Tours, 1515 - Paris, 1572)
Portrait de François 1er
Le Havre, l'ancienne tour François 1er, à l'entrée du port, photographie vers 1860.
François 1er
1494 – 1547
Roi de France durant la
Renaissance
De passage au château de Lourmarin en 1537
Musée Dubocage de Bléville
Le Havre
Pierre calcaire.
Entre 1855 et 1859 par Charles Louis Fortuné Brunet-Debaines.
Jean-Auguste-Dominique Ingres
Montauban, 1780 – Paris, 1867
François 1er reçoit les derniers soupirs de Léonard de Vinci
1818
Huiles sur toile
Petit Palais
Paris
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François 1er
Graph
Le Havre
Timbre
05 20
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Pour s’être moqué de la reine, Triboulet,
le bouffon de François Ier, est condamné à
mort. Le roi consent à faire un geste :
- Je te laisse choisir comment tu
souhaites mourir.
- De
vieillesse.
Grâce à cette répartie, sa peine fut commuée
en
bannissement.
06 21
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Au XVIe siècle:
Rouen
Louise de Savoie, par Auguste Clésinger
Jardin du Luxemborg
Paris.
Louise
de Savoie, mère de François 1er.
La bienheureuse Louise de Savoie ou Loyse de Savoie,
née probablement à Bourg-en-Bresse en 1462 et morte à Orbe le 24 juillet 1503,
dame de Nozeroy, est une princesse de la maison de Savoie devenue religieuse
clarisse. Béatifiée par Grégoire XVI, elle est fêtée le 24 juillet.
Louise est la fille du futur duc de Savoie Philippe
de Bresse, dit sans Terre et de Marguerite de Bourbon. À la
mort de sa mère, elle a été confiée à sa cousine, Anne de Beaujeu,
fille du roi de France Louis XI, alors régente du royaume et qui
aura une influence des plus importantes pour son avenir.
Louise de Savoie, la femme derrière François Ier. Ce fut l’une des
femmes les plus influentes de son temps, au service de François Ier, dont elle fut l’une de ses plus précieuses conseillères. Louise de Savoie, régente du royaume de France à deux reprises, a laissé derrière elle un
parfum de soufre (Pourquoi, NDLR).
Le 24 février 1525, François Ier est fait prisonnier
en tentant d'assiéger Pavie, au sud de Milan. « De toutes choses ne m'est
demeuré que l'honneur, et la vie qui est sauve », écrit-il à sa mère Louise de Savoie dans la belle langue de l'époque.
La correspondance du temps en témoigne : François
signe certaines de ses lettres par les mots « le roi et Madame »,
tandis que Louise ponctue ses propres missives par « à mon seul
plaisir », une expression ordinairement réservée au souverain.
Elle introduit également à la cour de nouveaux venus,
comme son frère, René de Savoie, Antoine Duprat ou Artus Gouffier.
Ainsi, elle joua un rôle dans l’initiative d’inviter
Léonard de Vinci en France.
Marguerite de Navarre
Ecole française
16e
François Rabelais
Maison natale "La Devinière"
Elle était la soeur de François 1er. Pendant le désastre de Pavie, elle détient un rôle politique important (1525). Elle est protectrice des arts et des lettres et est ouverte aux idées nouvelles. Elle correspond avec des humanistes: Lefèvre d'Etaples, Clément Marot, Etienne Dolet. Rabelais lui dédicace le "Tiers Livre" (1546).
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Le père de Claude de France, Louis XII:
Louis XII - 1498
Tour Saint-Jacques à Paris
Tout en reprenant certains éléments du style Louis XII contemporain, cet édifice montre à quel point l'architecture parisienne et notamment religieuse se montre réticente aux nouveautés amenées d'Italie.
Gisant de Louis XII à la basilique-cathédrale de Saint-Denis.
Rouen
Lille
Musée des Beaux Arts
Anne de Bretagne
1499 à Lyon
D'après un dessin de Jehan Perréal.
Fonte de bronze.
Anne de Bretagne, née le 25 ou 26 janvier 1477 à Nantes et morte le 9 janvier 1514 à Blois, est duchesse de Bretagne et comtesse de Montfort et d'Étampes et, par ses mariages, reine des Romains, puis de France, puis de nouveau reine de France et reine de Naples et duchesse de Milan.
Anne de Bretagne
1477 - 1514
Reine de France.
Paris
Jardin du Luxembourg
Maxime de Montmorand
Une femme poète du XVIe
siècle
Anne de Graville
1917
Anne de Graville :
Anne de Graville est une poétesse des 15e et 16e s. (vers 1490 -après 1540) qui était noble et une laïque femme.
« Et, pour commencer, l'on ignore la date de sa naissance d’Anne de Graville. Plus jeune de beaucoup que ses sœurs, elle était tant soit peu l'aînée de la reine de Navarre. Peut-être eut-elle pour marraine Anne de Bretagne ». (p 54)
Très goûtés de la pédante Anne de Bretagne,
les rhétoriqueurs, à sa suite, envahirent la cour
de France ;
ils y pullulèrent sous les règnes de Charles VIII
et de Louis XII, rivalisant avec leurs confrères
bretons
et bourguignons d'insanité délirante. Ils y
étaient encore en pleine vogue lorsqu'Anne de
Graville se mêla
d'écrire *Le Grand et vray art de pleine
rhétorique de Pierre Fabri (Pierre Lefèvre), où
sont codifiées
les recettes de l'école. Il est de 1521. (p 111).
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Anne (Malet) de Graville est la fille de
Louis Malet de Graville, amiral de France. Elle
est l’épouse de Pierre de Balsac d'Entraigues.
Elle est aussi une Dame d'honneur de
Claude, reine de France, et amie de Marguerite
de Navarre. Sa devise est 'Ien garde un leal'.
Les démêlés d’Anne de Graville avec son père, le
scandale de son enlèvement n'avaient pu
manquer de
lui nuire. Elle obtint (c'était pour elle la
réhabilitation complète) d'entrer, en qualité
de dame d'honneur,
au service de la fille aînée de Louis XII et d'Anne
de Bretagne, Madame Claude de France. (p 85)
Elle eut pour sœur Louise de Graville, qui ,
après avoir été, suivant toute probabilité, fille
d'honneur de la
reine Anne de Bretagne, épousa, en 1497,
Jacques de Vendôme, vidame de Chartres, prince de
Ghabanais, grand-maître des eaux et forêts de
France et de Bretagne (p 40).
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Les mère et père d’Anne de Graville, Claude
de France.
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p 270, 272 : La mère d’Anne de Graville :
Marie de Balsac :
Dans un manuscrit provenant de la bibliothèque
du duc de La Vallière, et mentionné, dans le
catalogue de
Bure (t. II, p. 295, n° 2873), sous ce titre :
Epistres d'Ovide translatées en françois, fesant
mention des cinq loyalles amoureuses qui
fesoient
complaintes et lamentations, avec l’épitaffe de
ma Dame de Balsac, Varrest pour la dame
sans sy et V
appel des trois dames contre icelle y le tout en
rimes. Ce manuscrit dut être composé pour
Anne de
Bretagne. (p 270)
Qui est cette Dame sans sy ? La description fut
certainement composée, sinon pour Anne de
Bretagne
(morte en 1514), du moins de son vivant.
La dame sans sy doit être « Marie de Balsac,
femme de Louis de Malet, sire de Graville,
amiral de France,
et mère de la célèbre Anne de Graville ».
— M. Quentin - Bauchart * opine également
dans ce sens.
Qui écrivit le poème « La Dame sans sy » ?
Résignons-nous donc à ignorer le nom du poète
qui chanta
la mystérieuse dame sans sy : tout ce qu'on
peut affirmer de lui, avec M. Le Roux de Lincy,
c'est qu'il
vivait à la cour d'Anne de Bretagne. (p 272)
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p. 10, Louis Malet de Graville !
Louis Malet, seigneur de Graville, père d’Anne
de Graville, est né en 1438 à Paris et mort au
château
de Montagu à Marcoussis. Louis Malet de
Graville suit le roi de France Charles VIII à la
conquête du
Royaume de Naples. suivit le roi Charles VIII,
en 1487, dans son expédition contre les seigneurs
de
l'Ouest. Il reçut le titre d’amiral.
En 1488, il devint le ministre de la guerre. Il
présida aux opérations contre la Bretagne. Il
eut sa part dans
les événements militaires et politiques qui
aboutirent, à la fin de 1491, au mariage de
Charles VIII avec
Anne de Bretagne.
Il se démet, en 1508, de la charge d'amiral
en faveur de Charles II d'Amboise de Chaumont ,
son
gendre. Sa résidence principale se situe à
Marcoussis qui est une commune française
située à vingt-six
kilomètres au sud-ouest de Paris dans le
département de l’Essonne en région Île-de-France
La famille Malet de Graville et Le Havre :
Cette famille a possédé le comté d’Alençon
(vendu au Roi Philippe II «Auguste» en 1220).
Les origines :
Guérard Malet fonde le fief de Graville (près
du Havre).
? (Robert ?) Malet ° ~1003 + (Caen) seigneur de
Graville (Gerardivilla) peut-être d’origine
saxonne ?
ép. ? (possible fille de Leofric III, earl of Mercia ;
soeur d’Alfgar (père des comtes Edwin et
Morcar) et
de la femme d’Harold, ou soeur de Godiva,
épouse du duc de Mercie = thèses mal étayées
en l’état).
Les branches de la famille Malet:
- Graville & Marcoussis (Graville-Sainte-
Honorine (76, près du Havre) ; ext. 1516),
du Bosc-Achard
(ext. 1363), de Deubec (ext. XVIII°),
- de Valsmé (reprend le nom de Graville au
XVIII°), de Criquebeuf (maintenue noble 1669,
ext, peu après),
- de Bouquetot (maintenue noble 1670), de
Faillanville (maintenue noble 1670), de
Cramesnil
(maintenue noble 1670),
- de Réveau (ext. XVII°), du Bois (maintenue
noble 1666), de Bermondières & du Boismale
(1667),
- du Breuil, de Bonnemesnil & de Sceaux
(maintenue noble 1669).
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P 85, Claude de France, reine et épouse de
François 1er:
Les démêlés d’Anne de Graville avec son père,
le scandale de son enlèvement n'avaient pu
manquer de
lui nuire. Mais elle savait l'art de se tout faire
pardonner. Et — peut-être l'amiral vivait-il
encore — elle
obtint (c'était pour elle la réhabilitation
complète) d'entrer, en qualité de dame
d'honneur, au service de la
fille aînée de Louis XII et d'Anne de Bretagne,
Madame Claude de France.
Claude de France (Romorantin, 13 octobre
1499 - Blois, 20 juillet 1524), duchesse de
Bretagne (1514),
devint reine de France en 1515 en épousant
François Ier, roi de France. Elle est la fille du
roi Louis XII
et d'Anne de Bretagne. Elle meurt à 24 ans
après avoir mis au monde sept enfants.
Il est probable qu'Anne de Graville était déjà
en fonctions lorsque Madame Claude devint
reine (janvier
1515), et qu'elle séjourna auprès d'elle à Blois,
pendant la campagne de Marignan. Elle
l'accompagna, en
tout cas, en 1520, à l'entrevue du Camp du Drap
d'or, et, quand la reine succomba, en 1524,
dut être de
celles qui l'entourèrent jusqu'à la fin. Madame
Claude n'avait d'autre charme que sa bonté.
François I er
ne l'aima pas.
Epuisée par ses maternités rapprochées, ainsi
que par de multiples voyages imposés par le
roi et Louise
de Savoie, Claude s’affaiblit après son dernier
et septième accouchement. S’ennuyant auprès
d’une
épouse malade, François Ier la visite peu,
préférant la compagnie de sa favorite, la
comtesse de
Châteaubriant. (Source Histoires et secrets).
P 86,
La vie austère à la cour de France de Claude:
Claude de France s'était fait une petite cour
étroite et fermée, où elle s'efforçait de
maintenir, à l'exemple
de sa mère Anne de Bretagne, les traditions
de l'ancienne « candeur gauloise ». Si l'on veut
se faire une
idée de ce que pouvait être cette petite cour
féminine, qu'on lise
l'oraison funèbre d'une princesse du temps,
Françoise d'Alençon (belle-sœur de Marguerite
d'Angoulême), réputée, elle aussi, pour vivre
avec ses demoiselles en toute modestie, décence
et sévérité, et pour les former aux bonnes
disciplines.
« Gomme elle ne lisoit qu'en la saincte
ftscripture, ou en quelque historiographe
qui ne donnoit
aucune mauvaise doctrine, aussi ne
vouloit-elle que ses demoiselles
s'occupassent à lire d'autres
livres. »
Françoise d'Alençon, née en 1490, morte le
14 septembre 1550 à La Flèche, est la fille de
René, duc
d'Alençon et comte de Perche et de la
bienheureuse Marguerite de Lorraine-
Vaudémont. Elle est
l’épouse de Charles IV de Bourbon, comte
puis duc de Vendôme, qui est né le 2 juin
1489 à
Vendôme et mort le 25 mars 1536 à Amiens.
Il est le grand-père par les mâles du roi
Henri IV
de France.
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La descendance
Henri II
Louis Gabriel Eugène Isabey
Paris, 1803 - Montévrain, 1886
L'arrivée de Marie Stuart
1542 - 1587
Huile sur bois
Lille
Musée des Beaux Arts
Louis Gabriel est le fils de Jean Baptiste Isabey (1767 - 1855)
Marie Stuart épouse à quinze ans le futur roi de France, François II, fils aîné d'Henri II. Veuve, elle rejoint son pays natal pour succéder à son père, le roi Jacques V.
Marie Stuart
Reine de France
Paris
Jardin du Luxembourg
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Portrait d'Antonietta Gonzalez
Henri II à Fontainebleau
Henri II Dei gratia francor rex
Romans
Musée de la chaussure
Henri II
Son épouse Catherine de Médicis:
Son astrologue lui ayant prédit qu'elle mourrait « près de Saint-Germain », Catherine de Médicis refusa de se rendre à Saint-Germain-en-Laye. Sur son lit de mort, à Blois, elle demanda son nom au confesseur appelé auprès d'elle, lequel répondit : - Julien de Saint-Germain.
Anthologie de la répartie.
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Giambattista Tiepolo
1696 - 1770
La réception d'Henri III à la villa Contarini
Musée Jacquemart André
Elu roi de Pologne, le futur Henri III décide de rentrer un an plus tard en France pour succéder à son frère Charles IX qui vient de mourir.
En chemin, il s'arrête une dizaine de jours à Venise et rend visite au procureur Federigo Contarini.
Lucrezia Corner est adossée à la colonne de gauche. Elle épouse Vincenzo Pisani, à droite, le nouveau propriétaire de la villa Contarini.
Les deux événements sont liés dans l'oeuvre.
L'effet est en trompe-l'oeil.
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Henri III par Bernard de Montfaucon
18e s
Abbaye de Graville
Le Havre
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Louise de Lorraine reine de France
Décédée en 1601
Eu
Château Musée Louis-Philippe
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Louise de Lorraine-Vaudémont (1553-1601), ou Louise de Lorraine, est issue de la
branche de Vaudémont, branche cadette de la maison de Lorraine
Cousine des Guise et du duc Charles III de Lorraine, elle a été reine de France de 1575 à 1589,
avec son mariage avec Henri III, sans
postérité., et reine de Pologne et grande-duchesse de Lituanie en 1575.
Fille de Nicolas de Lorraine, duc de Mercoeur, et de
Marguerite d'Egmont, née le 30 avril 1553, elle épousa Henri III, roi de France, le 15 février 1575.
A la mort de Catherine de Médicis, en 1589, Louise de Lorraine reste
seule reine de France jusqu'en
1601. C'est sur elle que repose la royauté en déshérence.
Les contemporains de Louise de Lorraine ont loué ses
grandes qualités, affirmant souvent qu'Henri III n'aurait pu faire meilleur
choix parmi les princesses européennes. Elle a toutefois été éclipsée de son
vivant par d'autres femmes plus impliquées dans la vie politique ou plus
désireuses de briller à la cour, et sa mémoire n'a pas laissé beaucoup de
traces dans l'histoire. On lui reconnaît néanmoins unanimement le mérite
d'avoir été, dans une époque troublée, un soutien indéfectible de la monarchie.
Une rapide recherche sur Internet indique à tout
curieux que Louise de Lorraine, veuve d’Henri III, a un temps reposé au
Père-Lachaise avant son transfert en grande pompe à Saint-Denis le 16 janvier
1817, sur ordre de Louis XVIII
Elle est morte à Moulins (aujourd'hui dans le
département de l'Allier) en janvier 1601. C’est sans doute dans la cathédrale
de cette ville que Louise de Lorraine fut d’abord inhumée.
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